Gestion collective de tous les Corps de Métiers…

Il y a peut-être ceux qui parlent des Yuans, des Roubles, des Pesos ou des Bolívars, de l’Éco africain – des $, des € et de la Livre turque – et ceux qui disent qu’ils en parlent parce qu’ils sont fait pour ça, ne savent plus faire que ça. C’est d’ailleurs pour cela que d’autres ont tellement à se parler d’histoires d’oiseaux, de poissons, de prairies et de forêts ; qu’ils n’auront jamais suffisamment de temps à consacrer aux vies des monnaies mondiales, durement secouées par la pandémie virale en cours, heureusement résorbée dorénavant en épidémie de virus COVID19. La crise sanitaire n’a pourtant pas empêchée des parties entières de l’économie, d’être sévèrement bloquées pendant deux mois, là où l’activité, même limitée, aurait été possible. Une nouvelle possibilité économique s’ouvre alors à l’humanité. Là où ceux qui ont tellement à se raconter de la vie des oiseaux, remettent aussi à évoquer la gestion collective de tous les Corps de Métiers en Caisse Municipale qui faisait suite pendant un bon 1/4 de siècle – structurellement et en partie -, aux programmes de la politique économique du Conseil National de la Résistance pour développer une politique sociale dans un premier temps, avant que le système capitaliste réponde « absent » et estime qu’il est en droit de tout décider. Cette organisation du travail collective, sans patrons ni banques privées, réunissait des unités productives qui n’appartenaient pas au capital patronal des banques privées, avant que le CNPF puis le MEDEF, se mit à tout « gouverner et diriger ». Cet état de surpuissance que pouvait mettre en avant, ensuite, l’ensemble du patronat avec sa grappe de patrons politiques, doit remonter à une « décision secrète », d’empêcher nos unités productives d’exploitation en gestion collective sans patrons, de se développer et de ne même pas en informer les jeunes arrivants qui voulaient démarrer dans la vie en artisanat, commerce, agriculture, manufacture, lors de leur inscription au registre des projets de la Chambre consacrée à cette classification des différents secteurs d’activités : comme s’il fallait, au début des années 1970, enterrer ces structures d’un parc d’activité en gestion collective, faire comme si elles n’existaient déjà plus et ne même plus en informer du choix, les concernés, d’être gérés soit par la gestion collective des Caisses Municipales de tous les Corps de Métiers jusqu’à leur caisse de retraite, ou bien préférer les contraintes astreignantes du capital patronal des banques privées qui viennent de toutes façons, de leur côté, à même hauteur des caisses municipales pour leurs cotisations patronales des retraites de leurs salariés.

Lorsqu’on se souvient de ce mode de gestion collective, on ne peut pas dire qu’il n’était pas rentable, là où le capital patronal enviait les actions boursières collectives municipales qui faisaient le développement des équipements collectifs, part établie par l’équilibre d’un système économique qui nous permettait d’être envié par le monde entier avec une « Sécurité Sociale » qui mettait les cotisations patronales des unités privées à même hauteur de celles apportées en avant par la gestion collective, dès son institutionnalisation. On aurait tort de croire le contraire et persister à s’imaginer que cette « gestion collective » n’était pas rentable. Et si elle ne l’était pas, c’est bien à travers les mauvaises conceptions patronales que garderont les banques privées dans leur participation au partage des richesses et… à la gestion totalitaire d’une économie estimée toute à lui, qu’espérait tirer profit ce capital patronal des banques privées uniquement, le jour où il n’y aurait plus qu’elles, en allant jusqu’à vouloir gérer les retraites des salariés, à partir du moment où elles pourraient se saisir du potentiel économique collectif que les antennes productives municipales traduisaient, non seulement par des salaires plus élevés que dans les secteurs du privé, dominés par le capital patronal ; mais aussi par la matérialisation de l’effort collectif par des capitalisation internationales, à partir d’actions boursières collectives municipales. Se sont-ils vendus entre eux ?… entre moins perdants aux plus offrants ?… cette domination inexpliquée, implique-t-elle des disparitions inexpliquées ou des vies transformées qui ne correspondraient plus à ce 1/4 de siècle d’équilibre entre la gestion collective des unités productives sans patrons ni banque privée qui faisaient force face au capital patronal des banques privées, de 1947 jusqu’en 1972, 1973, 1974 ?

On ne taira jamais assez la polémique, prise depuis 1/2 siècle, après ce 1/4 de siècle équilibré entre la « gestion collective » et le « capital patronal privé » qui, depuis 50 ans maintenant, nous livre un totalitarisme de gestion uniquement possible par « banques privées du capital patronal ».  

