Macron, gentleman cambrioleur ou candidat fortune ? !

La Constitution n’exige-t-elle pas qu’« En Marche » fusion Modem soit d’abord passée devant un scrutin Régional, Municipal, Législatif, Européen sous ce nom de Emmanuel Macron avant que d’oser briguer la Présidentielle… La Constitution est censée rester souveraine et non pas laisser son Conseil Constitutionnel se laisser corrompre par une guirlande de lobbies pour que les électeurs s’y engouffrent plus vite et plus facilement…

Giscard aussi paraissait sympathique et continue d’ailleurs encore aujourd’hui de jouer du violon sur toute l’Europe qui derrière son paravent de centrisme extrême ou mou, sombrerait presque dans le nationalisme d’antan où les droites étaient animées en une seule par sa même extrême bancaire (!)

« Maison d’hôtes », club de riches, cercle d’initiés ?… on ne sait pas franchement à quoi correspond Macron si ce n’est qu’il tente vainement de ressusciter les lambeaux éparses de l’empire giscardien : d’un côté les décombres de l’extrême-droite qui joue avec les regains de nationalisme dans toute l’Europe ; de l’autre, les vestiges, non moins en lambeaux, des théories économiques giscardiennes à l’usure et à l’épreuve d’un « libéralisme » multiforme devenant de plus en plus flou.

Ce qui donne que Macron est candidat comme si il avait déjà nationalisé les partis politiques avec la dictature nationaliste qui est en marche pour lui dans les médias !

Alors pour qui/quoi voter ?

Pour la poursuite de cette économie évasive qui soudoie l’Ordre constitutionnel avant que d’être élue ou les garants des Règles électorales constitutionnelles qui solidifient l’État ?… « Macron & Valls », ho !… vous pouvez y rajouter « Bayrou & Modem », cela ne changera rien à la fausse donne économique qu’ils désirent poursuivre mais que les travaux de Thomas Piketty, Yannick Jadot et Benoît Hamon contredisent fortement et ouvertement, sans langue de bois ni fausses pistes. Avec Macron & Bayrou les lobbies prennent le pouvoir sous Macron et sauvent la carrière politique de Bayrou qui n’a jamais réussi grand chose au plan présidentiel, mais lui, au moins, il était respectueux de la règle électorale par rapport aux conditions nécessaires pour oser proposer sa candidature aux Présidentielles… N’oublions pas qu’il est Maire de Pau mais pas au-delà… Différencier les candidats en utilisant un petit peu le bilan du quinquennat du Président François Hollande, nous donnera rapidement les indices de confiance qu’on pourrait éventuellement y reconnaître par rapport aux cotes de popularité atteintes par « Macron & Valls » proche de l’humiliation pendant leurs états de service… Que l’ambition d’Emmanuel Macron, choisi et nommé Ministre deux fois, le pousse à ravir la Présidentielle dépasse l’entendement des progressions que le parcours d’un(-e) politique devrait respecter des exigences de la Constitution. On ne se présente pas à la présidentielle sans être au moins une fois passé devant une élection régionale, municipale, législative ou européenne… On ne leur demande pas de les avoir remportées, mais de s’y être confronté au moins une fois dans leur vie, à un « petit » scrutin… Cette progression du parcours des politiques exigée par la Constitution, ne peut en aucun cas se laisser ravir par une guirlande de lobbies ! Une banque n’achète pas la Constitution pour que son poulain fasse le Duc devant Marianne !

Que vaut ce « centre » dans ces cinquante années dont parle Bayrou ?

Pas grand chose si ce n’est de nombreux changements de dossards en cours de mandature pour pas mal d’élus qui continuaient d’être payés par l’UDF/ RPR tout en s’orientant vers le Fn ou le Modem, voire même encore Debout la France de Dupont-Aignan, le RPF ou le MRP ; rarement vers des formations politiques écologistes, socialistes ou du communisme… L’État devrait sanctionner d’une amende les changements de dossards non déclarés au Conseil Constitutionnel et demander le remboursement de leurs indemnités le mois de l’élection où ils étaient payés pour une formation alors qu’ils font campagne pour une autre étiquette politique ; non pas par souci d’économie mais par conviction dans l’honnêteté des candidats… On ne peut courir deux lièvres à la fois !

