Les deux policiers Turcs abattus prendraient-ils le dessus sur Suruç et Kobanê ?…

Quelle humiliation, quelle insulte sur ce qu’il reste du PKK… presque une trahison militaire depuis que sous prétexte d’entrer dans la Coalition Internationale, l’armée de l’AKP d’Erdogan en profite pour se tromper de cible officielle et frapper à nouveau le PKK, pourtant venu au secours des populations Ëzêdîs agressées et massacrées au Sinjar l’été dernier… Turquie qui était pourtant en « paix » avec la question kurde sur son territoire depuis le dernier Cessez Le Feu qui semblait déboucher vers un Processus De Paix… Ce double front ouvert par Erdogan devrait être non pas « soutenu » mais condamné par toutes les autorités militaires internationales pour cause de dédoublement et déviation de cible (daesh) et pour atteinte portée envers des objectifs en accord avec la réalité du terrain des combattant(-e)s qui ont repoussés les attaques du daesh jusqu’à présent (Kurdes – YPG – Peshmergê) ; privilège qu’on peut difficilement et honnêtement accorder aux États-Unis ou à la Turquie… Mais plus à l’Allemagne, l’Angleterre, l’Italie ou la Belgique, voire la France qui pourrait aussi se tromper de cible, un peu plus en avant dans le double langage…
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 ErdogRojavaBlood

On remarque constamment un brouillage médiatique de la chronologie des évènements, tant au niveau de la présentation que dans les commentaires des spécialistes censés nous exposer clairement la situation… Il faut quand même rappeler qu’avant que les deux policiers turcs furent abattus du côté Turc, sous prétexte d’entrer en guerre contre daesh, les chars d’Erdogan de l’armée de l’‪‎AKP‬ avaient tiré sur Kobanê‬  et à balles réelles sur des manifestants en Turquie… Où il n’y avait que des ‪‎Kurdes‬ et depuis longtemps que les jihadistes y avaient été refoulés, aucune raison logique ne nécessitait une intervention aérienne ou de l’infanterie blindée sur ces secteurs convoités par Erdogan… Alors si ‪‎Erdogan ‬n’a pas les mêmes cartes d’état-major que celles de la ‪‎Coalition Internationale‬ qui ne pourrait être suffisamment renseignée sur la présence ou non, sur des secteurs précis, de jihadistes ; que veut-il faire exactement dans cette Coalition ?… Tapis rouge ou poste avancé ?… Une bien étrange construction médiatique pour étouffer et oublier bien vite ce qui pourrait constituer un crime de guerre, à savoir, le pilonnage arbitraire avec des blindés sur des populations kurdes dans Kobanê, volontairement ciblées qui ne peuvent de ce fait se ranger sous la simple classification d’appellation en « dégâts collatéraux » mais constitue un privilège ou une usurpation et un abus de pouvoir sur la Coalition, voire un déni de l’‪‎autorité militaire‬ des combattants YPG‬ Kurde‬ du terrain qui repoussent les assauts jihadistes depuis un an dans le Rojava‬

Chronologie :
Attentat de Suruç suivit immédiatement d’une forte mobilisation populaire kurde en Turquie et ailleurs, auquel le pouvoir de l’AKP d’Erdogan répond de manière répressive avec des tirs à balles réelles sur des manifestants, ne tenant même plus compte des dernières Législatives qui demandaient la reconnaissance des 84 Députés de l’HDP par la démocratie des scrutins dans le Parlement aux côtés des autres partis… arrestations politiques… répression communautaire… comme si les kurdes étaient responsables de l’attentat de Suruç ; nous ne pourrions répondre que la Seconde guerre mondiale, c’est peut-être la faute à de Gaulle ? (!)…

Avec cet attentat sur son sol, Erdogan se dépêche d’intervenir de lui-même dans le conflit avec daesh en ‪‎Syrie‬, prépare ses avions, surpasse le Droit International concernant les possibilités d’interventions aériennes ou terrestres et pouf !… ça lui échappe !… bombarde Kobanê… Quelques frappes suffisent et deux policiers turcs se font assassiner en Turquie et il faudrait s’en offusquer ?…

Erdogan rentre dans le conflit avec le daesh non pas parce que deux policiers se font assassiner, mais pour bombarder Kobanê et autour (là où le travail est déjà fait…) et parce qu’il craint qu’une forte mobilisation Kurde sur son territoire, ne conteste démocratiquement par les manifestations locales ses objectifs politiques qui deviennent flagrants et plus que méprisables…

Deux policiers Turcs ne se font pas assassiner en Turquie parce qu’il y a eu un attentat à Suruç en Turquie mais parce qu’Erdogan a ordonné aux blindés de tirer avec les chars sur l’intérieur de Kobanê en Syrie et à balles réelles sur des manifestants Kurdes du HDP en Turquie…

Défendre ce qui peut l’être de la politique de l’opposition (versant « minoritaire » de la Démocratie en Turquie) incarnée par ‪‎Demirtas‬ et le ‪‎HDP‬ suite aux menaces d’emprisonnement (24 ans) relatives à l’hystérie d’Erdogan n’est pas incompatible avec « sauver le Rojava‬ » …

Quant à l’entité ‪‎PKK‬, Erdogan se l’imagine encore en rêve et vit sur la pensée de 1974 ou1984, mais certainement pas sur l’avancée démocratique des dernières Législatives de Turquie ou alors il confond cet ancien PKK avec les Peshmergê‬ ou des YPG‬, voire peut-être même les Français venus épauler les Peshmergas en Irak… Toujours est-il que si il (Erdogan) cherche du PKK de l’autre côté de la frontière turque, il est mal barré, il n’y en a pas puisque ça fait un an qu’il n’y en a plus et qu’ils sont Peshmergas‬ ou YPG pour combattre daesh avec la mouvante ‪‎Coalition Internationale‬ imposée…

À l’OTAN, pour les Kurdes, il faut leur parler en chrétiens syriaques et assyriens ?… c’est du « fait à la maison » ce genre de travail d’auto administration démocratique ?…

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10204855137203182&set=gm.998452963518999&type=1&theater

VaticanKurdesOtan

Parce qu’alors là, si vous commencez comme ça, on peut aussi avoir le devoir d’aller jusuq’au bout et parler pour toutes les religions et pas que les chrétiennes…

➣ Kurdes (Yêzîdîs chrétiens kurdophones)

➢ Arabes (Chiites et Sunnites non radical-radicaux)

➣ Arméniens

➢ Turkmènes

➣ Shabaks

➢ Kakaïs

➣ Mandéens sabéens

➢ Chaldéens

➢ Druzes

➢ Alévis

➢ Ismaéliens

➣ Assyriens et Alaouites…

sont tous, cibles de l’État Islamique…

ô, bien sûr, parmi eux, il y en a forcément qui font partie des chrétiens d’Orient en Syrie ou en Irak (?).

Les Kurdes de SYRIE et d’IRAK ne peuvent que recommander à Erdogan de l’AKP de rester derrière sa frontière avec son armée turque…

The Kurds of SYRIA and of IRAQ can only recommend in Erdogan of his AKP to stay behind his border With his Turkish army…

Die Kurden SYRIEN und des IRAKS können nur Erdogan des AKP empfehlen, hinter seiner Grenze mit ihrer türkischen Armee zu bleiben…

Las kurdas de SIRIA y de IRAQ pueden sólo recomendarle a Erdogan del AKP quedarse detrás de su frontera con su ejército turco…

Abdullah Ocalan

Entre la démocratie et la guerre, il y a Recep Tayyip Erdogan…

L’OTAN signe de son point d’acier l’impérialisme capitaliste !…
Mais…

« Militaire » avec daesh, Erdogan l’a toujours été !

Tandis que « démocratique » avec les Kurdes,

il semblerait qu’il en soit définitivement incapable…

ErdogRojavaBlood

Si il fallait lui parler en tongues à Erdogan‬, faudrait-il signaler au passage que peu importe qu’ils soient syriens ou irakiens, kurdes ou palestiniens puisqu’ils appartiennent à Erdogan et à l’armée de l’AKP qui s’incrustent, tous deux, dans le conflit avec le daesh pour mieux en diriger les opérations du ciel de l’AKP mais pas avec celui de la Coalition… Vouloir grignoter un peu de Syrie‬ au mépris des combattant(-e)s confronté(-e)s au sol avec les gangs jihadistes soutenus par la politique extrême de l’État Islamique (ISIS – daesh) comme semblerait vouloir y aboutir Erdogan sous prétexte d’établir une Zone Tampon‬, lancé à la poursuite de daesh, tout en se trompant de cible puisqu’il semblerait confondre daesh d’avec les Kurdes, risque de mener à un indescriptible carnage pour meubler les spots de la tv privée d’Erdogan et de son état conservateur islamiste qui pratiquent une censure insupportable en Turquie‬ par rapport au Droit à l’existence des Kurdes, civilement, administrativement, juridiquement, socialement et… politiquement !

Après une année de relative stabilité suite à de rudes combats pour défendre autour de Kobanê les avancées des gangs jihadistes, faut-il encore préciser à Erdogan qu’en matière de frappes aériennes, les avions se commandent du sol et se décident de manière concertée avec une Coalition Internationale et non pas d’après le libre arbitre d’un fou de guerre… Jusqu’à présent, que ce soit en Irak du Nord ou en Syrie, les frappes aériennes s’effectuent selon des décisions prises en commun autour d’une coalition décidée à réduire et stopper les intrusions et la construction d’un État Islamique (ISIS – daesh) dans le respect des combattant(-e)s qui sont directement confronté(-e)s et concerné(-e)s frontalement sur le terrain, non pas pour démolir et saccager le travail effectué durant une âpre année qui a permis d’arracher mètre par mètre le terrain envahit par daesh…

Il n’aura fallu ainsi qu’une année au leader de l’AKP pour sortir de sa réserve et profiter du conflit international imposé par daesh en Irak et en Syrie pour envoyer un ultimatum supplémentaire envers ceux qu’il considère toujours comme son ennemi intérieur lié à une politique d’opposition économique et sociale marxiste, enracinée à l’histoire des Kurdes, défendus non pas seulement en Turquie par le PKK, mais aussi en Irak par les Peshmergas ainsi qu’en Syrie par les YPG ; tous étant au départ des groupes spontanés et éphémères de défense des populations agressées et massacrées par le daesh… Car quoi de plus digne à participer à défendre des populations agressées et massacrées – fussent-elles Kurdes – et de démocratique que d’en demander la reconnaissance d’une autorité militaire – à défaut de pouvoir l’exiger – alors que le cheminement historique devrait l’obliger !… En Iran également s’organise une résistance moins officielle et plus silencieuse pour les populations kurdes où le niveau d’agression avec l’État Islamique n’est pas le même, bien que des arrestations de militants kurdes aient lieu comme en Turquie, presque sans qu’aucun relais médiatique international ne puisse obtenir le droit d’en faire le lien.

