L’écologie est une histoire politique, économique, sociale et culturelle.

Il faudra bien, à un moment donné, lorsqu’apparaîtront des projets de transformation des programmes de politique économique pour arriver à plus d’écologie humaine et de gestion collective que nous en ont apportées jusqu’ici les politiques libérales, au bout de 48 ans du rêve américain entamé par Giscard, que nous nous tournions vers une force politique collective qui traduise dans ses projets, les indispensables transitions voulues par la politique écologiste. Ce ne sont ni Giscard, ni Le Pen, ni Mitterrand – pas même De Gaulle – qui ont défini la spécifié de l’économie française qui nous était enviée par le monde entier. Elle a beau commencer à se structurer au volet économique de Nuremberg, cette économie, pour évoluer avec les programmes de politique économique et sociale du bureau rond des Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales du Conseil National de la Résistance, à partir du moment où le capital patronal des banques privées vient à hauteur de 25% de ses fonds pour le financement de la Sécurité Sociale et des Caisses de retraite, il n’y a aucune raison qu’1/4 de siècle après, pour Giscard, toute la gestion soit confiée uniquement à des banques privées du capital patronal ; nos unités productives d’exploitation sans patrons ni banques privées des Caisses Municipales de gestion collective, vouées à l’oubli de leur importance réelle par la part, pourtant si importante, qu’elles avaient sur cette garantie d’un équilibre économique certain, entre le capital patronal des banques privées et la gestion collective par la Caisse Municipale des unités productives de tous les Corps de Métiers, de leur Caisse de retraite, jusqu’à leur Sécurité Sociale et les investissements dans les équipements collectifs.

Revenir à la gestion collective d’un quart de siècle qui garantissait en partie, la forme d’équilibre économique française où le capital patronal était maintenu à distance ; ce système d’équilibre, avant que Giscard, Le Pen et Mitterrand l’ont enfoncé et piétiné pendant 50 ans, parce que depuis cette époque, tout est confié au capital patronal des banques privées, ce système, ce n’est pas n’importe quelles bannières politique et syndicales qui peuvent le restituer pour la nécessité du défit climatique et l’irréversibilité de l’urgence qu’il y a, à transformer nos programmes de politique économique, devant nous conduire vers une gestion collective politique et une écologie économique humaine.

Quand pour la reprise du travail en mai 1968, on demande aux arrivistes directionnels soixante-huitards de la Sorbonne de laisser en Province, dans les Départements, les Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales, procéder avec les Conseils d’Administrations des entreprises du capital patronal des banques privées, à la réalité d’un vote qui puisse choisir, après la crise sociale, politique et culturelle de la mobilisation collective de « mai 68 », si les entreprises préféraient vraiment rester sous la domination d’une gestion patronale des banques privées ou voulaient s’orienter vers la vie et la gestion collective de la Caisse Municipale qui avait aussi ses actions boursières, mais « collectives – municipales », affiliées aux unités productives qui fabriquaient aussi des « richesses » et produisaient des équipements collectifs ; sûrement pas pour engendrer des « patrons politiques » ou de l’extrême-droite. Pire ont fait ces arrivistes directionnels sorbonnards par la suite, en entrant eux-mêmes en politique avec les banques privées du capital patronal, tournant volontairement le dos au versant politique que constituait ce choix économique de gestion collective en Caisse Municipale, depuis la Sécu et les caisses de retraite, jusqu’à l’écologie politique naissante de René Dumont qui ne voulait ni de Giscard, ni de Le Pen, ni de Mitterrand en 1974, mais optait déjà pour une coalition visible sur la table de vote de chaque bannière écologiste, socialiste et communiste pour en additionner l’étendue électorale pour obtenir la puissance politique totale qui franchira le 1er tour et gagnera le second, en définissant par le résultat du soir de ce 1er tour, qui remplira la fonction de directrice ou de directeur du bureau rond présidentiel, municipal, régional et législatif, entouré des Conseillers sortis des urnes de la même Coalition de départ qui ouvre finalement, la porte aux règles démocratiques essentielles qui demandent le respect des étendues électorales de plusieurs bannières politiques et syndicales, voulant travailler ensemble sur un projet de programme économique de gestion collective et d’écologie humaine : s’il ne traduit que l’espoir d’un seul parti qui penserait remporter le tout, en présentant une candidate ou un candidat unique au 1er tour, n’est-ce pas déjà perdre une partie d’électrices et d’électeurs, rien que par le manque d’esprit collectif que matérialiserait une telle décision de départ pour affronter le 1er tour ? Les bannières ont leur chance et se définissent par leur étendue électorale qui se traduit dans les urnes par une addition de %, pas par des alliances de dessous de table et de petits arrangements entre amis préalables pour arriver à dissoudre la multitude en une seule chefferie de type Macron / Bayrou, un seul patronage ou une seule direction politique comme pour ces sinistres Municipales 2020 d’un 2e tour improbable mais pourtant réel où LREM, LR et le PS qui vote Macron, tentent de faire barrage à la dynamique écologiste, voulant par tous les moyens se l’approprier en faisant des résultats de la Convention Citoyenne pour le Climat, l’outil commun électoral pour le second tour du 28 juin, parce que ce serait plus simple – avec eux ou plus facile si on les oubliait – de transformer ou d’entretenir l’économie ; et pourvu que chacun y donne le meilleur de lui-même, surtout si c’est uniquement pour les poches du capital patronal des banques privées !

L’économie qui sera au service d’une gestion collective et qui ne fera pas l’économie de l’écologie – au sens d’économiser – mais avancera concrètement sur certains rééquilibrages économiques, plus en lien avec un développement réel d’activités productives, qu’avec l’unique augmentation des dividendes, où finalement ne fonctionnent que ceux qui travaillent sur l’économie volatile à partir de laquelle ils fixent leur salaire, leurs prises de bénéfices, l’élaboration de leurs dividendes ; ne pourra qu’être écologique, humaine et sociale, fraternelle et collective… puisqu’on a appris pendant 25 ans à la pratiquer, à l’oublier pendant 50 années où Giscard et ses successeurs ont pu faire ce qu’ils voulaient, même renvoyer aux cagibis des vestiaires, les Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales, en faisant renaître et en l’acceptant dans les urnes, une extrême-droite qui n’avait pourtant plus rien à y faire, depuis nos engagements avec les lois de Nuremberg et la gestion d’unités productives collectives, sans patrons ni banques privées !

En quoi consiste l'écologie politique ? | Cairn.info

Au bout de 3 mois de confinement dans l’année…

Les trois mois de confinement passés à entendre s’égrainer les arguments des économistes et des politiques, venus expliquer un système qui n’a pas de réponse, autre que celle de reproduire les mêmes solutions qu’ils ont l’habitude d’utiliser dans les crises économiques fréquentielles, habituelles, récurrentes ; oubliant, dès le départ, que la Covid19 n’était pas une crise économique « normale » et qu’elle dépassait largement l’amplitude de la machine économique de base productive qui concerne les entreprises, considérée à partir des banque privées du capital patronal qui compte bien récupérer ses « trois mois » de perdu, là où il n’y a rien à perdre, ni à gagner, étant donné que rien n’était produit durant cette période, à l’échelle des capacités productives des entreprises en arrêt total ou partiel de l’activité ; le tout, système économique en arrêt total ou partiel, reposant sur les secteurs qui ont encaissés une surcharge d’activité liée à l’afflux des patients et au maintient, à la fois, de l’approvisionnement alimentaire, tout en respectant les consignes de distance, les gestes barrières dans la mobilité des populations.

Là où les TPE et PME doivent supprimer 3 mois dans leur cahier des charges et leur comptabilité pour faire passer directement leur gestion annuelle de février à juin – puisque ces 3 mois n’existent pas dans la vie de leur entreprise – ; il n’est pas certain, qu’en retour, le capital des banques privées voit les choses d’un même oeil, surtout lorsque formés à l’endettement, leur offre de prêts et de crédits précise qu’il faudra rembourser et donc, maintenir le couperet éventuel et toujours possible des liquidations judiciaires, alors qu’il faudrait « fermer » les bureaux de dépôts de bilan et de cessations d’activité jusqu’au 1er janvier 2021, le temps d’apporter un peu d’équilibre entre la période de l’été et celle de fin d’année, par rapport à l’amputation sévère du bloquage de l’économie qui ne nous apprend pas s’il faut redouter le chiffre d’affaire qui diminue ou craindre la pandémie qui risque de frapper chacun d’entre-nous ?… Pas sûr qu’en retour, les holdings, les multinationales et l’ensemble des banques privées du capital patronal, acceptent de supprimer 3 mois calendaires de leurs espérances de gains sur l’ensemble de l’année alors que ces 3 mois n’existent pas, ni pour les entreprises qui ont dû s’arrêter de produire, ni pour la structure qui attend des dividendes, de l’enrichissement et du chiffre d’affaire sur lesquels, évidemment, dépendent des coûts de gestion, les salaires du personnel bancaire ou des frais divers. 

Si le même produit bancaire est vendu et travaillé par cinq banques privées différentes puisqu’elles fabriquent sensiblement les mêmes services (assurances, immobilier, actions boursières), il servira automatiquement 5 fois plus aux prélèvements des actionnaires et aux frais de fonctionnement interne de ces différentes banques privées, tandis qu’après unification de tout le système des banques privées, on arrive à une gestion horizontale qui peut regrouper et augmenter le volume d’affaire de manière générale. Voir affluer des capitaux qui se subdivisent 5 fois en 5 banques privées au préalable, les amoindrissent d’autant, notamment lorsqu’ils servent à nourrir les millionnaires et les milliardaires. Nous n’avons jamais empêché les gens de devenir riches, mais que les très riches veulent encore devenir plus riche qu’ils ne le sont déjà, ne viendrait même pas à l’idée de 99% de la population, d’autant plus que ces fonds de capitaux résultent bien souvent de longues années d’efforts de nombreuses entreprises sur le travail de toutes et tous, voire sur des liquidations judiciaires de secteurs économiques entiers comme la filière bois et le textile pour récupérer des capitaux nécessaires au développement des secteurs de pointe comme le nucléaire et la privatisation de la SNCF. Si on parle de « crise climatique », il va de soit qu’une grosse part du capital devrait depuis longtemps s’y orienter pour investir, là où les risques du réchauffement climatique sont les moindres et non pas pour poursuivre l’investissement et les placements de ses aides publiques vers le régime des hydrocarbures, du nucléaire et de l’aérospatiale. Alors se pose rapidement la question de savoir « quel programme de politique économique de gestion collective et d’écologie humaine » on veut pour espérer amortir le dérèglement climatique et le possible effondrement des espèces ?… Sûrement pas des multinationales, des holdings, des lobbies et des banques privées nationales et étrangères qui voudront récupérer leur 3 mois de bénéfices perdus sur les entreprises qu’ils gèrent ; qui elles, auront beau produire 3 fois plus, n’est pas obligatoirement garantie l’écoulement de l’intégralité de leur surplus de production de marchandise sur les marchés. Alors faudra-t-il dépêcher des inspecteurs aux comptes pour vérifier que la haute finance des millionnaires et des milliardaires, enlève aussi 3 mois dans ses exigences et ses contraintes, appliquées à la gestion sur les entreprises qui travaillent pour elles, après cette difficile année déstabilisante du confinement dû au Coronavirus 2019, de ce manque à gagner de trois mois pour tout le monde pour que l’amortissement général collectif remonte jusqu’aux premiers de cordée ?

Fermeture des écoles : les mots pour rassurer vos enfants et en ...

Crise des pleins pouvoirs !

Munissez-vous d’une bonne armature intellectuelle pour affronter la crise du capitalisme mondiale qui menace des ouvriers, des employés et des cadres de quelques entreprises qui passent à l’euthanasie malgré les plans d’aide du gouvernement pour les sauver de la crise sanitaire de Covid 19. Peut-être même à long terme, dans les 2 ans qui viennent, une ou plusieurs des banques privées du pays qui peuvent risquer d’être sacrifiées comme un Crédit Lyonnais dans le but de poursuivre une récupération de capitaux que le développement habituel devait permettre d’obtenir mais qui n’ont pu être fournis, donc indisponibles. Moins 3 mois d’intérêts, de dividendes et d’enrichissement pour le capital patronal des banques privées ; ça n’a pas du leur arriver souvent, depuis ce 1/2 siècle où Giscard a décidé qu’il mettait fin à la gestion collective d’unités productives d’exploitations sans patrons ni banques privées des Caisses Municipales qui, tout en maintenant à distance le capital patronal, garantissaient une part certaine de leurs bénéfices, directement dans les investissements pour le développement des équipements collectifs (écoles, piscines, théâtres, bibliothèques, voirie, stades sportifs, hôpitaux civils, ateliers techniques municipaux des communautés urbaines) et l’existence des Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales. Sans cette structure de gestion collective par Caisse Municipale, le rêve américain giscardien nous aurait écrasé depuis 74 ans mais ça n’en fait que 48 ans qu’il s’est débarrassé de 25 années de contre-poids économique qui assurait l’équilibre économique entre le capital patronal et la gestion collective différenciée des Caisses Municipales.

Les fera-t-il ses « moins trois mois », le patronat, ou se contente-t-il de répartir en moins un, moins deux, voire même ne rien répartir du tout et ne faire que récupérer son manque à gagner des 3 mois de confinement sur les entreprises pour perdre le moins possible de son rendement individuel ? Auquel cas, on se retrouverait avec « moins 5 » pour les entreprises au lieu de « moins 3 » et seulement « moins 1 » pour le patronat ; « moins 4 » pour les entreprises et seulement « moins 2 » pour le capital patronal des banques privées. Alors comment ce capital patronal des banques privées va-t-il récupérer, amortir, pour finir au bout du compte par se décharger de ses 3 mois de disette qui lui appartiennent ? De quelle manière en considèrera-t-il la perte pour lui, dans sa propre tranche sur la prise de bénéfices et de dividendes qu’il escomptait, puisqu’il ne pouvait rien demander pendant la période d’arrêt total d’activité, ne pouvant compter que sur les taxes et charges salariales ou patronales du chômage partiel, accommodées au télétravail ou en service total ; déterminera la technique qu’il utilisera pour creuser ou amortir l’austérité, poursuivre ou stopper les licenciements, développer ou freiner une politique pour le climat, renoncer ou poursuivre des projets de développement écocides, favoriser ou exclure l’aide publique pour le financement des multinationales des hydrocarbures ?

La roue libre du capitalisme financier est connue depuis les dangers accrus pour le réchauffement climatique des accords commerciaux dits de « libre échange ». Bien que Giscard en annonce précocement la couleur, dès la préparation de ses projets présidentiels de transformation du système économique français, avec tous les programmes de politique économique qu’on lui connait, « en 1980, les poches sont vides » n’est pas qu’une boutade !… La gestion collective disparait. Le contre-poids au capital patronal des banques privées qu’incarnaient les unités productives d’exploitations, sans patrons ni banques privées, en gestion collective avec les Caisses Municipales, disparait, tué en pleine expansion, ne laissant la place qu’aux patrons politiques qui se succèderont après lui, changeant et inventant de nouveaux noms politiques pour entrer dans cette politique qu’ils convoitaient tant, avec le capital patronal des banques privées, comme on changerait de cru ; voire la même banque privée que celle du FN des Le Pen d’extrême-droite de 1972, RPR 1976, UDF 1978, PS 1969 en premier. Facile ensuite de fabriquer 2 banques privées supplémentaires à partir du braquage des actions collectives municipales boursières qui appartenaient à la gestion collective de la Caisse Municipale qui avait son propre accès direct à la Banque de France, parallèlement à celui du capital patronal des banques privées. À partir du moment où cet équilibre économique, entre la gestion collective de Caisse Municipale et le capital patronal des banques privées, n’est plus établi ; il devient difficile de défendre des ouvriers ou des équipements collectifs, de maintenir la pression pour que toutes et tous obtiennent de bons salaires, de bon services publics, que les petites activités productives puissent le rester.