Après il est facile au système capitaliste de se glisser entre le manteau des musées soviétiques et bolcheviques (Douma des assassinats) ou/et les casernes d’extrême-droite qui intronisent Giscard mais pourquoi plusieurs banques privées, dans un petit pays comme la France alors qu’il y a autant d’arguments défavorables à la multiplication des banques privées, autant de raison contraire qui satisfaisait certainement le plus grand nombre qui était en Caisse Municipale de gestion collective de 1947 à 1968, 1969, 1972…

Aujourd’hui dans le monde, on se retrouve avec des États qui ont plusieurs banques privées, des États qui n’ont qu’une banque nationale pour pas mal de banques étrangères, à qui il manque des Caisses municipales dans les Gouvernorats, les Provinces, les Régions, les Dèmes en Grèce, les Wilayas d’Algérie ou les Départements, ce qui explique pourquoi l’argent de l’aide occidentale ou européenne ne parvient jamais dans les Régions ou les Districts puisqu’il atterrit sur les comptes de banques privées étrangères installées sur leur territoire ou ceux d’une « banque nationale » ; un État, sans banque privée ou sans banque étrangère est déjà plus difficile à trouver. Vouloir résoudre la crise économique de la crise sanitaire du COVID19 avec et par les mêmes outils économiques qui ont développés l’austérité, le chômage et la précarité, relève d’une obstination sans nom qui sort difficilement de la fable du mauvais banquier confronté à un bon gestionnaire, encore soucieux de faire prévaloir les notions de gestion collective de tous les corps de métiers en une seule Caisse Municipale, des apprentis-ouvriers, aux responsables-délégués, jusqu’à leur caisse de retraite, chez qui, il n’y avait pas de « patrons » !… Alors qu’attendez-vous grands princes et bons rois pour unifier toutes les banques privées en une seule caisse de gestion collective – la même banque pour tout le monde, c’est essentiel – qui transformera en profondeur le système bancaire et enclenchera la réforme économique qu’Emmanuel Macron n’a pas pu transformer en « révolution », ailleurs que dans son imagination de stagiaire chez Rothschild qui lui faisait encore croire qu’en prenant les caisses de retraite, il allait pouvoir fabriquer un millionnaire en 3 ans, un milliardaire en cinq ans et au bout de 7 ans, tous les retraités auraient été au minimum vieillesse, hors capitalisations !… À la manière dont Macron pille le pays pour arroser ses actionnaires, on va finir par croire qu’il coûtait trop cher à Rothschild qui l’a viré… La rentabilité ne vient pas de la masse de capitaux disponibles ou par la multiplication du nombre de banques privées mais du développement effectif et réel qui ne dépend pas de l’économie volatile de l’évasion et de l’évaporation fiscales à travers les paradis fiscaux. De toutes façons, nous ne pouvons encore continuer longtemps d’appauvrir la planète éternellement avec autant de millionnaires et de milliardaires puisque les richesses naturelles de matières premières et des minerais, auront tôt fait d’anéantir les espèces vivantes, avant que nous n’en disposions plus de la même manière qu’à l’époque de la grande industrie du capitalisme financier ou pour nourrir les matières rares nécessaires aux nouvelles technologies, gourmandes en métaux précieux. Autre crainte majeure, surgissant aussi de la crise sanitaire de la pandémie du virus COVID19, différente des entreprises privées menacées de mettre la clé sous la porte pour manque d’activité, dont le recouvrement, prévu par l’État ne suffira pas ; reste la possibilité de restructurer le système bancaire en supprimant une ou deux banques privées du parc dont nous disposons, histoire de regonfler les parts boursières des banques qui resteront. Cela ferait beaucoup de licenciés dans le système bancaire et ne remettrait qu’à plus tard – on parle déjà de retour de pandémie en hiver et pour pas mal d’années – l’échéance et la nécessité d’unifier une bonne fois pour toutes, toutes ces banques privées en une seule caisse de gestion collective pour que l’argent, la monnaie et les règles économiques deviennent un véritable « service public » capable de résorber une crise sanitaire de pandémie, autrement que par un « État d’urgence sanitaire ». Ceci répondrait également, assez fermement, à la question que se posent de nombreux ouvriers, salariés, employés : sommes-nous réellement là pour sauver le capital patronal des banques privées ?… N’y a-t-il pas de pratiques gestionnaires plus communes et collectives, liées à l’histoire sociale de la Sécurité Sociale qu’on nous dit être enviée du monde entier. Il faut quand même préciser qu’elle ne put s’établir qu’à partir de l’équilibre économique posé par les unités productives de gestion collective sans patrons des caisses municipales par rapport au capital patronal des banques privées, appelé à venir à même hauteur de cotisations patronales qu’elles pour les retraites, d’une part, et dans les investissements pour les équipements collectifs d’autre part… Ça permettait, grosso modo, lorsqu’on observait une école, d’être certain que le capitalisme patronal des banques privées n’avait rarement plus d’un mur à son actif, deux au maximum, l’autre moitié étant l’impact de l’investissement collectif de la gestion collective mise en avant par les unités productives d’exploitations sans patrons ; lorsque l’armée ou la religion s’approprient la cour de l’école, on change de régime !