Longtemps considérée comme indésirable à la frontière avec Kobanê l’été dernier, la force militaire turque aura donc attendue une année pour se faire presser par les organisations internationales qui souhaitent qu’elle intervienne dans le conflit pour stopper les bandes de jihadistes armées qui assassinent toujours en Irak et en Syrie avec la même virulence ; sans qu’à aucun moment, durant cette longue année d’incertitude concernant la possibilité ou l’obligation de la Turquie de se joindre à la lutte contre le daesh, ne soit reconnue une quelconque autorité militaire aux forces qui ont, au sol, défendues les territoires agressés avec l’aide d’une Coalition Internationale proposée en aide aux Peshmergas (Irak) et YPG (Syrie)… Longtemps considéré comme réfugié en Irak du Nord (Kurdistan), les anciens membres du PKK, ou ceux qui restent, prirent part aux hostilités dans la droite lignée qui est la leur de porter une aide armée lorsque des populations se font attaquer par des puissances hostiles, mais jamais au nom d’un ancien PKK… C’est à ce moment qu’on a entendu reparler de ce PKK qui semble tellement faire peur à Erdogan, aux abords des monts du Sinjar, lorsque des Êzêdîs se firent massacrer sous les yeux d’un monde paralysé, presque étonné d’avoir à sauver une population à l’abandon, oubliée… C’était l’été dernier… Alors n’y allons pas par quatre chemins et demandons directement à Erdogan si les Peshmergas et les YPG, en tant que défenseurs des populations kurdes, risqueront-ils d’être menacés de la même manière que l’histoire de la Turquie ne l’a montrée dans ses rivalités qu’elle entretient avec le peuple Kurde ?… Parce que, à long terme, autour de ces deux questions cruciales que sont la défense des Kurdes dans le monde et l’extension des gangs jihadistes aux « Proche » et « Moyen » Orients (l’Extrême-Orient y étant sans doute déjà bien plus enfoncé ?), Peshmergas et YPG, dans la logique du reniement politique de la reconnaissance de la société et de la culture kurde par le pouvoir conservateur islamiste-nationaliste de l’AKP d’Erdogan, ne seraient-ils pas tout aussi exposés que ne l’a été – et qui l’est à nouveau à présent – ce qui pourrait toujours encore être confondu avec de l’ancien PKK ?… À toujours s’obstiner à refuser que les Kurdes ne fassent partie intégrante de la résolution des conflits dans cette région du monde (Proche-Moyen Orient), l’Histoire pourrait carrément ne plus correspondre aux faits réels de l’existence Kurde combattante politique et de moins en moins armée, revendiquée, défendue dont un grand pays comme la Turquie n’a même pas eu la dignité d’en respecter les Cessez-le-feu…

Là où le PKK a chaque fois fait preuve de son goût d’attirance vers le respect de la « démocratie », de son esprit démocratique envers des valeurs républicaines au cours de son rugueux conflit kurdo-turc, le pouvoir Turc à l’inverse, représenté par l’AKP d’Erdogan, a, à chaque fois, fait preuve d’un despotisme affligeant, allant même jusqu’à assimiler dans un humour fourbe, une demande de cessez-le-feu comme l’aveu d’une défaite, la reconnaissance d’une peur et la marque du faible mais jamais ne fut considérée comme une solution pour faire parler la démocratie et taire les armes à partir de résultats électoraux sans appels, la réalité de l’existence du peuple Kurde… Si là n’est pas encore faite la preuve que la vision d’Erdogan sur la démocratie relève plus d’une dictature que d’une démocratie participative et qu’il n’est pas prêt de passer devant un tribunal pour crimes de guerre, toujours est-il que de quelque façade que puisse se revendiquer daesh, derrière se cache la question Kurde et la perte de tous les droits juridiques qu’on croyait définitivement acquis par les Kurdes sur ces deux dernières années qui virent émerger la représentation politique d’un parti Kurde (HDP) jusqu’à sa toute récente entrée au Parlement… aux côtés de l’AKP d’Erdogan !

Remonter à la structure marxiste dont s’est inspiré le PKK n’est pas inutile aujourd’hui pour comprendre la quasi silence, presque synonyme de consentement à la répression qu’engage Erdogan sur les militants et la politique des Kurdes, – seul le britannique Cameron, avec l’appui de Barzani au plan local, a signalé que c’était ISIS qui devait être bombardé et pas les Kurdes – mais la plupart des représentants étatiques internationaux se contentent de préciser qu’ils apportaient tout leur soutien de félicitations à la Turquie car dans « marxiste » ou « d’inspiration marxiste », se profile rapidement les notions « anticapitaliste, altermondialiste » dont l’argumentaire reprend chaque fois plus de poids face aux crises du « capitalisme » qui révèlent un système en perte de vitesse, presqu’en panne de rentabilité si il ne parvenait chaque fois à se relancer par les guerres. Pas étonnante ensuite serait la situation où chez nous également les conservateurs sociaux-démocrates et les droites dures ou classiques ne se rangent derrière l’idée despotique d’Erdogan pour empêcher ou repousser le plus loin possible l’émergence d’un Front de Gauche en France, d’une Linke en Allemagne ; contrer l’existence d’un Podemos en Espagne et poursuivre, tout en la matant, la politique de Syriza en Grèce…

ErdogKurd

CessezLeFeu

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Pour l’OTAN, la Turquie a le « droit de se défendre »…

Mais :

Rompre un Cessez-le-Feu… enfreindre un Processus de Paix n’est pas du « Droit de se défendre » mais une manière de se foutre des accords internationaux… Se défendre d’accord !… encore faudrait-il que ce soit pour démanteler les filières de passage par la Turquie des gangs jihadistes ou pour se prémunir de leurs attaques en les ciblant mais pas en les confondant avec des Kurdes…

Ce doit être simple pour Erdogan de changer les étiquettes sur les cartes d’état-major… remplacer YPG (même pas PKK) par ISIS – EI – ou daesh et le tour est joué, le double langage maintenu, la mascarade digne de se poursuivre impunément… c’était pourtant signalé que cette zone était déjà nettoyée des gangs jihadistes de daesh… que ceux-ci allaient sur Alep…

Merkel, Cameron, Barzani et l’Italie ne veulent pas que la Turquie bombarde les Kurdes

La Turquie s’embrase à l’extrême-gauche (? !)

« s’embrase à l’extrême-gauche » ?

Incompréhensible d’écrire un truc pareil… les Kurdes manifestent tout simplement leur mécontentement sur la rupture du ProcessusDePaix ainsi que sur l’attitude adoptée de refuser la poursuite du CessezLeFeu que revendique Erdogan… et puis c’est quoi ce syndrome médiatique a toujours vouloir identifier le « versant minoritaire » à une extrême ?… c’est une maladie fasciste ? !…

De la manière dont Erdogan risque d’être soutenu par des chefs d’États occidentaux dans l’assimilation au rayon du terrorisme que risquerait de faire beaucoup de monde sur le PKK et ISIS dans une confusion totale des pratiques…

Les Kurdes, pourtant les premiers à prendre les armes contre daesh, sont à nouveau menacés.

ErdogKurd

Erdogan s’enfonce de plus en plus avec l’utilisation de la censure derrière son vrai visage qui est de s’opposer à toute forme de démocratie susceptible d’égratigner son pouvoir (manifestations, censure médiatique, réseaux sociaux)… aucun entretient avec les 80 Députés HDP au préalable ?… Erdogan décide seul maintenant qu’il est accepté dans la CoalitionInternationale et en profite (avec ou pas le consentement international) pour reprendre sa guerre avec les Kurde – Kurdistan

Un peu gourmand de chercher à taper sur deux fronts en même temps… la Syrie oui, l’Irak non !… tiens ?… mais c’est donc en Irak qu’est allée la France, se cacher derrière les Peshmergas !… Un peu plus silencieuse sur la Syrie… est-elle d’accord avec Erdogan de pilonner des zones irakiennes qu’elle est censée défendre ?

Le privilège accordé à la Turquie de l’AKP d’Erdogan de participer maintenant à la Coalition Internationale afin de bombarder les positions du daesh n’aurait jamais dû l’être… Longtemps refusé aux Turcs de part la crainte tant redoutée d’utiliser cette situation pour profiter de chercher, à tous prix, par la même occasion, de régler à sa mesure la suppression du PKK et des militants Kurdes ; l’ultime risque se profile à nouveau dans l’avenir kurde et menace la démocratie en Turquie… Ce n’est pas qu’en Syrie que les F-16 turcs ont frappé, aussi dans l’Irak du Nord dans une zone depuis longtemps acquise au PKK…

Ce n’est pas pour me mêler du « domaine réservé des États » mais connaissant la double problématique qui lie la Turquie à l’État Islamique et à la question du Kurdistan, la participation longtemps refoulée passe à une exécution bien plus cruelle… C’est peut-être ainsi que toutes nos écoles et instituts de géopolitique et de relations internationales, plus ou moins « privés » ont dû peser de tout leur poids pour augmenter la marge de manoeuvre de la Turquie en Syrie permettant inversement d’affaiblir également au passage la sécurité des Kurdes… sans qu’aucun « officiel » ne bronche…

D’où l’incompréhension et l’aberration d’avoir laissé pourrir la situation de ‎Kobanê tout l’été dernier… bien sûre la lenteur « protocolaire » pour que « coalition » se réunisse… le temps pour la ‎France de « choisir » de se positionner et d’aider l’‎Irak, région déjà protégée par des ‎Peshmergas, plutôt que la ‎Syrie… il aurait été quand même plus logique, aux vues des désaffections militaires sur le territoire syrien, d’aller s’y joindre au lieu de se protéger derrière la force militaire ‎Peshmerga déjà existante… peu importe que le choix ait été dicté par ‎Erdogan ou par des avions de chasse cloués au sol, peu sûr dans la chaleur du désert et le sable des tempêtes, le résultat expliquant comment devenir une petite nation est là !

Entre daesh et les Kurdes, il y a Erdogan !

SuruçÉlysée

Après le communiqué du Président Hollande à Erdogan à la suite de l’attentat de Suruç, on aurait été en droit de s’attendre à plus de retenue de l’armée turque envers les Kurdes. Tout le contraire se produit, à croire qu’Erdogan en fait des cauchemars de ces condoléances, que ça lui embrouille ses prières !… Heureusement que pris de cours par le feu de l’actualité, Nicolas ‪‎Sarkozy‬ ne s’est pas senti obligé d’y glisser également son communiqué… et si jamais il en émettait un ?… Qu’en serait-il ?… Un remerciement à Erdogan pour avoir maté la rébellion ?… Habitué a s’exprimer sur chaque attentat,Sarkozy ne l’ouvre toujours pas, il reste muet ?… Pourquoi il n’émettrait pas son plébiscite cet intégriste de la finance comme il a fait sur tous les autres attentats depuis janvier, allant même jusqu’à essayer de devancer F. Hollande dans les communiqués de désolation ?… Est-il si condescendant vis-à-vis d’Erdogan pour qu’il reste ainsi figé dans un tel silence quant à l’attentat de Suruç ?… Aurait-il été au courant, prévenu d’avance comme tout ce qu’il magouille à l’instant ?

En tous cas, un grand « bravo » à François Hollande qui donne ici une leçon pédagogique de diplomatie et de géopolitique car quoi de plus judicieux que de confronter par la politique extérieure (celle de la France avec la Turquie) les incohérences de la politique intérieure turque, voire toutes les ambiguïtés qui subsistent autour de la question ‪‎Kurde‬ et les implications du pouvoir de l’AKP d’Erdogan avec les soutiens à l’EI… Mais la carrure d’un grand président au rayonnement international serait quand même de rappeler Erdogan au respect de la démocratie qui implique la reconnaissance des dernières élections Législatives turques et non pas d’envisager d’interdire le HDP qui y a arraché son 1/5ème démocratique face au 4/5ème despotique d’Erdogan qui transforme sa participation à la Coalition en un règlement de compte avec les Kurdes… Un président au rayonnement international demanderait également que soit reconnue l’autorité militaire acquise par les unités de défense des populations durant les combats contre daesh à Kobanê et empêcherait Erdogan d’attaquer les vainqueurs de ces combats pour prendre leur place…

Bien sûr aussi qu’il est plus facile d’émettre de sincères condoléances après des attentats plutôt que de les prévenir et plus urgent encore – et facile sans doute -, de faire respecter le Droit des peuples à disposer d’eux-mêmes que de marquer, de sa peine, l’horrible massacre…

KurdOCL'

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« Reopen Greece »

FMI – Bruxelles – BCE – DSK… Diktat !