Tout est dans ses mains au capital patronal des banques privées et il tiendra compte comme il l’entend, à son bon vouloir, des notions de gestion collective qui assuraient naguère l’équilibre économique. Toutes les lois sont de son côté. Mais qu’au sortir d’une crise majeure de gestion pour cause de pandémie, exclure qu’on puisse remette en cause une réaction tardive qui ne vise qu’à reproduire le système économique d’avant le covid19, semble évident. Vouloir encore considérer la crise sanitaire de Coronavirus comme une simple crise économique classique, fréquentable, habituelle, ne tient pas encore compte de l’ampleur de toute la machinerie financière qui s’est retrouvée grippée. Rien ne peut imaginer qu’un jour les pouvoirs publics reprendront la direction centrale et générale de toutes ces banques privées, au titre de la gestion collective qui sortait des programmes de politique économique et sociale du bureau rond du Conseil National de la Résistance, de tous les Corps de Métiers par la Sécurité Sociale et jusqu’aux caisses de retraites, non pas pour éloigner le patronat, mais pour s’en rapprocher. Aujourd’hui, il ne reste plus rien à rapprocher, le patronat a tout pris ; non pas pour mettre en rivalité, en concurrence ou en confrontation, mais pour dominer outrageusement toute possibilité de politique collective de coalition de différentes bannières politiques, étant donné qu’il va même jusqu’à fabriquer ses candidats municipaux, législatifs et présidentiels. Si déjà au départ, le banquier devenu Macron, n’informe même pas des possibilités offertes par la Constitution en cas d’économie de guerre, il y a peu de chances que la gestion profonde du système bancaire s’en trouvera modifiée pour aller vers l’unification de toute les banques privées et obtenir la même plate-forme économique, accessible à toutes et à tous, qui fera de l’économie, de l’investissement, de l’emploi et des salaires, du développement et de la gestion ; un vrai service public.  

Le 1% patronal : conditions, taux et durée du prêt

Macron a raté son économie de guerre, retrouvons le modèle économique français !

Au lendemain du deuxième conflit armé mondial, entre nazis, soviétiques et pays européens de « collaboration active » du capital patronal des banques privées, encore présents au renversement du volet économique de Nuremberg, effectué par l’état-major et le capital patronal ; se retrouvent deux types de gestion envisageables pouvant aboutir à décider du choix d’une monnaie unique mondiale pour un monde de paix. Celle de la partie d’entre-eux, en banques privées, participant activement à la collaboration avec l’occupant nazi et l’autre partie qui s’organisait en gestion collective, ébauchée avec la Caisse Municipale de gestion collective de tous les Corps de Métiers des Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales de la Résistance, bâtie et confirmée jusqu’aux caisses de retraites, la Sécurité Sociale et la nécessité d’une réforme Constitutionnelle qui sortaient de l’économie de guerre à la Libération. Ce sont deux types de programme de politique économique, complètement différents qui donnèrent, d’un côté, le rêve américain du grand capitalisme patronal, et de l’autre, la spécificité française d’un équilibre économique qui alliait parfaitement la gestion collective des Caisses Municipales, à celle des banques privées du capital patronal, à partir du moment où ces banques privées, venaient et étaient forcées d’arriver à hauteur des 25% de capital que coûtaient le régime des retraites et celui de la Sécurité Sociale, à l’époque où leur création fut possible et engagée. Il en a pourtant grincé des dents, ce capital patronal français, pour y mettre ses 25% nécessaires qui ne faisaient pourtant pas peur à la gestion collective de Caisse Municipale, puisqu’elle en établit le barème, habituée à partager les bénéfices de ses unités productives pour amorcer les investissement nécessaires au développement des équipements collectifs, du service public, des hôpitaux civils, jusqu’aux ateliers techniques des Communautés urbaines… Aujourd’hui, le capitalisme patronal des banques privées s’imagine qu’il doit tout gérer, tout s’approprier, chaque préfecture, chaque Wilayas, chaque Gouvernorat, chaque Province, jusqu’à y fabriquer ses propres candidats aux élections, selon une règle inégalitaire de financement illicite des partis politiques, parfaitement connue, qui a bien à voire avec les banques privées du capital patronal. Ce qu’on sait moins, c’est que jusqu’à une certaine époque, la Caisse Municipale de gestion collective, était elle-même chargée d’organiser les élections, justement pour en éloigner les mauvaises influences que pourrait avoir le capital patronal des banques privées, notamment aux Présidentielles. Les candidats aux élections sont-ils devenus des VRP du système bancaire du capital patronal, et par là, des patrons politiques, déclinés en autant de tribuns, d’illusionnistes, d’utopistes et de promesses jamais tenues, autrement ou ailleurs qu’en dessous de table, en OPA, en trafic d’influence et de prises d’intérêts illicites que nous ayons connus depuis De Gaulle et ses « barons », jusqu’aux arrivistes directionnels soixante-huitards de la Sorbonne de mai 1968 qui croyaient que c’était à leur tour de diriger les mouvements ouvriers et l’organisation syndicale et politique qui étaient pourtant déjà structurés, et existaient depuis 1947 en Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales, sans patrons ni banques privées, mais en unités productives de gestion collective, en Caisse Municipale ?… et puis l’extrême-droite qui ne tarde pas à refaire surface dans la provocation et la menace lancée à l’ORTF, la veille de la reprise du travail qui bloque l’effort collectif envisagé à ce moment qui devait devenir une journée historique, puisque les Conseils d’Administration devaient se réunir à midi ou à 18h dans tous les départements – au pire dans la semaine pour les plus récalcitrantes des entreprises du capital patronal -, afin de décider, si par vote, ils voulaient rester en gestion de banques privées du capital patronal ou préféraient rejoindre la gestion collective en Caisse Municipale pour appuyer la politique du développement économique collectif des équipements publics liés à l’éducation, à la santé, pour la voirie municipale (etc…) par l’implication directe d’une partie de leurs bénéfices et donc payer moins d’impôts en retours de l’État pour que les salaires de leurs employés puissent se maintenir à un bon niveau. Toujours est-il que les salaires des ouvriers, employés et saisonniers étaient visiblement, sensiblement plus élevés dans les unités productives de gestion collective par Caisse Municipale qu’ils ne l’ont jamais été dans ces exploitations du capital patronal à banques privées proprement dit.

Ce choix pour tout entrepreneur, artisan, agriculteur, manufacturier, commerçant, d’avoir la possibilité entre la gestion du capital patronal par banque privée ou l’orientation d’une gestion collective en Caisse Municipale jusqu’à la caisse de retraite et l’inscription à la Sécurité Sociale, dépendait du bon vouloir des Chambres du Commerce, de l’Agriculture, de l’Industrie et de l’Artisanat d’en informer ou pas les postulants. Ce qui déterminait l’engagement politique d’un agent d’accueil, traduisait aussi, directement, non seulement une malversation instructive mais ouvrait immédiatement la porte au possible basculement et à l’accentuation du monopole, empruntée par Giscard pour que tout soit uniquement géré avec les banques privées du capital patronal ; la gestion collective, réputée « sans dette », tandis que le capital patronal des banques privées ne fera que la multiplier pour l’élargir aux affaires économiques des autres pays d’Europe ou du monde, allant même jusqu’à la partager, cette dette, pour mieux vivre dessus et la vendre à taux zéro.

Ensuite se définissent deux modèles de développement envisageables, totalement différents, bien que l’un se voulant toujours plus performant et cohérent que l’autre, selon qu’on s’oriente en gestion collective, d’après une organisation territoriale administrative, déterminée par autant de Départements – Wilayas – Gouvernorats ou Provinces qui ne doivent pas servir qu’à prélever des impôts ou des taxes ; mais aussi à distribuer les capitaux de la rente pétrolière, du nucléaire, de l’aérospatiale ou des constructions automobiles, au lieu de les laisser bloquer sur des multinationales ou des banques privées nationales ou étrangères pour intérêts particuliers et privés. La gestion collective descend jusqu’à la moindre municipalité, peu importe sa taille géographique ou sa densité humaine, toujours avec le même tracé horizontal égalitaire où l’intérêt privé et particulier se transforme en nécessité d’une collectivité à se sentir mieux protégée et en sécurité par la gestion collective d’une Caisse Municipale, plutôt qu’entre les conditions imposantes du capital patronal des banques privées et ses règles contraignantes et astreignantes qui structures la gestion des entreprises capitalistes. D’ailleurs il suffisait de tendre l’oreille pour fréquemment entendre nombreux habitants ruraux se demander pourquoi ils feraient 20km ou 40km pour trouver une banque privée dans une grande ville, alors qu’en bas du village, était la Caisse Municipale ? !

Se retrouver plus tard, uniquement avec des partis politiques et des syndicats, inscrits et renommés comme tels sous de nouveaux noms de désignation par des banques privées du capital patronal, laisse très peu d’espoir aux solutions à trouver pour rejoindre l’état d’esprit d’une gestion collective en Caisse Municipale, structurant les unités productives sans patrons ni banques privées, pourtant constituées, de 1947 à 1972, de communistes, de socialistes et d’écologistes, déjà à l’époque, ambitionnant la coalition de différentes bannières au 1er tour qui apporteront chacune le % de son étendue électorale, désignant par le meilleur obtenu par l’une de ces bannières, la directrice ou le directeur du bureau rond présidentiel, entouré de tous ses Conseillers qui auront portés une bannière dans cette coalition de 1er tour, puisqu’il faut bien, qu’une des bannières, accomplissent la fonction de « président », tout en étant désignée par les urnes, sans en pénaliser une autre durant la campagne électorale, pouvant emporter vers la victoire du 2e tour, tous les Conseillers des autres bannières qui ne sont plus concurrentielles idéologiquement, mais réunies par le même projet de transformation des programmes de politique économique d’écologie humaine et de gestion collective. 

Comment un pays comme la France a-t-il pu oublier en cours de route 1/4 de siècle – ces 25 ans de gestion collective – transformé en 1/2 siècle de ces 50 dernières années où Giscard, Le Pen et Mitterrand, accentuent et entretiennent l’amnésie concernant tout ce qui faisait la spécificité du modèle économique français que nous enviait le monde entier, rien que par cet équilibre économique, politique et culturel que permettait d’établir les unités productives de gestion collective des Caisses Municipales sur le capital patronal des banques privées ?

La gestion collective, une alternative à l'investissement en ...
Qu'est-ce que la gestion collective ?

Macron 20h… Macron virtuel !

L’antenne rendue à Emmanuel Macron procédera sur l’évolution du déconfinement progressif, établira ou rejettera pour l’avenir, le bilan chiffré exacte, dont on ne peut pour l’instant qu’évaluer le « manque à gagner » d’une période de confinement total et partiel. La mesure lourde qui s’annonce élevée pour des licenciements dors et déjà promis et les risques de liquidations judiciaires ultérieures, selon des formes de prêts et de crédits, ne sont finalement que la conséquence d’une économie qui ne transforme rien de son modèle gestionnaire pour affronter l’économie de guerre, face à laquelle elle s’est retrouvée, une fois sortie du confinement. Toutes les échelles d’évaluation sont bousculées, à peine le temps de rassembler des fonds de capitaux pour relancer l’endettement et sans doute mieux le répartir, judicieusement, là où il y a de l’activité productive, moins vers la spéculation qui suscite l’emploi, plus qu’elle ne le développe.

Protéger TPE et PME ne signifie pas leur faire payer la facture sur deux ou trois ans parce que la bulle financière ne compte pas retrancher (– 3 mois) sur l’année en cours, de son côté, de sa gestion prévisionnelle annuelle, entre plue-value, dividendes et répartition des pertes ; tout juste rend-elle cette période « suspensive » par des allégements fiscaux d’intéressement participatif, le prolongement récupérable par la suite, d’une reprise économique à double vitesse qui distancie de plus en plus le capital patronal des banques privées qui voudra toujours récupérer ses capitaux – d’une manière ou d’une autre – et des entrepreneurs qui redoutent que la « mise de départ » de l’aide d’un État qui oriente les banques privées vers cette solution, devienne et soit transformée en « mise de retard ».

Il était difficile de trouver rapidement en 3 mois, plus de solutions qu’on en a trouvées pendant 30 ans comme réponses à une crise d’une telle ampleur qui a paralysée, en partie, le pays, les frontières et les habitudes des populations. Spécialistes et éminents responsables de la capitalisation et de l’économie, s’entendent pourtant à laisser entrevoir quelque chose qui serait une rupture avec tout ce que nous avons connu jusqu’à présent, par la simple et bonne raison qu’il ne s’agit pas d’une crise économique classique, habituelle, fréquente ; mais d’un raz-de-marée sans précédent, dont il faut remonter à loin dans l’histoire pour retrouver une situation économique et sociale comparable.  

Faut-il se souvenir de la réalité d’un patronat qui grinçait déjà des dents lors de l’établissement de la Sécurité Sociale, lorsqu’il était appelé à venir à même hauteur de 25% de ses capitaux dans les cotisations patronales pour son fonctionnement et les retraites ?… Part qu’il n’aurait jamais concédé si la gestion collective des unités productives, sans patrons ni banques privées, n’avaient posé ainsi l’échelle par rapport aux bons salaires et aux investissements collectifs partagés ; également aussi une certaine idée de la gestion collective en Caisse Municipale de la Résistance, ainsi qu’une haute estime pour les programmes de politique économique et sociale de son Conseil National, proprement dits. L’égalité légitime devant le capital patronal par une forme d’équilibre économique légal, mentionnée à cette époque, reste-t-elle à faire ?… L’a-t-on oubliée ?… A-t-on développé trop de banques privées sur son dos ?

La stabilisation de l’hécatombe, autant humaine qu’économique ou intellectuelle, provoquée par cet ennemi invisible durable mais régressif que restera toujours un virus de tel type, relance inversement pourtant, de manière surprenante et paradoxale, les investissements en prêts et crédits qui donnent à penser et à se demander si d’amortissement, il était question, celui-ci ne viendrait pas d’en haut : « moins 3 mois » pour les banques privées du capital patronal et l’État, affaiblirait-il pour autant la nation ?… Moins trois mois pour tout le monde, serait-il moins rentable ou civique que moins six mois pour les uns et moins zéro pour d’autres ?… Lorsque les notions de rentabilité et d’exploitation par le capitalisme ne changent pas dans une phase exceptionnelle de pandémie, il y a peu de risques qu’elles se laissent bouger par l’écologie qui peut devenir cependant, par cette situation de crise sanitaire, la toujours possible définition de programmes de politique économique différents, accentuant la gestion collective et l’écologie humaine par l’unification des banques privées pour faire de l’économie, le tronc commun d’un véritable « service public ».  

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« Amortissement collectif » de la crise économique soulevée par le confinement dû au covid-19 ?

Il n’y a pas eu de grandes idées de réforme du système bancaire pour transformer la gestion depuis 30 ans comme aurait voulu le prévoir la « révolution » promise par Emmanuel Macron pour son quinquennat. Alors il fallait guère espérer en trouver pendant 3 mois d’absence intellectuelle, où tout s’accélère dans la paralysie de l’économie. Chaque réponse confond la crise du covid-19 avec une « crise économique » habituelle. Que pourraient-ils faire d’autre puisque toutes les crises économiques se sont résolues ainsi et il n’est pas question que le Président change sa politique économique ? 

Comme ils faisaient des prêts et des crédits aux particuliers, ils découvrent la spécificité de nombreuses TPE/PME qui ne peuvent se permettre de fermer boutique pour récupérer un fond de commerce transformable en fond de capitaux pour continuer en place boursière ou créer une nouvelle entreprise. Ils ont consacré leur vie depuis plusieurs années à leur activité et ne sauraient quoi faire d’autre. 800 000 chômeurs en supplément annoncés dans les prochains mois pour combien d’entreprises ?… Est-ce ainsi qu’il faut comprendre la manière et la technique selon laquelle le capital patronal des banques privées renflouerait ses pertes, déjà si lourdes lors des crises économiques « classiques », deviendrait indiscutable pour cette crise sanitaire ?… Ces entreprises, estimées de toutes façons « non viable » avant le covid-19, pourquoi le seraient-elles après, alors que le confinement a prouvé le contraire, révélant certaines d’entre elles, même parfaitement rentables ?