Bayrou ne pourrait-il pas embaucher Macron comme secrétaire de Mairie à Pau puisque Macron2017 ne répond pas au critère de la Constitution qui exige qu’un candidat à la présidentielle se soit déjà au moins une fois présenté avec son étiquette devant les électeurs et les urnes de la République et de la Nation par un scrutin Régional, Législatif, Municipal ou Européen ?… Pas plus Macron qu’un autre n’est en Droit de se déroger à cette Règle élémentaire concernant les critères stipulés et exigés par la Constitution pour qu’un « citoyen » soit en conformité et en capacité pour remplir la fonction suprême de la présidence de la République… Seule est souveraine la Constitution qui règle également, normalement, les situations de changement de dossards en cours de mandature…

ps

#Constitution  #lobby

#EnMarche

#Macron  #Valls  #Bayrou @RobertHueOff  #LeDrian  #UDI  Alain Madelin… Rideau !

La plus belle page de la Constitution Française !

 Attention aux changements de dossards en cours de mandature, législature et députation, là où il ne peut-être question de « nouvelles technologies »… La ronéo chez Bordas, laisserait-elle à désirer, au point qu’on se poserait presque la question de savoir si en Turquie, ils n’auraient pas commencé de la même manière, en trifouillant la Constitution… Passer sous une nouvelle étiquette, affiliation politique, n’exonère pas de certains Devoirs de mise en conformité de chaque candidat(-e) avec la « Loi électorale » de la Constitution Française !… Améliorer oui, mais pas « modifier » la Constitution, quant à la changer ou la supprimer… ?

(Hamon2017 – « 49.3 Citoyen » ; Presidentielle2017)

Appliquons d’abord la règle électorale et la loi constitutionnelle qui stipule, exige et mentionne qu’un élu ne peut courir deux lièvres à la fois… Pour être en conformité avec le code électoral, un élu qui s’oriente vers une autre formation politique ou « formule électorale », un champ idéologique différent ou une obédience qui n’est pas affiliée au parti pour lequel il a été élu, doit au préalable le signaler au Conseil constitutionnel et à son parti, avant de l’annoncer officiellement aux médias… En choisissant un candidat différent de celui du parti pour lequel ils ont été élus, les Ministres, les Députés, Maires, Conseillers Régionaux ou Municipaux se retrouvent donc dans le dédoublement de personnalité d’appartenance politique et ne peuvent donc plus être payés par l’État en conséquence… On imagine assez difficilement, Le Guen ou Le Drian, De Rugy ou Pompili, prendre dans les caisses du Parti Socialiste, les fonds nécessaires pour épauler Macron, lui organiser des réceptions, des teufs et des schouilles, lui fabriquer T-shirts et casquettes pour faire comme ça les « arrangent » ! ?…

On ne peut courir deux lièvres à la fois !

En conséquence de quoi, à partir de la date où ils s’engagent pour un candidat différent de celui de leur formation politique, l’État Français ne doit plus les payer puisqu’ils remettent logiquement leur dossard en jeu pour cause de changement d’appareil idéologique d’État avant qu’ils ne soient élus. Ils doivent quitter le PS et l’UDI pour soutenir Macron et se congédier, conformément aux lois, de toutes les indemnités régaliennes et fonctions acquises sous l’étiquette et la baguette de l’autorité « Parti Socialiste » ou « UDI » qui font route pour Macron, « En Marche & Modem », sa bande et plus si affinités !… On n’est pas Socialiste ou UDI pour rien !… « Le cumul de mandats préétablis est disponible avant l’élection » : ça suffit !… Ils ne peuvent continuer d’être payés par l’État au nom du Parti Socialiste et l’UDI par lesquels ils ont été élus pour rester en poste et soutenir, en même temps, officiellement, Macron d’En Marche (identification politique différente), sans risquer un détournement d’intérêt, bien préjudiciable tout de même à notre candidat Socialiste Benoît Hamon (!)… En tous cas, si nous changeons un jour de République et que nous passions à un indice chiffré différent (de la 5ème à la 6ème République) en oubliant toujours autant la Démocratie Française, cette page de la 5ème, certainement la plus belle, celle qui concerne la Règle électorale concernant les changements d’affiliations politiques en cours de mandature, législature ou députation, ne devra en aucun cas disparaître car elle permet de clarifier les positions de chacun et évite toute embrouille de falsification électoraliste pendant les campagnes électorales !… De là dépend, en grande partie, l’Ordre Républicain

Le pire !

