Avant lui ce n’étaient que des gouvernements aux orientations des droites majoritaires européennes englobées par le Ppe (Parti populaire européen) jusqu’aux sociaux-démocrates du PASOC qui étaient censés, dans le passé politique de la Grèce et bien avant la venue d’Alexis Tsipras, mettre en route les règles draconiennes inhérentes aux exigences des dernières mises à jour des Traités pouvant rendre fonctionnelle la « participation » à l’ensemble de l’Union européenne (mise à jour d’impôts sur les « sociétés », les armateurs ; l’église garde ses privilèges et perd son sens de la laïcité puisqu’ainsi elle échappe aussi à son sens originaire qui devrait être d’aider les pauvres en se soumettant à l’impôt général). Ainsi pourrions-nous presque constater que la Grèce, jusqu’à maintenant, tournait un peu en roue libre, sans suivre les réformes vers lesquelles s’orientaient les autres pays de la zone Euro… Mais, inversement, rien ne nous dit en retour que si la Grèce avait amorcé ses réformes plus tôt, elle n’aurait pas sombré dans une telle catastrophe économique ?… ce que ne confirmerons jamais les situations déficitaires dans lesquelles on retrouve aujourd’hui aussi les pays moteurs, poursuivant dans l’illusion leur persuasion derrière des « c’est le seul système économique qui puisse fonctionner en Europe », endettés par des crédits colossaux qu’ils ne rembourseront probablement jamais, eux non plus, à l’origine des motivations attractives pour la monnaie européenne qui permettaient d’attirer vers des orientations de gestionnaires les politiques majoritaires de toutes affiliations partisanes des 28 pays signataires, levés de toutes idéologie politique si ce n’est celle de la toute puissance capitaliste, du règne de la monnaie corruptrice incitant aux libres concurrences les plus déloyales les échanges mais certainement pas marchant vers une Europe égalitaire. Les salaires on presque été oubliés au cours de cette semaine de négociations – tout comme la question de la pêche reste engloutie – où semblerait s’engouffrer la goutte d’eau grecque en s’ouvrant au négoce européen invité à décider dimanche en sommet si l’avenir de la Grèce proposé lui convient !… Additionné d’une certitude déjà définitive qu’Alexis Tsipras a aussi eu le mérite ou le culot de montrer (c’est selon la position qu’on adopte sur la ligne de la démocratie, celle du « versant minoritaire » ou majoritaire), à savoir que l’idée Grexit d’une sortie définitive ou temporaire de la Grèce de l’Eurozone correspondrait à un suicide économique généralisé, doublé du risque nationaliste de l’exacerbation fasciste !
En tous cas, derrières les ambivalences d’une double difficulté liée à un passé perdu sur quoi les anciens gouvernements grecs n’ont jamais voulu s’aligner et l’originalité politique de l’arrivée inattendue d’Alexis Tsipras, celui-ci enclenche une double dynamique nouvelle : celle des peuples pour l’Europe insécable d’un retour de l’Europe sur les peuples… Quoi qu’en soit son avenir, il aura au moins montré avec le sourire l’ampleur des difficultés et les risques qui affectent non pas seulement la Grèce mais l’ensemble des pays européens qui ne se sépareront jamais de leur dette, aussi énorme que leur système économique le leur permet, représentative d’une certaine évaporation fiscale, toujours le fer de lance de tout un pan politique de représentants élus impliqués dans des affaires de corruption, battus un temps, décidés à des retours grandioses pour poursuivre ce dont logiquement personne ne devrait jamais plus vouloir… depuis Tsipras !
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« La question n’est pas de savoir si le programme grec est crédible mais si Syriza l’est » posait un internaute par rapport au résultat de la confiance voté cette nuit et la vague de contestation des manifestations qui orchestrent toujours la protestation…
Politiquement Syriza l’est plus que jamais… Élu !… économiquement certainement moins puisque ce n’est pas la tasse de thé du capitalisme leur projet qui sert 10% des plus grosses fortunes au prix de nombreux licenciements, de mise en faillite de nombreuses entreprises, de déplacement des bassins d’emploi par des délocalisations qui permettent de faire de meilleurs bénéfices dans des pays « meilleurs marché »… Contrairement à ça, Tsipras a été élu pour servir le plus grand nombre… 100% de la population (quasiment les 9/10ème du Parlement grec le soutient, ce qui n’était jamais arrivé auparavant dans aucune Démocratie européenne) avec une certaine idée sur la répartition des richesses et cette notion intangible qu’est devenue le CombatContreLaFinance !