L’unification de toutes les banques privées en une seule plate-forme de gestion commune permettra de loger tout le monde à la même enseigne. « La même banque pour tout le monde, indivisible, inaliénable et universelle » n’est pas qu’un slogan mais permet à toutes les entreprises, qu’elles soient de 5, 30, 250 ou 1000 salariés – ouvriers, employés – d’avoir autant d’accès que de droits par rapport à une gestion collective et non plus en fonction d’une disponibilité de fonds de capitaux individuels préalables. La taille d’une entreprise ne dépendant pas uniquement du nombre de personnes qui y travaillent, la plue-value obtenue par le chiffre d’affaire des bénéfices, moins les salaires, la capitalisation et les dividendes ; au bout d’un certain temps de l’essorage, la panne risque d’être plus dure et sévère que prévue, la relance économique encore plus incertaine qu’elle est d’autant liée à une forme d’endettement sous forme de prêts et de crédits et au manque d’amortissement collectif des « frais généraux » du confinement. Qui se soucierait par exemple de rendre 3 mois de loyers de locaux commerciaux ou de bureaux à des entreprises en arrêt total ou partiel d’activité, durant le confinement, puisqu’aucune de ces entreprises n’étaient en conditions contractuelles normales de payement de ces loyers ? Si un entrepreneur met la clé sous la porte pendant un mois pour partir en vacances, c’est normal qu’il paye son loyer ; mais là, c’est indépendant de leur volonté ou pas ? Cette situation des bailleurs de locaux commerciaux et de bureaux privés ou publics montre bien qu’un amortissement collectif de la crise économique du covid-19, dépende, tout en les dépassant, des clauses contractuelles signées avant la pandémie et passe par cette question des loyers qui pourrait apporter aux TPE/PME, une bouée financière non négligeable et prouverait que ce ne sont pas toujours les mêmes qui payent ! La question ne se poserait même pas dans le cadre d’une bonne « gestion collective » où ces loyers d’inactivité seraient directement soustraits des frais de nombreuses entreprises en situation de location de bureaux ou de locaux commerciaux. L’amortissement collectif de la crise sanitaire suppose « moins 3 mois » pour tout le monde, y compris les bailleurs !

Covid-19 : six graphiques pour mesurer l’ampleur de la crise économique en France
Covid-19 : six graphiques pour mesurer l’ampleur de la crise économique en France

La gestion de crise du Covid19 ne se calcule pas sur 12 mois…

Comment faire résonner le monde de l’économie, de l’investissement et de l’élaboration des budgets sur 9 mois de gestion au lieu de 12, avant que d’enregistrer les liquidations judiciaires qui feraient suite au Covid19 ?

Pourquoi la base des calculs et des recouvrements considère-t-elle ces 3 mois de latence de l’arrêt partiel ou total d’activité, comme une solvabilité, expressément redevable d’un chiffre d’affaire qui ne pouvait de toutes façons pas être réalisé ; vues les conditions d’impossibilité de remplir les contrats commerciaux des engagements, stipulés pour une période normale de production ?

Comment accepter que la suspension du rythme économique se transforme par la direction des gestionnaires en « crise économique » pour augmenter la pression directionnelle, diminuer les salaires ou sacrifier des jours de congés payés ? Nous ne sommes pas dans le cas d’une récession pure et simple de la société productive de biens et de services, quand aucune des conditions nécessaires n’étaient là pour y échapper et que personne ne pouvait se soustraire aux règles d’un confinement sévère… Faut-il changer de méthode de gestionnaire et de calcul pour arriver à soustraire ces « 3 mois d’arrêt » sur l’année espérée ; tant au niveau des bénéfices – indispensables à la bonne marche d’une entreprise -, que des dividendes ramenés à la gestion cumulée de plusieurs groupes d’investissement ou sur l’éparpillement volatile du parc des actions boursières, entre différentes banques privées ?

Avant que le rythme des déficits ne s’accélère, celui des dépôts de bilan n’augmente, ne serait-il pas temps de transformer profondément l’organisation du système économique, en unifiant toutes les banques privées en une seule caisse de gestion collective pour faire de l’argent, des investissements et des salaires, un véritable « service public » du monde économique, pouvant modifier la méthode de gestion des bénéfices et de l’utilisation de la plus-value (?)

Faut-il cette crise sanitaire de pandémie mondiale pour s’apercevoir que dorénavant les milliardaires et les millionnaires devront aussi mettre la main à la poche, pour amortir la perte économique d’une période qui ne permettait pas d’effectuer la marge bénéficiaire souhaitée ?… Pourquoi vouloir récupérer de l’argent sur ce laps de temps où l’économie n’a pas pu fonctionner correctement et où aucune rentrée d’argent n’était possible, en dehors de certains aménagements spécifiques ?

Toutes les questions soulevées par la crise économique et les réponses apportées, demandent au capital patronal des banques privées, s’il continuera de raisonner et de calculer sur 12 mois au lieu des 9 qui restent de vrai sur le calendrier ?

Rien qu’en proposant des prêts et du crédit étalés sur quelques années, destinés à rembourser le manque à gagner durant le confinement, n’est finalement qu’une solution d’endettement supplémentaire pour des petites et moyennes entreprises qui pourtant, avaient une bonne gestion, une rentabilité moyenne et une viabilité qui n’était pas remise en question auparavant mais qui hélas, risquent de se retrouver le canard boiteux, uniquement parce que le système de gestion actuel, n’arrive pas à supprimer 3 mois d’arrêt sur l’ensemble de l’année économique dans sa gestion pour faire en sorte que soient supprimées les attentes de rendement et de bénéfices, durant cette période qui rendait pourtant leur réalisation impossible. À l’évidence, ces trois mois de « pénurie » de rendements devraient être soustraits du cahier des charges des entreprises et des cotations boursières. Ce n’est pas trop leur habitude aux banques privées du capital patronal de « soustraire », on est plutôt sur une ligne directrice du + + +, trois fois plus, que trois fois moins ; mais ce sera là, une bonne expérience pour vérifier si nous sommes entre bons ou mauvais gestionnaires ?

Ce n’est pas le tout de faire « moins trois » sur toutes les tablettes lorsqu’ils y sont déjà dans les entreprises, l’artisanat, le commerce et l’agriculture ou alors ce serait en rajouter encore trois ; ce qui, pour eux, les conduirait à du « moins 6 »… Alors que c’est à la gestion globale et générale du capital patronal des banques privées d’appliquer « son moins 3 », il semblerait que c’est tout l’inverse qui se passe. Au contraire, le grand capital qui n’aime pas soustraire, persiste à vouloir calculer sur 12 mois, comme une année pleine habituelle alors qu’il manque trois mois ; que de ces 3 mois, on ne peut rien demander, pas même l’enregistrement d’un « dépôt de bilan », d’une « cessation de payement » ou d’une « liquidation judiciaire », devenus normalement suspensifs à partir du début du confinement, jusqu’au 1er janvier 2021 qui donnera réouverture aux bilans. L’ampleur économique atteinte par la crise sanitaire devrait cependant aider les politiques à s’orienter pour définir de nouveaux programmes de politique économique d’écologie humaine, à partir d’une règle de rentabilité différente et d’une gestion collective capable de faire de l’économie et du monde des affaires, un service public plus souple, qui solidifie les activités en cours de développement, dans leur arborescence, au lieu de l’amputer par la définition d’éternels canards boiteux – qui n’en sont pas forcément -, sacrifiés au renouvellement permanent du grand capital patronal des banques privées.

Amortir cette crise économique de pandémie du virus de la COVID19

À quel marché du chantage, de la supercherie ou d’où on ne sait à quel endettement, le capital patronal des banques privées arrivera, à considérer pour lui, ses actionnaires et ses dividendes, cette année de pandémie de Coronavirus comme une année à 12 mois alors qu’elle ne peut l’être que sur 9 mois ?

Les trois mois de confinement et d’arrêt total ou partiel de l’activité économique, ne pouvant entrer dans la composition d’un bilan annuel, autrement que comme « mois suspensifs » durant lesquels, rien n’était à perdre, ni à gagner ; bien difficile serait de trouver la solution au « moins perdant » alors que s’abattent les pronostics incertains, une fois passés les risques de cessation de payement et de dépôt de bilan. Ces trois mois où rien n’a pu se résoudre selon les exigences du système financier du capitalisme, ne peuvent donc être considérés comme une dette réelle – au sens où l’endettement proviendrait d’une activité pratiquée dans des conditions normales d’exercice, sans entraves aux marchés – puisqu’elle n’existe que pour rétablir les comptes désastreux des gestionnaires de l’économie qui voient tant perdre, en trois mois de paralysie, qu’ils en viendraient rapidement à en craindre pour leurs multinationales et leurs lobbies de l’économie volatile de leurs paradis fiscaux. Mais si un tel système productif, n’est même pas capable de suspendre ses exigences sur les trois mois qu’il n’a pu rentabiliser, qu’il exonère toute la chaîne de production ou de service de ce qu’elle est redevable, autrement que dans des conditions comparables à une « économie de guerre » où aucune mesure ne peut se faire sur la période, hormis celle du manque à gagner. Perte mais pas profits, d’ailleurs comment s’établiraient-ils ces supposés profits, puisque les conditions de réalisation n’étaient pas réunies pour qu’ils se réalisent, alors autant les enlever tout de suite de la grille de répartition du chiffre d’affaire sur l’année qui n’est plus composée de 12 mois puisqu’il en manque 3, étant donné qu’elle passe à 9 mois réels de fonctionnement et d’exploitation, non pas 12 comme aimerait le souhaiter le capital patronal des banques privées… À ce rythme, pour les ouvriers, salariés ou employés, ce sera une année à 4 mois 1/2 qui s’approche de leur bilan individuel, là où le passage de la pandémie, appelant aux mesures du confinement, aura creusé le fossé des inégalités sociales, frappé les pauvres et augmenter le déficit des ménages, malgré qu’on aime signaler que des économies ont été réalisées pendant la période de récession COVID19. Ça ne doit pas être difficile pour des populations qui n’ont pas l’habitude de dépenser de l’argent ou sortent très peu. Même le peu que ces personnes étaient habituées à sortir et dépenser, elles ont dû être perturbées par les consignes strictes de protection à respecter pour échapper au virus… Promenades, courses, rendez-vous, tout est répertorié et suspendu, sauf pour qui pensait faire des affaires en cette période difficile. Ceux qui y sont parvenus, ne doivent pas être si nombreux que ça dans le monde illusoire d’une occasion à saisir, une opportunité offerte pour lancer, remplacer ou rentabiliser… quoi ?… Les secteurs professionnels d’activité qui ne sont pas à l’arrêt, furent un champ d’exploration susceptible d’intéresser éventuellement des investisseurs, même pas inquiets de l’incertitude de leur démarche, à un moment où plus aucune règle entre l’offre et la demande ne fonctionne correctement ou soit suffisamment fiable pour garantir un niveau rentable. Lorsqu’une société entière vit au ralenti, c’est difficile de faire des prévisions exactes sur du manque à gagner, supposé à récupérer, une fois différé dans le temps. C’est à une bien étrange construction d’économie différée que nous assistons, à partir d’une période durant laquelle, aucune espérance de gains n’était envisageable, ni même mesurable… La perte oui, mais le gain ?… Comment oser supposer que durant ces trois mois, on est susceptible de compter sur ses marges bénéficiaires, sa clientèle et ses salariés, libres de tout mouvement. De telles prévisions relèvent de la fable puisqu’on ne peut tenir compte d’un budget prévisionnel classique habituel, si on est honnête ; ni chercher à faire porter la faute aux entreprises, en augmentant la dette, les prêts et les crédits pour les « couvrir » ; le recouvrement judiciaire, signifie tout à fait autre chose ! 

Toujours l’économie d’avant, pour après ?

Ne commençons pas à nous horrifier de la phase 2 du déconfinement, où reprend rapidement le dessus, le monde de la capitalisation qui n’en espérait pas autant de pertes pendant le confinement total et partiel, qu’il s’empresse de relancer, en un rien de temps, pour imposer son aide sous la forme de nouveaux appels d’offres, de prêts, de crédits ou d’allègements fiscaux, seuls secours aux entreprises. Est même proposée, l’affirmation de « diminuer les salaires pour sauver des emplois » !

Sans doute craint-il – ce capitalisme financier – que pour rester en activité, de nombreuses entreprises risquent d’avoir envie de faire appel à du capital étranger pour couper la main-mise de leur destin qui risquerait de se faire enchainer par le capital patronal des banques privées françaises, incluant déjà ses propres passerelles étrangères. Comme pour trouver une autre monnaie, un autre système bancaire, une solution économique différente qui les lierait moins à l’endettement inévitable causé par l’arrêt économique du virus Covid19, la goutte d’eau qui fait déborder le vase d’une succession de récessions et de crises économiques, financières et sociales ; à la différence qu’elles n’auront jamais connues de lendemain aussi indécis et que dans le paradoxe de l’imprévu, il serait difficile d’accuser des laboratoires pharmaceutiques d’avoir joué avec un virus pandémique pour sauver le capitalisme mondial ou une entreprise, chercher sa survie dans des bitcoins.

« Faillite pour les uns, ruissellement pour les autres », la machine économique tient, là, l’outil inestimé pour compresser et donner à la casse sociale, l’argumentaire qui lui manquait. Nous avons un banquier à l’Élysée, que ferait-il d’autre qu’apporter avec son gouvernement – qui est aussi celui de son 1er ministre -, des solutions de banquiers où, de toutes façons, sont exclues les solutions alternatives qui modifieraient la gestion des cotations boursières du Cac40 pour pouvoir effacer l’endettement et rendre suspensives, jusqu’au 1er janvier 2021, toutes inscriptions au tribunal du commerce d’entreprises qui feraient l’objet d’une liquidation judiciaire, de dépôt de bilan, de cessations de payement. Parfois c’est rapide. Les entreprises ne peuvent différer le manque à gagner de trois mois sur la fin de l’année, lors d’un bilan général annuel. Celles pour qui la clé est déjà sous le paillasson, les aides massives promises par les représentants de la majorité présidentielle, parviennent-elles à maintenir l’activité ou s’arrêtent-elles à un chômage partiel coûteux qui prend fin cet été ?… pour peu que ces entreprises ne fignolent pas leur chiffre d’affaire durant la période estivale, c’est remettre la sortie de crise à une date ultérieure pour elles. « Travailler plus pour gagner moins » risque de ne pas être qu’une boutade mais signifiera bien la triste réalité du capital patronal des banques privées, incapable de recouvrir ou rendre suspensive la dette qu’il a lui-même produite par son système d’organisation économique, où tout est aux mains des banques privées puisqu’il n’y a plus aucun contre-poids au patronat, tel qu’il pouvait se définir par une gestion collective des corps de métiers, en Caisse Municipale, autour d’Unités productives sans patrons ni banques privées.

Dans le patronat, on peut distinguer ceux qui peuvent se passer d’une partie de la main d’oeuvre lorsqu’ils se lancent dans des plans de restructuration ; de ceux qui, si ils licencient, mettent la clé sous la porte si ils n’ont plus d’employés parce qu’ils ne peuvent accomplir le travail, la production ou le service, tout seul. Il y a donc une différence énorme entre la grande armature financière du grand patronat et celle des structures plus petites qui gardent une notion de gestion collective de l’entreprise mais comme il n’y a plus que des banques privées qui reflètent l’armature d’une économie sans contre-poids, il est devenu quasiment impossible de concevoir, dès le départ, une méthode distributive des richesses qui ne serait pas simplement « re-distributive » par après – la redistribution supposant le partage de bénéfices ou de plues-values, préalablement produits par un marché, des ventes, un bénéfice – parce que la « distribution » s’effectue immédiatement lors de la constitution d’un budget, elle est dedans et n’évolue pas au fil de la fluctuation des crises économiques qui modifient le cadre prévisionnel et privent souvent certaines structures productives indispensables et de première nécessité, des aides qu’elles pouvaient espérer. Il faudrait du CICE pour faire des masques plus rapidement que déjà il se pourrait qu’il ni en ait plus. Il faudrait du CICE pour sauver des emplois et on nous annonce que cela fait déjà deux ou trois ans qu’on consacre cette part budgétaire pour ne pas les supprimer ; qu’elle arrive à saturation de disponibilité.

Aujourd’hui, cette gestion collective de tous les corps de métiers essayerait d’unifier toutes les banques privées en une seule caisse de gestion commune qui ferait de l’économie, des investissements et du monde des affaires et de l’entreprise, un service public à part entière, intégralement orienté dans un état d’esprit gestionnel qui tienne compte d’un sens commun de distribution des richesses, « au moins perdant » au lieu du « au plus offrant » !… D’autres notions sur la rentabilité verront le jour et ne se définiront pas qu’en accroissement de bénéfices et de ruissellement de dividendes ; mais se compteront aussi en préservation de l’environnement et des milieux naturels qu’il faut protéger de l’activité industrielle de déforestation et d’une densité de bétonisation affolante, sans omettre la destruction galopante de l’écosystème et un dérèglement climatique qui bouleverse les régulateurs climatiques naturels, bousculés par les gaz à effet de serre des émissions de CO2, de CFC. L’écologie devient un paramètre incontournable qui ne pourra s’éliminer d’un revers de manche sans faire courir à l’humanité de grands dangers. Menaces climatiques ou économiques ne verront plus la différence de n’avoir pas réussit à transformer les banques privées du capital patronal, en gestion collective qui les aurait unifiées pour faire de l’économie, des finances, du budget et des investissements, un « service public » proprement dit !