C’est que Macron ne devrait même pas avoir le droit de se présenter comme candidat à la présidence de la république Française, conformément aux textes et aux exigences des conditions requises pour l’être, « candidat »… il n’a jamais été élu Maire, Députés ou Sénateur, contrairement aux autres qui l’ont toujours été… Ministre deux fois, peut-être, mais choisi par « Gouvernement Hollande » avec une cote de popularité qui lui est propre… « choisi », « nommé », n’est pas « élu » par la République et la Nation, les Citoyens – Peuple, la Masse… Un seul homme, le Président François Hollande, n’a pas le droit de donner la possibilité à Macron de devenir candidat à la Présidentielle sans que ce macron2017 EnMarche ne soit passé au préalable devant les urnes de la Nation et de la République : élections municipales, législatives, Régionales ou européennes, déterminant les conditions requises, la validité et la capacité d’un(-e) candidat(-e) à remplir la fonction présidentielle et donc en droit de se présenter conformément aux exigences républicaines des textes constitutionnels. D’autant plus que ces Macron, Valls, Mélenchon, Le Pen et Fillon sont loin d’être la meilleure expression du quinquennat Hollande ; de là à devenir leur porte-parole, ou oser prétendre pouvoir le devenir ou supposer l’être avant et après lui, ne sera toujours qu’usurpation de leur titre républicain qui ripe vers le nationalisme… La Nation devient candidate lorsque son prétendant est déjà passé quelque part par les urnes de la République, des élections et des scrutins de listes régionales, locales, municipales ou européennes pour tous les candidats aux présidentielles, en bonne et due forme avec l’ordre constitutionnel comme le stipule la Constitution, il en va de la validité du Chef de l’État à venir !… Macron et En Marche n’ont pas d’existence politique « vérifiable », quantifiable, évaluée, richement fournie ; encore moins juridiquement Constitutionnelle, visible dans les urnes au préalable, même pas aux Régionales – tiens donc, alors que c’est exigé – très chère Constitution Française (!) pour oser pouvoir justifier un quelconque droit d’être en possibilité et en accord avec la loi électorale pour revendiquer sa candidatures aux présidentielles de Bayreuth !

Pour une dizaine de Sénateurs UDI…

(Union des « Démocrates » & « Indépendants »)

Ils doivent déposer leur dossard UDI ou Parti Socialiste dans leurs fédérations respectives pour endosser celui de Macron EnMarche pour Bayreuth ! En conséquence de quoi, tous les salaires qui leurs sont versés par l’État pour leur fonction régalienne, exécutée sous maillot UDI ou Socialiste, seront bloqués le temps de l’élection présidentielle, un mois au moins !… Ça permettra à l’État d’effectuer quelques économies non négligeables… Pour être en conformité avec la loi électorale de la règle constitutionnelle concernant le changement d’affiliation politique en cours de mandature, législature ou députation (!) sans soldes ni indemnités de l’État ; s’avancent devant les urnes chaque élu, Ministre, Députés, Sénateur, Maire et Conseillers qui changent de dossards pour gonfler une équipe adverse !… Épatants tous ces élus, autant du RPR / UDF vers les Fn ou le RPF vers « Debout la France » que de PCF – EELV vers Mélenchon ou des UDI / PS (PCF) qui folâtrent Macron qui ont pu le faire parce qu’ils étaient toujours payés par l’État pour les fonctions occupées par leurs anciennes étiquettes !… Ce n’est pas tant les nouvelles appartenances aux dossards qui se délavent au lavage en cours de route qui dérangent, mais surtout les prototypes, auto-propulsé comme l’est Macron d’En Marche & Modem de Bayrou ou auto-proclamé, comme le fut Mélenchon, sur le Front de Gauche, qui irritent…

Mais Monsieur Bayrou & Valls & En Marche… Emmanuel Macron n’a même pas le droit constitutionnel de la règle électorale avec lui pour être candidat… Le « Conseil Constitutionnel » qui lui a validé la candidature devrait être limogé, purement et simplement !