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Grecia entrará por fin posiblemente en la Unión Europea este fin de semana …
Antes de él eran esto sólo gobiernos a las orientaciones de las derechas mayoritarias europeas englobadas por Ppe (Ido popular europeo) hasta los socialdemócratas del PASOC que eran considerados, en el pasado político de Grecia y bien antes de la llegada de Alexis Tsipras, poner en marcha las reglas drásticas inherentes a las exigencias de las últimas actualizaciones de los Tratados que podían hacerle funcional la « participación » al conjunto de la Unión Europea (Actualización de impuestos sobre las « sociedades », los armadores ; la iglesia guarda sus privilegios y pierde su sentido dirección de la laicidad ya que así escapa también de su sentido originario que debería ser ayudar a los pobres sometiéndose al impuesto general). Así casi podamosnos comprobar que Grecia, hasta ahora, giraba (filmaba) un poco en rueda libre, sin seguir las reformas hacia las cuales se orientaban otros países de la zona Euro… ¿ Pero, a la inversa, nada nos dice a cambio que si Grecia hubiera cebado (empezado) sus reformas antes, no habría zozobrado en una tal catástrofe económica ?… Lo que jamás confirmaremos las situaciones deficitarias en cuáles se encuentra (se recobra) hoy también los países motores, persiguiendo en la ilusión su persuasión detrás de « es el solo sistema económico que pueda funcionar en Europa », endeudados por créditos colosales que ellos también probablemente no reembolsarán jamás, al principio de las motivaciones atractivas para la moneda europea que permitían atraer hacia orientaciones de gestores las políticas mayoritarias de todas afiliación partidarias de los 28 países signatarios y levantados totalmente de ideología política si no es la de la toda potencia (fuerza) capitalista, del reinado (reino) de la moneda corruptora que incita a las libres competencias más desleales los intercambios pero ciertamente que no marchan hacia Europa igualitaria. ¡ Los salarios casi olvidado en el curso de esta semana de negociaciones – totalmente como la cuestión del melocotón (pesca) queda engullida – Donde parecería precipitarse la gota de agua griega abriéndose al negocio europeo invitado a decidir el domingo en cumbre si el futuro propuesto de Grecia le conviene !… ¡ Sumado (Añadido) por una certeza ya definitiva que Alexis Tsipras también tuvo el mérito o el casquillo (descaro) de mostrar (es según la posición según lo que se adopta sobre la línea de la democracia, la de la « ladera minoritaria » o mayoritaria), a saber que la idea Grexit de una salida definitiva o temporal de Grecia de la Eurozona correspondería a un suicidio económico generalizado y doblado (, duplicado) del riesgo nacionalista del exacerbación fascista !
En todo caso, retaguardia las ambivalencias de una dificultad doble atada (vinculada) a un pasado perdido que los antiguos gobiernos griegos jamás quisieron alinearse y la originalidad política de la llegada inesperada de Alexis Tsipras, éste engancha una dinámica doble y nueva : el de los pueblos para Europa insecable de una vuelta de Europa sobre los pueblos… ¡ Qué que sea su futuro, habrá mostrado por lo menos con la sonrisa la amplitud de las dificultades y los riesgos qué afectan (destinan) no solamente Grecia pero el conjunto de los países europeos que jamás se separarán de su deuda, tan enorme que su sistema económico se lo permite, representativa de una evaporación cierta y fiscal, siempre el hierro de lanza de todo un faldón político de representantes elegidos implicados en asuntos (negocios) de corrupción, pegados ( batidos) el tiempo, decididos a vueltas grandiosas para perseguir de lo que lógicamente nadie debería nunca más… querer desde Tsipras !
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« La cuestión no es saber si el programa griego es creíble sino si Syriza le es » ponía a un internauta con relación al resultado de la confianza votado esta noche y la ola de contestación de las manifestaciones que orquestan siempre la protesta…
Políticamente Syriza le es más que nunca… ¡ Elegido !… Económicamente ciertamente menos ya que no es la taza de té del capitalismo su proyecto que sirve el 10 % de las fortunas más gruesas para el precio(premio) de numerosos despidos, de postura quebrada de numerosas empresas, de desplazamiento de los estanques de empleo por deslocalizaciones que permiten hacer mejores beneficios en países « meilleurs marchado »… ¡ Contrariamente a esto, Tsipras ha sido elegido para servir el número más grande el 100 % de la población (casi 9/10 del Parlamento griego le sostiene, lo que jamás había llegado antes en ninguna Democracia europea) con una idea cierta sobre el reparto de las riquezas y esta noción intangible que se hizo CombatContreLaFinance !
