Extrême-droite ? ➤ Gauche analytique !
Vous avez dit « extrême-droite » ?… Gauche analytique !
Encore une fois, énorme colère en constatant que devant le cadavre d’un manifestant, les droites extrêmement malpolies (Ump et Fn) n’ont rien d’autre trouvé de mieux à faire que de s’inventer une gauche toute aussi pourrie que la droite en aurait une d’extrême en ses valises et casseroles pourtant devenues les principales fournitures du jihadisme financier !
Pour mieux cacher leur extrême-droite, ils s’inventent une « extrême-gauche » qui n’a jamais existé… du moins qui ne s’est jamais appelée ainsi… IVème Internationale oui, mais pas extrême-gauche ! La Vème étant du vol pur et simple… De toutes façons, la Vème Internationale « socialiste » (qu’est-ce que ça vient foutre là-dedans ‘socialiste’ ?) n’a plus aucune validité et encore moins de légitimité si ce n’est que de rester dépendante des droites réunies en une seule par sa même extrême bancaire !
Quand vous entendez « extrême-droite »…
Hypnotisez-les avec ce « marxisme analytique » !
Non mais qu’est-ce que c’est que cette connerie que d’essayer de comparer ou d’identifier des groupes d’action intellectuelle, issus d’une analyse historique, répondant aux agressions innommables et innombrables, répertoriant d’inavouables guerres, voyant s’accumuler les massacres et les assassinats à des courants politiques « extrêmes » ; si ce n’est pour mieux les répertorier et les réprimer alors qu’à gauche ont s’est toujours positionné comme la réponse légitime aux agressions fascistes armées et institutionnalisées ?… ils ne peuvent se faire qualifier de terroristes. Si ils le restent (Öcalan – PKK), c’est bien qu’une sorte de discours avec médias cherche à mieux les museler parce que leur politique a toujours été réprimée, n’a jamais voulu être reconnue par la version erronée (officielle) de l’Histoire qui dévie la rigueur intellectuelle vers des systèmes économiques encore plus déviants en utilisant des politologues irréfléchis…
Absurdité intellectuelle ?… Construction imaginaire des réalités politiques destinée à faire déprécier, en le dévalorisant, pour mieux l’invalider, son « adversaire » (à gauche) politique, babptisé « ennemi » (à droite) ?… Ou tout juste une simple construction merdiatique organisée par le travail de sape des vocations à niveler l’opinion publique pour mieux la diriger, l’orienter, la conseiller ou la dominer ?… Toujours est-il qu’historiquement, on ne peut pas et on n’aurait jamais dû parler d’extrême-gauche étant donné que celle-ci n’a jamais existé puisque n’ayant jamais existé car émanant d’une hypothèse des boîtes de communication mises au service du développement de la manipulation politique et des propagandes. Les droites en son extrême oui, elle, elle est « nationale » cette extrême de droite, tandis que cette soi-disante extrême-gauche, dans une tentative de comparaison ou d’identification à ça, est une Internationale avant tout et n’a jamais prétendu être « nationale ». Attention !… Le nationalisme aurait tendance a devenir international en Europe mais aucune comparaison possible puisqu’au départ les simples gauches et droites n’ont pas le même sens politique. Aujourd’hui, à l’arrivée, pour le pouvoir et les buts économiques, ces droites et ces gauches classiques ou modernes (« évoluées » ça m’étonnerait), par devoir, on devrait les dissuader d’aller dans le même sens !