Falsification d’un ouvrage ?

Les Éditions de la Constitution où figurent l’intégralité des textes de loi, revus et corrigés diffèrent des « originaux » selon qu’on prenne celle de 1969, 1966, 1972 ou, pfff, pfff… Personnellement, la dernière en date et en circulation sur les étagères de la BNU qu’il m’ait été donnée de consulter lorsque j’étais étudiant, début des années 1990, celle de 1968 ou 1969, j’ai pris celle qui était alors à cette époque, annotée et coloriée au stabilo fluo, excitant ma curiosité pour les suppressions envisagées ou déjà l’espiègle travail qui se tramait dessus, comme m’avait d’ailleurs conseillé de le faire, le Maître de l’Institut de Polémologie de Strasbourg, notre vénéré et regretté Julien Freund (aussi Maître en « plaisanteries ») pour voir si « ils » ne gribouillaient pas dedans, les aaronistes (Raymond Aron) aux influences giscardiennes (V.-G. d’Estaing) lepénisées : Le Pen (? !)… Demandant ensuite au Directeur des Collections de la bibliothèque, au chef des étagères des rayons des livres de l’étage qu’on consulte sur place et qu’on n’a pas le droit d’emmener à la maison pour travailler, hors dérogation supérieure spécifique, quelle édition en date d’un exemplaire des plus contemporain – début des années 1990 – serait disponible pour le consulter, me dit que ledit ouvrage est actuellement chez « un particulier » qui travaille dessus chez lui à la maison, dans le but d’Études sur les remaniements de la prochaine Édition chez Bordas ou Hachette !… À l’époque, les Maisons d’Édition étaient très différenciées… Que n’ont-ils supprimés, remaniés en secret ou à huis-clos de toute vérification ? !… Loosers !

Manuel Valls fait une crise de souverainisme depuis qu’il n’a pas digéré sa défaite aux primaires citoyennes !…

« Seule est souveraine la Constitution »,

nous dit la Constitution, fort justement… Pour se présenter à une candidature à une Présidentielle, tous les candidats doivent avoir été au moins une fois présentés aux électeurs devant un scrutin Européen, Régional, Municipal ou Législatif… On ne leur demande pas d’avoir été élu Maire, Conseiller Régional ou Députés ; mais d’y avoir participé une fois… Il en va de la validité de leur candidature et cette condition que ne rempli pas Macron figure dans la Constitution justement pour éviter toute Trumpisation dans nos Institutions ou/et les tentatives de coup d’État politique dans nos sociétés comme y travaillent les Le Pen depuis leur début et Macron aujourd’hui…

La Constitution garantie à la DÉMOCRATIE et aux Citoyens la Règle des lois électorales en matière de changement de maillots en cours de mandature et les conditions requises pour oser prétendre pouvoir proposer sa candidature aux présidentielles auxquelles ne répond pas Emmanuel Macron et n’y répondra sans doute jamais puisqu’il y a peu de chances qu’il se fasse un jour élire Maire, Député (Européen ou National de l’Assemblée) ou Conseiller Régional (Chef de Région)… Les dépôts de dossards et étiquettes des rejetons qui choisissent « Macron & Bayrou » comme le deviennent Robert Hue et Manuel Valls ou Le Drian & Le Guen, De Rugy & Pompili – ne parlons même pas de Madelin – sont à déposer auprès du Conseil Constitutionnel pour que celui-ci puisse mettre en route la suppression de leurs indemnités de l’État Français qui ne peut accepter, d’après la Constitution, qu’ils continuent d’être payés par la Nation et la République pour la formation politique pour laquelle ils ont été élus et mis en fonction par étiquette, affiliation et identification politique « socialiste », « communiste » ou « écologiste » tout en soutenant désormais l’orientation politique totalement différente que propose Macron, En Marche, le Modem et Bayrou, 200 UDI aaronisés, giscardiens lepénisés et un « ancien » du PCF (Robert Hue) ; tout cela en dehors de toute linéarité historique et de toutes règles élémentaires du droit électoral constitutionnel !