Coronavirus : le jour d'après la récession mondiale - Kapitalis

Déconfiner la gestion et l’économie !

Il est parfois déconcertant d’entendre les économistes disserter sur les solutions à trouver pour pallier à l’arrêt de l’activité productive pendant le confinement, hormis les fonctions hospitalières et alimentaires, maintenues sur le retranchement des populations, seule arme d’attaque à disposition pour échapper à la pandémie du virus ; s’en prémunir. Les plans de relance ne dépassent guère tout ce qu’on a connu jusqu’à présent pour sortir d’une crise économique, à savoir, la mise en place de nouvelles plates-formes de capitalisation, de prêts et de crédits qui serviront à alimenter les avances sur recettes, les écoulements de dividendes et les prises illégales d’intérêts. Pas de quoi bousculer en profondeur les règles globales et générales du système de gestion du capitalisme financier, consacré depuis 1972 au totalitarisme des banques privées qui n’ont plus aucun contre-poids de gestion collective, similaire à celui d’une Caisse Municipale et d’Unités productives d’exploitation, agraire, artisanale, commerciale et manufacturière qui fonctionnait pourtant bel et bien « sans patrons ni banques privées ». Ce n’est pas la crise de Covid19 qui a inventé le « prêt à taux zéro » mais la gravité de l’enrayement de la machine économique est telle, qu’il tient une place considérable dans la sortie de crise économique en tant que possibilité de relance pour trouver de nouvelles propositions mises à disposition de ceux qui voudraient renflouer leurs capitaux. Un prêt à taux zéro serait-il toujours gagnant (rentable) par rapport à l’indice de l’inflation ?… Après, si l’intérêt prélevé sur cette forme de prêt, n’est pas supérieur au taux d’inflation, il n’y a pas lieu de crier au brigandage ou à l’escroquerie !… Des « petits sous » diront les plus gros fournisseurs de capitaux mais il n’y a pas de petits sous, il n’y a que la manière dont s’opère et s’exécute la gestion en s’orientant, soit vers la protection des milliardaires et des prises individuelles de dividendes ou bien en envisageant une économie complètement collective qui parviendra à unifier toutes les banques privées en une seule caisse commune pour faire du monde des affaires, de l’investissement et des budgets – de l’Économie – un véritable service public !

Les solutions pleuvent, tant du côté des banques privées du capital patronal que des particuliers qui ne sont pas à cours d’idées pour surmonter le manque à gagner annoncé par un sévère confinement. Sauf qu’entre les offres de prêts et les exonérations où on ne distingue plus trop la différence entre l’État et le monde bancaire – ni de qui décide de masques ou d’entreprises à sauver – et les particuliers qui se démènent pour livrer à domicile, en milieu urbain ou en moyenne montagne, des paniers alimentaires de première nécessité ; il y a le monde de la finance et de la capitalisation, plein de mystère, dont les interdépendances affichées avec le petit patronat, se soucient moins de son sort lorsqu’il est question de liquidations judiciaires ou de cessation d’activité. Mais cela ne s’arrête pas aux petites et moyennes entreprises, parfois ça se prolonge jusqu’aux multinationales comme Renault… Finalement, le capital patronal des banques privées n’aurait-il pas tendance à soumettre tout ce qui reste de solvable en « activité capitalisée » à un plan d’endettement sur au minimum trois ans pour définitivement les faire entrer dans la dette sans la contraindre, tout comme il l’aurait fait dans un pays étranger colonisé, dès lors qu’il put implanter une banque nationale ou étrangère sur un territoire estimé conquis ? Parmi ces petites et moyennes entreprises – mais aussi celles de taille plus importante -, reste le choix entre la possibilité d’immédiatement liquider leur affaire pour récupérer leur fond de capital parce que son niveau ainsi obtenu, les invitera à se hisser vers des hauteurs de capitaux qui permettront de les relancer ultérieurement dans la finance et l’investissement. Un peu comme ça c’est produit avec la valeur de la filière bois dans les Vosges ou après les dix ans de lutte dans le textile en Alsace et dans les Vosges, aussi, avec des voies de capitalisation vers le nucléaire et le TGV ; ou bien, tiendront-elles encore quelques mois ou années pour retrouver un niveau d’affaire acceptable, sans qu’aujourd’hui ne soient garanties que les habitudes des consommateurs n’auraient pas changées pendant le confinement de l’épidémie, ni que le choix dans leurs achats serait dorénavant invariant, encore moins qu’il ne faudrait pas diminuer les salaires pour préserver des emplois ?

Une politique de reprise économique de sortie de crise sanitaire qui ne se baserait que sur la simple consommation, ne résoudra pas trois mois d’arrêt total de nombreuses industries, commerces, entreprises manufacturières ou artisanales. On ne va pas consommer trois fois plus de ce qu’on n’a pu faire en trois mois, ou alors il faudrait trois fois plus de temps à y consacrer ; ce qu’une vie normale, ne peut apporter. Il ne reste plus qu’au capitalisme financier de monopole, structuré en multinationales par des banques privées et autour des lobbies, d’ouvrir grand ses rayons de prélèvements, d’endettements et de liquidations – entre offre de crédit et prêts – pour espérer demeurer à flot de ses rentabilités ; non sans la crainte réelle d’une certaine recrudescence des tensions avec les syndicats et de nombreux mouvements sociaux qui redoutent, par dessus tout, une vague de licenciements, étalée dans le temps et dont on ne peut prédire l’ampleur réelle, dans de nombreux corps de métiers et secteurs professionnels d’activité.

Mais pour cela, encore faudrait-il être capable de sortir du modèle de gestion du capitalisme financier et oser proposer une politique économique différente de celle que les partis utilisent pour briller mais peu pour transformer le rapport de force avec le capital patronal des banques privées, invité à tenir compte désormais dans son cahier des charges, ajoutée aux crises sociales et économiques, de la non moins incontournable crise climatique. Sans doute avec des notions de « gestion collective » et de « Caisse Municipale » qui permettaient aux corps de métiers de se faire respecter par le patronat et les banques privées, maintenus à distance, à une périphérie plutôt qu’au centre des décisions ; comme l’était ce capital patronal des banques privées lorsqu’il était appelé à venir à même hauteur de cotisations patronales pour les caisses de retraites ou les financements des équipements collectifs, à partir de 1947. Depuis ce départ d’équilibre économique entre la gestion collective en Caisse Municipale de tous les corps de métiers jusqu’aux caisses de retraites par des unités productives et le capital patronal des banques privées, plus individualiste, les yeux tournés vers le rêve américain giscardien ; de nombreuses formations politiques sont apparues avec de nouveaux noms, de nouvelles étiquettes idéologiques mais tournent le dos à cette Caisse Municipale de gestion collective « sans patrons ni banques privées » et rentrent bizarrement, toutes en politique, avec une banque privée, voire la même banque privée que l’extrême-droite du FN 1972 des Le Pen. Cela aura pour conséquence, à la tête de ces partis, de nous livrer une désastreuse succession de présidents-mercenaires-banksters qui vont du Parti Socialiste 1969 au FN 1972 – déjà cité -, en passant par l’UDF 1978 et le RPR 1976 ; jusqu’aux non moins banques privées de l’UMP, de l’UDI, des LR, du MoDem ou d’En Marche / La République en Marche !

Une nouvelle politique économique !

Crise sanitaire, crise sociale et crise économique n’auront pas réussi à faire taire les toujours mêmes solutions apportées en remède à la paralysie que ce monde connaît depuis la pandémie. Des crises économiques précédentes, rien ne semble retenu. Les plus optimistes, malgré le mépris et la provocation induite, n’hésitent pas à suggérer que c’est le moment pour valoriser le capital en faisant de bonnes affaires. Du manque à gagner, causé par la fermeture des activités, de cette forme de dette, accumulée sur trois mois ; ne ressortent que propositions de prêts bancaires, d’avances sur recettes qu’il faudra rembourser ou d’aides capitalisées de l’État, surtout affectées au capital patronal qui – on le voit bien en retours chez Renault – ne se privera pas de licencier des salariés pour remettre à flot, un navire conforté par la situation de « crise économique ».

À aucun moment, durant ces trois mois, personne n’a osé parler réellement d’une notion de « pertes et profits » qui effacerait – non pas comme un coup de baguette magique mais sur décision de toutes les banques privées, multinationales et lobbies – ce que cette période n’a pas permis de réaliser comme chiffre d’affaire, de bénéfices ou de dividendes, forcément mis entre parenthèse, puisque n’ayant pu être exploités comme une période normale de commerce et d’échange l’aurait permis dans la production, l’exploitation et le traffic sur les marchés boursiers. Alors pourquoi tout ce système financier du capital patronal des banques privées, fait-il comme si cette période de trois mois de latence, causée par la Covid19, lui était due et que les entreprises en étaient redevables puisqu’il faudra rembourser ? La vie se serait-elle arrêtée pendant le confinement tandis que les prévisions économiques ne modifient rien à leurs barèmes, considérant que tout intérêt perdu serait à rattraper ? Bien mal inspirés tous les entrepreneurs qui ne suivraient pas cette offre d’endettement sur trois ou cinq ans qui leur permet de poursuivre leur activité lorsque la situation le leur permet, si le gouffre financier ne s’est pas trop creusé pendant la fermeture. L’empressement à l’endettement alors qu’un bilan annuel sur 9 mois au lieu de 12, serait plus confortable. Pourquoi ne pas donner rendez-vous à l’économie pour un bilan général au 1er janvier 2021 ? Il sera fait, mais en attendant… Finalement on se retrouve comme si l’État, Bruno Le Maire et Gérald Darmanin, établissaient la facture de ce qu’il faudra rembourser au capital patronal des banques privées qui calcule de son côté – ou avec le gouvernement -, en additionnant le cumul de la facture du chômage partiel avec celle des bénéfices non-réalisés, la perte de dividendes avec la mise au chômage réel déjà effectuée ou à venir, les liquidations judiciaires et les cessations d’activité déjà enregistrées ; transposant ses aides annoncées en nouvelles plates-formes de capitalisation pour l’investissement, comme ils ont fait pour éponger la dette, en la transposant dans un futur antérieur où ils ne se rendront jamais, sauf peut-être pour éventuellement ramasser quelques fonds de capitaux oubliés ou fonctionnant en électrons libres dans le système du capitalisme financier. Les allègements des taxes et des impôts, ou la levée des charges sociales promises, n’effaceront jamais trois mois de caisses vides. Tout juste étaient-ils sur les 36 mois, suggérés. En la différent dans le temps, une gestion suffisamment lourde et sans doute déjà difficile et compliquée, retrouvera péniblement son potentiel économique pour de nombreuses petites et moyennes entreprises qui ne rattraperont pas forcément la perte de clientèle occasionnée pendant l’application des mesures strictes du confinement.

Prises individuellement, pays par pays, ces mesures financières permettent sans doute de comprendre la gestion intérieure d’un pays mais les plus mondialisés d’entre-eux, selon le degré ou le niveau d’imbrication de leur étendue sur les marchés boursiers, risquent une réaction en chaîne qui occasionnerait un effet de renforcement de la crise économique. Si pour remplir chez-nous, on commence par vider ailleurs… Si parce que chez-nous ça ne se remplit plus assez, on ne peut plus s’engager ailleurs… L’effet domino ne se fera pas attendre et bien mal équipés seront les marchés financiers du capital patronal pour l’affronter puisque les banques privées ont tout prévu, sauf la configuration d’une économie de guerre proprement dite vers laquelle elles auraient pourtant pu s’orienter pour faire face à un cas de pandémie aussi virulente et problématique pour l’économie ; s’entrainer à bon escient, en vue d’une crise similaire. Cette méthode de basculement vers une économie de guerre spécifique, passe inévitablement par l’unification de toutes les banques privées en une seule caisse de gestion collective qui fait alors de l’économie, des finances et des investissements, un véritable « service public » !

Cette configuration limitée, ce contexte répété six fois par Macron durant son intervention télévisée, renvoient bien à la structuration d’une économie mondiale totalement captivée par les banques privées, les multinationales et les lobbies. Hors de ces sentiers battus et rebattus, point de salut et les balbutiements d’une économie alternative ne sont pas encore sur le point de dépasser le mode gestionnaire de ce capitalisme qui n’a plus aucun « contre-poids » aux banques privées pour montrer qu’une gestion collective est possible en Caisse Municipale. Partant d’une aide humanitaire, alimentaire, sociale pour un pays, il est facilement concevable que le budget atterrisse sur les comptes d’une banque privée étrangère ou nationale d’État, d’une multinationale ou d’un lobby ; plus rarement doit se concevoir que ce budget pourrait être subdivisé au préalable, en autant de Provinces, de Gouvernorats ou de Départements qu’en comporte le pays par son organisation administrative territoriale. Pour les réfugiés ou les migrants, c’est encore pire. Comment concevoir qu’un budget n’allouerait ses aides financières, uniquement le long d’une bandelette frontalière et seulement dans les Provinces ou les Gouvernorats correspondant à des zones précises, isolées de l’ensemble du pays alors que pour réaliser un bon accueil des migrants et des réfugiés, il faut aussi disposer dans les autres provinces, à l’autre bout du pays, de moyens pour les accueillir et les répartir sur différentes régions ou départements. Si le budget se concentre sur la frontière, les banques privées et les multinationales – non pas sur tout le pays -, il devient évident que l’absorption des populations ne se fera pas sur tout le territoire, voire même qu’elle risque de les chasser et de les repousser vers d’autres pays, régions, départements, communes ou municipalités. Un bon budget international, humanitaire ou économique, se réparti d’abord en autant de Provinces, de Gouvernorats ou de Départements qu’en comporte le pays qui est visé. Si il faut chaque fois attendre qu’une business school se crée ou qu’un lobby de Kouchner ou de BHL prenne les rennes, les crises politiques, économiques et militaires sèmeront, sans doute encore pendant longtemps, autant de cadavres que n’en comptent les dividendes des multinationales et des banques privées qui gèrent le développement selon les volontés du capital patronal ; pas selon les consignes d’une gestion collective bien organisée, en corps de métiers qui ne mettrait pas une seule seconde en cause la nécessité d’unifier toutes les banques privées en une seule caisse pour améliorer son service clientèle et son image de marque sur l’échiquier international, autrement qu’avec une puissance militaire. De l’état d’esprit de gestion collective, on comprend aussi pourquoi il est plus facile d’utiliser les répartitions de l’organisation administrative territoriale pour qu’un développent réel et effectif arrive dans tous les gouvernorats, provinces ou départements ; s’achemine pour s’installer durablement, sans qu’il ne soit obligé de passer par des multinationales ou des banques privées de l’État qui seront déjà suffisamment sollicitées lors d’un développement ultérieur qui paraîtrait plus important que celui des premières nécessités agricoles, artisanales ou manufacturières. Les banques privées et les multinationales gèrent le monde et il est facile pour elles de fonctionner en circuit fermé, sans trop de développement local réel ou à marge limitée, en dehors de ce qu’imposent encore une fois les banques privées et les multinationales ou les pressions exercées par le pouvoir militaire le long des frontières qui préfèrent maintenir des populations entières en otages, dans l’espoir de leur voler les terres, en les coupant de tout contact avec l’extérieur parce que les bénéfices et les dividendes de leurs banques privées nationales ou étrangères s’en trouveraient augmentés ?… Niaiserie que de croire cela puisque l’occupation par une force militaire détruit l’économie et la société qu’elle touche et prend pour cible ; la plupart du temps, des populations, qui plus est, sans armes, incapables de se défendre.

Si la réaction économique au Coronavirus est à la hauteur des moyens que limite le capital patronal des banques privées et les multinationales, elle reste fortement dépendante de ses prévisions de rentabilité et ne montre que plus clairement, que dans les prochaines années, une bonne partie des investissements de l’économie se contentera d’aider la partie rentable, tout en misant sur les secteurs d’avenir où la question ne se pose même pas, puisque le développement du capital peut croître tranquillement pendant quelques années encore. Si cette réaction économique n’a pu, jusqu’ici, dépasser des limites infligées que lui enseigne les marchés financiers du capitalisme mondial d’État et les multinationales ; peut-être se fera-t-elle quand même devancer par l’éclosion d’une politique nouvelle qui redéfinira les objectifs des programmes de politique économique, différents de ceux que nous avons connus avant et pendant la pandémie et que nous souhaiterions ne plus avoir à endurer après la Covid19. Cette politique économique se chargera alors d’exécuter la première des réformes que chaque pays est en droit d’effectuer au moindre frémissement d’une crise économique, à fortiori lorsque cette crise ne connaît pour unique référence que l’économie de guerre qu’elle est bien incapable de développer ; cette réforme qu’aucun chef d’État n’a osé soumettre, unifiera pourtant toutes les banques privées du capital patronal en une seule caisse de gestion collective et fera de l’économie, des finances et du budget, la plate-forme d’un service public à part entière. Un pouvoir en place comme l’est celui de Macron ou de Trump, ne peut rien face à un virus. C’est le système de gestion individuel des banques privées qui devrait être préparé à changer pour se transformer et envisager d’autres méthodes pour affronter les pandémies, synonymes de crises économiques. Ce n’est que par la volonté d’une force collective que l’économie se transformera. Des employés de banque aux politiques et aux élus, viendra le temps irrévocable de s’orienter vers la gestion collective En unifiant toutes les banques privées à la même racine de notre économie, une gestion collective rendue possible, appelle les programmes de politique économique à se transformer !

franceinfo on Twitter: "ENQUÊTE FRANCEINFO. Guerre économique ...
Coronavirus : le gouvernement déploie son plan de « guerre ...