Fiers de ce qu’ils ont laissé à l’Histoire, tous crient au « diktat » se réfugiant derrière l’abominable système monétaire qu’ils ont eux-mêmes créés (?)… de DSK‬nommé au ‪‎FMI‬ par ‪‎Sarkozy‬ à Christine ‪‎Lagarde‬, déjà patronne chez ‪‎sarko‬ à François ‪‎Hollande‬ désormais auto-proclamé « avant gardiste » (?)…

Les référendums grecs et français n’ont pas été votés dans un premier temps, puis reconnus politiquement et institutionnalisés ensuite pour n’être que des lendemains sans fins, des résultats électoraux fractionnels à lettres mortes quant à ce qu’ils sont toujours censés impliquer : une modification de l’Institution européenne devant conduire à l’assouplissement des règles économiques qui asphyxient les plus petits pays. La démarche intellectuelle sur l’approche de la problématique semble close et définitivement conclue dès lors que des imbéciles vous lancent à la figure l’ironique et sordide comparaison avec un « diktat » que Bruxelles aurait imposé à l’économie grecque ou du moins n’est-elle là que pour se substituer à la place de ce qui existe déjà pour le remplacer par quelque chose qui continuera de fonctionner à peu près de la même manière. Faut-il être taré pour se permettre une telle comparaison, un peu lourde et exagérée, ou porter en soi suffisamment de mépris à l’égard de la crise grecque pour oser la placer dans une référence historique démesurée avec laquelle elle n’a pourtant rien à voir si ce n’est qu’en 1945, au lendemain de la fin de la seconde Guerre Mondiale, la Grèce était aussi pauvre que l’Allemagne !… Du coup c’est également déplacer la véritable problématique économique vers des impasses historiques aberrantes où conduisent l’utilisation de mots inappropriés… Un peu de recul s’il vous plait !… « Diktat » est un peu enflé ou bien envisage-t-il de déjà prédire une situation pire qu’elle ne l’est actuellement en Grèce pour que d’usurpés malins génies l’utilisent pour qualifier les rapports économiques qu’espèrent encore entretenir la France et l’Allemagne à l’égard de la Grèce pendant la période de l’entre deux guerres ?…

Parce qu’en attendant, la Grèce rouvre ses portes à la nouvelle aide économique de Bruxelles sous les mêmes hospices du compromis fallacieux !… « Memorendum » 3 succède au second et au premier ?… Bientôt on finira par ne plus les compter !… Rien n’est modifié ou ne laisse entrevoir de sain, dans les nouveaux ressorts qui installent en suspension sur coussin d’air le fonctionnement bancaire et les rouages économiques grecs, la relance prétendue de l’économie grecque chantée comme du vent par la nécessité qu’il faut bien que ça reparte… Si ce n’est, à la différence près, que le projet Syriza ne démords pas, s’accroche et persiste à signer que ces réformes d’inquisition économique, sorties des accords de Bruxelles ne sont pas les bonnes, la dette sera belle et bien rediscutée pour aménagements… Malgré la maigre satisfaction d’apprendre que les sommes versées ne resteront pas au Luxembourg comme ce fut le cas jusqu’à présent mais iront directement dans les banques grecques, peu de changement aura été arraché sur ce qui ne peut être modifié. Non mais quelle aberration que des comptes destinés à la Grèce restaient jusqu’à présent ailleurs qu’en Grèce !… Mais Tsipras au pouvoir, ainsi que toutes les formations politiques européennes qui se trouvent encore sous le versant minoritaire dans leur pays, appelées à devenir également majoritaire à l’image du combat politique qui se déroule en Grèce, envisagent, à long terme, d’autres règles intérieures pouvant faire valoir une autre politique extérieure qui pour l’instant est parfaitement bloquée par l’Union européenne et un système BCE doublement cadenassé par une majorité politique bien à droite, conservatrice, nationaliste, absolument pas gênée de reproduire les schémas d’exploitation humaine et financière ancestrales depuis que le capitalisme a tout écrasé. Si beaucoup confondent avec de la renonciation ce à quoi Alexeï Tsipras s’est heurté en entrant en négociation avec l’économie européenne – alors que peu de modifications concrètes n’étaient en droit d’être espérées -, c’est bien confirmer que la question serait entendue d’avance, à partir du moment où un pays appartient à l’Ue et se soumet à ses Institutions et à sa réglementation ; voire claquer des dents les prochains qui seraient sur la liste, cités à de multiples reprises en « comparaison » par de nombreux médias et que sont, pour ne pas les citer, le Portugal, l’Italie, l’Espagne et même la France à certaines reprises !

L’urgence et la précipitation de la situation où se retrouve la Grèce aujourd’hui après cinq années d’immobilisme des plus figés ont validé des mesures expéditives ordonnées par les Bruxellois, la Vouli grecque, l’Assemblée Nationale française, le Bundestag allemand et la Finlande aussi. Mais pas forcément adoptées en contrepartie par la population grecque, les syndicats et la base intellectuelle de Syriza… Les caricatures médiatiques sur la division d’un parti politique qui se déchirerait courent pour ne rien comprendre au débat ou du moins en déplacer le centre de la négociation vers des conclusions voulues par Bruxelles. Je ne suis pas expert mais sans doute qu’Hannah Arendt aurait produit un ouvrage en 48h pour dénoncer la malversation médiatique qu’il y avait à utiliser la notion de « diktat » dans le résultat des accords conclus entre la Grèce et les autres pays « intra-européens »… Hélas ! La solution n’est certainement pas là… Dikat ou pas, Grexit à petit feu ou caché à demi-mot, tout est déplacé pour éviter d’aborder l’épineuse possibilité d’effectuer une nationalisation bancaire réduisant tous les « avenants » vers la même maison mère, la Banque Mondiale Grecque du Péloponnèse (!), réduisant la part de l’économie européenne au tiers des autres monnaies à l’échelle mondiale !… Si l’€ se croyait dieu le père pendant le déroulement d’une âpre semaine de négociations, c’est sans doute qu’il en oubliait l’existence des autres unités monétaires constitutives du marché économique mondiale que sont les lires turques et anglaise, les dollars américains et canadiens, le rouble russe… Probablement aussi pour ce que d’occulte permet, dans le fonctionnement et la rentabilité de l’€, à la rentabilité de son groupe de dirigeants de pouvoir qui domine à la défaite l’appauvrissement de ceux qui revendiquent contre les « eurocrates » (voir le cinquantième minoritaire considéré comme « acquis » qui permet au cinquantième majoritaire de se transformer en « 4/5ème despotique »)… Ainsi comprise, l’Europe ne devrait pas chercher absolument à ne fonctionner qu’avec une seule monnaie puisqu’elle ne peut se valoir avec l’€ qu’à la représentation du tiers de l’économie mondiale. Ce qui laisse entr’apercevoir une perspective différente de la réorganisation du marché mondial ouvrant sur des éléments de stabilité différents de ceux que pratiquent l’ultra-libéralisme économique sur tout ce que la fin du capitalisme pourrait un jour voir le jour en Grèce, devenue capitale mondiale de la dette, le temps d’un « accord » !… Sans parler directement des nombreuses ruptures de la parité monétaire trop souvent observées qui sont pourtant les indices prémonitoires des crises que le capitalisme continuera de répandre comme de la foudre sur les économies les moins protégées… Si en être encore à se demander quelle « forme » prendra la restructuration grecque n’est pas tourner en rond, dites-moi quoi d’autre subsiste que le système spéculatif qui continuera de graviter autour… Certains l’achètent cette dette pour que d’autres la paie de licenciements, de ponctions sur l’épargne destinés à satisfaire les prises de bénéfices… L’équilibre vanté n’est que la triste reproduction d’un système d’exploitation humaine et économique qui permet à une infime partie de possédants de détenir en leurs mains 90% des richesses… Sous d’autres chiffres, en baisse ici, en augmentation là, tantôt l’annonce d’une limitation des taux d’intérêts rapidement traduite par l’augmentation des taxes tous azimuts ; rien ne permet de considérer que la viabilité des programmes derrière laquelle se cache l’étouffement des revendications sociales ne puisse échapper à l’émergence d’une nouvelle forme de violence centrée sur l’individu qui l’emmène jusqu’à son suicide sur son lieu de travail à défaut de ne pouvoir avoir l’autorisation syndicale de s’opposer jusqu’à ce que cesse ce processus.

La révolution économique avant la guerre civile sociale devrait s’effectuer par la politique intérieure de la Grèce, en faisant valoir l’exercice du pouvoir législatif à défaut d’être un jour validée, reconnue et acceptée comme modèle économique peut-être différent mais certainement pas incohérent. Un peu à l’image d’une politique extérieure dont on épaulerait la mise en oeuvre mais qu’on ne muselle pas derrière des menaces d’exclusion comme ce fut trop souvent le cas au cours de cette semaine de négociations qui débouche sur de nouveaux accords, pendant laquelle, s’est renforcée et réaffirmée la continuité marchande que l’Ue opère sur la Grèce dans le FMI et la BCE !… Présenté comme un compromis, la situation est réellement à la compromission !

GrèceVouli

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Demain (samedi) il restera 48h à Alexeï ‎Tsipras‬ pour créer la BMGP…

Demain (samedi) il restera 48h à Alexeï Tsipras‬ pour créer la Banque‬ Mondiale Grecque du Péloponnèse (BMGP) autour des 4 monnaies environnantes (lire £ – sterling anglaise et TRY turque ; RUB russe et les $ – américains et canadiens) en fusion bancaire unique pour renforcer son‪ ‎économie‬ et ouvrir lundi matin sous une meilleure protection ‪‎géopolitique,‬ économique et ‪‎politique‬ !

Seul, en réponse à un coup d’État économique institutionnel du type de celui rencontré au cours des négociations de ces accords d’obligations d’alignement sur ‪‎Bruxelles‬ ; ne peut qu’être la réponse adéquate par un coup d’État organisationnel qui correspondrait en une re-fondation de tout le système bancaire grec qui fusionnerait toutes les banques en une seule par nécessité de répondre le plus rapidement possible à la crise… D’autant plus que la majorité électorale actuelle, issue des urnes et bâtie autour d’une minorité, lui en donne l’aval, le devoir et la solution à la suprématie bancaire de l’‪‎Europe‬ des Traités politiques qui masquent, en contrepartie, bien des escroqueries économiques. Ainsi serait également mis en balance l’égocentrisme géopolitique développé par la suprématie géographique de l’Europe de l’Ouest, une sorte de « mur de Berlin » économique qui ne serait jamais tombé !

De même que face aux menaces que fait peser l’hypothèse toujours courante d’un ‪‎Grexit‬ (le Schaeublexit‬ – Schäublexit‬) la suspension également temporaire du fonctionnement intérieur de multiples banques, permettrait leur réouverture ultérieure sous pression si ‪‎NoGrexit‬ effectif et réel constaté d’après les échelles de bilans, toujours fixées et édictées par Bruxelles… Réalité qui sera jaugée à la viabilité des récentes relances économiques qui, même si elles sont aussi approuvées par 2/3 du Bundestag, n’avivent pas moins les critiques qui y voient un endettement perpétuel comme si signer la dette faisait prendre pour perpette !

@syriza_gr‬ @EuropeanLeft‬ @‪‎AlexeiTsipras‬ @‪‎Plaid_Tsipras‬
‪‎DigiTsipras‬ ‪‎TsiprasLeaveEUSummit‬ ‪‎thisisacoup‬

‪‎Greece‬ Grece‬

‪‎UE‬ ‪‎BCE‬ ‪‎CEE‬

Tsipras

Le « merkhollande » est inacceptable pour Mélenchon !

Inacceptable du point de vue de la politique intérieure de la Grèce‬ mais « obligatoire » du point de vue d’une politique ‬extérieure liée aux Institutions de l’Union européenne et de son fonctionnement économique obligeant à l’inacceptable d’autres pays d’Europe‬ également !… À voir et à venir…

Dictature économique et politique rigoriste ne modifieront rien, tout au plus parviendront-ils à faire un peu sécher la plaie… Le temps de se poser multitude de questions !

UE‬ BCE‬ ‪‎CEE

 Maastricht‬ TCE‬ ‪‎Lisbonne‬

 OXI NoGrexit‬ Greferendum‬ EuroSummit‬

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=7SxoXZP3Muw

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En ce qui concerne la politique extérieure et la rigueur demandée par les accords de Bruxelles‬, la marge de manoeuvre semble relativement restreinte et nécessite le soutien international de tout les versant minoritaires des blocs de toutes les gauches en Europe, appelés à leur tour, à devenir majoritaire pour espérer pouvoir changer le fonctionnement économique européen si décrié pendant cette longue semaine de négociations aux prétendus rebondissements, finalement bien orchestrés par le fonctionnement de l’Institution… Par contre, pour la politique intérieure qui concerne pas seulement la Grèce mais aussi les autres pays européens aspirants au développement des politiques similaires aux projet ‪‎Syriza‬ ou Podemos‬, nous pouvons féliciter ‪‎Tsipras‬ qui a décidé de poursuivre et de tout mettre en oeuvre pour combattre la finance mondiale et sa corruption, l’évaporation fiscale et ceux qui échappent encore à l’impôt… La réussite de l’ensemble (politique intérieure et extérieure) consistera à transformer tout ce que Bruxelles et la BCE demandent de privatisation à la Grèce en nationalisation publique plus conforme au projet de départ… Mais pour que le bancaire privé international se change en nationalisation intérieure ?… c’est là qu’est toute la politique économique qu’il faudrait réaliser…

Et puis Tsipras n’a pas hésité pour nous signaler au passage, que de toutes les mesures auxquelles lui non plus ne croit pas, la pire est celle de la hausse de la TVA qui ouvre et encourage l’économie de contrebande… Cette précision n’étant pas des moindres observée à l’échelle du fonctionnement de l’économie européenne et de ses 28 pays favorables à la suprématie des formations de la droite majoritaire qui les gouverne.

L’Assemblée Nationale Française accepte la poursuite des négociations avec la Grèce dans la zone euro (?)

Que n’aurons-nous pas découverts autour de cette diatribe concernant le destin de la Grèce pendant ces jours de négociation européenne sacralisant la soumission aux institutions européennes sur tous les points ?… « oui », « non » ; « pour » ou « contre » peut importe ?… Quelle ait le « couteau sous la gorge », la « corde au cou » ou « le pied sur la gorge », peu importe aussi finalement… Mais ce que retiendra l’histoire du fonctionnement de notre soit disante démocratie actuelle européenne, c’est la maléfique manière dont elle parvient à poursuivre son fonctionnement en « majorité-inversée » !