Il faut faire attention lorsqu’on aborde la Sécurité Sociale aujourd’hui, dans son élaboration, créée au départ par l’équilibre économique qu’elle réussissait à trouver entre la gestion collective des unités productives sans patrons en Caisse Municipale et le poids du capital patronal des banques privées qui n’avait pourtant, en partie, pas bonne réputation du côté de sa collaboration active avec l’occupant nazi, après la guerre, sinon, d’ici quelques années, ils seraient capables de nous faire croire que c’est le capital patronal des banques privées du système capitaliste colonialiste qui a offert la Sécu aux Françaises et aux Français – alors que c’est aux salariés qu’elle est destinée -, en cadeau à la classe ouvrière pour se faire pardonner sa collaboration active qui organisait des déportations, torturait et assassinait pour le reich nazi (!)

Finalement on s’aperçoit vite avec le COVID19 que ce système économique, où la totalité ne fonctionne qu’avec le capital patronal des banques privées, est rapidement limitée. À vouloir tout gérer, lorsque l’économie tourne au ralenti, on se retrouve quasiment dans une « économie de guerre » qui ne devrait être, ni le moment de poursuivre la guerre économique que se livre l’Amérique, la Chine, l’Asie, l’Europe, l’Afrique ; ni l’occasion de vouloir rebondir avec des nationalisations ou faire valoir l’État Providence. La meilleure des réactions, la plus censée des solutions, la mesure légitime à prendre par tous les syndicats de salariés, ne serait-elle pas de demander l’unification de toutes les banques privées en une seule caisse de gestion collective pour que nous puissions sortir des contraintes astreignantes liées aux exigences du capital patronal des banques et des entreprises privées, dont il n’est pas exclu que certaines d’entre-elles devront bientôt fermer boutique ou passer au 100% bio ?

Cette gestion collective faisait pourtant balancier et contre-poids au capital patronal des banques privées, capable toujours, à chaque instant, de tout dévaster par déforestation, de bétonner à vue d’oeil, lorsque ce ne sont pas des missiles qui s’occupent d’égaliser le terrain. Quand un état-major, de quelques corps de métiers qu’il soit, décide tout seul, ça peut devenir catastrophique…

Économie de guerre – économie collective – Caisse Municipale sans patrons ni banques privées…

Pour parer à la crise économique que la pandémie de coronavirus COVID2019 fait endurer à l’économie mondiale, encore faudrait-il se souvenir de « qu’est-ce qu’une économie de guerre » – puisqu’on nous parle de guerre. Au sens d’une mobilisation générale des forces humaines productives qui peuvent partir au front, avec l’espoir qu’il y ait le moins de victimes possibles, affectées plus ou moins gravement par ce virus, produit par la corrélation d’un paramètre animalier, associé à un vecteur humain pour se développer et se propager. Qui dit mobilisation humaine, implique également une mobilisation collective des moyens financiers. Une gestion au bouillon, toujours entre les mains du capital patronal et des banques privées, dans une situation de confinement, ne vaudra jamais la gestion collective en une seule Caisse Municipale vers laquelle toutes les banques privées devraient basculer aujourd’hui.

Au sortir de la guerre qui nous ramène à notre partie du « volet économique », ouvert à Nuremberg le 1er mars 1946, nous sommes sur notre territoire en présence d’une Banque de France qui a deux jambes et après 1972, 1973 et Giscard à l’Élysée en 1974, elle n’en a plus qu’une pour sombrer dans l’accumulation de la dette que renforce le monopole de gestion patronale par banques privées, tous nourris à la même cuillère capitaliste. Notre gestion collective d’unités productives d’exploitations sans patrons ni banques privées, de retour de Nuremberg – sans avis favorable de l’état-major et du capital patronal d’opter pour une monnaie unique mondiale – s’empressa pourtant, dans de nombreux pays du monde, d’encourager de se structurer autour de la décision des Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales du « volet économique » d’aller et de rester en « gestion collective » par « Caisse Municipale » sans patrons ni banques privées. Avec les actions boursières correspondant à la gestion collectives de nos unités productives collectives, nous étions bien au-dessus de ce que véhiculait les banques privées du capital patronal qui fabriquaient déjà des millionnaires et des milliardaires pendant que la Caisse Municipale reconstruisait le pays avec ce qu’il restait du Conseil National de la Résistance du Général Leclerc qui avait emmené les Comités d’Ouvriers et Directions politiques et syndicales à Nuremberg pour y convoquer De Gaulle, expliquer le « pourquoi préférait-il régler cela chez-lui » en France et ne voulait pas participer à ce grand tribunal international de Nuremberg pour y juger les criminels nazis, les faits de collaboration actives français de l’extrême-droite et le comportement spécifiques des miliciens français ?… Sans doute préférait-il conserver et ne pas juger son capital patronal des banques privées et ne soutenait-il déjà moins l’esprit de la Résistance qui allait donner par la suite sur le terrain, la structuration en Caisse Municipale collective des Unités productives de Résistance du CNR, sans patrons ni banques privées, pour entrer à la Banque de France à côté du capital patronal industriel des banques privées, à même égalité des parts boursières de cotations pour une économie partagée entre deux modes de gestion, l’un capitaliste des banques privées, l’autre collectif des caisses municipales. Toutes et tous devenaient capitalistes des banques privées dans l’amnésie totale de l’histoire réelle et collective sur un terrain organisé en unités productives d’exploitations, sans patrons ; mais avec des délégués, des responsables municipaux, nationaux, internationaux et mondiaux d’une Caisse Municipale qui faisait pendentif au capital industriel patronal des banques privées, à la Banque de France !