… Mais ce n’est même pas une « gauche » quelconque ou extrême à laquelle les politiques institutionnalisées ont toujours cherché à la réduire cette situation organisationnelle parfois même considérée comme « nébuleuse gauchiste », contestataires ou frondeurs. Pas plus que ce ne sont des « grandes gueules » ou des agitateurs puisqu’à chaque fois que dans l’Histoire, ce groupe politique indéfini, en dehors de son Internationale est intervenu, ensuite, se sont malheureusement greffés dessus, chaque fois hélas, des partis sociaux-démocrates, du communisme d’État-nation, des républicains, des socialistes, du loyalisme, du libéralisme, de l’ultra, de l’hyper… mais jamais le Communisme ou l’Internationale communiste n’a obtenu les fruits de ses réflexions, de ses Résistances, de ses luttes et de ses résultats intellectuels pour les appliquer ; toujours récupérés ou devancés par des structures politiques mieux « armées » et une bureaucratie étatique propice à chasser et bloquer toute tentative d’évolution dans cet esprit du capitalisme économique armé !… Parce qu’alors là, ces armées… ces bras armés du capitalisme, si c’est pour nous montrer que ce sont les armées les plus grotesques que la terre a eu à supporter à cause d’un Erdogan daeshé, c’est vraiment pas la peine !… Encore moins si il s’agit de retrouver des accrocs de la DGSE dans une cellule al-qaida prêts à muter jihadiste tandis qu’il vaudrait mieux enquêter sur la filière turque mise à jour par les trois Jeunes syriens, à peine écoutés et bien vite incarcérés, réduits à l’oubli alors qu’ils devraient servir d’éclaireurs pour bloquer les passages de la Turquie vers la Syrie ou l’Irak qui conduisent aux gangs jihadistes.
Là où subsisteraient encore quelques questions terroristes résiduelles d’hier, maintenant levées depuis la visibilité d’une reconnaissance de l’autorité militaire enfin accordée aux combattants de Kobanê, que ce soit avant en Espagne, ou maintenant au Kurdistan, chaque fois ce passage de la paix civile à la lutte armée est déclenché par une agression militaire extérieure… Le daesh, le fascisme… Hier en Espagne, des centaines de villages victimes d’exactions ; aujourd’hui au Kurdistan, un cessez-le-feu derrière lequel court le PKK mais que le pouvoir d’Erdogan aimerait bien briser pour laisser Öcalan en prison et ne jamais songer un seul instant que c’est avant tout un politologue maintenant qu’il a dû mettre sous sa botte l’Institut des sciences Politiques de la Faculté d’Ankara pour s’assurer dorénavant d’une supériorité intellectuelle qui ne correspondra jamais aux réalités… Chercher à rompre un cessez-le-feu est d’une violence inouïe… C’est un acte militaire de la plus haute hypocrisie passible des plus hautes Cours martiales !… Une innommable violation des droits humains de populations prêtes pour la paix en poursuivant leur révolution syrienne, cherchant à refouler des incursions colonialistes ou des autorités militaires dont elles n’ont pas à dépendre administrativement. Cela n’empêchant pas de faire alliance (Hezbollah) avec ceux qui combattent le daesh puisque c’est d’une guerre dont il s’agit… D’un combat contre la finance avant le daesh qui devrait obligatoirement se transformer en guerre au capitalisme pendant et après ce daesh !
Par conséquent cette « extrême-gauche » soupçonnée ainsi ne peut, qu’en toute évidence et en toute confiance, que s’appeler « à venir et avenir » et être une réponse extraite du dépassement des nationalismes ainsi que la remise en équilibre des méfaits laissés par les économies militaro-industrielles.
Alors vouloir utiliser le terme d’extrême à, disons, des organisations indéfinies ou qui ne se sont jamais définies comme extrêmes, juste parce qu’elles ne veulent pas sombrer dans le nationalisme étatique (État-nation) et parce que cette appellation correspond si bien aux droites nationalistes ; c’est vraiment chercher à vouloir les caricaturer pour mieux les rejeter et en même temps commettre l’erreur qu’il n’aurait jamais fallu commettre, c’est à dire, d’en refuser jusqu’à leur la retirer, l’autorité intellectuelle et l’analyse historique qu’elles représentent, revendiquent et que continue de confirmer la prégnance des guerres au fil des crises… et des emprisonnements arbitraires pour motifs politiques.
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