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Greece will enter maybe finally the European Union this weekend …
Before him it was only governments in the orientations of the European majority rights included by Ppe (Left popular European) up to the social democrats of the PASOC that were supposed, in the political past of Greece and well before Alexis Tsipras’s coming, to start the drastic rules (rulers) inherent to the requirements of the last updates of Treaties which can make functional the « participation » to the whole European Union (Update of taxes on « companies » (« societies »), shipowners ; the church keeps (guards) its privileges and loses its direction of the secularism because so it also escapes its native sense which should be to help the poor people by submitting itself to the general tax). So we could almost notice that Greece, so far, turned (shot) little in free wheel, without following the reforms to which turned the other countries of the Eurozone… But, conversely, nothing tells us in return that if Greece had begun (primed) its reforms earlier, it would not have sunk into such an economic disaster ?… That shall never confirm the overdrawn situations in which we find also the driving countries today, pursuing in the illusion their persuasion behind « it is the only economic system which can work in Europe », put into debt by colossal credits which they will pay off probably never, neither do they, at the origin of the attractive motivations for the European currency (change) which allowed to attract towards administrators’ orientations the majority politics of any partisan memberships of 28 signatory countries, raised by quite political ideology if it is not the one of the any capitalist power, the reign of the corrupting currency (change) inciting to the most unfair (disloyal) free-market economies the exchanges but certainly not walking (working) towards egalitarian Europe. Salaries one almost forgotten during this week of negotiations – just like the question of the peach (fishing) remains gobbled up – where would seem to rush the Greek drop of water by opening to the European trade invited to decide on Sunday in summit if the future of Greece proposed suits them ! … Added by an already definitive certainty that Alexis Tsipras also had the merit or the nerve (cap) to show (it is according to the position that we adopt on the line of the democracy, that of the « minority hillside » or majority), namely that the idea Grexit of a definitive or temporary exit (release) of Greece of the Eurozone would correspond to an economic suicide generalized, doubled by the nationalist risk of the fascist exacerbation !
In any case, backs the ambivalences of a double difficulty bound (connected) to a past lost with which the former (old) Greek governments have never wanted to align themselves and the political originality of Alexis Tsipras’s unexpected arrival, this one engages a double new dynamics : that of the peoples for indivisible Europe of a return of Europe on the peoples… Whatever is its future, them will have shown at least with the smile the scale of the difficulties and the risks which affect (allocate) not only Greece but all the European countries which will never part from their debt, so enormous as their economic system allows it them, representative of a certain fiscal evaporation, always the spearhead of a whole representatives’ political piece elected implied (involved) in corruption cases, beaten one time, decided in grand returns to continue what logically nobody should ever want… since Tsipras !
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« The question is not to know if the Greek program is credible but if Syriza is credible » put an Internet user with regard to (compared with) the result (profit) of the confidence (trust) voted this night and the wave of contesting of the demonstrations (appearances) which always orchestrate the protest…
Politically Syriza is credible more than ever… Elected !… Economically certainly less because it is not the cup of tea of the capitalism their project which is of use 10 % of the biggest fortunes to the price of numerous redundancies (dismissals), bankrupt putting of numerous companies, travel (movement) of labor pools by relocations which allow to make better profits in countries « meilleurs (best) walked (worked) »… Contrary to that, Tsipras was elected to serve the largest number 100 % of the population (almost 9/10th of the Greek Parliament supports him, what had never arrived previously in any European Democracy) with a certain idea on the wealth distribution and this inviolable notion that became CombatContreLaFinance !
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Griechenland wird vielleicht schliesslich in die Europäische Union dieses Wochenende hineingehen …