Mai 1968, quelle direction ?

Témoigner avec obstination pour différencier les ouvriers et les agriculteurs d’une Sorbonne directionnelle estudiantine qui déclare un matin, presqu’en donnant des ordres à un Comité de province venu les contacter, que « l’agriculture et la paysannerie doivent se structurer » et la même direction étudiante, quelques semaines plus tard, la veille de la reprise du travail, affirmant arrogante à l’ORTF qu’elle va se « structurer, en prenant la direction des usines ! »… Était-elle vraiment structurée cette Sorbonne pleine d’imagination au pouvoir qui bloque le possible prolongement, l’éventuelle suite en Province, dans les Départements que pouvait donner la formidable mobilisation collective que fit naître mai 1968 ?… En avait-elle une des directions, en a-t-elle seulement prise une seule de « direction des entreprises », en mai 1968 lors de la reprise du travail, après les Accords de Grenelle ?… Non !… miette !… zéro !… Aucune !… La réponse de l’État n’était plus de dialoguer et de négocier devant une telle provocation, mais de pointer ses fusils envers les ouvriers, empêchés par les CRS, d’accéder à leur outil de travail ce matin là. Lorsque cette présumée « direction des étudiants de la Sorbonne » recevait ce comité d’ouvriers et de directions politiques et syndicales de l’agriculture de petites et moyennes montagnes, venu leurs rappeler qu’ils n’avaient pas attendu mai 1968 pour se structurer et qu’ils l’étaient depuis 1947 avec la Caisse Municipale de gestion collective d’unités productives d’exploitation sans patrons ni banques privées ; l’avait-elle seulement compris ?… Parce qu’à cette époque, en mai 1968, les Sorbonnards donnaient l’impression d’ignorer complètement la manière dont était géré, en partie, le pays, dans chaque Département et dans tous les Corps de Métiers, en gestion collective de Caisses Municipales, sans patrons ni banques privées, dans des unités productives, prêts à donner une suite sur le terrain, avec les conseils d’administration des entreprises du capital patronal des banques privées qui pouvaient se réunir le jour même de la reprise du travail, à midi ou le soir à 18h, pour choisir démocratiquement, si elles voulaient rester dans la gestion du capital patronal des banques privées ou préféraient rejoindre la gestion collective en Caisse Municipale qui prévoyait une participation directe de leurs bénéfices dans les équipements collectifs et un allègement d’impôts, tandis que la vie municipale se chargeait de proposer une vie culturelle différente à leurs ouvriers avec l’accès à des foyers, des hébergements municipaux. Ils envisagèrent même, en commun, jusqu’au nucléaire – malgré la polémique que cette nouvelle énergie pouvait susciter de fièvre des cotations sur les marchés boursiers – ; d’arriver par son développement, à faire payer au capital patronal, l’électricité à tous les ouvriers qui n’auraient plus que leur abonnement à amortir, ce qui sauverait ainsi, une partie de leur pouvoir d’achat que Giscard allait bientôt pouvoir piétiner en renvoyant les comités d’ouvriers aux cagibis des vestiaires. Mais le nucléaire n’a pas été municipalisé, ni même nationalisé et passât directement sous la privatisation du parc des banques privées. 

Finalement de cette incompréhension sur la conception qu’on peut avoir quant à la manière de se structurer ou de déjà l’être depuis 1947, lorsqu’on arrive en mai 1968, s’affrontent presque deux types de direction. Celle des étudiants de la Sorbonne qui préfèrent provoquer l’État en lançant le slogan « nous allons nous structurer en prenant la direction des usines » et ce monotone « la paysannerie et l’agriculture doivent se structurer », en plein hall de la Sorbonne, alors que les paysans, artisans, commerçants et petites manufactures le sont depuis 1947 et viennent tout simplement proposer leur aide en province en voulant faire voter les conseils d’administration des entreprises vers l’option de la gestion collective en Caisse Municipale. Ce passage n’a pu se réaliser par la mauvaise volonté de la direction des étudiants de la Sorbonne, conception de la soumission ou de l’insoumission, provocation ou ignorance, toujours est-il qu’un glas sonnait dans les directions politiques et syndicales des départements qui redoutaient que la même réaction policière s’étende, en protection à tout un territoire menacé. Envisager le dialogue, la négociation et le choix par les conseils d’administration des entreprises sollicitées dans les régions, ne semblait-il pas préférable ?… Tout comme ne le fut pas ensuite, le choix des soixante-huitards d’entrer en politique avec des banques privées du capital patronal, voire la même banque privée que celle du FN des Le Pen de 1972 d’extrême-droite, tournant définitivement le dos à la Caisse Municipale de gestion collective des Unités productives. 

Alors comment se fait-il qu’en mai 1968 à la Sorbonne, on se retrouve avec une direction étudiante qui tourne le dos aux comités d’ouvriers et de directions politiques et syndicales des Départements et Régions du pays ?… Pour changer le monde et l’organisation du travail ?… Entre « l’agriculture et la paysannerie doivent se structurer », vanté du haut d’une tribune et le « nous allons nous structurer en prenant la direction des usines », se révèle un monde directionnel, jeune, d’étudiants qui préfèrent la provocation lancée à l’antenne de l’ORTF, la veille de la reprise du travail, au résultat concret de l’expérience renouvelable de leurs ainés sur le terrain dans les municipalités où pas mal d’entreprises envisageaient sérieusement de basculer pour la gestion collective de tous les Corps de Métiers en Caisse Municipale, sans patrons ni banques privées, le jour de la reprise du travail. Là où certaines directions de partis ou de mouvements chercheraient à briller, sans trop d’argumentaire autre que celui du capital patronal des banques privées, on passe parfois à côté d’une histoire collective. Mais après tout, était-il trop demander aux étudiants de mai 1968 de remonter à ce volet économique de Nuremberg de mars 1946 qui refuse la « Demande de monnaie unique mondiale pour un Monde de Paix » mais accepte le Droit de se structurer en gestion collective par Caisse Municipale d’unités productives sans patrons ni banque privée avec tous les corps de métiers, en contre-poids au capital patronal des banques privées qui appelait à être mieux exploité en mai 1968, non pas laissé aux mains de quelques étudiants.

GRÈVES DE MAI 68. MANIFESTATIONS À LILLE ET ROUBAIX - Pierre ...

COVID19 : crise sanitaire, sociale et économique.

Il n’échappera à personne que la crise sanitaire de pandémie de la COVID19 a mis les populations à l’arrêt et plongé l’économie dans un blocage auquel elle n’était pas préparée. Si les banques privées pour l’instant, s’en sortent à peu près avec l’aide de l’État sous forme d’avances de prêts pour les entreprises, voire des allègements fiscaux pour 36 mois ; on se demande bien où sont les garanties de recouvrement pour tous les salariés, lorsqu’il s’agit uniquement d’indemniser des chefs d’entreprises qui eux, ensuite, restructureront leur activité d’exploitation, en se séparant de quelques salariés ou en mettant carrément la clé sous la porte pour récupérer leurs capitaux et voir après, ce qu’ils en feront avec les banques privées qui leur ouvriront l’accès à d’autres investissements, ultérieurement. Ainsi, déjà pendant le confinement, on observait une hausse considérable du nombre de chômeurs inscrits en « activité réduite » à Pôle Emploi sur la période du confinement, tandis qu’au début du déconfinement, se confirme une hausse du nombre d’inscrits « sans activité », en chômage total et non plus partiel. 1 million 68 mille nouveaux inscrits à Pôle Emploi, du jamais vu depuis 1996. Une si forte hausse met donc au point mort tous les espoirs des volontés depuis Sarkozy, Hollande et, il ni a pas si longtemps, de Macron, pour résorber ce qui constituait pourtant à chaque fois, une bonne partie des programmes présidentiels, c’est-à-dire l’emploi. On aura pas fini de se demander, en additionnant toutes les aides financières sur ces dix dernières années, allouées à l’industrie et aux entreprises du Cac40 pour ce qu’on nous disait être nécessaire pour « sauver des emplois » mais qui ne dureront que deux ou trois ans comme chez Ford à Blancquefort ; si toutes ces aides publiques et d’État, n’auraient pas mérité meilleur sort utilitaire, avec ou sans Coronavirus ? !… Tout un système économique de la finance – celui présenté comme la meilleure gestion qui soit, le libéralisme mondial – s’effondre, les marchés boursiers subissent quotidiennement la descente aux enfers d’une courbe de rentabilité négative plongeante, le télétravail des banques ne résout pas tout, le marché de l’emploi est mis à l’arrêt ou s’oriente spécifiquement vers le secteur hospitalier, rapidement surchargé pour accueillir les patients affectés par l’épidémie. Le secteur de l’alimentation continue de fonctionner et d’approvisionner les habitants mais il se modifie en s’orientant vers les circuits courts et les petits producteurs régionaux, envisageant déjà la possibilité de rester structurés ainsi pour garder leur emplacement sur les rayons de l’industrie alimentaire ou les supermarchés de moyenne étendue, posant dans la foulée, aussi la question du « bien manger » avec des produits sains, provenant d’une agro-agriculture protégée, en développement. 

Une société, toute aussi développée soit-elle et en avance sur les technologies, l’alimentation, le logement, la santé ou l’éducation, ne peut rien contre l’ennemi invisible qu’est ce virus qui paralyse un pays, bloque ses frontières et son espace aérien, réduit son activité économique et cloisonne ses populations, le temps d’en apprendre scientifiquement plus sur ce qui constitue l’unique intérêt médiatique pendant quasiment trois mois consacrés à faire toutes ses « unes » sur une pandémie qu’on espère rapidement transformer en épidémie par les mesures de confinement demandées. Les effets positifs de « quarantaine » ou de confinement modéré, se perçoivent et les bonnes volontés de la finance prévoient même de geler la distribution de dividendes, le temps de la crise sanitaire, les grandes fortunes se prêtent à colmater les brèches et les fissures des ruines et des faillites. Mais les chiffres sont là. L’activité productive qui ne pourra reprendre, les cessations d’activité annoncées à demi mot, marqueront un point d’arrêt aux louanges et au mérite de la bouche d’une éloquence qui chercherait à faire briller un gouvernement qui aurait pu atteindre la perfection dans la réaction mais qui a bien été incapable de trouver une solution de gestion, différente aux pelletées de milliards mises sur la table ; si tant est que ce gouvernement aurait été en capacité d’unifier toutes les banques privées en une seule caisse de gestion collective qui aurait dû faire de notre économie, de la finance et des investissements, un véritable « service public » !… Là où Emmanuel Macron, Édouard Philippe ou Bruno Le Maire pensaient briller et assumer leur fonction avec dignité et professionnalisme, on ne retrouve que les vieilles techniques d’une « guerre économique » livrée au capitalisme financier, selon le schéma de la crise économique précédente ; celle de la pandémie du Coronavirus étant bien incapable de pousser nos responsables politiques à vouloir basculer réellement vers une « économie de guerre » proprement dite qui aurait permis de basculer vers l’unification de toutes les banques privées en une seule caisse de gestion collective, « la même banque pour tout le monde ». Or là, c’est tout l’inverse qui se passe. Que fait-on ?… colmate-t-on le manque à gagner de toute une économie au ralenti ou bloquée sur de nombreux secteurs d’activité avec la même économie volatile ?… essaye-t-on de faire croire au même système d’investissement où ne décident que les banques privées et les multinationales de la distribution des capitaux ou envisagera-t-on un jour, une gestion collective en Caisse Municipale qui décidera avec ses populations de la manière dont ces capitaux peuvent être distribués (utilisés) ?… Même l’Union Européenne n’en a que pour les hydrocarbures, les lobbies des multinationales dans ses compositions budgétaires et en profiterait presque pour enlever un peu de budget climat en prétextant que la COVID19 serait passée par là… Faudra-t-il attendre qu’au bout de six mois ou un an, l’État, ses actionnaires et quelques banques privées, décident pour restructurer l’économie, de sucrer une ou deux de ces banques privées sur le modèle du Crédit Lyonnais ?

Aides, prêts, subventions, tout est gradué pour prévoir une échelle de remboursement et de recouvrement capable d’amortir les 350 milliards de Bruno Le Maire et les 750 Mds d’Ursula Von Der Leyen, dont le 1er chiffre national contient sûrement aussi une partie du second, européen. Ce chiffre national, ramené à la répartition de l’organisation administrative territoriale des 100 départements ; en coûtera-t-il 3 Mds 1/2 à chacun ?… Des 750 de l’Union européenne, vous n’avez qu’à diviser par les 27 ou les 28 pays, membres et appartenant à la Communauté européenne, pour obtenir le montant du poids économique qu’un tel système de gestion risque de faire peser, encore pendant quelques années dans chaque pays pour sauver son modèle productiviste par capitalisation et le développement de son système bancaire de privatisation ; l’investissement mis à disposition, dépendant de ce qu’il restera des mesures de restructuration financière opérées, des fonds individuels ou de capitaux personnels.

« Gestion » de la crise sanitaire mondiale

Crise économique et capitalisme financier…

Nous n’en avons pas encore terminé avec le coronavirus de la dernière pandémie, la plus meurtrière et la plus violente que nous ayons connue, que déjà sonnent les nombreuses questions soulevées par la crise économique qu’on annonce inévitable, mais dont la profondeur reste encore méconnue, bien que soit quantifié assez précisément, depuis le confinement et l’amorce du dé-confinement progressif, le manque à gagner pour le capital patronal des banques privées ; aussitôt relancé dans l’économie de la mondialisation au travers de différentes aides internationales pour les programmes de développements concernant la santé, l’alimentation, l’agriculture, le logement, le sport et l’éducation.

Ce n’est pas le tout de disposer d’aides financières considérables venant des pays dits riches de ces grandes puissances qui garderont toujours un lourd passé colonialiste, lié aux politiques militaires d’extrême-droite, au nationalisme et à l’expansionnisme territorial ; encore faudrait-il exactement savoir comment ces sommes, quand même considérables, constituées pour une bonne partie par les contribuables et les dons, complétées par une part de l’État dans le cadre de sa coopération économique, aboutissent sur un terrain qui suppose une répartition pré-existante, ordonnée par l’organisation administrative territoriale définissant au préalable, la réunion de plusieurs Gouvernorats, Provinces, Wilayas, Départements, Régions, Districts, municipalités ; disposant chacun d’une caisse de gestion collective régionale ou municipale. À partir de là, on peut concrètement supposer qu’une aide mondiale pour l’alimentation soit logiquement, équitablement et honnêtement répartie, en autant de Gouvernorats ou de Provinces qui constituent les nations ou les pays concernés. C’est crucial une telle répartition égalitaire des aides mondiales pour que toutes les régions et municipalités gardent la même possibilité pour chacune d’y accéder et de pouvoir développer l’artisanat, la petite manufacture et le commerce local, dans chaque ville et village de son territoire. Si ces conditions d’égale répartition des aides mondiales humanitaires pour le développement n’atterrissent pas ainsi, de manière égale sur la base de l’organisation administrative territoriale, il y a de fortes chances qu’elles restent bloquées sur les comptes des banques privées nationales ou internationales, dont on ne saura jamais ensuite, si une certaine lenteur à mettre en pratique l’aide humanitaire, toujours en attente de capitalisation, attise ou résout les zones de conflits. Faut-il montrer patte blanche ou bénéficier d’appartenances politiques spécifiques qui remonteraient aux giscardiens du Liban des banques privées, nouvellement constituées pour son intronisation présidentielle en 1974 – il faut bien les alimenter ensuite, une fois créées -, à la « France à fric » qu’ils développent, à un État Islamique Daesh France et ISIS des USA, voire encore d’un Erdogan qui voueraient tous des dépendances à une banque privée de Ben Laden avec qui, il faudrait être « en accord » par banque privée pour bénéficier de l’aide alimentaire, sociale, politique et économique en question ?