La Constitution Française en ses passages concernant la Règle électorale, la loi et ses codes électoraux pour ceux qui changent de dossards en cours de mandature est justement bâtie pour éviter les trumpisations… à juste titre, Macron ne devrait pas avoir le droit de se présenter à la fonction suprême de la présidence de la République parce qu’il ne s’est jamais présenté devant une élection Régionale, municipale, législative ou européenne ; condition pourtant élémentaire pour être « admis »… Ministre deux fois, choisi et nommé mais pas « élu » ce qui n’est pas en accord avec la Constitution !

Et voilà les ravages causés par un socialiste, Manuel Valls qui n’a toujours pas digéré sa défaite aux primaires citoyennes et qui espère bien nous le faire sentir tant qu’il le pourra… Avec les cotes de popularité que Valls & Macron laissent au Gouvernement de François Hollande, les électeurs y regarderont sans doute à deux fois avant de leur accorder leur confiance… Certes, il peut le faire !… Il a le droit de le faire. Mais cela ne le déroge en aucun cas de ses devoirs constitutionnels : il doit le signaler par écrit au Conseil Constitutionnel qui pourra ainsi immédiatement suspendre tous ses salaires obtenus par ses fonctions sous l’étiquette socialiste ; ensuite à son parti… En retour, plus tard, n’est pas certain du tout que Emmanuel Macron lui procure un fauteuil de 1er Ministre !… Deuxièmement, sa prestation intellectuelle aux primaires trois fois n’était vraiment pas d’une grande teneur, ne dépassant que rarement le niveau d’un discours franc-maçonnique d’introduction dans une loge cosmique et mystique !… Maintenant qu’il a pris sa décision, Manuel Valls est un quadruple cancre !…

ps

Hamon2017 Presidentielle2017

T. Piketty n’est pas qu’un économiste, c’est également un fin démocrate capable de surmonter l’électoralisme : Démocratie !

Thomas Piketty n’est pas qu’un économiste, judicieux et fort éclairé, c’est également un démocrate d’une puissance inconsidérée et incomparable qui veut obtenir une cohésion politique pour attaquer ensuite l’objectif des modifications européennes qui nous préoccupent tous. C’est ce qui apparaît à Bruxelles lorsqu’il parle de « mixité entre les Députés nationaux et Européens » et vise à pouvoir régler rapidement les rivalités internes dans les majorités présidentielles, référé aux problèmes qu’ont dû rencontrer certaines fédérations du PS qui obtenaient jusqu’ici une motion minoritaire, jugée irrecevable pour raison de majorité de la motion « nationale », qui pourtant, n’en paraissait pas moins majoritaire intellectuellement… À l’intérieur même du Parti Socialiste de Benoît Hamon, Thomas Piketty surmonte et dépasse les rivalités internes qui plombent depuis de longues années la dynamique des idées, notamment en ce qui concerne la question économique et donne une solution démocratique pour surmonter ces problèmes !… Quel génie !… Quel équilibre… Maintenant que j’y pense, ça paraissait pourtant logique…

Passées les questions de régularité du genre « autant d’hommes que de femmes » – ce qui n’est toujours pas la « mixité » qu’ambitionne Thomas Piketty, on verra bien où conduit leur prétention aux égalités sexuelles -, se posera toujours la question de savoir comment à partir d’un programme politique cohérent, on obtienne les modifications économiques exigées à l’échelle de l’Union européenne !… Ce n’est pas là que se situe l’équilibre démocratique que propose Piketty dans son intervention à Bruxelles aux côté de Benoît Hamon et Yannick Jadot mais bien sur la cohésion interne qu’il peut y avoir dans une formation politique, entre les élections Législatives pour l’Assemblée Nationale et les Européennes, qu’il faut gagner aussi !