Déjà au lendemain du TCE (projet de Traité de Constitution Européenne présenté aux Français en 2005 sous la forme référendaire) refusé par une bonne majorité, nous étions en droit de nous poser des questions sur l’avenir européen mais là, avec la problématique grecque dont l’ensemble des eurocrates aimeraient bien pouvoir faire porter toute la responsabilité sur les épaules de Tsipras afin d’occulter tout ce qui n’a pas été fait avant dans ce pays alors que la mise en route de toutes les mesures dont on parle aujourd’hui auraient dû l’être dès lors qu’à cette époque, la Grèce était sous gouvernance conservatrice, classique, bien en ligne avec les habituelles commandes bruxelloises ! Dictature économique et politique rigoriste ne modifieront rien, tout au plus parviendront-ils à faire un peu sécher la plaie… Le temps de se poser multitude de questions !

Mais quand est-ce qu’ils admettront et accepteront une bonne fois pour toutes que ce sont de mauvais gestionnaires internationaux ?

La solidarité avec la Grèce et la logique du soutien au projet Syriza par l’intégralité des politiques européennes imposaient un non massif dans l’Hémicycle cette après-midi…

Contrairement à cela, les décisions ont été prises, non pas pour sauver l’Euro des zones de turbulences dans lesquelles l’Eurogroupe s’est fourvoyé comme tentait encore tout récemment de nous le faire comprendre la société grecque dans son changement de majorité, il y a 5 mois lorsqu’Alexis Tsipras devenait chef du Gouvernement à Athènes et l’encore plus proche référendum demandé d’urgence pour savoir où il faudrait aller ; mais pour en consolider les systèmes d’exploitation, de prélèvements et de réductions des droits sociaux, des licenciements – jusqu’aux suicides, phénomène en augmentation constante certainement aussi lié à l’état des institutions européennes et de son fonctionnement économique…

Il n’aura donc pas été étonnant de constater avec amertume que nous n’avons eu droit qu’à des discours passéistes à la Tribune, centrés chacun sur la bunkérisation bancaire de l’€ !… Aucun tourné vers l’avenir, surtout pas celui de la Grèce, Monsieur le Premier ministre Manuel Valls !… Adoptées par les 4/5ème de l’Assemblée Nationale Française (seulement 69 Députés ont voté contre) et 2/3 du Parlement Grec, les exigences de Bruxelles confirment bien que le destin de la Grèce semble se décider ailleurs…

Des £ (anglaise et turque) des $ (US et canadien) et du RUB russe mais pitié cessez cette mise en scène € européenne DirectAN / Valls – PS !

Devinez : ils voteront oui à l’Assemblée Nationale pour éviter que le « projet Syriza » dans son ensemble ne contamine la bunkérisation bancaire de l’UE / BCE / CEE !

La Grèce sans les Grecs ?… toute une batterie d’institution internationale édicte la marche à suivre qui n’est pas adaptée…

Peut-être l’occasion, lors de la réouverture des banques grecques, d’organiser cela sous la forme d’une « Banque Mondiale Grecque du Péloponnèse » qui supplanterait avec 4 monnaies alliées à l’€, non pas l’« ennemi économique » mais l’organisation des prélèvements du système économique européen attaché à la BCE qui ne sert qu’à reproduire à l’infini les privilèges des prises d’intérêts illégales aux sommes faramineuses dont se vanteraient presque nos adulés traders qui travaillent à ce système qui essore les pays à coup de licenciements, de suicides, d’expatriation jusqu’à leur propre pays d’où ils viennent…

La France ouvre la voie pour que les « accords » de Bruxelles, concernant la participation de la Grèce dans l’économie européenne, soient acceptés de tous !… sauf par la société grecque qui est quand même la première concernée après OXI en Grèce ? Et suivront probablement les décisions du Bundestag et de la Finlande pour le système de l’UE tel qu’il édicte la conduite économique à suivre, tout en réussissant à décréditer inversement toute proposition de changement ou d’alternative à des modifications plus conséquentes des taux d’intérêts et des prises de bénéfices incontrôlées qui devraient être envisagés ?…

#DirectAN #BFMTV

#reseau_fdg #Mélenchon

#EuroSummit

BCE

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Attentif et circonspect François Hollande a-t-il su trancher ? (!)…

Qu’on ne s’imagine pas en Europe de l’Ouest, – là où frappe encore l’égocentrisme géopolitique et le nombrilisme géographique – que Tsipras ait baissé les bras et que son parti Syriza se divise… si des divisions se révèlent c’est que pris de cours et sans explications, Tsipras fut obligé de s’aligner (mais certainement pas de renoncer) en raison des insuffisances précédentes constatées par l’exercice législatif du pouvoir par des gouvernements antérieurs à Tsipras en Grèce… La résolution de l’impasse consistera à traduire par une nationalisation des services publics, ce que la CEE / BCE exigera de privatisation !… La question de l’économie grecque n’est pas dans les mains de l’Union européenne uniquement, cherche à nous faire comprendre l’économiste Eric Toussaint… Car cette structure institutionnelle, qui, au fur et à mesure qu’elle avance, verrouille les pouvoirs législatifs propre aux pays (28… 18+1) qu’elle gouverne !… L’habileté est bien dans les mains d’Alexis Tsipras et non pas dans les exigences démesurées de l’Ue affiliée en euro-zone d’un Eurogroup… Traduisant parfaitement l’égocentrisme géographique l’euro-zone‬ ne voit que sa monnaie et oublie la £ anglaise – les $ – le RUB russe et la TRY turque… Quatre solutions valent mieux q’une !… Quatre monnaies donc autour de ‪la ‎Grèce‬ dont on n’a pas entendu parler pendant une semaine de négociations et l’€ qui continue de faire le paon pour écraser de sa roue une Grèce qui n’avait pourtant encore rien commencé jusqu’ici !‪

Le MES‬ (Mécanisme Européen de Stabilité) devient le système de ‪‎politique‬ unique en ‪‎Europe‬… mais où est donc passée la ‪‎Démocratie‬ ?

Et dire qu’ils ont le culot de demander à  de démissionner, de quitter les lieus pour mieux jeter le projet à la corbeille !
Tsipras était venu chercher un compromis à , , Woerth, Juppé parlent de divisions pour briser la dynamique !
Mais Tsipras est la traduction internationale du capitalisme et l’expression de la volonté du changement du modèle économique !
 
n’a pas cédé il s’est tout simplement aligné sur ses créanciers… la suite de leur donner un peut moins raison !

Vous ne sauverez pas le européen ni le nationalisme, encore moins les droites animées par sa même extrême sur le dos de la  grecque !… en laissant ses comptes bancaires immatriculés au ‪‎Luxembourg‬ (Henri ‪‎Guaino‬ – ‪#‎itele‬) pendant que la ‪‎BCE‬ continue de toucher des intérêts !… La gestion européenne de la ‪‎Grèce‬ doit se faire en Grèce… pas 1/4 au Luxembourg 1/4 en Suisse 1/4 au Qatar et 1/4 en Israël…

L’allègement de la dette correspondrait-il à un indice d’évaporation fiscale ?… serait-ce un peu comme la pluie qui s’évapore avant de tomber au sol pendant les périodes de grosse canicule ?… Attentif et circonspect, François Hollande a su trancher !… coopérer avec Phillipot en ‪‎Europe (#BFMTVDirect)‬… je ne vois vraiment pas à quoi si ce n’est pour un bal de loufiats à Vienne supplémentaire…
On aurait dû réécrire le  en sens inverse, on s’en serait peut-être mieux sorti !
(Traité de Constitution Européenne présenté sous la forme référendaire)
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Extraits : http://cadtm.org/Une-alternative-est-possible-au
« Il faut une fois pour toutes faire payer les responsables de la crise bancaire, assainir en profondeur le secteur financier et le mettre au service de la population et de l’économie réelle.
(…) Les autorités grecques doivent réquisitionner la banque centrale.
(…) Les autorités grecques ont également la possibilité de créer une monnaie électronique (libellée en euro) à usage interne au pays.

D’autres mesures complémentaires, discutées et décidées d’urgence démocratiquement, sont bien sûr susceptibles de venir compléter ce premier dispositif d’urgence qui peut être résumé avec les cinq piliers suivants :
– la prise de contrôle par l’Etat des banques et d’une partie de la création monétaire,
– la lutte contre la fraude fiscale et la mise en place d’une réforme fiscale juste apportant à l’Etat les ressources nécessaires pour la mise en œuvre de sa politique,
– la protection du patrimoine public et sa mise au service de l’ensemble de la collectivité,
– la réhabilitation et le développement des services publics,
– le soutien à une initiative privée de proximité.

(…) En cas d’exclusion de la zone euro provoquée par les créanciers ou en cas de sortie volontaire de la zone euro, les mesures indiquées plus haut sont également adaptées, en particulier la socialisation des banques à l’instar de la nationalisation du système bancaire mis en France à la Libération (…) »

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… il faut quand même comprendre que sans François Hollande aux côtés d’Alexis Tsipras, en huis-clos face à Angela Merkel, les 70 milliards (86 pour les plus optimistes) de renouvellement de l’aide à la Grèce seraient peut-être restés au Luxembourg dans les mains d’un Bismuth européen !… ou seulement 50 ?… malgré cette règle financière si chère au bénéfice CEE / BCE, 50 milliards iront directement dans les banques grecques !… c’est aussi ça le ‪#‎CombatContreLaFinance‬ !…

Finalement on retombe là où ils en étaient (1/3 ou 2/3) à la différence près, qui n’est pas des moindre, que la fraction change de poche et ne reste pas comme elle l’était jusqu’à présent !… Passant d’un tiers « moins » à un deux tiers « plus » (50 de 70 ça fait bien un peu plus que 2/3 et 20 de 70, bien moins qu’un tiers !)… et si l’Union européenne remboursait sa dette sur les erreurs de ses constructions trop à droite ?

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Aufmerksam und vorsichtig hat François Hollande durchschneiden können !

Er ist notwendig, dennoch zu verstehen (einzuschließen), daß ohne François Hollande an den Seiten von Alexis Tsipras, im Huis-Weinberg angesichts Angela Merkel, die 70 Milliarden Erneuerung der Hilfe (Gehilfen) zu Griechenland ohne François Hollande an den Alexis Tsipras Seiten vielleicht in Luxemburg in den Händen europäischen Wismuts geblieben wäre !… Oder nur 50 ?… Trotz dieser finanziellen dem Vorteil (Gewinn) so teuren Regel (Lineals) EWG / werden BCE, 50 Milliarden direkt in die griechischen Banken gehen !… Ist das auch das eres Kampf Gegen Das Finanzwesen ? !…

Schließlich fällt man dorthin wieder, wohin sie daher (1/3 oder 2/3) für den Unterschied nah waren, der nicht des kleinsten ist, daß der Bruch die Tasche wechselt und nicht bleibt wie, sie war sie bis jetzt !… Passant eines Drittels « weniger » (« mindestens ») in ein zwei Drittel « mehr » (50 von 70 macht das etwas mehr 2/3 und 20 von 70, viel weniger gut, als ein Drittel !)… und wenn zahlte die Europäische Union ihre Schuld auf den Irrtümern ihrer Bauten sehr rechts zurück ?

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¡ Atento y circunspecto François Hollande supo cortar !

Hay que a pesar de todo comprender que sin François Hollande al lado de Alexis Tsipras, en puerta cerrada frente a Angela Merkel, los 70 mil millones de renovación (cambio) de la ayuda (ayudante) a Grecia posiblemente se habrían quedado en Luxemburgo en las manos de un Bismuto europeo ! ¿ O solamente 50 ?… ¡ A pesar de esta regla financiera tan cara por el beneficio CEE / BCE, 50 mil millones directamente irán en los bancos griegos ! ¿ … Es también esto él ? ¿ Combate Contra Las Finanzas ? !…

¡ Finalmente recaemos allí dónde estaban de allí (1/3 o 2/3) a la diferencia cerca, que no es la menor, que la fracción cambia de bolsillo y no se queda como le era hasta ahora!… Transeúnte (Presilla) de un tercio (tercero) « menos » a dos tercio « más » (¡ 50 de 70 esto hace bien un poco más que 2/3 y 20 de los 70, mucho menos que un tercio tercero !)… ¿ y si la Unión Europea reembolsaba su deuda sobre los errores de sus construcciones demasiado a la derecha ?

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Attentive and cautious François Hollande knew how to cut !