Vor ihm nur Regierungen in den Orientierungen der europäischen von Ppe eingeschlossenen Mehrheitsrechten (europäisch volkstümlich-populär Gegangen) bis zu den Sozialen, waren eben Demokraten des PASOC, in der politischen Vergangenheit von Griechenland und viel früher die Ankunft von Alexis Tsipras betrachtet, in den Weg die innewohnenden drakonischen Regeln (Lineale) den Forderungen der letzten Aktualisierungen der Verträge zu legen, die die « Teilnahme » an der Gesamtheit der Europäischen Union funktional machen können (Aktualisierung von Steuern auf den « Gesellschaften », den Reedern ; die Kirche behält ihre Vorzüge und verliert ihren Richtung des Laizismus, weil sie so auch ihrem stammenden Sinn entgeht, der darin bestehen sollte, den Armen zu helfen, sich der allgemeinen Steuer fügend). So k wir uns fast feststellen, daß Griechenland, bisher, etwas im Freilauf drehte, ohne den Reformen zu folgen, zu denen sich die anderen Länder der Zone Euro orientierten… Aber, hingegen, sagt nichts uns im Gegenzug, daß, wenn Griechenland seine Reformen früher angefangen hatte, es in einer solcher wirtschaftlichen Katastrophe nicht versunken wäre ?… Daß die defizitären Situationen niemals bestätigen werden, in denen man heute auch die motorischen Länder wiederfindet, in der Illusion ihre Überzeugung hinter verfolgend (fortsetzend) « ben das einzige Wirtschaftssystem kann in Europa funktionieren », durch kolossale Kredite (Vertrauen) in Schulden gestürzt, die sie wahrscheinlich niemals, sie auch, am Anfang der anziehenden Motivierungen für das europäische Geld zurückzahlen werden, die erlaubten, zu Orientierungen von Geschäftsführern die Mehrheitspolitiken (Mehrheitspolitiker) aller Beitritte Anhängerinnen der 28 Länder Unterzeichner anzuziehen, die durch ganz politische Ideologie gehoben sind, wenn das dasjenige der jeder Macht Kapitalist (Kapitalistin), der Herrschaft des verderblichen Geldes nicht ist, die zu den am meisten unredlichen freien Wettbewerben den Austausch ermuntert sondern sicherlich nicht, der zu egalitärem Europa geht. Die Gehälter man fast, wer im Laufe dieser Verhandlungswoche vergessen gewesen ist – Ganz wie die Frage des Pfirsiches( Fischfanges) bleibe verschlungen – Wo der griechische Wassertropfen sich zu stürzen schiene, sich auf den europäischen Handel öffnend, der eingeladen ist, am Sonntag in der Spitze (Gipfel) zu entscheiden, ob zu ihm die Zukunft von Griechenland, die vorgeschlagen ist, passt !… Durch eine schon endgültige Gewißheit hinzugefügt (zusammengezählt), daß Alexis Tsipras auch das Verdienst oder den Sockel (Mut) gehabt hat, zu zeigen (eben nach der Lage nimmt man auf der Linie der Demokratie, diejenige des « Minderheitsabhanges » oder mehrheitlich an), nämlich entspräche die Idee Grexit eines endgültigen oder vorläufigen Verlassens (Ausfuhr) von Griechenland der Eurozone einem wirtschaftlichen Selbstmord, der verallgemeinert, durch das nationalistische Risiko der faschistischen Verschärfung verdoppelt ist !
In allen Fällen, Rückseiten die Ambivalenzen einer doppelten mit einer Vergangenheit verbundenen Schwierigkeit verloren, wonach die alten (ehemaligen) griechischen Regierungen sich haben niemals richten wollen und die politische Originalität (Ursprünglichkeit) der unerwarteten Ankunft von Alexis Tsipras, dieser klinkt eine doppelte neue Dynamik ein : diejenige von Völkern für unteilbares Europa einer Rückkehr von Europa zu den Völkern… Was seine (ihre) Zukunft auch immer ist, wird er mindestens mit dem Lächeln den Umfang der Schwierigkeiten und der Risiken gezeigt haben, die Griechenland aber Gesamtheit der europäischen Länder nicht nicht nur bestimmen, die sich von ihrer Schuld niemals trennen werden, die ebenso riesig ist, wie es ihnen ihr Wirtschaftssystem, einiger steuerlicher Verdampfung, immer das Zugpferd eines ganzen politischen Teiles (Zipfels) von den gewählten Vertretern repräsentativ, in Bestechungsgeschäfte verwickelt, Zeit (Wetters) geschlagen, in großartiger Rückkehr beschlossen, erlaubt, um das zu verfolgen (fortzusetzen), wovon niemand logischerweise seit Tsipras jemals wollen sollte !
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« Die Frage besteht nicht darin, zu kennen, ob das griechische Programm glaubhaft ist aber ob er Syriza ist » stellte einen Internet-Benutzer im Vergleich zu Ergebnis des Vertrauens, das diese Nacht angenommen ist und die Welle von Bestreiten der Äußerungen (Veranstaltungen), die immer den Protest orchestrieren…
Politisch ist Syriza er mehr denn je… Gewählt !… Wirtschaftlich sicherlich weniger (mindestens), weil eben ihr Projekt keine Teetasse des Kapitalismus 10 % der größten Vermögen (Schicksale) zum Preis von zahlreichen Entlassungen, vom zahlungsunfähigen Legen zahlreicher Unternehmen, vom Umstellen der Arbeitsbecken von Auslagerungen dient, die erlauben, bessere Vorteile (Gewinne) in den Ländern zu machen « besser gegangen »… Im Gegensatz dazu ist Tsipras gewählt gewesen, um die größte Zahl 100 % der Bevölkerung zu bedienen (fast, des griechischen Parlamentes 9/10. stützt ihn, was vorher in einer europäischen Demokratie niemals angekommen war) mit einiger Idee auf der Güterverteilung und diesem unberührbaren Begriff, wie CombatContreLaFinance geworden ist !
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