Cela suppose et implique que lorsqu’on établit une liste pour les Législatives des bancs de l’Assemblée, soit immédiatement transposé, en indice, le dépêché bruxellois, comme cela, ils auront tout de suite leur candidat pour les élections à l’Union européenne et cela évitera les spéculations humaines inutiles et les guerres de clans… Après lorsqu’à des endroits, dans le pays où les élections sont perdues localement par une équipe politique mais que son appartenance partisane obtient une majorité nationale, cela au moins, n’empêchera plus ces délégués européens mentionnés sur les listes aux Législatives de participer quand même aux Européennes, sous la « direction » des mêmes équipes si elle sont majoritaires politiquement dans leur pays. Évitera aussi par ce fonctionnement, que des perdants locaux se fassent remplacer alors qu’ils étaient « majoritaires » et forts compétents. Obtenir le candidat aux élections européennes dès la parution des Législatives, me paraît un pas important et un lien insécable entre la politique intérieure et celle appliquée en Europe, comme le propose Thomas Piketty ; surtout lorsqu’à travers une majorité politique, on peut obtenir des modifications économiques sur l’échiquier européen et pour que la dynamique interne du parti soit préservée derrière Benoît Hamon.

EÉLV - GUE:NGL

#Hamon2017 #GrandDebat #BHBruxelles

Du Grand Hamon à Bercy

Après avoir fait un pas de géant avec l’écologie à Bastia, repris Mendès à « Macron & Bayrou » l’autre soir à Nice, voilà qu’à Bercy, Benoît Hamon réalise un discours d’une amplitude considérable qui rassemble les Socialistes des Gauches !… Y aurait-on vu Manuel Valls que ce ne serait pas étonnant, un Manuel Valls qui pour l’instant ne prend pas encore position, même si le contour de son choix semble tracé d’avance, il à le mérite de laisser pour l’instant le débat encore ouvert entre Benoît Hamon et Emmanuel Macron… Pour peu que se fissure cette muraille économique giscardienne, Benoît Hamon pourrait remporter un autre bras de fer !

Christiane Taubira, Najat Vallaud-Belkacem, Marylise Lebranchu, Marie-Noëlle Linneman, Emmanuelle Cosse, Cécile Duflot, Cambadélis, Vincent Peillon, Arnaud Montebourg, Aurélie Philippetti, Julia Cagé et Thomas Piketty, Anne Hidalgo, Martine Aubry… ça suffit plus twitter pour citer tout le monde !… Benoît Hamon ça ne tient pas en 144 caractères !… Il en faut plus… bien plus qu’un Bercy !… Creuseront ensuite les spécialistes, la prouesse d’une conférence de presse d’1h47 quelques jours auparavant, où Benoît Hamon – vainqueur « par deux fois, à la primaire et aux parrainages » dira Cambadélis -, détaillait l’ensemble de son programme avec une rare minutie, aux limites de l’exceptionnel !… rare, trop rare !

Benoît Hamon est le plus socialiste des socialistes :

– partage du pouvoir avec l’Écologie

– intervention sur l’économie par le capital

– valorisation humaine (service public, éducation, professions, valeur travail…)

De la « Restauration » comme pour donner la réponse qui faisait tant défaut la veille à Philippot en réponse à la question de Yann Moax la veille chez Ruquier sur ce qu’il y aurait après Danton et Robespierre, à la « manif pour tous » ; des « versaillais » aux « anti-dreyfusards », l’histoire pourrait nous répondre et oser dire à la postérité « trop de droites, tellement de droites qu’elles en deviennent dures, si dures qu’elles iraient même jusqu’à s’insinuer derrière un centre extrême ou mou ! »

… En ce qui concerne les « candidats de l’argent » :

Benoît Hamon à Bercy ne vise pas plus Le Pen que Fillon ou Macron, vraiment pas de quoi s’irriter, à moins de se sentir directement concerné et fautif !

« Macron & Bayrou », fillon ont peut-être le sens des affaires mais Hamon2017, il a le sens de l’Etat !

Finalement le seul ancêtre dont « macron & Bayrou » pourraient se revendiquer ne serait-ce pas Giscard ?

hamonbercy en appel à un vote partisan… les gauches ont rendez-vous avec l’Histoire… c’est celle du Socialisme, de sa phase transitoire…

La candidature de Hamon2017 n’appelle pas qu’à l’unité des gauches mais à l’unité de la nation toute entière !

Changer le climat social !…

Prends les Gauches… toutes les Gauches avec toi Benoît !