Que reste-t-il aujourd’hui ?… N’y a-t-il plus qu’une armada de banques privées et de capital patronal industriel qui gèrent l’économie mondiale ?… Qu’est-ce qu’est devenue cette Caisse Municipale de gestion collective d’un fonctionnement et d’un mode de gestion sans patrons dont nous aurions grandement besoin pour faire face à la crise sanitaire, sociale, climatique et bancaire que nous allons affronter, sans savoir comment basculer vers une économie de guerre, autrement qu’en réquisitionnant les banque privées pour en faire toutes les caisses publiques que constituaient toutes les caisses municipales de gestion collective sans patrons. Nationaliser ne sert à rien et garde le même patronat qui s’occupe de sa tirelire, tandis que le modèle de Caisse Municipale – la même pour tout le monde – met à l’horizontale toutes les banques privées qui gardent les bâtiments et leurs salariés mais s’orientent vers un type de « gestion collective » différent pour ne plus être patronale de banques privées ; mais des antennes, des unités de la Caisse Municipale, en remplacement de toutes les étiquettes BNP Paribas, Crédit Mutuel, Crédit Agricole, Caisse d’Épargne, Banque Populaire deviennent toutes des « caisses municipales » !

Macron ne fait pas une « économie de guerre », il poursuit celle des banques privées du grand patronat du capital industriel !… puisqu’il n’y a plus de gestion collective…

Quand on parle d’économie de guerre, on remonte automatiquement au volet économique de l’économie mondiale, ouvert à Nuremberg le vendredi 1er mars 1946 pour en remettre sur la table que deux mondes allaient désormais s’affronter. Celui des banques privées, constitué du capital patronal, très petit, insignifiant par rapport à celui de gestion collective appartenant à la coalition des Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales, réunies par le Général Leclerc en la circonstance, venue du monde entier (Asie, Europe, Afrique et des Amériques). La question est donc la gestion partagée entre banques privées du capital patronal ou la Caisse Municipale de gestion des Corps de métiers, de leurs délégués, responsables, départementaux, nationaux, internationaux et mondiaux ; bien plus nombreux que les patrons du capital industriel de l’état-major qui voulait reproduire le même système économique que leur offrirait leur « butin de guerre » avec la même manière et des procédés identiques pour en rentabiliser la matière boursière pour fabriquer – non plus des nazis – mais des patrons politiques et militaires, civils ou en uniformes ; tandis qu’attendait la coalition des comités ouvriers et de directions de Leclerc pour présenter sa demande de monnaie unique mondiale pour un monde de paix, structurées en unités productives de gestion collective sans patrons ni banques privées, où les banques privées qui avaient fait les 2 guerres mondiales seront remplacées par la Caisse Municipale unique, la même pour tout le monde, à développer dans chaque corps de métiers, sur chaque Département, Provinces, Gouvernorats, États pour laisser les militaires et leurs patrons mercenaires dans leur caserne qui développaient jusqu’ici, les guerres, pour enrichir leur capital patronal sur les tonnes de cadavres qui nourrissaient les banques privées.