It is necessary to understand (include) all the same that without François Hollande beside Alexis Tsipras, in closed door in the face of (in front of) Angela Merkel, the 70 billion renewals of the help (assistant) to Greece would maybe have stayed in the Luxembourg in the hands of an European Bismuth! Or only 50 ?… In spite of this financial rule (ruler) so expensive to the profit EEC / ECB (EUROPEAN CENTRAL BANK), 50 billions will go directly to the Greek banks !… It is also that « Fight Against The Finance » ? !…

Finally we fall again where they were (1/3 or 2/3) for the difference near there, which is not the slightest, that the fraction changes pocket and does not stay how it was until now !… Passer-by of a third « less » in one two thirds « more » (50 of 70 that does well a little more than 2/3 and 20 of the 70, much less than the third !) … and if the European Union paid off its debt on the errors of its constructions too to the right ?

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La Grèce entrera peut-être enfin dans l’Union européenne ce week-end…

Tsipras

Avant lui ce n’étaient que des gouvernements aux orientations des droites majoritaires européennes englobées par le Ppe (Parti populaire européen) jusqu’aux sociaux-démocrates du PASOC qui étaient censés, dans le passé politique de la Grèce et bien avant la venue d’Alexis Tsipras, mettre en route les règles draconiennes inhérentes aux exigences des dernières mises à jour des Traités pouvant rendre fonctionnelle la « participation » à l’ensemble de l’Union européenne (mise à jour d’impôts sur les « sociétés », les armateurs ; l’église garde ses privilèges et perd son sens de la laïcité puisqu’ainsi elle échappe aussi à son sens originaire qui devrait être d’aider les pauvres en se soumettant à l’impôt général). Ainsi pourrions-nous presque constater que la Grèce, jusqu’à maintenant, tournait un peu en roue libre, sans suivre les réformes vers lesquelles s’orientaient les autres pays de la zone Euro… Mais, inversement, rien ne nous dit en retour que si la Grèce avait amorcé ses réformes plus tôt, elle n’aurait pas sombré dans une telle catastrophe économique ?… ce que ne confirmerons jamais les situations déficitaires dans lesquelles on retrouve aujourd’hui aussi les pays moteurs, poursuivant dans l’illusion leur persuasion derrière des « c’est le seul système économique qui puisse fonctionner en Europe », endettés par des crédits colossaux qu’ils ne rembourseront probablement jamais, eux non plus, à l’origine des motivations attractives pour la monnaie européenne qui permettaient d’attirer vers des orientations de gestionnaires les politiques majoritaires de toutes affiliations partisanes des 28 pays signataires, levés de toutes idéologie politique si ce n’est celle de la toute puissance capitaliste, du règne de la monnaie corruptrice incitant aux libres concurrences les plus déloyales les échanges mais certainement pas marchant vers une Europe égalitaire. Les salaires on presque été oubliés au cours de cette semaine de négociations – tout comme la question de la pêche reste engloutie – où semblerait s’engouffrer la goutte d’eau grecque en s’ouvrant au négoce européen invité à décider dimanche en sommet si l’avenir de la Grèce proposé lui convient !… Additionné d’une certitude déjà définitive qu’Alexis Tsipras a aussi eu le mérite ou le culot de montrer (c’est selon la position qu’on adopte sur la ligne de la démocratie, celle du « versant minoritaire » ou majoritaire), à savoir que l’idée Grexit d’une sortie définitive ou temporaire de la Grèce de l’Eurozone correspondrait à un suicide économique généralisé, doublé du risque nationaliste de l’exacerbation fasciste !

En tous cas, derrières les ambivalences d’une double difficulté liée à un passé perdu sur quoi les anciens gouvernements grecs n’ont jamais voulu s’aligner et l’originalité politique de l’arrivée inattendue d’Alexis Tsipras, celui-ci enclenche une double dynamique nouvelle : celle des peuples pour l’Europe insécable d’un retour de l’Europe sur les peuples… Quoi qu’en soit son avenir, il aura au moins montré avec le sourire l’ampleur des difficultés et les risques qui affectent non pas seulement la Grèce mais l’ensemble des pays européens qui ne se sépareront jamais de leur dette, aussi énorme que leur système économique le leur permet, représentative d’une certaine évaporation fiscale, toujours le fer de lance de tout un pan politique de représentants élus impliqués dans des affaires de corruption, battus un temps, décidés à des retours grandioses pour poursuivre ce dont logiquement personne ne devrait jamais plus vouloir… depuis Tsipras !  

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« La question n’est pas de savoir si le programme grec est crédible mais si Syriza l’est » posait un internaute par rapport au résultat de la confiance voté cette nuit et la vague de contestation des manifestations qui orchestrent toujours la protestation…

Politiquement Syriza l’est plus que jamais… Élu !… économiquement certainement moins puisque ce n’est pas la tasse de thé du capitalisme leur projet qui sert 10% des plus grosses fortunes au prix de nombreux licenciements, de mise en faillite de nombreuses entreprises, de déplacement des bassins d’emploi par des délocalisations qui permettent de faire de meilleurs bénéfices dans des pays « meilleurs marché »… Contrairement à ça, Tsipras a été élu pour servir le plus grand nombre… 100% de la population (quasiment les 9/10ème du Parlement grec le soutient, ce qui n’était jamais arrivé auparavant dans aucune Démocratie  européenne) avec une certaine idée sur la répartition des richesses et cette notion intangible qu’est devenue le CombatContreLaFinance !

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Grecia entrará por fin posiblemente en la Unión Europea este fin de semana …

Antes de él eran esto sólo gobiernos a las orientaciones de las derechas mayoritarias europeas englobadas por Ppe (Ido popular europeo) hasta los socialdemócratas del PASOC que eran considerados, en el pasado político de Grecia y bien antes de la llegada de Alexis Tsipras, poner en marcha las reglas drásticas inherentes a las exigencias de las últimas actualizaciones de los Tratados que podían hacerle funcional la « participación » al conjunto de la Unión Europea (Actualización de impuestos sobre las « sociedades », los armadores ; la iglesia guarda sus privilegios y pierde su sentido dirección de la laicidad ya que así escapa también de su sentido originario que debería ser ayudar a los pobres sometiéndose al impuesto general). Así casi podamosnos comprobar que Grecia, hasta ahora, giraba (filmaba) un poco en rueda libre, sin seguir las reformas hacia las cuales se orientaban otros países de la zona Euro… ¿ Pero, a la inversa, nada nos dice a cambio que si Grecia hubiera cebado (empezado) sus reformas antes, no habría zozobrado en una tal catástrofe económica ?… Lo que jamás confirmaremos las situaciones deficitarias en cuáles se encuentra (se recobra) hoy también los países motores, persiguiendo en la ilusión su persuasión detrás de « es el solo sistema económico que pueda funcionar en Europa », endeudados por créditos colosales que ellos también probablemente no reembolsarán jamás, al principio de las motivaciones atractivas para la moneda europea que permitían atraer hacia orientaciones de gestores las políticas mayoritarias de todas afiliación partidarias de los 28 países signatarios y levantados totalmente de ideología política si no es la de la toda potencia (fuerza) capitalista, del reinado (reino) de la moneda corruptora que incita a las libres competencias más desleales los intercambios pero ciertamente que no marchan hacia Europa igualitaria. ¡ Los salarios casi olvidado en el curso de esta semana de negociaciones – totalmente como la cuestión del melocotón (pesca) queda engullida – Donde parecería precipitarse la gota de agua griega abriéndose al negocio europeo invitado a decidir el domingo en cumbre si el futuro propuesto de Grecia le conviene !… ¡ Sumado (Añadido) por una certeza ya definitiva que Alexis Tsipras también tuvo el mérito o el casquillo (descaro) de mostrar (es según la posición según lo que se adopta sobre la línea de la democracia, la de la « ladera minoritaria » o mayoritaria), a saber que la idea Grexit de una salida definitiva o temporal de Grecia de la Eurozona correspondería a un suicidio económico generalizado y doblado (, duplicado) del riesgo nacionalista del exacerbación fascista !

En todo caso, retaguardia las ambivalencias de una dificultad doble atada (vinculada) a un pasado perdido que los antiguos gobiernos griegos jamás quisieron alinearse y la originalidad política de la llegada inesperada de Alexis Tsipras, éste engancha una dinámica doble y nueva : el de los pueblos para Europa insecable de una vuelta de Europa sobre los pueblos… ¡ Qué que sea su futuro, habrá mostrado por lo menos con la sonrisa la amplitud de las dificultades y los riesgos qué afectan (destinan) no solamente Grecia pero el conjunto de los países europeos que jamás se separarán de su deuda, tan enorme que su sistema económico se lo permite, representativa de una evaporación cierta y fiscal, siempre el hierro de lanza de todo un faldón político de representantes elegidos implicados en asuntos (negocios) de corrupción, pegados ( batidos) el tiempo, decididos a vueltas grandiosas para perseguir de lo que lógicamente nadie debería nunca más… querer desde Tsipras !

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« La cuestión no es saber si el programa griego es creíble sino si Syriza le es » ponía a un internauta con relación al resultado de la confianza votado esta noche y la ola de contestación de las manifestaciones que orquestan siempre la protesta…

Políticamente Syriza le es más que nunca… ¡ Elegido !… Económicamente ciertamente menos ya que no es la taza de té del capitalismo su proyecto que sirve el 10 % de las fortunas más gruesas para el precio(premio) de numerosos despidos, de postura quebrada de numerosas empresas, de desplazamiento de los estanques de empleo por deslocalizaciones que permiten hacer mejores beneficios en países « meilleurs marchado »… ¡ Contrariamente a esto, Tsipras ha sido elegido para servir el número más grande el 100 % de la población (casi 9/10 del Parlamento griego le sostiene, lo que jamás había llegado antes en ninguna Democracia europea) con una idea cierta sobre el reparto de las riquezas y esta noción intangible que se hizo CombatContreLaFinance !

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Greece will enter maybe finally the European Union this weekend …

Before him it was only governments in the orientations of the European majority rights included by Ppe (Left popular European) up to the social democrats of the PASOC that were supposed, in the political past of Greece and well before Alexis Tsipras’s coming, to start the drastic rules (rulers) inherent to the requirements of the last updates of Treaties which can make functional the « participation » to the whole European Union (Update of taxes on « companies » (« societies »), shipowners ; the church keeps (guards) its privileges and loses its direction of the secularism because so it also escapes its native sense which should be to help the poor people by submitting itself to the general tax). So we could almost notice that Greece, so far, turned (shot) little in free wheel, without following the reforms to which turned the other countries of the Eurozone… But, conversely, nothing tells us in return that if Greece had begun (primed) its reforms earlier, it would not have sunk into such an economic disaster ?… That shall never confirm the overdrawn situations in which we find also the driving countries today, pursuing in the illusion their persuasion behind « it is the only economic system which can work in Europe », put into debt by colossal credits which they will pay off probably never, neither do they, at the origin of the attractive motivations for the European currency (change) which allowed to attract towards administrators’ orientations the majority politics of any partisan memberships of 28 signatory countries, raised by quite political ideology if it is not the one of the any capitalist power, the reign of the corrupting currency (change) inciting to the most unfair (disloyal) free-market economies the exchanges but certainly not walking (working) towards egalitarian Europe. Salaries one almost forgotten during this week of negotiations – just like the question of the peach (fishing) remains gobbled up – where would seem to rush the Greek drop of water by opening to the European trade invited to decide on Sunday in summit if the future of Greece proposed suits them ! … Added by an already definitive certainty that Alexis Tsipras also had the merit or the nerve (cap) to show (it is according to the position that we adopt on the line of the democracy, that of the « minority hillside » or majority), namely that the idea Grexit of a definitive or temporary exit (release) of Greece of the Eurozone would correspond to an economic suicide generalized, doubled by the nationalist risk of the fascist exacerbation !

In any case, backs the ambivalences of a double difficulty bound (connected) to a past lost with which the former (old) Greek governments have never wanted to align themselves and the political originality of Alexis Tsipras’s unexpected arrival, this one engages a double new dynamics : that of the peoples for indivisible Europe of a return of Europe on the peoples… Whatever is its future, them will have shown at least with the smile the scale of the difficulties and the risks which affect (allocate) not only Greece but all the European countries which will never part from their debt, so enormous as their economic system allows it them, representative of a certain fiscal evaporation, always the spearhead of a whole representatives’ political piece elected implied (involved) in corruption cases, beaten one time, decided in grand returns to continue what logically nobody should ever want… since Tsipras !