Si on prend par exemple 500 millions $ d’aide des États-Unis pour la Turquie de l’AKP d’Erdogan, ça n’enlève en rien le fait que ce pays reste subdivisé et réparti selon une organisation administrative territoriale de 81 Provinces et 7 Régions. Sur 81 Provinces, on lit naturellement que chacune d’entre-elles devrait se voire économiquement virer par l’État turc, une somme de 5 millions $. Sur une répartition distributive à partir des 7 Régions, le procédé envisagé est plus important financièrement pour chaque partie turque, ainsi considérée par cette seconde possibilité de répartition, mais certaines Provinces risqueraient d’être délaissées et d’en avoir miette, à cause d’une mauvaise répartition administrative qui les oublierait ou marquerait la volonté de les laisser dans la pauvreté. Le tout n’est pas de statuer sur comment on va tenir compte de la subdivision de l’organisation administrative territoriale de la Turquie, mais de s’assurer que les aides humanitaires pour les réfugiés et le développement, arrivent dans toutes les Provinces, jusqu’à celles dites « frontalières » et pas uniquement dans les casernes militaires du régime politique du califat de l’AKP d’Erdogan qui verse des salaires inestimés et injustifiés à toute une police intellectuelle, religieuse et nationaliste. Par contre, si toute l’aide reste en circuit fermé dans les banques privées nationales ou internationales d’Istanbul ou à Ankara dans les Universités coraniques, une bonne partie du pays verra ses espoirs de reprise économique ou d’intensification du développement local, se réduire à peau de chagrin ; ses frontières disparaître…

Comment voulons-nous gérer le monde ?… Entre la fable des mauvais banquiers ou avec de bons gestionnaires ?

Dans le système bancaire du capitalisme financier monopoliste ou en gestion collective avec des Caisses Municipales pour solidifier les répartitions des aides humanitaires, en tenant compte d’une donnée incontournable qui s’appelle : l’organisation administrative territoriale ?… Les réseaux bancaires des gestionnaires devraient pourtant en tenir compte, sinon nous pourrions surestimer leur capacité à limiter la misère, le désoeuvrement et les problèmes d’alimentation, en augmentation depuis la crise sanitaire de COVID_19 pandémique planétaire. 

Le seule appartenance au capital patronal des banques privées, ne dispense pas de tenir compte de ces subdivisions administratives territoriales, ou de ne s’y intéresser, uniquement lorsqu’il s’agit de prélever de l’impôt, d’augmenter des taxes ou tirer des bénéfices. Qu’on parle d’un « jour d’après » ou d’un « monde commun », celui-ci a beau être décrit comme n’étant plus tout à fait gouverné comme le « monde d’avant », cette transition politique dans la manière d’exercer le pouvoir, ne se fera plus sans une transformation économique profonde du système bancaire par l’unification de toutes les banques privées en une seule caisse de gestion collective de tous les corps de métiers autour de ce qu’on appelait la Caisse Municipale de notre versant politique depuis 1947 jusqu’à la Sécurité Sociale et avant mai 1968, 1972… 1973… 1974. On ne peut pas éternellement confier l’intégralité de la gestion d’un pays ou du monde, à l’unique capital patronal des banques privées. Pour qu’une « gestion municipale » / « Banque Solidaire », dans chaque petit village et ville moyenne, puisse se développer, même à petite échelle, il faut qu’au départ, une subdivision des sommes consacrées, soit répartie selon un découpage organisationnel administratif qui contente chaque Département, Province, Wilaya ou Gouvernorat qui saura bien en faire bon usage pour la vie économique de son économie régionale, locale ou municipale, dans chaque Commune.

IRMA Lancement de la base de données sur les aides des OGC

Et après, peut-être qu’un jour…

De la « guerre économique » à une « Économie de guerre » !

D’une idée nouvelle d’organisation, de composition et de structuration de la définition des programmes de politique économique pour notre versant politique – au sortir des crises économiques en cascade, dont la plus significative restera la crise sanitaire et sociale de la pandémie planétaire du coronavirus -, surgira une différence politique telle, que ce que nous laissent ces politiques qui se succèdent depuis 1/2 siècle, apparaîtront comme d’où il ne resterait pas grande ressource intellectuelle à puiser. Pourra alors naître et se définir selon des méthodes électorales transformées, le système politique qui posera un « bureau rond » à l’Élysée : celui du Directeur présidentiel, entouré immédiatement de ses Conseillers par les résultats qui tomberont, le soir du premier tour… Chaque bannière politique de cette « coalition présidentielle », partira sur la même ligne de départ pour vouloir désigner son « directeur de la Présidence », sachant qu’il n’oubliera aucun conseiller (porte-parole d’une bannière) pour le 2e tour, puisque chacun, aura garanti sa partie de la possible majorité effective. Cette technique de « coalition au 1er tour » permet à chaque bannière de vivre, ainsi, pleinement la campagne électorale, librement, avec leur porte-parole respectif, sans « pressions secrètes » ni concurrence déloyale qui déborderaient sur l’espace public. Par cette méthode organisationnelle, nous créerons les conditions nécessaires et indispensables pour renverser ce 1/2 siècle de gestion, intégralement vouée au capital patronal des banques privées. Plus les décennies passent, prend forme une sorte de totalitarisme économique, dont nous ne comprenons pas encore toutes les ficèles qui poussent autant de richesses collectives, à n’être détenues que par quelques % des plus riches, où parmi ces plus riches, seul 1% joue les ténors de la haute finance mondiale. En changeant notre approche du climat des rivalités pré-électorales, nous les supprimons et faisons tourner en rond, jusqu’au résultat fatidique du 1er tour, après l’addition du score de chaque bannière, les médias hostiles à nos projets de transformation en profondeur du système bancaire qui unifiera toutes les banques privées en une seule caisse de gestion collective pour faire de l’économie, de l’argent et des affaires, un service public à part entière et le résultat réel d’une transformation des programmes de politique économique qui finalement, ne sont que la résultante de ceux élaborés, dès les premières réunions du Conseil National de la Résistance, en réunissant différentes bannières politiques, syndicales et patronales, sous la forme d’une Caisse Municipale de coalition pour une gestion collective de tous les Corps de Métiers, liés aux unités productives sans patrons ni banque privée, autre que celle de la Résistance. Cette « gestion collective » de tous les Corps de Métiers en unités productives est la base de l’édification de la Sécurité Sociale, sinon le patronat ne serait jamais venu à même hauteur dans ses cotisations sociales et dans sa part participative aux financement des équipements collectifs municipaux. De 1947 à avant, pendant et après mai 1968, une coalition politique permet à ces structures de gestion collective de ne pas entrer dans le jeu des banques privées, autrement que par des capitalisations collectives où accédaient sur les plates-formes financières, des retraités ou des délégués-responsables d’unités productives qui avaient dix ou quinze ans d’expérience dans un de ces corps de métiers, accompagnés de salariéEs ou d’étudiantEs. Les bannières politiques qui entrent en politique depuis 1968, peuvent-elles justifier de cette appartenance aux Caisses Municipales de gestion collective ou lorgnent-elles déjà la vie politique – PS 1969 et FN 1972, RPR, UDF -, directement en songeant s’implanter sous la forme des volontés des banques privées du capital patronal, mettant en doute la validité de cette gestion collective et l’équilibre qu’elle permettait pourtant d’exercer sur le patronat pendant 1/4 de siècle, clouant le bec au rêve américain et aux dettes que Giscard agitera de nouveau rapidement, un peu plus tard, lorsqu’il décidera de gouverner avec la crise économique ?

Pendant trois mois, ne se sont succédées que vieilleries et manque de réaction intellectuelle réelle et efficace pour l’après pandémie/épidémie. Tous suspendus, soit aux décisions du gouvernement pour la majorité présidentielle ; soit accrochés aux musées soviétiques et bolcheviques des nationalisations communistes ou socialistes du paradigme de l’État Providence, voire à une caserne d’extrême-droite que pourtant, cette situation virale, demanderait de dépasser. Reprise politique ?… évidemment… notre pays est politique ! Mais entre un gouvernement qui piétine d’hésitations pour étaler son incompétence par manque de confiance envers les professionnels et le partage des responsabilités avec les  corps de métiers, à celles et ceux qui envisagent une gestion différente de la chaine économique, qui parlent d’un « jour d’après », d’un « monde en commun » ; ne disparaîtra pas forcément la guerre des égos qui fait que chaque bannière tire de son côté, la même corde reliée en son centre, jusqu’à son éclatement, pour ramener à l’une d’entre elles, une position leader, comme si elles n’étaient que les « apprenties de Macron ». La décision prise par Macron ne fait pas l’unanimité… Du « nous sommes en guerre » au dé-confinement pragmatique et lent, les indécisions se multiplient au point d’y déceler une majorité présidentielle espérant sauver la face et pouvoir briller par la crise sanitaire, faire augmenter sa cote de popularité, sauver ses municipales de 2e tour, fermer les parcs publics pour résoudre ses questions de sous-effectifs policiers de surveillance et de patrouilles pour garder la voie publique ; bref, envisager sereinement, ou du moins pouvoir laisser à l’hypothèse, sa réélection aux présidentielles de 2022, comme si les carottes étaient cuites ou faisandé le veau, certainement oublié pourquoi De Gaulle n’a pas résolu de tenir sa place au rang des nations pour l’ouverture du volet économique de Nuremberg, se contentant d’y venir expliquer à l’intégralité de l’état-major des alliés, le pourquoi du comment il préférait faire ça chez lui, en France, alors que tout un tribunal international allait s’ouvrir pour incriminer les problématiques économiques soulevées dans tous les pays européens, alors mis sous l’occupation du régime nazi, dont celui d’extrême-droite des milices de Vichy de la collaboration, constituait le plus surprenant, puisqu’il relevait géographiquement d’une ville qui se trouvait en « zone libre », donc dépendante et aux ordres d’une « France Libre » sur le papier du découpage administratif de l’occupant… « libre » mais collabo ?

Durant ces trois mois, quelqu’un a-t-il entendu une seule critique reprocher à Macron son « nous sommes en guerre » dont on ne sait pas vraiment ce qu’en retiendront les livres d’Histoire sans signaler, à aucun moment – ni dans un médias de presse, ni sur une chaine d’info – qu’un chef d’État français normalement constitué, en connaissance de l’histoire économique de son pays, la France, qui gérait, en partie, l’économie du territoire par Caisse Municipale de gestion collective, sans dette, sans patrons ni banques privées, que pas même Pompidou n’aurait osé embêter ; un tel chef d’État était en droit et en devoir de répondre à la crise sanitaire de la pandémie – et en prévision à la crise économique dont l’étendue reste incertaine – ; ce chef d’Etat, se devait d’unifier toutes les banques privées en une seule caisse de gestion collective, « la même banque pour tout le monde », pour amortir les possibles cessations d’activités. Pour ressouder l’économie, autrement que derrière des paquets de milliards qui nourriront toujours les éternelles banques privées nationales ou étrangères du capital patronal, au risque de sacrifier en cours de route, une ou deux des cinq principales banques privées françaises du parc d’activité économique qui s’occupent depuis 50 ans de la gestion du pays, au risque de perdre dans l’arborescence de la capacité économique de l’étendue de chacune de ces banques privées, vouées au sacrifice comme un Crédit Lyonnais. Ce chef d’État se devait de sortir de « l’économie de guerre » pour mettre en pratique sa « révolution ! » tant claironnée pour paraître crédible aux présidentielles 2017, malgré son uniforme de banquier derrière lequel, Rothschild nous révèlera peut-être un jour, qu’Emmanuel Macron revenait trop cher en gestion interne et qu’il fallait le virer comme tout apprenti ou stagiaire qui compose des budgets excessifs et déficitaires le mérite (!)

Début de la (nième) dette ! ?

Mais les autres ne valent pas mieux, enchainés trois mois durant, dans le « monde d’avant » ou enfermés dans des limites intellectuelles que leur propre histoire ne permettra jamais de dépasser. Même ceux qui promettaient pourtant un « nouveau monde », sans droite ni gauche ou au-delà, y retombent, n’osant rien changer du système bancaire. Toujours convaincus que le système capitaliste est ainsi bien fait et que la conception d’un état d’esprit de gestion collective, n’apporterait pas plus que la matricielle qu’ils entretiennent en privé avec une bonne tranche d’économie volatile, cloisonnées par des paradis fiscaux prêts à accueillir l’évasion fiscale, même au risque de faire dépendre leur réussite avec les banques privées de Ben Laden. Ne voient pas ce qu’un « gestionnel collectif » d’unification de toutes nos banques privées, permettra de réaliser d’économies en frais de gestion internes dans chaque banque privée, une fois unifiées ; ne perçoivent pas les regroupements possibles de produits financiers ou de services bancaires, similaires, à effectuer puisque finalement, ils ne diffèrent guère d’une banque privée à l’autre. Ne voient pas qu’ainsi regroupés, ces produits augmenteront notre puissance économique et notre place au rang des banques mondiales ; d’où la nécessité accrue de les unifier le plus rapidement possible, avant qu’il faille en sacrifier l’une ou l’autre d’entre-elles.

On entend parler de « bloc commun », on suppose déjà qu’il est chez Mélenchon de la France Insoumise ; tandis qu’une « coalition 1er tour », appelle chaque bannière à apporter l’étendue de son potentiel électoral pour tous les additionner autour d’un bureau rond avec un Directeur et ses Conseillers, directement sortiEs des urnes qui affronteront le second tour soudéEs !… Si chaque bannière politique (EELV, Générations, NPA, PCF, LFI, Place Publique, Lutte Ouvrière, PS 1969, Parti Animaliste, « Sortir de l’Europe des États », « Régions et Peuples solidaires »…), appartenant à une coalition de 1er tour, apporte l’étendue de son potentiel électoral pour l’additionner et décider par les urnes uniquement, de qui sera le directeur présidentiel du 2e tour pour le remporter, alors nous gagnerons et ne serions pas empressés de redéfinir un mouvement sous de nouveaux noms, voire en les assemblant, au risque de perdre des électeurs qui ne s’y retrouveront plus !

En tous cas, entrer dans une gestion collective par l’unification de toutes les banques privées en une seule caisse de gestion commune, permettrait dans un premier temps, d’effectuer l’économie des frais de gestion intérieure et de concurrence entre plusieurs banques privées dans un même pays, d’être mieux armés pour aller voir les banques étrangères, d’augmenter notre puissance économique en regroupant certains produits financiers qui sont sensiblement les mêmes dans chaque banque privée (assurances, immobilier, actions boursières), voire de pouvoir distribuer les aides mondiales internationales humanitaires, directement dans les Provinces, Gouvernements, les Mèdes ou dans une des Wilayas, au lieu de les stationner sur des banques privées qui ordonnent les investissements locaux ultérieurs. Ce système de gestion permettrait de concrètement financer du développement et de ne pas faire dormir l’argent dans la capitalisation des banques privées nationales ou étrangères qui nourrissent les millionnaires ; pas exclu que dans les Départements et les Régions, s’en suive immédiatement un apaisement social, économique, culturel et religieux, aussi infimes que peuvent être les « petits budgets », puisqu’une activité productive, consolide la société, autrement que par des religions armées.

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Des bannières, une coalition… une « politique économique »…

Dans la « stratification des banques privées » – surtout lorsqu’il s’agit de faire aboutir des aides internationales ou des budgets de développement vers d’autres pays -, se pose rapidement la question de savoir si au bout de la générosité occidentale  et européenne, en matière d’aide humanitaire, on atterrit dans une Caisse Municipale de gestion collective régionale ou dans une banque privée nationale, voire une multinationale étrangère ?… Selon la destination des plates-formes d’investissement et de gestion, dépendront d’une certaine façon, manières et méthodes utilisées pour la circulation ou l’entretien du capital. Si une « aide financière » reste monopoliste et clouée dans une banque privée nationale ou étrangère, comme ce fut le cas en Grèce, il y a peu de chance qu’un développement régional, dans les Mèdes grecs ou les Wilayas d’Algérie, puisse démarrer concrètement sur le terrain, si l’argent reste bloqué par des comptes de l’État, stationnés sur des multinationales étrangères ; quant il ne se négocie pas – ce développement « hypothétique » – entre agents administratifs, fonctionnaires bureaucratiques élevés ou une poignée de politiques de la sur-capitalisation !… Lorsque cette poignée de politiques fait dépendre volontairement l’existence de leur flanc politique avec les mêmes banques privées du capital patronal, c’est évident que les choses n’avancent pas ou sont bloquées par l’état et l’ambiance du climat politique intellectuel qui forge le niveau du débat ; même que l’exploitation patronale du capitalisme du système financier peut perdurer ainsi indéfiniment. Comme il n’existe aujourd’hui que des « banques privées », c’est difficile de trouver une « alternative » politique, mis à part du côté de l’écologie sérieuse qui fonctionne en réseau de « banques solidaires » avec raison qui deviendront incontournables ; si un jour, l’unification de toutes les banques privées se réalise vers une même gestion collective de tous les Corps de Métiers, structurés en Unités productives gérées par les Caisses Municipales, telles que les définissaient les programmes de politique économique du Conseil National de la Résistance, dès ses premières réunions du bureau de la Résistance avant qu’elle ne devienne simple économie politique, intégralement vouée au capital patronal de banques privées, 25 ans plus tard par Giscard qui s’en fabrique deux nouvelles (BNP et Crédit Mutuel) pour marquer son intronisation de Président de la République qui, pensait-il, aller lui permettre de désormais gouverner, seul, avec la crise économique !