Pour nous, en France, on partageait la faille, souvent entre pouvoir et opposition politique pour trancher entre une forme de moitié / moitié ; histoire de préserver une certaine forme de « neutralité économique, militaire et politique », à l’intérieur de la « Banque de France » entre la gestion collective des unités productives d’exploitations par corps de métiers de la Caisse Municipale des manufactures, artisanats, exploitations agricoles, ateliers des communautés urbaines, équipement collectifs de type écoles, piscines, stades, bibliothèques, musées, hôpitaux civils… jusqu’aux casernes de pompiers ; l’autre moitié étant « réservée » au capital patronal des banques privées qui développait ses petites infrastructures artisanales à côté du grand capital industriel des constructions automobiles, probablement une partie du fret maritime, aérien ou ferroviaire, plus tard le nucléaire, la filière bois et le TGV, en volant probablement la part collective puisque lorsque disparut la Caisse Municipale pour fabriquer quelques banques privées supplémentaires, ce ne fut que pour augmenter de quelques milliardaires et millionnaires de plus ; un peu moins renforcer le salaire des ouvriers, garantir les emplois et leur logement ou leur augmenter le niveau de vie. Fut-elle braquée, a-t-on assassiné pour s’emparer des parts boursières collectives de la Caisse Municipale des ouvriers et des directions politiques et syndicales, puisqu’elles basculèrent comme par miracle, dans les poches des parts d’actions du capital patronal après 1972. Ainsi, ils n’avaient plus à diviser par deux, la rentabilité des deux formes de modèle gestionnaire que nous pratiquions depuis la sortie du volet économique de Nuremberg, avant qu’au bout d’une semaine, l’état-major et le capital patronal des salons mondains en civils étaient venus rosser la délégation du Général Leclerc, constituée des coalitions des Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales de Français, Espagnols, Maghrébins, Africains et Asiatiques, tout de même un peu surpris de découvrir que leurs frères soviétiques étaient surveillés jusque là – et ensuite, allèrent encore le rester longtemps dans les usines, manufactures et ateliers – par des soldats en uniformes, armés de fusils et que leur « Commissaires du peuple », malgré leur apparence de civils en costume cravate, étaient des « officiers » du régime, de la dictature, monarchie ou démocratie qui allaient continuer d’assassiner et de développer la guerre. C’est bien ce qui se produisit malheureusement après la fête des vendanges de 1972, après la disparition de trois personnes retrouvées en cadavres 48 ans après, facilement transformables en os de chien, au moment du « basculement » où l’économie de la Banque de France qui avait deux jambes ou deux bras, se retrouva avec le pied unique du capitalisme d’exploitation ouvrière du capital patronal, alors qu’ils venaient d’anéantir toute forme d’économie égalitaire et partagée des caisses municipales de la nation et de la patrie que géraient les Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales, politiquement du côté du volet économique de Nuremberg en opposition au capital patronal et de son état-major, rarement au pouvoir après 1972. Ça donne De Gaulle qui ordonne au Général Leclerc de l’attendre à 35 mn à 40 km de Paris, le bloquer une fois arrivé dans la ville en 1944, alors qu’il veut foncer vers la prison où étaient retenus des officiers français car un grand rendez-vous mondial allait les attendre à Nuremberg, un an plus tard, le temps de libérer l’Allemagne. Les patrons et les ouvriers au combat, en tant de guerre ; ce n’est plus la même chose, une fois leur capacité politique certifiée en Caisse Municipale par coalitions des Comités, d’assassiner l’une par avarice de l’autre, plus dominatrice et patronale, que directionnelle et ouvrière d’égalité.

Une copine à Macron dans l’auberge des Pyrénées

Mon oncle de Nuremberg

Oublions les caisses municipales de gestion municipale, gloire au capital patronal des banques privées d’assassinats, d’attentats et de terrorisme pour mettre leurs chefs au pouvoir

APPEL D’OFFRE DIPLOMATIQUE…

Appel d’offre diplomatique pour consolider nos relations avec la Russie et la Chine du Nord, dans le XinJiang maintenant à dominante religieuse musulmane et non plus seulement bouddhiste, où des troupes de gangs jihadistes de daesh ont été repérées et détectées… La Chine ne semble pas trop réagir… L’Europe doit l’y pousser… Les plateaux mongols et l’agriculture limitée, pastorale, liée aux troupeaux d’élevage extensif constitueraient un garde manger non négligeable et peu protégé pour les hordes folles affamées de ces daeshistes chinois trimballés par les soins d’‪‎Erdogan‬ entre le Kazakhstan‬ et la ‪‎Turquie‬ pour les avoir envoyé ensuite en Syrie‬ depuis l’été dernier… revenus, semblerait-il depuis, sur leur terres chinoises de prédilection du nord du ‪‎XinJiang‬… Prétendre ou dire que ce n’est pas « vrai » ferait encourir de grands risques… De là, Nord de la Chine, Province du XinJiang, aux contreforts de l’Altaï, dans la cuvette de Dzongarie, ces jihadistes de daesh, hyper-entrainés, peuvent gagner Moscou, la Russie et les pays Kirghizes et Tajiks ; après tout, ce n’est pas si loin, pour eux, que d’‪‎Ankara‬ ou de ‪‎Damas‬… Si un nouveau conflit mondial pouvait et devait être empêché, c’est peut-être sur les steppes et les plateaux Mongols que cela se jouera… #‎Vigilance‬ ‪‎Diplomatie‬CanadaMongolie‬ ‪‎CanadaMongolia‬

Tous combattent daesh, l’État Islamique prétendument lié dans leurs déclarations et leurs positions feutrées par les impératifs de l’enveloppe commerciale… Mais si la ‪‎Chine‬ fait comme la Turquie d’Erdogan à leur égard, manque de vigilance, coopération ouverte et secrète avec des « services secrets », « spéciaux » de l’État Chinois et Turc ; ça risque de mal aller…‪‎Quai_Orsay‬ Quai d’Orsay @Quai_Orsay… ‪‎Géopolitique‬ ‪‎Asie‬‪ ‎FranceDiplomatie‬ UnionEuropéenne‬ ‪‎Ep‬ ‪‎Élysée‬

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Supportez l’Armée Mongole !