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« The question is not to know if the Greek program is credible but if Syriza is credible » put an Internet user with regard to (compared with) the result (profit) of the confidence (trust) voted this night and the wave of contesting of the demonstrations (appearances) which always orchestrate the protest…

Politically Syriza is credible more than ever… Elected !… Economically certainly less because it is not the cup of tea of the capitalism their project which is of use 10 % of the biggest fortunes to the price of numerous redundancies (dismissals), bankrupt putting of numerous companies, travel (movement) of labor pools by relocations which allow to make better profits in countries « meilleurs (best) walked (worked) »… Contrary to that, Tsipras was elected to serve the largest number 100 % of the population (almost 9/10th of the Greek Parliament supports him, what had never arrived previously in any European Democracy) with a certain idea on the wealth distribution and this inviolable notion that became CombatContreLaFinance !

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Griechenland wird vielleicht schliesslich in die Europäische Union dieses Wochenende hineingehen …

Vor ihm nur Regierungen in den Orientierungen der europäischen von Ppe eingeschlossenen Mehrheitsrechten (europäisch volkstümlich-populär Gegangen) bis zu den Sozialen, waren eben Demokraten des PASOC, in der politischen Vergangenheit von Griechenland und viel früher die Ankunft von Alexis Tsipras betrachtet, in den Weg die innewohnenden drakonischen Regeln (Lineale) den Forderungen der letzten Aktualisierungen der Verträge zu legen, die die « Teilnahme » an der Gesamtheit der Europäischen Union funktional machen können (Aktualisierung von Steuern auf den « Gesellschaften », den Reedern ; die Kirche behält ihre Vorzüge und verliert ihren Richtung des Laizismus, weil sie so auch ihrem stammenden Sinn entgeht, der darin bestehen sollte, den Armen zu helfen, sich der allgemeinen Steuer fügend). So k wir uns fast feststellen, daß Griechenland, bisher, etwas im Freilauf drehte, ohne den Reformen zu folgen, zu denen sich die anderen Länder der Zone Euro orientierten… Aber, hingegen, sagt nichts uns im Gegenzug, daß, wenn Griechenland seine Reformen früher angefangen hatte, es in einer solcher wirtschaftlichen Katastrophe nicht versunken wäre ?… Daß die defizitären Situationen niemals bestätigen werden, in denen man heute auch die motorischen Länder wiederfindet, in der Illusion ihre Überzeugung hinter verfolgend (fortsetzend) « ben das einzige Wirtschaftssystem kann in Europa funktionieren », durch kolossale Kredite (Vertrauen) in Schulden gestürzt, die sie wahrscheinlich niemals, sie auch, am Anfang der anziehenden Motivierungen für das europäische Geld zurückzahlen werden, die erlaubten, zu Orientierungen von Geschäftsführern die Mehrheitspolitiken (Mehrheitspolitiker) aller Beitritte Anhängerinnen der 28 Länder Unterzeichner anzuziehen, die durch ganz politische Ideologie gehoben sind, wenn das dasjenige der jeder Macht Kapitalist (Kapitalistin), der Herrschaft des verderblichen Geldes nicht ist, die zu den am meisten unredlichen freien Wettbewerben den Austausch ermuntert sondern sicherlich nicht, der zu egalitärem Europa geht. Die Gehälter man fast, wer im Laufe dieser Verhandlungswoche vergessen gewesen ist – Ganz wie die Frage des Pfirsiches( Fischfanges) bleibe verschlungen – Wo der griechische Wassertropfen sich zu stürzen schiene, sich auf den europäischen Handel öffnend, der eingeladen ist, am Sonntag in der Spitze (Gipfel) zu entscheiden, ob zu ihm die Zukunft von Griechenland, die vorgeschlagen ist, passt !… Durch eine schon endgültige Gewißheit hinzugefügt (zusammengezählt), daß Alexis Tsipras auch das Verdienst oder den Sockel (Mut) gehabt hat, zu zeigen (eben nach der Lage nimmt man auf der Linie der Demokratie, diejenige des « Minderheitsabhanges » oder mehrheitlich an), nämlich entspräche die Idee Grexit eines endgültigen oder vorläufigen Verlassens (Ausfuhr) von Griechenland der Eurozone einem wirtschaftlichen Selbstmord, der verallgemeinert, durch das nationalistische Risiko der faschistischen Verschärfung verdoppelt ist !

In allen Fällen, Rückseiten die Ambivalenzen einer doppelten mit einer Vergangenheit verbundenen Schwierigkeit verloren, wonach die alten (ehemaligen) griechischen Regierungen sich haben niemals richten wollen und die politische Originalität (Ursprünglichkeit) der unerwarteten Ankunft von Alexis Tsipras, dieser klinkt eine doppelte neue Dynamik ein : diejenige von Völkern für unteilbares Europa einer Rückkehr von Europa zu den Völkern… Was seine (ihre) Zukunft auch immer ist, wird er mindestens mit dem Lächeln den Umfang der Schwierigkeiten und der Risiken gezeigt haben, die Griechenland aber Gesamtheit der europäischen Länder nicht nicht nur bestimmen, die sich von ihrer Schuld niemals trennen werden, die ebenso riesig ist, wie es ihnen ihr Wirtschaftssystem, einiger steuerlicher Verdampfung, immer das Zugpferd eines ganzen politischen Teiles (Zipfels) von den gewählten Vertretern repräsentativ, in Bestechungsgeschäfte verwickelt, Zeit (Wetters) geschlagen, in großartiger Rückkehr beschlossen, erlaubt, um das zu verfolgen (fortzusetzen), wovon niemand logischerweise seit Tsipras jemals wollen sollte !

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« Die Frage besteht nicht darin, zu kennen, ob das griechische Programm glaubhaft ist aber ob er Syriza ist » stellte einen Internet-Benutzer im Vergleich zu Ergebnis des Vertrauens, das diese Nacht angenommen ist und die Welle von Bestreiten der Äußerungen (Veranstaltungen), die immer den Protest orchestrieren…

Politisch ist Syriza er mehr denn je… Gewählt !… Wirtschaftlich sicherlich weniger (mindestens), weil eben ihr Projekt keine Teetasse des Kapitalismus 10 % der größten Vermögen (Schicksale) zum Preis von zahlreichen Entlassungen, vom zahlungsunfähigen Legen zahlreicher Unternehmen, vom Umstellen der Arbeitsbecken von Auslagerungen dient, die erlauben, bessere Vorteile (Gewinne) in den Ländern zu machen « besser gegangen »… Im Gegensatz dazu ist Tsipras gewählt gewesen, um die größte Zahl 100 % der Bevölkerung zu bedienen (fast, des griechischen Parlamentes 9/10. stützt ihn, was vorher in einer europäischen Demokratie niemals angekommen war) mit einiger Idee auf der Güterverteilung und diesem unberührbaren Begriff, wie CombatContreLaFinance geworden ist !

Le Train (film 1973)

LeTrainGranier-Deferre

Pierre Granier-Deferre établit un film en temps réel !… J’aime bien les films en temps réel où on sent peser sur les consciences toute la lourdeur de l’occupation, la vacuité des allées et venues des personnages saisis dans ce qui leur arrive de la guerre, la marche aux dénonciations, la difficulté d’être… Un Trintignant partant dans un missionnaire sceptique et une Romy Schneider enlacés avec l’éternité dans un couple mémorable pour cette scène d’amour à l’oubli des peines que sèchera plus tard définitivement un responsable du bureau de l’immigration collabo filtrant les étrangers en provenance de Belgique ! Une scène de « rire », de l’hystérie du rire non moins mémorable ou ontologique, montre à l’aide de coupures médias d’époque (les Actualités), tout le talent cinégénique de Pierre Granier-Deferre dont le cinéma ne cesse d’osciller entre le fou-rire de la rigolade et les larmes de la tristesse… Il ne fait pas rigoler Hitler qui rigole déjà mais parvient à faire pleurer des personnages qui rigolaient en se réjouissant du si beau pays d’accueil qu’aurait pu être la France mais son implication dans la guerre va faire tourner le reste de leur vie en cauchemar…

Hors classe ou classe supérieure du film social sur la seconde guerre Mondiale, petit village et gens tout cru du terroir – Le Train (film 1973) de Pierre Granier-Deferre pose des personnages en résistance ou dans la Résistance des Déportés (Exode) ?… vibrant hommage aux Camarades cheminots (omniprésence du rail en trame au scénario) que magnifièrent avec Granier-Deferre, un Jean Renoir avec beaucoup d’amour aussi en 1938 dans La Bête Humaine et Jean Gabin ; un sens militaire plus aigu chez un René Clément perturbateur avec La bataille du rail de 1945  et le caractère plus complet du Train de John Frankenheimer et Bernard Farrel qui réunit Michel Simon et Burt Lancaster autour d’une palette d’acteurs qui appartient à l’histoire du cinéma (1964)… Rien à voir tout ça avec un quelconque Crime de l’Orient Express ou Le Mecano de la General d’un Buster Keaton, tous deux également en rapport avec les chemins de fer !… Ne pas confondre avec le Mécano de la Génrale, un remake porno pour gigolo avec Angela Merkel et DSK qui n’existe pas… une autre époque !

LeTrain1973

Une Grèce en pleine naissance !

Tsipras est la traduction internationale du capitalisme et l’expression de la volonté du changement du modèle économique pour l’instant raté par François Hollande mais relancé par cet intense moment de démocratie que la matinée parlementaire européenne avait suscité d’hystérie chez Verhofstadt, de courtoisie chez Martin Schulz et de précision chez Pablo Iglesias. Jusqu’à présent, Alexis Tsipras a très justement été identifié aux jeux du « cirque » ou comme un « coup de poker » par les médias ou des personnalités politiques ce que la Communauté Économique Européenne ne pouvait accepter sans jamais un seul instant se demander si ce n’était pas là, la somme de tous ces accords – depuis le Traité de ROME, de Maastricht, de Constitution Européenne, de Lisbonne, amenés tous à servir cette « majorité européenne » outrancière bien à droite, qui a toujours été à droite si ce n’est pas plus à droite dure qu’à l’extrême – qui triche ainsi aux cartes ou s’entête à dresser comme des bêtes de somme des pays hors-concours ou hors-compétition (pas suffisamment maffieux) ?… Des petits pays comme la Grèce qui ont des économies un peu moins prestigieuses que celles des leaders qui dirigent la CEE / BCE… Petits pays qui ne vendent pas beaucoup de matériel militaire et surtout pas de centrales nucléaires n’en sont pas moins exemplaires dans la tenue de leur économie intérieure de marché !… Rappelons que la Grèce est en tête en matière de réduction des déficits publics et vous aurez compris qu’à l’intérieur de la Grèce ça fonctionnerait bien mais que c’est dans ses rapports avec l’extérieur, dans ce que demande la BCE, que le fonctionnement paraît moins évident…

Jusqu’à ce qu’on nous annonce que finalement ce serait une équipe d’intervenants du Ministère des Finances français lui-même qui élaborerait avec finesse le texte adéquat, telles que les exigences de l’Union européenne le souhaitent, qui permettrait d’apporter assez d’éléments concrets pour juger suffisamment solides les réformes nécessaires qui puissent permettre à la Grèce de rester parmi les membres de l’Eurozone et d’ainsi bénéficier toujours de l’appui de la BCE pour relancer son économie… Faire payer l’impôt aux armateurs et au clergé, c’est aussi ça la laïcité ! Que l’Union européenne demande que cela soit effectué tombe sous le bon sens… Que jusqu’ici ça n’avait jamais été fait surprendrait mais n’implique pas obligatoirement que le vatican va ouvrir ses coffres pour autant !… Une augmentation de la TVA relancera plus facilement la pure tactique politicienne de la mauvaise foi pour l’opposition à Tsipras et à une Union européenne de la gauche, favorisera les palabres inutiles et relancera la majorité européenne à droite dans la poursuite de ses tentatives de déstabilisation pour décrédibiliser le projet Syriza…

Mais pour l’instant, quoi qu’en soient les aides supplémentaires accordées destinées à ne pas faire sombrer vers la sortie de l’Europe l’économie grecque dont seul, un versant de la démocratie seulement, propose et serait favorable au Grexit, les corps politiques semblent diviser et se jouent du « oui » ou du « non » comme on calque son orientation politique sur un schéma économique, sans rien bousculer ni vouloir changer…  On a vu un Juppé poser clairement son choix, ne pouvant résister à l’envie de nous révéler sur quel pieds se pourrissait sa droite en sa même extrême… No exit Grexit !… À l’heure où en est la Grèce, le plus important est quand même que si le Combat contre la Finance n’y est pas clairement adjoint (chaque cents doit être tracé) et pour lequel sans doute, Tsipras a aussi un peu été élu ; ce ne sera que partie remise vers plus de stabilité ou un tremplin supplémentaire à multiplier à nouveau le principe de l’évasion fiscale, de la corne-notation… Continuer ainsi de pratiquer la survie bancaire avant les bouches à nourrir n’empêchera jamais d’autres pays européens à sombrer de la même façon !