Ce libéralisme « Valls & macron » est sorti par la porte à la primaire et voudrait maintenant entrer par la fenêtre !… rappelait le matin pour LeGrandJury Aurélie Philippetti…

Après hamonbercy Hamon2017, on pourra demander au Melenchon 18mars2017 si le dégag(j)isme est un humanisme ? !

partisocialiste taubira

@aurelifil

#hamonbercy

#Presidentielle2017

ps

J -39/40

On est Socialiste ou on ne l’est pas !

Ils respectent le résultat de la primaire PS ou ils ne les respectent pas…

François Hollande a décidé de transmettre le pouvoir au lieu de le conserver… Sa démarche de transmission du pouvoir marque un tournant pour les nouvelles générations au Parti Socialiste appelées au réveil de la phase transitoire du Socialisme tout en espérant qu’elles ne sombrent pas dans les lambeaux de l’empire giscardien ; ces vieilles méthodes du passé tant décriées…

Mais ce n’est pas simple d’inverser le processus économique des programmes de son prédécesseur… pas simple de se retrouver autant dépendant du MEDEF… pas simple de décider de transmettre le pouvoir au lieu de le conserver comme le font la plupart des politiques nationalistes d’extrême-droite en Europe… pas simple de voir ses socialistes suivre « Macron & Bayrou » comme pour se giscardiser…

Il en aura essuyé des caricatures démesurées François Hollande : de la caisse à outils au capitaine de pédalo en passant par Flamby…

On ne peut penser, ni comprendre Benoît Hamon et Yannick Jadot ou Arnaud Montebourg aujourd’hui, sans mesurer le chemin parcouru par l’écologie depuis Mitterrand et Brice Lalonde hier !… Saisissez-vous l’importance historique et majeure d’une telle avancée politique réelle ?…

Le coût du nucléaire c’est aussi une équation humaine puisque Benoît Hamon établi à Bastia qu’il est temps de « penser l’économie énergétique pariant sur le vent (l’éolien) et le soleil (le photovoltaïque), à partir de laquelle pour un emploi dans le nucléaire, peuvent en être multipliés six dans ces énergies dites nouvelles pour produire la même quantité d’énergie ! »

… à Bastia Benoît Hamon faisait un pas de géant avec l’écologie, ce soir à Nice, il reprend Mendès à Macron et aux droites… épatant !… exceptionnel !… Rare, très rare… trop rare !

Benoît Hamon avance calmement ses arguments en faveur de modifications structurelles et fonctionnelles de la société, du marché du travail, des répartitions budgétaires ; une forme nouvelle qui distribue de la vie !…

Assurément, Benoît Hamon acquiert à chacune de ses interventions une emprise intellectuelle qui fait défaut à tant de candidats.

Les Accords scellés entre Benoît Hamon et Yannick Jadot en plusieurs points détaillés ouvrent un nouvel avenir au Parti Socialiste et empêcheront en même temps de voir EELV sombrer dans l’oubli de l’histoire maintenant que tous les partis politiques, en course, parlent désormais tous d’écologie !

Le texte des accords principaux est d’une bonne mixité entre les socialistes et les écologistes.

Tout en précisant toujours en quoi il se différenciait de la politique de François Hollande, au respect des barrières fixées par le Président Hollande pendant ses services dans le gouvernement, Benoît Hamon explique aujourd’hui en quoi il veut les déplacer pour modifier certaines orientations primordiales avec Yannick Jadot, Christiane Taubira, Vincent Peillon, Arnaud Montebourg, Martine Aubry et Najat Vallaud-Belkacem… Les Gauches… le Socialisme…

Le PS construit à gauche, s’ouvre au centre extrême ou mou et écrase la droite tout court !

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Benoît Hamon et Yannick Jadot ce n’est pas Mitterrand – Brice Lalonde, Antoine Waechter ou Dominique Voynet !… C’est mieux, bien mieux !… Saisissez-vous l’importance historique et majeure d’une telle avancée politique réelle ?…

Cela n’enlève rien à l’autorité intellectuelle de l’écologie réelle sur l’éventuelle commercialisation de l’apocalypse parfaitement intégrée dans le capitalisme outrancier…

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De François Mitterrand, je me souviens surtout en 1981 de 4 millions 1/2 de Communistes de Georges Marchais à côté des 7 millions 1/2 des Socialistes qui, du point de vue démocratique, méritaient mieux que trois confettis de compensation !… Mais, blague à part, aujourd’hui, Benoît Hamon dépasse tout cela, va bien plus loin que le simple rapport de domination et tient compte des proportionnalités qui n’auraient pas été respectées par le passé… Les Socialistes lui doivent l’unité aux yeux des militants car il serait révulsant de voir une partie des caisses du PS partir dans la poche de Macron ; Valls s’enfuyant avec la cagnotte, qui sait ?… peut-être même celle des Primaires !