Source :
https://fr.wikipedia.org/…/Forces_arm%C3%A9es_de_la_Mongolie

‪‎Politique‬ :
Du fait de sa situation géopolitique et de ses capacités économiques, la Mongolie a une politique de défense particulière. Située entre deux des plus grands États au monde, les forces armées mongoles ont une capacité limitée pour ce qui concerne la défense de leur territoire contre une invasion extérieure. De fait, la sécurité nationale du pays dépend avant tout de sa diplomatie à tel point que le gouvernement pense à la fin de la Guerre froide à dissoudre l’armée. L’idéal militaire du pays est donc de créer et de maintenir une petite armée professionnelle et efficace. Ainsi, la majeure partie de l’armée est composée de conscrits et seuls 2,5 % des soldats sont professionnels. Enfin, les femmes ne peuvent être déployées sur des théâtres d’opérations extérieures.

Les forces armées mongoles dans les missions de maintien de la paix :
Dès la fin des années 1990 et après la question d’une suppression de l’armée, celle-ci est réorientée vers des missions de maintien de la paix au sein d’opérations internationales. Cette priorité accordée aux missions internationales permet à la Mongolie de recevoir l’autorisation de participation lors de la 56e session de l’Assemblée générale des Nations unies. Ces participations permettent à la Mongolie d’entraîner et de moderniser ses troupes. Elle participe pour la première fois à une mission internationale lorsqu’elle envoie deux observateurs militaires au sein de la MONUC en 2002.

Depuis lors, les forces armées mongoles sont intervenues dans différentes missions de maintien de la paix au Sierra Leone, en Éthiopie, au Congo (2 observateurs militaires encore sur place), en Érythrée, au Sahara occidental (4 observateurs militaires encore sur place) et au sein de la Mission des Nations unies au Liberia où 250 hommes assurent la sécurité du Tribunal spécial pour le Sierra Leone en 2009. Les forces mongoles ont aussi déployé 130 hommes en Afghanistan à partir de 2009 pour participer à la défense du camp Eggers près de Kaboul tandis que 23 ont assisté la force de l’ISAF pour ce qui concerne l’entraînement des forces afghanes avec les anciennes armes du Pacte de Varsovie qui forment le gros du matériel militaire de l’armée nationale afghane. En 2005 et 2006, les troupes mongoles ont aussi participé à la KFOR au sein du contingent belge. En 2009, les forces armées mongoles ont déployé leur plus important contingent dans une mission de maintien de la paix au Tchad avant de se retirer en 2010. Le gouvernement prévoit son premier déploiement « auto suffisant » au sein d’une mission de l’ONU pour la mi-2011. Enfin, le gouvernement mongol a fourni un hôpital de campagne à la Minuad (Mission des Nations Unies au Darfour) et a déployé 70 militaires dans la région.

Voici les effectifs mongols déployés dans le monde à la date du 28 septembre 2011 :

850 en Soudan du Sud
114 en Afghanistan au sein de la FIAS ;
4 observateurs militaires au Sahara-Occidental au sein de la MINURSO ;
70 militaires au Darfour au sein de la MINUAD ;
2 observateurs militaires au Congo au sein de la MONUSCO ;
2 observateurs militaires au Soudan du Sud au sein de la MINUSS.
Les forces terrestres possèdent plus de 705 chars d’assaut, 100 pièces d’artillerie mobile, 1500 véhicules de combat d’infanterie et véhicules de transport de troupes, 450 engins mobiles antiaériens, plus de 1000 pièces d’artillerie et de mortiers et d’autres équipements militaires variés. La plupart de ces équipements sont d’anciens matériels soviétiques dont l’ancienneté va de la fin des années 1950 au début des années 1970. Quelques modèles datent de l’ère post-soviétique.

 

QUEL PALMARÈS !

C’EST DIRE SI ILS S’Y CONNAISSENT EN MATIÈRE DE MAINTIEN DE LA PAIX !

S’il est un domaine où les rivalités politiques pourraient disparaître c’est bien au sujet du climat : exploitation !

Avec Nicolas Hulot, François Hollande semble bien décidé à obtenir des résultats concrets au sortir de cette grande conférence internationale sur le climat qui aura lieu en France pour la première fois à la fin de cette années 2015… Cela nécessite immanquablement d’aussi se mettre en cohésion avec l’opposition du moment (l’UMP) qui, à son époque de pouvoir a également quelques personnalités politiques qui sont devenues des pièces maîtresses dans le processus de réglementation écologique… C’est le cas de NKM qui a oeuvré pour sensibiliser l’Inde et la Chine, poursuivant, en lui succédant, un Jean-Louis Borloo… Corinne Lepage se rendant régulièrement chez la Ministre du gouvernement peut-être moins dans un but de dépolitisation franche et avouée comme peut l’être celui de Nicolas Hulot !