Eurozone

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¡ Grecia en nacimiento pleno!

Tsipras es la traducción internacional del capitalismo y la expresión de la voluntad del cambio del modelo económico por el momento fallado por François Hollande pero reactivado por este intenso momento de democracia que la mañana parlamentaria europea había suscitado de histerismo en casa de Verhofstadt, de cortesía en casa de Martin Schulz y de precisión en casa de Pablo Iglesias. ¿ Hasta ahora, Alexis Tsipras ha sido identificado muy justamente a los juegos del « circo » o como un « golpe de póquer » por los medios de comunicación o las personalidades políticas lo que la Comunidad Económica europea jamás podía aceptar sin un solo instante preguntarse si esto todos no era allí, la suma de todos estos acuerdos – desde el Tratado de ROMA, de Maastricht, de Constitución europea, de Lisboa, traídos que sirven esta « mayoría europea » exagerada muy a la derecha, que siempre fue a la derecha si esto no es dura más a la derecha que al extremo – que hace trampas así a las tarjetas (mapas) o se empeña en levantar como bestias de carga de los países fuera de concurso o fuera de competición (no bastante mafioso) ?… Pequeños países como Grecia que tienen economías un poco menos prestigiosas que las líderes que dirigen la CEE / BCE… ¡ Pequeños países qué no venden mucho material militar y sobre todo ningunas centrales nucleares son menos ejemplares de allí en la postura de su economía interior de mercado !… Recordemos que Grecia está en cabeza en materia de reducción de los déficit públicos y usted habrá comprendido que dentro de Grecia esto funcionaría bien pero el que es en sus informes (relaciones) con exterior, en lo que pide el BCE, que el funcionamiento parece menos evidente…

Hasta que se nos anuncie que finalmente esto mismo sería un equipo de interventores del Ministerio francés de las Finanzas el que elaboraría con finura el texto adecuado, tales como las exigencias de la Unión Europea lo desean, el que permitiría aportar bastantes elementos concretos para considerar bastante sólidas las reformas necesarias que puedan permitir a Grecia quedarse entre los miembros de la Eurozona y gozar así siempre del apoyo del BCE para reactivar su economía… ¡ Hacer pagarles el impuesto a los armadores y al clero, es también esto la laicidad ! Qué la Unión Europea pida que esto sea efectuado tumba bajo el sentido común… ¡ Que hasta aquí esto jamás había sido hecho sorprendería pero obligatoriamente no implica que vaticano va a abrir sus cajas de caudales (arcas) por eso !… Un aumento del IVA reactivará más fácilmente la táctica pura política de la mala fe para la oposición a Tsipras y a una Unión Europea de la izquierda, favorecerá ellos (ellas) palabreas inútiles y reactivará la mayoría europea a la derecha en la persecución de sus tentativas de desestabilización para desacreditar el proyecto Syriza…

Pero por el momento, que que sean las ayudas (ayudantes) suplementarias concedidas destinadas a no hacer zozobrar hacia la salida de Europa la economía griega de la que sólo, una ladera de la democracia solamente, propone y estaría favorable Grexit, los cuerpos políticos parecen dividir y se juegan de « sí » o « no » de como calcamos su orientación política sobre un esquema económico, sin revolver nada ni querer cambiar… Vimos Juppé poner claramente su elección, no pudiendo resistir a la envidia (ganas) de revelarnos sobre cuál pies se pudría su derecha en su hasta extrema… ¡ Núm. exit Grexit !… Cuando es Grecia, más importando es a pesar de todo que si el Combate contra las Finanzas claramente no es añadido a eso (cada cien debe ser trazado) y para el cual sin duda, Tsipras ha sido elegido tan un poco ; sólo habrá salido aplazado hacia más estabilidad o un trampolín suplementario a multiplicar de nuevo el principio de la evasión fiscal, del cuerno-notación… ¡ Continuar así practicando la supervivencia bancaria antes de las bocas que alimentar jamás impedirá otros países europeos zozobrar del mismo modo !

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Greece in full birth!

Tsipras is the international translation of the capitalism and the expression of the will of the change of the economic model at the moment missed by François Hollande but boosted (relaunched) by this intense moment of democracy which the European parliamentary morning had aroused of hysteria at Verhofstadt, courtesy at Martin Schulz and precision at Pablo Iglesias. Until now, Alexis Tsipras was identified very exactly with the games (sets) of the « circus » or as a « gamble » by the media or the political personalities what the European Economic Community could not agree without ever single moment to wonder if it was not there, the sum of all these agreements – since the Treaty of ROME, Maastricht, European Constitution, of Lisbon, brought all to serve this « European exaggerated majority » very to the right, that was always to the right if it is not hard more to the right than extremely – which so cheats to cards (maps) or persists in raising (drawing up) as beasts of burden of countries outside the competition or except (off) competition (not enough maffioso) ?… Small countries as Greece which have savings (economies) a little less prestigious than those of the leaders who manage the EEC / ECB (EUROPEAN CENTRAL BANK)… Small countries which do not sell many military material (equipment) and especially no nuclear power plants are not not less exemplary in the holding (dress) of their internal economy of market there !… Let us call back (remind) that Greece is in the lead regarding reduction of the public deficits and you will have understood that inside Greece that would work well but that it is in its reports (relationships) with the outside, in what asks the ECB (EUROPEAN CENTRAL BANK), that the functioning seems less obvious…

Until we announce us that finally it would be participants’ team of the French Very Ministry of Finance who (which) would develop with sharpness (delicacy) the adequate text, such as the requirements of the European Union wish it, who would allow to bring enough concrete elements to consider enough solid the necessary reforms which can allow Greece to stay among the members of the Eurozone and to benefit so always from the support of the ECB (EUROPEAN CENTRAL BANK) to restart its economy… To charge the tax to the shipowners and to the clergy, it is also that the secularism ! That the European Union asks that it is made grave under the common sense… That up to here that had never been made would be a surprise but does not imply (involve) necessarily that Vatican is going to open its safes (chests) for all that !… An increase of the VAT will boost (relaunch) more easily the pure politicking tactics of the bad faith for the opposition to Tsipras and to an European Union of the left, will favor them palaver useless and will boost (relaunch) the European majority to the right in the pursuit (continuation) of its attempts of destabilization to discredit the Syriza project…

But at the moment, whatever are the granted (tuned) additional helps (assistants) intended not to make, towards the exit (release) of Europe, the Greek economy sink a hillside of the democracy of which only, only, proposes and would be favorable to Grexit, body politics seem to divide and deceive « yes » or « no » as we trace his political orientation on an economic plan, without pushing aside (knocking down) anything nor wanting to change… We saw Juppé putting clearly its choice, not being able to resist the desire (envy) to reveal us on what feet rotted its right in his even extreme… No. exit Grexit!… When is Greece, the most mattering is all the same that if the Fight against the Finance is not clearly added to it (every hundred must be drawn) and for whom doubtless, Tsipras was so a little elected ; it will have only left put back (handed) towards more stability or an additional springboard to multiply again the principle of the tax evasion, the horn-notation… To continue so to practise the banking survival before mouths to be fed will never prevent other European countries from sinking in the same way !

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Griechenland mitten in Geburt !

Tsipras ist die internationale Übersetzung des Kapitalismus und der Ausdruck des Willens der Veränderung des wirtschaftlichen Modells zur Zeit, das von François Hollande verpasst aber durch diesen starken Moment von Demokratie wieder aufgenommen ist, den der europäische parlamentarische Vormittag Hysterie bei Verhofstadt, Höflichkeit bei Martin Schulz und Genauigkeit bei Pablo Iglesias verursacht hatte. Bis jetzt ist Alexis Tsipras sehr genau in den Spielen (Satz) des « Zirkus » identifiziert gewesen oder wie ein « Schlag von Schüreisen » von den Massenmedien oder den politischen Persönlichkeiten, was konnte die Europäische Wirtschaftsgemeinschaft ohne jemals einen einzigen Augenblick sich zu fragen nicht annehmen, ob die Summe von allen diesen Vereinbarungen – seit dem Vertrag von ROM, von Maastricht, von der europäischen Bildung (Konstitution), von Lissabon, gebracht alle nicht eben da, diese « europäische übertriebne Mehrheit » (Volljährigkeit) viel rechts zu bedienen, immer rechts gewesen ist, ob das mehr rechts nicht hart ist, als bis zum Äußersten – das so in den Karten betrügt oder sich versteift, wie Lasttiere der Länder außer Wettbewerb oder außer Wettbewerb aufzustellen (nicht genug mafios) ?… Die kleinen Länder wie Griechenland, die etwas weniger glanzvolle Ersparnisse haben als diejenigen von Führern, die (was) die EWG leiten / BCE… Die Kleinen Länder, die nicht vielen Heeresbestand verkaufen und vor allem sind kein Atomkraftwerke daher im Anzug (Haltung) von ihrer Marktbinnenwirtschaft (Marktbinnensparsamkeit) weniger vorbildlich !… Erinnern wir, daß Griechenland vorn auf dem Gebiet der Verminderung der öffentlichen Defizite ist und Sie werden verstanden haben, daß das innerhalb Griechenlandes wirklich funktionierte aber daß das in seinen Berichten (Beziehungen) mit dem Äußeren, darin ist, wonach die BCE fragt, daß das Funktionieren weniger offensichtlich zu sein scheint…

Bis man uns ankündigt, daß das schließlich eine Mannschaft Beteiligter des französischen Finanzministeriums selbst wäre, was mit Feinheit den angemessenen Text ausarbeitete, so wie es die Forderungen der Europäischen Union wünschen, das erlaubte, genug konkrete Elemente zu bringen, um über die notwendigen Reformen für fest (solide) genug zu halten, die in Griechenland erlauben können, unter den Mitgliedern (Gliedern) der Eurozone zu bleiben und so immer von der Stütze der BCE zu profitieren, um ihre Wirtschaft (Sparsamkeit) wieder aufzunehmen… Die Steuer den Reedern und der Geistlichkeit bezahlen zu lassen, das ist auch das der Laizismus ! Daß die Europäische Union bittet, daß das Grab unter dem gesunden Menschenverstand ausgeführt ist… Daß das bis hierher niemals gemacht gewesen war, überraschte aber bedeutet unbedingt nicht, daß der vatican seine Kisten dafür öffnen wird !… Eine Vermehrung des MEHRWERTSTEUERS wird die reine Taktik Politikerin der Unaufrichtigkeit für den Gegensatz (Opposition) zu Tsipras und zur Europäischen Union der Linke leichter wieder aufnehmen, wird das nutzlose Palaver unterstützen und wird die europäische Mehrheit (Volljährigkeit) rechts in der Verfolgung ihrer Destabilisierungsversuche wieder aufnehmen, um das Projekt Syriza zu diskreditieren…

Aber zur Zeit, was die gewährten (vereinbarten) zusätzlichen Hilfen, die vorgesehen sind, auch immer sind, zum Verlassen (Ausfuhr) von Europa die griechische Wirtschaft (Sparsamkeit) nicht versinken zu lassen, deren Abhang der Demokratie nur allein, vorschlägt und für Grexit günstig wäre, die politischen Körper scheinen zu teilen und werden « ja » oder « keines » gespielt, wie man seine (ihre) politische Orientierung auf einem wirtschaftlichen Schema durchpaust, ohne etwas anzustoßen, noch, ändern (sich verändern) zu wollen… Man hat Juppé klar seine Auswahl stellen sehen, sich in der Lust (Neid) nicht widersetzen könnend, uns zu zeigen, auf welchem sich seine Rechte in ihr sogar extrem Füße verdarb… Nr. exit Grexit !… Wenn Griechenland ist, das am meisten bedeutet, ist, dennoch, daß, wenn dazu der Kampf gegen das Finanzwesen klar nicht hinzugefügt ist (soll jeder hundert gezeichnet sein) und für den zweifellos, Tsipras genauso ein wenig gewählt gewesen ist ; das wird zu mehr Stabilität oder einem zusätzlichen Sprungbrett gegangen sein nur zu vermehren erneut das Prinzip der Steuerflucht, des Hornes-Zeichenschrift eingereicht… So fortzusetzen, das bankgeschäftliche Überleben vor den zu nahrhaft seienden Mündern auszuüben, wird die anderen europäischen Länder niemals hindern, auf dieselbe Weise zu versinken !

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Sapin – Macron : la Grèce pin-pon !