La « tentation Macron »

Manuel Valls les y aide beaucoup !… lui qui s’est planté deux fois aux primaires socialistes, se juge dans le droit légitime de ne le mettre à valeur que de 10%, histoire de le décrédibiliser et lui montrer qu’il n’a pas digérer sa défaite contre Hamon… Mais Benoît Hamon navigue entre 18 et 19% dans les meilleurs sondages alors que pour Valls, les dernières cotes de popularité atteintes frisaient les bas-fonds du néant chiffré…

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Peut-on réellement, devrait-on sincèrement parler d’aile droite au partisocialiste ?

La Gauche ne peut se dynamiser par l’identification à une « aile droite » du PS… Le partisocialiste ne s’est jamais défini politiquement par une aile droite ou alors il changerait d’Histoire et chercherait ainsi à s’inventer un centre de gravité éloigné de la phase transitoire du Socialisme à laquelle il est toujours promu… Cette « histoire » d’aile droite du PS doit être une construction médiatique et l’oeuvre d’une vulgarisation Politique qui ne peut servir que les droites réunies en une seule par sa même extrême ; au contraire il serait plus cohérent de parler d’un versant centriste parce que la « droite », on sait ce que la Gauche en pense !… Du PS aussi, diraient les plus arrogants mais aux vues des quantifications dans l’opinion publique obtenues par le Gouvernement, proches des bas-fonds ; Valls , LeGuen et Bartolone feraient mieux de faire confiance au candidat sorti vainqueur de la Primaire et épauler son équipe présidentielle pour ne pas sombrer dans des conversions giscardiennes avec le flanc MacronBayrou auxquelles ils n’appartiennent pas, sans quoi ils se seraient inscrits à PrimaireDroite .

Le Parti Socialiste construit à gauche, s’ouvre au centre extrême ou mou et écrase la droite tout court !

– ce n’est donc pas d’une appellation médiatique « aile droite » dont il s’agirait avec Benoît Hamon mais éventuellement de l’aménagement possible d’un versant centriste le long des remparts socialistes !

Presidentielle2017 Hamon2017

Il était fort à parier que Manuel Valls digère mal sa défaite aux PrimairesCitoyennes… Défaite toute tracée par sa piètre prestation au débat du 2nd tour où il semblait réciter un texte appris par coeur, ne faisant jamais preuve de discussion libre… le parfait souverainiste !… n’oublions pas aussi qu’il était le plus mauvais résultat à la Primaire de 2011, juste avant Baylet… Rebondir avec Macron maintenant, risque de le transformer en giscardien !

Il en aura essuyé des caricatures démesurées François Hollande : de la caisse à outils au capitaine de pédalo en passant par Flamby…

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« Démocratie » dès le 1er tour !

Certes, nous fonctionnons dans une démocratie qui procède en éliminant par scrutin uninominal majoritaire… Mais avant de définir ses alliances comme celle de « Macron & Bayrou », cette démocratie devrait d’abord les quantifier sur la table de vote au 1er tour en les additionnant ce qui suppose que tous les membres d’une alliance politique doivent concrètement disposer de leur bulletin de vote lors du 1er tour pour donner :

« EnMarche » = % Macron + % Bayrou

« FranceInsoumise » = % le parti de gauche du J.-L. Mélenchon + % PCF du Pierre Laurent

« FaireBattreLeCoeurDeLaFrance » = % de Benoît Hamon du parti Socialiste + % des écologistes d’EELV + %… + % … + % …

La Démocratie Française devrait exiger que ces additions soient visibles sur la table du 1er tour pour évaluer concrètement de combien se cachent, derrière les favoris, les plus petits candidats sans avenir politique.

ps