Ces rencontres internationales ne devant pas faire l’objet des simples tactiques politiciennes qui développent la science des contraires, il est normal que FrançoisHollande rencontre ses opposants car les solutions et propositions qui émaneront de cette conférence « climat » devront s’établir autour de l’unanimité d’une prise de conscience collective appelée à devenir irréversible et irrévocable  pour que puissent être prises les mesures adéquates capables d’enrayer le phénomène du réchauffement climatique ainsi que de limiter les expansions des polluants chimiques toujours encore considérés quand même comme des produits dangereux…

L’optimisme se doit donc d’être au rendez-vous puisque selon les dernières déclarations de Nicolas Hulot, le coût du réchauffement climatique devenant si important, il est maintenant impossible que les chefs d’État qui participeront à cette conférence « climat » 2015 continuent de donner des réponses négatives aux règles d’urgence qu’il faut apporter pour pouvoir enrayer la ruine économique que risque de nous faire courir l’obstination à refuser de  voir se multiplier les catastrophes naturelles (inondations, coulées, glissements de terrain) qui elles, sont pourtant bien réelles !

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‪#‎ConférenceClimat2015‬ ‪#‎ConscienceCollective‬
‪#‎RéchauffementClimatique‬ ‪#‎PolluantsChimiques‬ ‪#‎ProduitsDangereux‬

François Hollande à Pékin !

Est-il allé prendre des cours de marxisme basique dans la cité des empereurs qu’on pourrait penser de prime abord s’être trompé d’époque tant la Chine est devenue capitaliste et destructrice pour l’environnement qu’on aurait tort de souhaiter que son déplacement ne s’identifie pas à un voyage « commercial » comme son prédécesseur Strauss-Kahn*…

 

Est-il allé relancer la vente de centrales nucléaires en déconfiture qui s’effritent dans les stocks des invendus, lancer des appels d’offre pour construction de centrales électriques ou tancer la dictature chinoise qui exerce une répression indivisible sur les libertés humaines et le militantisme étudiant ? Est-il venu demander la libération des prisonniers politiques encabanés pour délit d’opinion pour imposer à la Chine vieillissante polluée par le charbon les vecteurs d’une véritable république démocratique ? A-t-il pu aller là-bas pour demander l’application des Droits de l’Homme ou carrément faire signer la Charte que ce pays n’a jamais voulu respecter ? Est-il venu éclaircir la vérité sur le faux Dalaï-lama qu’a dédoublé la Chine en usurpant le Tibet ?

 

Assurément que non et son inspiration serait plutôt sous le sceau du renforcement de son pouvoir personnel qu’il voudrait établir à l’exemple des soit-disant derniers communistes d’Etat qui pratiquent une politique tout ce qu’il y a de plus limitée au niveau des droits sociaux et qui au plan bancaire pratique un ultra-libéralisme à tout rompre… Exploitant au mieux, au taux de rendement le plus élevé qu’on puisse rencontrer sur la planète, ses salariés, la Chine est devenue une référence incontournable en matière d’exploitation humaine à outrance ainsi qu’une poubelle mondiale inégalée liée à son insouciance accélérée pour la protection de l’environnement. Compte-t-elle (cette Chine « moderne ») s’exporter en Afrique dont on craint d’elle les pires menaces sur l’écosystème ? Peu de frein au business en tous cas car avec son pote Cahuzac François Hollande a montré que lui aussi était prêt à mettre les deux pieds dedans ! Et les chinois ne se priveront de rien dans un monde de plus en plus privatisé, à la botte des multinationales, du commerce à grande échelle appuyé par les supers-profits…

 

Et si tout simplement François Hollande était venu demander le payement de la facture laissée par Jacques Chirac, si fier de s’y être rendu, mais n’ayant décroché que peu de contrats… C’est qu’il est tant de payer messieurs les chinois, la France ne vous fera pas crédit éternellement ! Les payements en différé ça va un moment mais vient le temps de payer l’addition ! François Hollande vient donc récupérer les recettes posées par jacques Chirac ?… C’est ça et faites vite !… on a besoin de pognon ! Mais les « liens étroits » dont se vente le cabinet ministériel des Affaires étrangères on sait pertinemment qu’il ne sortira pas du boulevard du capitalisme effréné. L’idéal serait à ce niveau de pouvoir jongler entre une mise à niveau des richesses que contre carrerait une application effective des Droits de l’homme liées aux revendications politiques qui permettrait d’en limiter les dégâts. Un Chinois est-il considéré comme un « citoyen » ?… Je ne pense pas et à y entendre ce que nombreux vivent en Chine, loin des nantis, on serait presque en droit de parler d’esclave bien plus que de citoyens.

 

Ce qu’il en sortira sera certainement du chinois ou une nouvelle soupe pour traders établie sur les nouveaux besoins de la fiction capitaliste où tous marchent de concert de J. Chirac à F. Hollande en passant par l’homéopathique N. Sarkozy.

 

 

*Un discours à jeter dans les eaux du Yang-Tsé-Kiang ! link : 

  http://laurentgantner.over-blog.com/article-un-discours-economique-a-jeter-dans-les-eaux-du-yang-tse-kiang-dsk-93348473.html

Un discours (économique) à jeter dans les eaux du Yang-Tsé-Kiang (DSK) !