Les banques privées nationales ou étrangères encaissent les aides internationales et humanitaires mais organisent elles-mêmes, individuellement, leurs placements, avant de les envoyer dans les Municipalités pour le développement proprement dit sur le terrain. À ce moment-là, ce n’est pas étonnant que le capital de l’aide, qu’elle soit alimentaire, sociale ou pour l’éducation, soit déjà diminué puisqu’il y a capitalisation et re-capitalisation avant ; encore moins importante risque-t-elle d’être cette aide, lorsque des étiquettes politiques défendent la réputation de leur image politique, en s’en servant comme support idéologique !

Faudra-t-il qu’un jour, une force politique se constitue en « coalition de différentes bannières politiques » qui additionneront leur étendue électorale, au 1er tour d’une Présidentielle pour le franchir avec leur % respectif, additionné par la méthode de la coalition qui mettra un bureau rond à l’Élysée, dès lors qu’il connaîtra son « directeur de la Présidence », le soir du 1er tour, entouré immédiatement de ses Conseillers directs – qui auront fort à faire dans les Ministères ensuite, constitués selon la même règle de coalition -, au nombre d’autant de bannières qui auront choisi le 1er tour pour désigner la directrice ou le directeur, moins celle qui obtient le % le plus élevé pour se charger de cette direction d’une présidence, autour d’un bureau rond ; quand ces bannières gouverneront ensemble, selon des règles mathématiques précises concernant l’assemblage des étendues électorales réelles pour définir par les urnes les Conseillers du Directeur présidentiel ?

De tout ce dont dispose notre versant politique, si tant est qu’il daigne se structurer en « cinquantième démocratique », suffisamment puissant et soudé par une coalition, pour définir de nouvelles orientations aux programmes économiques de politique générale et progresser vers l’unification de toutes les banques privées par Caisses Municipales de gestion collective ; sans doute aurions-nous alors une belle grappe de bannières sur la même ligne de départ pour le 1er tour, sachant que passer le 1er tour, permettra directement d’annoncer le directeur de la Présidence et ses Conseillers qui composeront le « bureau rond de la Présidence Élyséenne ». Fini alors le chapelet des alliances, nous cumulerons nos forces de chaque potentiel électoral respectif de plusieurs bannières, définit par son étendue en % pour additionner leur résultat de 1er tour, faire gamberger plus largement les médias entre l’efficacité et le sérieux de notre coalition, en leur imposant l’attente de son nom qui ne sera connu qu’à l’annonce des résultats, les seuls capables de désigner ce candidat pour le second tour qui emmènera l’intégralité de ses Conseillers définis par l’ensemble de la constitution de cette coalition. On devrait alors pas être loin du choix des urnes entre EELV, Régions et Peuples solidaires, Parti Animaliste, Générations, NPA… Place Publique ?… PCF ?… Lutte Ouvrière ?… LFI ?… « Sortir de l’Europe des États » ?… le Parti Socialiste 1969 est mort à Solférino, les 3/4 votent En Marche au 1er tour de la Présidentielle 2017, mais le PS reste Socialistes de l’Assemblée Nationale (Socialistes AN) !

On pourrait alors pas être loin d’une dizaine pour le nombre des bannières, l’une d’entre-elles pour le directoire présidentiel, les autres, entourant par les urnes, le directeur de la présidence, en tant que « conseillers » au bureau rond de l’Élysée pour remporter le 2e tour !   

Réduire le nombre de bannières n’est pas forcément une bonne solution pour ne plus n’en avoir que 3 ou 5 qui permettent aux plus petites de se regrouper sous celle avec laquelle elles ont le moins de divergences idéologiques, sachant que la coalition suppose la transformation des programmes de politique économique, introduisant la réforme en profondeur du système bancaire que Macron n’a pas su faire, en unifiant toutes les banques privées en une seule caisse de gestion collective du vaisseau de l’économie : « la même banque pour tout le monde » !… Non ! ?… ce n’est certainement pas le but de réduire l’étendue du potentiel politique, en réduisant le nombre de bannières qui permettra de gagner une majorité, car, moins les bannières seront nombreuses, moins aussi la démocratie aura de chance de s’y exprimer et d’y ramener des voix pour augmenter ce potentiel ; moins nombreuses encore, seront les chances d’accéder à un remboursement des frais de campagne, eux aussi, additionnés par celles qui franchiront le seuil fixé par le Code électoral et divisés par le nombre total des bannières pour que celles qui ne franchiront pas les 5% ou 3%, bénéficient aussi de ces remboursements de frais de campagne.

Gestion collective de tous les Corps de Métiers…

Il y a peut-être ceux qui parlent des Yuans, des Roubles, des Pesos ou des Bolívars, de l’Éco africain – des $, des € et de la Livre turque – et ceux qui disent qu’ils en parlent parce qu’ils sont fait pour ça, ne savent plus faire que ça. C’est d’ailleurs pour cela que d’autres ont tellement à se parler d’histoires d’oiseaux, de poissons, de prairies et de forêts ; qu’ils n’auront jamais suffisamment de temps à consacrer aux vies des monnaies mondiales, durement secouées par la pandémie virale en cours, heureusement résorbée dorénavant en épidémie de virus COVID19. La crise sanitaire n’a pourtant pas empêchée des parties entières de l’économie, d’être sévèrement bloquées pendant deux mois, là où l’activité, même limitée, aurait été possible. Une nouvelle possibilité économique s’ouvre alors à l’humanité. Là où ceux qui ont tellement à se raconter de la vie des oiseaux, remettent aussi à évoquer la gestion collective de tous les Corps de Métiers en Caisse Municipale qui faisait suite pendant un bon 1/4 de siècle – structurellement et en partie -, aux programmes de la politique économique du Conseil National de la Résistance pour développer une politique sociale dans un premier temps, avant que le système capitaliste réponde « absent » et estime qu’il est en droit de tout décider. Cette organisation du travail collective, sans patrons ni banques privées, réunissait des unités productives qui n’appartenaient pas au capital patronal des banques privées, avant que le CNPF puis le MEDEF, se mit à tout « gouverner et diriger ». Cet état de surpuissance que pouvait mettre en avant, ensuite, l’ensemble du patronat avec sa grappe de patrons politiques, doit remonter à une « décision secrète », d’empêcher nos unités productives d’exploitation en gestion collective sans patrons, de se développer et de ne même pas en informer les jeunes arrivants qui voulaient démarrer dans la vie en artisanat, commerce, agriculture, manufacture, lors de leur inscription au registre des projets de la Chambre consacrée à cette classification des différents secteurs d’activités : comme s’il fallait, au début des années 1970, enterrer ces structures d’un parc d’activité en gestion collective, faire comme si elles n’existaient déjà plus et ne même plus en informer du choix, les concernés, d’être gérés soit par la gestion collective des Caisses Municipales de tous les Corps de Métiers jusqu’à leur caisse de retraite, ou bien préférer les contraintes astreignantes du capital patronal des banques privées qui viennent de toutes façons, de leur côté, à même hauteur des caisses municipales pour leurs cotisations patronales des retraites de leurs salariés.

Lorsqu’on se souvient de ce mode de gestion collective, on ne peut pas dire qu’il n’était pas rentable, là où le capital patronal enviait les actions boursières collectives municipales qui faisaient le développement des équipements collectifs, part établie par l’équilibre d’un système économique qui nous permettait d’être envié par le monde entier avec une « Sécurité Sociale » qui mettait les cotisations patronales des unités privées à même hauteur de celles apportées en avant par la gestion collective, dès son institutionnalisation. On aurait tort de croire le contraire et persister à s’imaginer que cette « gestion collective » n’était pas rentable. Et si elle ne l’était pas, c’est bien à travers les mauvaises conceptions patronales que garderont les banques privées dans leur participation au partage des richesses et… à la gestion totalitaire d’une économie estimée toute à lui, qu’espérait tirer profit ce capital patronal des banques privées uniquement, le jour où il n’y aurait plus qu’elles, en allant jusqu’à vouloir gérer les retraites des salariés, à partir du moment où elles pourraient se saisir du potentiel économique collectif que les antennes productives municipales traduisaient, non seulement par des salaires plus élevés que dans les secteurs du privé, dominés par le capital patronal ; mais aussi par la matérialisation de l’effort collectif par des capitalisation internationales, à partir d’actions boursières collectives municipales. Se sont-ils vendus entre eux ?… entre moins perdants aux plus offrants ?… cette domination inexpliquée, implique-t-elle des disparitions inexpliquées ou des vies transformées qui ne correspondraient plus à ce 1/4 de siècle d’équilibre entre la gestion collective des unités productives sans patrons ni banque privée qui faisaient force face au capital patronal des banques privées, de 1947 jusqu’en 1972, 1973, 1974 ?

On ne taira jamais assez la polémique, prise depuis 1/2 siècle, après ce 1/4 de siècle équilibré entre la « gestion collective » et le « capital patronal privé » qui, depuis 50 ans maintenant, nous livre un totalitarisme de gestion uniquement possible par « banques privées du capital patronal ».  

Après il est facile au système capitaliste de se glisser entre le manteau des musées soviétiques et bolcheviques (Douma des assassinats) ou/et les casernes d’extrême-droite qui intronisent Giscard mais pourquoi plusieurs banques privées, dans un petit pays comme la France alors qu’il y a autant d’arguments défavorables à la multiplication des banques privées, autant de raison contraire qui satisfaisait certainement le plus grand nombre qui était en Caisse Municipale de gestion collective de 1947 à 1968, 1969, 1972…

Aujourd’hui dans le monde, on se retrouve avec des États qui ont plusieurs banques privées, des États qui n’ont qu’une banque nationale pour pas mal de banques étrangères, à qui il manque des Caisses municipales dans les Gouvernorats, les Provinces, les Régions, les Dèmes en Grèce, les Wilayas d’Algérie ou les Départements, ce qui explique pourquoi l’argent de l’aide occidentale ou européenne ne parvient jamais dans les Régions ou les Districts puisqu’il atterrit sur les comptes de banques privées étrangères installées sur leur territoire ou ceux d’une « banque nationale » ; un État, sans banque privée ou sans banque étrangère est déjà plus difficile à trouver. Vouloir résoudre la crise économique de la crise sanitaire du COVID19 avec et par les mêmes outils économiques qui ont développés l’austérité, le chômage et la précarité, relève d’une obstination sans nom qui sort difficilement de la fable du mauvais banquier confronté à un bon gestionnaire, encore soucieux de faire prévaloir les notions de gestion collective de tous les corps de métiers en une seule Caisse Municipale, des apprentis-ouvriers, aux responsables-délégués, jusqu’à leur caisse de retraite, chez qui, il n’y avait pas de « patrons » !… Alors qu’attendez-vous grands princes et bons rois pour unifier toutes les banques privées en une seule caisse de gestion collective – la même banque pour tout le monde, c’est essentiel – qui transformera en profondeur le système bancaire et enclenchera la réforme économique qu’Emmanuel Macron n’a pas pu transformer en « révolution », ailleurs que dans son imagination de stagiaire chez Rothschild qui lui faisait encore croire qu’en prenant les caisses de retraite, il allait pouvoir fabriquer un millionnaire en 3 ans, un milliardaire en cinq ans et au bout de 7 ans, tous les retraités auraient été au minimum vieillesse, hors capitalisations !… À la manière dont Macron pille le pays pour arroser ses actionnaires, on va finir par croire qu’il coûtait trop cher à Rothschild qui l’a viré… La rentabilité ne vient pas de la masse de capitaux disponibles ou par la multiplication du nombre de banques privées mais du développement effectif et réel qui ne dépend pas de l’économie volatile de l’évasion et de l’évaporation fiscales à travers les paradis fiscaux. De toutes façons, nous ne pouvons encore continuer longtemps d’appauvrir la planète éternellement avec autant de millionnaires et de milliardaires puisque les richesses naturelles de matières premières et des minerais, auront tôt fait d’anéantir les espèces vivantes, avant que nous n’en disposions plus de la même manière qu’à l’époque de la grande industrie du capitalisme financier ou pour nourrir les matières rares nécessaires aux nouvelles technologies, gourmandes en métaux précieux. Autre crainte majeure, surgissant aussi de la crise sanitaire de la pandémie du virus COVID19, différente des entreprises privées menacées de mettre la clé sous la porte pour manque d’activité, dont le recouvrement, prévu par l’État ne suffira pas ; reste la possibilité de restructurer le système bancaire en supprimant une ou deux banques privées du parc dont nous disposons, histoire de regonfler les parts boursières des banques qui resteront. Cela ferait beaucoup de licenciés dans le système bancaire et ne remettrait qu’à plus tard – on parle déjà de retour de pandémie en hiver et pour pas mal d’années – l’échéance et la nécessité d’unifier une bonne fois pour toutes, toutes ces banques privées en une seule caisse de gestion collective pour que l’argent, la monnaie et les règles économiques deviennent un véritable « service public » capable de résorber une crise sanitaire de pandémie, autrement que par un « État d’urgence sanitaire ». Ceci répondrait également, assez fermement, à la question que se posent de nombreux ouvriers, salariés, employés : sommes-nous réellement là pour sauver le capital patronal des banques privées ?… N’y a-t-il pas de pratiques gestionnaires plus communes et collectives, liées à l’histoire sociale de la Sécurité Sociale qu’on nous dit être enviée du monde entier. Il faut quand même préciser qu’elle ne put s’établir qu’à partir de l’équilibre économique posé par les unités productives de gestion collective sans patrons des caisses municipales par rapport au capital patronal des banques privées, appelé à venir à même hauteur de cotisations patronales qu’elles pour les retraites, d’une part, et dans les investissements pour les équipements collectifs d’autre part… Ça permettait, grosso modo, lorsqu’on observait une école, d’être certain que le capitalisme patronal des banques privées n’avait rarement plus d’un mur à son actif, deux au maximum, l’autre moitié étant l’impact de l’investissement collectif de la gestion collective mise en avant par les unités productives d’exploitations sans patrons ; lorsque l’armée ou la religion s’approprient la cour de l’école, on change de régime !

Il faut faire attention lorsqu’on aborde la Sécurité Sociale aujourd’hui, dans son élaboration, créée au départ par l’équilibre économique qu’elle réussissait à trouver entre la gestion collective des unités productives sans patrons en Caisse Municipale et le poids du capital patronal des banques privées qui n’avait pourtant, en partie, pas bonne réputation du côté de sa collaboration active avec l’occupant nazi, après la guerre, sinon, d’ici quelques années, ils seraient capables de nous faire croire que c’est le capital patronal des banques privées du système capitaliste colonialiste qui a offert la Sécu aux Françaises et aux Français – alors que c’est aux salariés qu’elle est destinée -, en cadeau à la classe ouvrière pour se faire pardonner sa collaboration active qui organisait des déportations, torturait et assassinait pour le reich nazi (!)

Finalement on s’aperçoit vite avec le COVID19 que ce système économique, où la totalité ne fonctionne qu’avec le capital patronal des banques privées, est rapidement limitée. À vouloir tout gérer, lorsque l’économie tourne au ralenti, on se retrouve quasiment dans une « économie de guerre » qui ne devrait être, ni le moment de poursuivre la guerre économique que se livre l’Amérique, la Chine, l’Asie, l’Europe, l’Afrique ; ni l’occasion de vouloir rebondir avec des nationalisations ou faire valoir l’État Providence. La meilleure des réactions, la plus censée des solutions, la mesure légitime à prendre par tous les syndicats de salariés, ne serait-elle pas de demander l’unification de toutes les banques privées en une seule caisse de gestion collective pour que nous puissions sortir des contraintes astreignantes liées aux exigences du capital patronal des banques et des entreprises privées, dont il n’est pas exclu que certaines d’entre-elles devront bientôt fermer boutique ou passer au 100% bio ?