Comme si ce n’était pas déjà suffisamment effarent de constater à quel point les membres CEE / BCE, globalement à droite politiquement, s’entêtent avec véhémence, mais parfois aussi pas mal d’imbécilité, à se sentir dans l’obligation de définir selon eux, la manière dont la démocratie politique et économique de la Grèce doit se dicter ; faut-il encore aussi leur laisser la responsabilité d’en décider la manière dont elles doivent se décliner… Ça donne pas mal d’aisance à Michel Sapin, carrément au-dessus de tout ou nous parlant d’une réalité par énigme (ce n’est pas très euclidien : Euclide !) ; pour Macron, ça sombrerait presque dans le sordide politique mais comme il provient d’un moule politique assez indéfini – il n’est pas au PS, pas moins qu’il ne soit anticapitaliste ou écologiste – il y a de forte chances pour qu’il poursuive sur sa lancée en multipliant ce genre de connerie et d’amalgame indigeste… Rappelons-lui que « gauche de la gauche » ou « extrême gauche » ne veut rien dire puisqu’ils ramènent à une gauche analytique issue des luttes sociales historiques basées sur des engagements politiques clairement définis qui ont une trace dans l’histoire… Encore moins aura-t-il, ensuite, l’envie de mépriser ce qui pour lui n’est certainement que du gauchisme alors qu’il s’agit d’une « gauche » à laquelle Jaurès lui-même a participé… les utilisant peut-être mais certainement pas en les méprisant comme l’ont fait Macron par la confusion des extrêmes et Sapin en prenant, comme pour le TCE, le résultat des urnes pour un moins que rien. Comme si les urnes pouvaient mentir (?)… Grande et fondamentale différence d’avec les sauces dém’ d’aujourd’hui !… Le socialisme classique, suivant l’usure du temps et le manque d’idées, deviendrait-il « pompier » dans l’art qui lui est si particulier, de satisfaire son opposition plutôt que son parti ! ?

En conséquence de quoi, la politique du « versant minoritaire » AltermondialisteAnticapitalisteAnarchiste doit passer sur l’économique de l’« option majoritaire Socialiste » posée sur la ligne d’un cinquantième démocratique qu’elle transforme rapidement en 4/5ème despotique dès-lors que le PS se satisfait de sa simple élection au SuffrageUniversel ; l’Écologie appartenant dorénavant à tout le monde… À preuve du contraire, les bourdes pitoyables lancées lamentablement à la criée qui ne peuvent que déconsidérer la Grèce dans nos esprits et le fort intérieur de sa souffrance, comparant, pour Macron, le Syriza à de la contestation d’extrême-droite made in Fn (le parti « Franco-Français) alors que Tsipras est au gouvernement, qu’il a été élu et qu’il n’en est plus à de la simple protestation. Il est le représentant d’un versant minoritaire de la démocratie ayant réussi à arracher la majorité électorale ; quant à Sapin, c’est encore plus le délire ou relève de la moquerie des seigneurs puisque malgré les 60% de « non », il reste persuadé que la dynamique reste du côté du « oui » !… Soit il ne sait pas lire les résultats électoraux, soit il faut lui faire un dessin !… Macron dans le résultat se fait le publiciste de l’extrême et Sapin rassure sa moitié de militants voués à sa cause… Si c’était pour placer le mot « dynamique », il aurait mieux fait d’utiliser celui de « choix » pour carrément avoir l’air idiot, ce qui aurait été plus conforme aux réalités de sa politique économique et de la considération qu’il aurait éventuellement encore pour la catastrophe grecque.

Je compare la Grèce à l’Allemagne où on remonte à 1945 lorsque la Guerre mondiale cessait pour constater le même niveau de pauvreté dans les deux pays, l’un occupé, l’autre occupant… Dévastée et libérée, le temps n’aura décidément pas comblé la différence… La Grèce ne pèse pas bien lourd puisqu’elle ne vent pas d’armes, ni les centrales nucléaires mais grâce au ciel, elle s’épargne le marché d’avions de chasse militaires qui seraient incapables de décoller, par contre ils font des plus-values sur le tourisme jusqu’à l’épuisement… Son monde agricole devant être au niveau du notre, hors grande industrialisation agricole, voire en-dessous… Vraiment pas de quoi plaisanter… Aujourd’hui ils devraient être pour le remboursement d’une dette grecque, certes, mais au prorata uniquement des investissements effectifs retrouvés dans l’économie sur le terrain sous la forme des liquidités réelles ayant été mises en circulation qui ne sont évaluées qu’à 1/3… Les 2 autres 1/3 sont restés malheureusement aux mains des banques pour nourrir les marchés spéculatifs, alimenter de l’évaporation fiscale derrière les commissions que se prennent au passage nos adulés traders européens du « marché commun » et chaque fois ils recommencent à alimenter les banques mais pas les populations… C’est pour le moins étrange…

Non de Zeus !

GROXI

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« Les régionales rapprochent Verts et Front de gauche »

Le Monde | 04.07.2015 à 08h10 | Par Raphaëlle Besse Desmoulières et Gilles Rof

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/07/04/les-regionales-rapprochent-verts-et-front-de-gauche_4670028_823448.html

Ce qui est effectivement encourageant sous cette optique des régionales c’est qu’il semblerait que nous ayons enfin compris qu’à l’intérieur du bloc de toutes les gauches, nombreux seront ceux dorénavant qui se regrouperont autour des deux versants, le « majoritaire » et le « minoritaire », en constante évolution sur la ligne du 1/50ème démocratique… Dans cette architecture, il est presque paradoxal, voire même incompréhensible de constater que des formations politiques comme EELV, Europe Écologie / Les Verts – la différence est fondamentale car elle ouvre la problématique des élections intérieures (régionales, départementales ou présidentielles) différenciées des élections extérieures que sont les européennes – et le PSE (Parti Socialiste Européen) maintiennent leur soutient au versant majoritaire socialiste classique alors qu’au niveau extérieur européen ces flancs de la majorité sont en réalité « minoritaires » puisqu’au plan de l’Europe, le socialisme et la gauche en général sont fortement minoritaires, submergés par le Ppe… Ce qui logiquement devrait impliquer que leurs orientations (PSE et Europe Écologie) se tournent pour l’occasion (élections extérieures européennes ou intérieures régionales) vers le versant minoritaire représenté par la Gauche unitaire européenne/Gauche verte nordique GUENGL plus à même de contrer l’austérité et de prévenir les crises économiques !… Et non pas rester ancrés à ce versant « majoritaire » de la gauche « socialiste » (Libéral – Social – Démocrate) classique… majoritaire jusqu’à 70% au sortir du vote interne sur la consultation des idées lors des dernières motions… ce qui laisse, à l’hypothèse du « bloc de toutes les gauches », un versant minoritaire qui, si il reste basé sur l’indice des 1/50ème démocratiques, assure aux autres partis appartenant à ce bloc d’ensemble des gauches, une existence réelle au tiers, actuellement ! (30%) !… Altermondialiste – Communiste – Anarchiste !

GUE_NGL

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➣➤ versant / dynamique / option / courant « majoritaire » :

PS / PSE – RadicauxDeGauche – EuropeÉcologie / Les Verts – …

➣➤ versant / dynamique / option / courant « minoritaire » :

GUE/NG – PCF – Ensemble / FrontDeGauche ; PG – NPA / LO… OCL / AL…

FA / CNT…

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« Que viva !… Que viva !… Syriza ! »

La ‪‎politique‬ du « versant minoritaire » Altermondialiste – Anticapitaliste – Anarchiste doit prendre le dessus sur l’économique‬ de la politique du versant « majoritaire » socialiste classique !

Tsipras recommande à l’Union européenne (Ue – Ep / European parliament) de s’adresser aux traders – vautours – créanciers pour rembourser la dette !… en attendant c’est bras d’honneur !… il est « souverain »… cette « souveraineté » implique de considérer que le gouvernement Tsipras y est au gouvernement et qu’il n’en est plus à la protestation ou à la simple contestation Syriza… à cet effet et dans le cadre du respect de la démocratie, l’Ue devrait être là pour faire vivre la politique grecque actuelle et non pas pour lui imposer un point de vue extérieur qui continuerait d’étouffer son économie BCE… plus absurde encore serait d’essayer, comme auraient tendance à le faire de nombreux socialistes français, de comparer Tsipras avec le Front populaire… Que ne feraient-ils pas pour tirer à eux la couverture !… Alors que la Grèce sort quasiment d’une guerre civile et que tout un troupeau de fascistes-nationalistes (aube dorée) est prêt à lui faire la peau, ce qui arrangerait probablement l’ensemble européen à majorité forte de droite, cette Grèce actuelle ressemble plus à un état Kurde anéanti ou a des Républicains espagnols assassinés mais certainement pas au socialisme du Front populaire…

« Que viva !… Que viva Syriza ! »

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GrèceTroïkaOut

La continuité de la politique de Tsipras n’est pas un coup de poker comme ce fut annoncé par de nombreuses personnalités mais la logique d’un changement de majorité !

Pour le remboursement d’une dette grecque mais au prorata des investissements effectifs retrouvés dans l’économie sur le terrain et non pas juste simplement stockés et bloqués sur des comptes boursiers à vocation spéculative, à savoir le 1/3 seulement recensé et mesuré sur la valeur monétaire grecque réelle…

C’est réjouissant comment de l’Élysée les socialistes s’enhardissent autour de la victoire du non ?… ils étaient moins loquaces au commentaire du résultat du « non » français au TCE ! (Traité de Constitution Européenne présenté sous forme référendaire)… En 2005, du côté de la France c’était déjà un rejet massif à hauteur de 55% de non des orientations budgétaires pressenties comme conduisant à l’asphyxie économique… On ne peut dire le contraire aujourd’hui en Grèce, pas moins que nous pouvons contester les risques que ce système de la toute puissance économique européenne désormais contestée pourrait envisager de rattraper sur le Portugal, l’Italie ou l’Espagne…

Dans ce qu’elle a à perdre (on parle de quelques millions d’euros) la France dans le cas d’un non remboursement total de la dette grecque, croyez-vous que nos bons petits traders français soient innocents là-dedans ?… c’est assez fin d’appeler ainsi à rejoindre le cadran « majoritaire » socialiste sous-muselé par une zone euro qui n’est plus légitime depuis notre TCE et maintenant suite au Greferendum – mais est-ce suffisamment réfléchi par rapport au CombatContreLaFinance ?

L’image que les médias se font de la démocratie en Grèce laisse vraiment à désirer lorsqu’ils évoquent le mensonge de la politique de Tsipras inspiré par les programmes de Syriza (BFMDIRECT)… comme si les urnes pouvaient mentir ! BFMPOLITIQUE

« Si on veut aider la Grèce » qui elle-même devrait aider la Libye pour fermer les portes à sarkozy dans l’Euro-Méditerranée jusqu’en Algérie !…

Ce sont surtout les représentants du versant majoritaire du bloc de toutes les gauches quelque part en Europe chez les socialistes qui refuseront toujours d’accepter que le versant minoritaire puisse un jour passer devant lui pour devenir à son tour « majoritaire » … Comment voulez-vous que de ce point de vue et de cette position le gouvernement grec puisse être respecté alors que les urnes se sont prononcées… et en quoi les #‎frondeurs également issus du versant « majoritaire » socialiste se rendent-ils en Grèce maintenant alors qu’ils auraient dû s’y rendre dès l’élection de Tsipras et non pas attendre cette menace référendaire pour daigner s’agiter ?

ReferendumGreciaEP :

Macron veut poursuivre la recherche d’accords économiques…la France vit-elle sur une économie hors CEE, off-shore ?

Je passe sur la sordide comparaison effectuée par Daniel Cohn-Bendit comparant l’annulation d’une dette allemande remontant à 1953 alors qu’à ce moment c’était pour que l’Allemagne entre dans la Communauté Acier – Charbon et qu’ainsi elle allait faire bénéficier l’ensemble des pays signataires de la CECA (http://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/CECA/112264) de ce marché faisant acte d’ouverture de la coopération économique entre quelques pays européens. Aujourd’hui ils sont bien plus nombreux à avoir posé une forme de rentabilité sur la Grèce en rachetant à des taux très faibles (0,5%) une partie de la dette, replaçant ailleurs une partie de cet investissement pour augmenter leur taux d’intérêt (?) Je ne sais pas où est la charrue des boeufs du près ?… Mis à part, qu’à ce rythme imposé sur la Grèce, risque de fondre comme neige au soleil ou crouler sous les grêlons, toute l’économie européenne … Mais si il faut remonter jusque là pour sensibiliser l’ensemble des créanciers, inquiets du destin de la Grèce, en leur demandant plus de souplesse ou de flexibilité, pourquoi pas !