Si pour surprenante que puisse paraître l’intervention de DSK dans un forum économique chinois, elle n’en soulève pas moins une série de questions au-dessus desquelles Strauss – Kahn semble faire cavalier seul, décidé à rompre avec le patriotisme économique en tentant un coup d’État économique mondial pour revenir à ce qui est censé être son métier. Alors qu’il faudrait se serrer les coudes, il piétine les efforts des Sommets européens… Singe faisant la grimace qui regarde les crises se succéder, il casse le moral de tout le monde et trouble les décisions engagées. Au souhait de la catastrophe y verrait-il son égo rejaillir à défaut de solutions puisque le peu d’extraits dont on dispose font craindre une pauvreté de l’argumentaire effrayante…

 

Il en aura fait des kilomètres Dominique Strauss – Kahn pour retrouver sa vie publique comme le souligne Libération sur le trop court extrait vidéo proposé sur le site* pour nous annoncer la globalité d’un discours qui ressemble en sa synthèse plus à un oracle illuminati qu’à un spécialiste en économie. « Un radeau prêt à sombrer » qui « semble ne plus être assez résistant » pour nous révéler que les taux d’intérêts sont en chute libre jusque chez le plus petit des épargnants alors que l’inflation galopante poursuis sa chevauchée folle, on le savait déjà… Quant à son radeau je ne vois pas de quel exil il revient sur la scène médiatique officielle comme si il était parti méditer dans la jungle avec les ours et… un radeau ? Alors fourrer son nez dans un forum économique qui plus est, en Chine, à une heure où il s’agirait de sauver un continent (réduit à un radeau) et redonner la confiance aux investissements sur les marchés étrangers et bien non, Mr Strauss – Kahn vient de tout foutre par terre par un scepticisme populaire mais certainement pas professionnel. À tort de tout remettre en cause dans les travaux de l’Union européenne il risque d’en faire sombrer l’économie tout entière par son activisme perso de l’autre côté du globe… Dépréciation des travaux effectués qui mériterait une mise à pied immédiate et une perte des droits civiques avant qu’il ne se considère comme étant devenu indispensable car n’importe quel clown Auguste aurait put dire à un colloque économique en Chine que la situation en Europe est devenue catastrophique, que le bateau prend l’eau, qu’on rame dans le désert et qu’on sera bientôt obliger d’arrêter de ramer parce qu’on attaque la falaise ! Bien entendu il a eu tout le temps de contempler cela de loin pendant ces six mois d’enfer et de solitude mais aller en Chine en montrant du doigt l’économie franco-allemande c’est donner le feu-vert aux marchés sino-européens pour s’engouffrer dans le redressement ou leur donner la possibilité de nous bouffer tout cru… Jusque là, ça irait… Mais si c’était avec de la monnaie de singe ou dévaluée qu’ils estimeront en droit de rendre lorsque les prises d’intérêts seront demandées ? Un peu à l’image du chef de l’État qui proposait de vendre des centrales nucléaires avec des prêts sur 20 ans ou 30 et si on croyait à de la stabilité financière ou à l’ouverture de marchés juteux c’était aussi peut-être fortement se tromper sur la valeur réelle des unités économiques de chaque pays. Tout au moins en a-t-il était ainsi pour la Chine qui finalement choisi un autre fournisseur pour ses centrales nucléaires, un peu effrayée de se voire quémander une anticipation sur les remboursements… Qu’a-t-il fait au FMI d’autre que de prendre la tranche financière provenant d’Europe contribuant pour sa part également à en creuser le déficit pour que reste inscrit l’aspect homogène du Fond Monétaire International dont certains membres des « 27 » contestent l’appartenance ? Complètement hors piste son harakiri économique… Il aurait mieux fait de rejoindre le groupe de travail Merkel-Sarkozy au lieu de profaner les équilibres et d’oser mettre en doute, si ce n’est pour déstabiliser, la fiabilité de l’économie européenne… Si ça, c’est pas un enfant qu’il lui fait dans le dos au Président français, en tout cas cela y ressemble et prouve, ô combien, avec indécence que DSK est capable du pire, de tout et de n’importe quoi pour se refaire un audit mondial. Quitte à brader, en des appels désespérés, les pénibles efforts que l’économie européenne se doit de réaliser pour ne pas sombrer. Ce scepticisme destructeur ne semble trouver de solutions ni dans son discours qui pour l’heure attise les angoisses, ni dans l’attente hypothétique de l’arrivée de son socialisme d’origine à la Présidence de la République française pour rééquilibrer les restes, en remplacement, alors que rien ne nous dit que d’ici là, tout ne se sera pas effondré. Son discours de la peur économique en Europe va encore plus loin pour déprécier les investisseurs et fragiliser la confiance, déjà mise à rude épreuve, des partenaires économiques intercontinentaux… Ce n’est pas, contrairement à ce qu’on pourrait considérer au départ, pour proposer des solutions qu’il aurait encore en réserve sinon ça ferait longtemps qu’ils les aurait proposées pour se rendre utile à son pays mais pour fragiliser les fondations existantes pour qu’en ses débris il puisse se trouver bouée de sauvetage à laquelle se raccrocher !

 

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*http://www.liberation.fr/politiques/01012378513-dsk-est-de-sortie-a-pekin