Cette gestion collective faisait pourtant balancier et contre-poids au capital patronal des banques privées, capable toujours, à chaque instant, de tout dévaster par déforestation, de bétonner à vue d’oeil, lorsque ce ne sont pas des missiles qui s’occupent d’égaliser le terrain. Quand un état-major, de quelques corps de métiers qu’il soit, décide tout seul, ça peut devenir catastrophique…

Le capital patronal des banques privées n’est pas la gestion collective des Corps de Métiers en Caisses Municipales !

La civilisation serait-elle à nouveau à un tournant – tout comme elle l’était déjà au début des années 1970 par les questions intellectuelles soulevées avec René Dumont sur le capitalisme industriel, sujet, déjà, à de nombreuses catastrophes écologiques déclenchées par son développement -, interroge la crise sanitaire du COVID19, rapidement, tel un effet d’accumulation, propagée et répercutée par une crise sociale et une crise économique irréversible ?

Comment un système économique, financier et bancaire, qui prétend être le meilleur qui soit, a-t-il autant tremblé et fait l’indécis, quant à la décision de maintenir les salariés à domicile, en les couvrant d’un chômage partiel ou en télétravail, urgemment ?… Comment une telle Organisation Mondiale du Commerce fut-elle autant indécise pour remettre à chaque pays, frappé par la pandémie, le libre choix de ses décisions, jusqu’à ses interprétations et l’envoie de salariés, au front, sans protections ?

Toute problématique économique ne devrait pouvoir être abordée qu’avec l’unique angle du totalitarisme de la gestion d’un pays qui ne serait confiée qu’au capital patronal des banques privées, ni se concevoir sans tenir compte de ce quart de siècle qui gérait, en partie, l’économie par une Caisse Municipale de gestion collective, en unités productives, sans patrons, de tous les Corps de Métiers, de l’apprenti-ouvrier, aux délégués-responsables ; jusqu’à sa part de participation en actions boursières – mais collectives – municipales. Pour maintenir ce système égalitaire qui tenait son équilibre face au mode individuel du capital patronal des banques privées, il fallait bien que se développe une coalition politique, toute aussi égalitaire, quant à ses bannières et respectueuse des engagements qui remontent aux programmes de la politique économique de gestion collective du Conseil National de la Résistance. Sans Caisse Municipale de gestion collective, construite et organisée par le bureau de la Résistance (« sous la protection du général Leclerc »), peu probable aurait duré l’idée et rendue possible une Résistance en France et dans tous le pays occupés par le nazisme, bien mal reconnus plus tard au « volet économique » de Nuremberg en 1946. Aussi de constater, autour de cette Caisse Municipale du CNR, que la France n’était pas si collaborationniste que la vulgate l’estimât plus tard, une fois retranchée le plus grand nombre qui fluctuait entre collaboration ou résistance « passive » ; le plus gros de la collaboration active concernaient les milices du régime de Vichy au service des nazis et une partie du capital patronal industriel des banques privées. On eut tôt fait de tester les populations et les réactions de la population, en distribuant par exemple « La Vie Ouvrière » ou des tombolas et constater qui plaçait une pièce dans la Résistance ou refusait la revue ou le coupon. Plus précisément et facilement, était ainsi également détectable, au niveau du capital patronal et du gouvernement de Pétain, qui s’enrichissait démesurément avec l’industrie de mort du reich. Tout en échappant au système économique imposé par l’occupant et la collaboration, la Résistance pouvait sécuriser et renforcer ses réseaux. Même si Jean Moulin n’en revint pas et ne pu mettre autour d’un bureau rond à l’ Élysée son Conseil de la direction de la présidence de la République, entouré de Conseillers du directeur de la Présidence, au nombre d’autant de bannières qui composeront la coalition pour les élections présidentielles pour additionner leur pourcentage de premier tour pour le passer ; cela n’empêchât pas la coalition des Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales, d’en poursuivre le prolongement, après le « volet économique » de Nuremberg en mars 1946, en structurant les Corps de Métiers en unités productives sans patrons, gérées par des caisses municipales, de l’apprenti-ouvrier aux délégués et responsables départementaux, nationaux et internationaux pour créer un contre-poids au banal système de gestion du capital patronal des banques privées qui n’en menait pas large entre 1947 et 1968, 1969, 1972, 1973, 1974 où, après cette date, les unités productives de gestion collective en Caisse Municipale sans patrons ni banques privées, disparurent, une fois Giscard élu, renvoyant les syndicats ouvriers aux cagibis des vestiaires, déclassant les responsables et délégués des ateliers techniques municipaux et des hôpitaux civils qui avaient déjà 10 ou 15 ans d’expérience, au statut de simple ouvrier pouvant rester à son poste de travail dans l’atelier, mais avec une direction différente, plus proche du patronat pour les éloigner de leur 1/4 de siècle d’expérience de gestion collective en Caisse Municipale, sans patrons ni banques privées, jusqu’à leurs Caisses de Retraites !

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On a fêté le 75Anniversary VictoryDay75 de la Libération 2GM.

1/4 de siècle de gestionCollective en Caisse Municipale (de 1947 à avant mai 1968) de tous les CorpsDeMétiers (apprentis-ouvriers-délégués-responsables régionaux, nationaux et internationaux)

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1/2 siècle de gestion unique par le capital patronal des banquesPrivées depuis Giscard : 25 ans + 50 ans, ça fait bien 75 ans, mais ce ne sont pas complètement les mêmes 75 années vécues entre un capital patronal, obligé de venir se hisser à même hauteur dans les investissements pour les équipements collectifs, avancés et posés par la gestionCollective de la Caisse Municipale ; et celui du libreéchange qui décide et détermine avec les banques privées et les lobbies, de quasiment tout (!)

Dans une année, au mois de mars 2021, ces 75ans du « volet économique » de Nuremberg, permettront-ils d’ouvrir de nouvelles perspectives aux structures d’Unités productives, sans patrons, pour les extraire des contraintes et astreintes liées au fonctionnement du systèmeFinancier du capitalismePrédateur des entreprises privées ?

Caisses Municipales de gestion collective et banques privées du capital patronal.

Il n’y a plus uniquement le monde politique, le monde économique est aussi au pied du mur. La crise sanitaire, sociale et culturelle, suite à la pandémie mondiale du coronavirus, laisse le pouvoir face à la nécessité d’engager une réforme économique profonde qui puisse transformer le système bancaire en un véritable « service public » par l’unification de toutes les banques privées en une seule caisse de gestion collective. Parce que, faut-il le dire, mais depuis Giscard, ne s’ouvre à l’horizon que les banques privées pour démarrer dans la vie ou se lancer en « affaires », aux petits entrepreneurs, dans le commerce, l’agriculture, l’artisanat et les manufactures qui, jusque là, pouvaient choisir entre une gestion collective des Corps de Métiers en Caisse Municipale, sans patrons avec le titre de « responsable municipal » ou celui d’une banque privée du capital patronal, dans la parfaite liberté du choix de l’engagement. Banques privées qui n’en auraient pourtant pas menées large au volet économique de Nuremberg, où sa partie du capital patronal de collaboration active ne fut même pas présentée, ni ses miliciens du régime de la collaboration, ne permettant, par cette absence, ni à la France de tenir sa place au rang des Nations, ni à un autre pays quelconque européen, aussi occupé par les nazis, de signaler au monde sa Résistance et ses souffrances ; tout comme ne purent être présentés les projets de « gestion collective » face aux yeux des patrons et des banques privées de principaux responsables, en grande partie, des deux guerres mondiales que la grand capital industriel venait de livrer.

Alors prenons toutes ces banques privées d’aujourd’hui : BNP/Sogenal/Société Générale, Crédit Mutuel, Crédit Agricole, Caisse d’Épargne, Banque Populaire, pour les principales. Considérons-les dans le même vaisseau de l’économie… une sorte de soucoupe… Déjà elles ne représentent pas le même volume en forme de pyramide cylindrique, si on les matérialise ainsi… La plus volumineuse, par exemple, se retrouve-t-elle en plein centre, entourée et protégée par des banques privées subalternes qui serviraient de sous-traitants ?… Admettons qu’elles soient sur une même ligne ou cercle, à l’intérieur de cette soucoupe du même vaisseau de l’économie et des finances, toujours dans un système où l’économie est soutenue par les banques privées du capital patronal uniquement, qu’est-ce que coûtent alors tous les frais entre ces banques privées, sans compter ceux engagés avec les banques étrangères, sans doute, toutes autant privées, comme le sont d’ailleurs les passerelles d’investissements et de capitalisations, ensuite, qui relient les banques privées étrangères aux nôtres ?… Un coût où circule un pognon de dingue ou bien la possibilité de comprendre que pour résoudre une crise économique réelle – que d’aucun n’oserait comparer à une situation de guerre, sans enclencher les mesures d’une économie de guerre, proprement dite, adéquates -, il ne restait qu’à unifier toutes les banques privées en une seule caisse de gestion collective !… Du moins est-ce là, le véritable enseignement que nous puissions tirer du Conseil National de la Résistance qui, dès sa constitution, en ses premières réunions, institue immédiatement une Caisse Municipale de gestion collective de tous les Corps de Métiers par des Unités d’exploitations productives, structurées avec des responsables et des délégués municipaux, nationaux et internationaux. Outil indispensable et très encadré qui permettait à la Résistance de détecter et d’identifier, précisément, qui collaborait « en partie » activement avec l’occupant, du grand patronat industriel, aux quelques artisans et commerçants. C’est aussi là qu’on s’aperçoit finalement qu’ils étaient très peu nombreux dans la collaboration active véritable et réelle, à s’enrichir effectivement de gros capitaux avec le reich nazi. Outil de précision qui testait déjà les preuves de sa capacité à offrir au pays, après la guerre, une sécurité sociale et des retraites aux ouvriers, salariés, employés et fonctionnaires, sans concessions, en forçant le capital patronal des banques privées à venir se hisser à même hauteur que les Caisses Municipales de gestion collective, pour les investissements dans les équipements collectifs ultérieurs : écoles, piscines, bibliothèques, théâtres, musées – tous, portaient la spécificité « municipale » -, jusqu’aux hôpitaux civils, casernes de pompiers et ateliers techniques des communautés urbaines… avant que le capital patronal de banque privée, ne vienne s’emparer de tout…

Poursuivons l’introspection d’une économie monopolisée par le capital patronal des banques privées, composantes du même vaisseau de l’économie, en considérant toujours que ces banques privées se différencient des autres par leur volume d’affaire, leur parc de produits qu’elles mettent à disposition de leur clientèle et l’étendue qu’elles représentent sur les marchés de l’économie mondiale et plaçons-les dans le même vaisseau rond de l’économie sous la forme de pyramides cylindriques d’un volume différent correspondant au chiffre d’affaire annuel et à l’étendue de leur parc d’activité qui fait graviter pas mal d’atomes autour du noyau central… Lorsque l’une d’entre-elles ouvre un produit, soit elle l’assume intégralement, soit elle cherche des banques privées de moindre importance pour lui repasser une petite partie du portefeuille, histoire d’avoir une base d’absorption des coûts par sous-traitance, aussi histoire d’assurer les résultats désirés, tout en donnant l’image d’une démocratie économique où il faudra d’abord produire des dividendes avant que d’offrir des emplois… ce qui aura tôt fait, au sens aiguisé de la gestion collective, d’augmenter la dette puisque tout un système bancaire, au moindre frémissement de crise boursière, augmente cette dette pour assurer sa survie et ne pense pas forcément à geler les dividendes pour un laps de temps indéterminé !

En dehors du fait que les banques privées se différencient dans un même pays par le fait qu’elles ne brassent pas le même volume d’étendue d’affaires, on peut considérer que toutes les banques privées sont riches mais que parmi elles, certaines sont plus riches que les autres. Paradoxe de l’égalité que prétend avancer le système bancaire privé qui utilise pourtant les mêmes produits et vends surtout les mêmes services, bien qu’il les traite différemment d’une banque à l’autre avec des taux différents, des avantages nuancés et des privilèges augmentés. Toutes ces stratifications disparaîtraient pourtant, si le système bancaire allait vers l’unification de toutes ces banques privées en une seule caisse de gestion collective par les Corps de Métiers pour que la finance, les budgets et l’économie se mettent à l’horizontale pour devenir un outil de gestion à leur service, la part entière d’un service public : la même banque pour tout le monde !

Si on a pu faire croire sur 1/2 siècle, qu’à partir d’un pays qui multiplie son nombre d’étiquettes de marques de banques privées – plus celui-ci serait riche -, c’était peut-être valable, tant que ce pays était claquemuré derrière ses frontières avec ou sans barbelés ou miradors ; mais certainement pas pour une économie mondialisée, telle qu’on la connait depuis l’ouverture des frontières pour les uns, parfois la fermeture frontalière pour d’autres nations. Plus un pays a de banques privées, plus il serait riche ?… Ça devait être valable à l’ouverture de leur premier guichet en province – encore faudrait-il aller y voir exactement sur le territoire, dans quel département -, parce qu’aujourd’hui, depuis le Crédit Lyonnais qu’on n’a pas oublié, on redoute par-dessus tout, que suite à la crise sanitaire et économique du Coronavirus, on se retrouve au bout de 6 mois ou un an, à minima, avec une compression qui viserait la suppression d’une ou deux de ces banques privées, histoire de re-booster le reste du parc bancaire et redonner un peu de vigueur aux portefeuilles boursiers des banques privées restantes. Combien de salariés, d’employés et d’ouvriers appartenant à de nombreux corps de métiers, une de ces banques privées fait-elle travailler à elle toute seule, à travers toutes ses agences implantées sur l’ensemble du territoire ?… pas mal de licenciés en perspective !

Alors que se passe-t-il entre 1/4 de siècle d’une gestion collective sans patrons ni banque privée, de Caisse Municipale de tous les Corps de Métiers, réunis autour de la même table d’un projet commun de gestion collective par le financement direct des bénéfices individuels vers les équipements collectifs, dans cette manière d’envisager la gestion en répondant de la meilleure façon aux orientations des programmes de politique économique, établis par le Conseil National de la Résistance qui allaient forcer le capital patronal des banques privées à venir se hisser au moins à la même hauteur que celle avancée par la Caisse Municipale pour la construction des écoles, des bibliothèques, des piscines, des stades ; ainsi que la part de cotisations nécessaire pour les retraites des salariés. Capital patronal des banques privées, à même hauteur que nos Unités d’exploitations productives sans patrons ni banques privées, gérées en caisses municipales ; le patronat à même égalité que la gestion collective dans la participation commune au développement de la Sécurité Sociale, ça ne s’était jamais vu avant !… Cette forme d’équilibre économique durera bien 25 ans entre la Caisse Municipale de gestion collective et les banques privées du capital patronal. Puis arrive mai 1968 dont on ne comprendra jamais pourquoi en sort-il autant de nouvelles bannières politiques qui entrent en politique avec le capital patronal des banques privées, voire la même banque privée que celle d’extrême-droite des Le Pen de 1972, tournant clairement le dos à la gestion collective de tous les Corps de Métiers, en unités productives sans patrons, structurées avec des délégués et des responsables municipaux, nationaux et internationaux ?… Peut-être l’attirance pour le « rêve américain » à la française ou une « révolution » qui sonne l’abandon de l’orientation de gestion collective voulue par la caisse municipale du CNR qui n’oubliait pas qu’une partie du capital patronal des banques privées, aussi infime soit-elle, était quand même responsable en grande partie de deux guerres mondiales dont nous ne fêtions pas le 75e anniversaire de la dernière (1939-1945) en cette année 2020, mais dont il faudra attendre l’année prochaine de mars 2021 pour rappeler au monde, ensemble, le 75e anniversaire du « volet économique de Nuremberg » dont aujourd’hui, l’intégralité du capital patronal des banques privées semble avoir tout oublié de la volonté de se structurer sans patrons ni banque privées ; mais en gestion collective par caisses municipales. Allez demander au « Vietnam Libre » de 1946 si il ne s’y est pas intéressé à cette « gestion collective » entre le CNR, le général Leclerc et Hô Chi Minh ; allez demander aussi si l’Algérie Libre n’aurait pas été tout aussi concernée par cette gestion collective en caisses municipales, si Leclerc n’avait pas disparu précipitamment avant, dans un accident d’avion par tempête ?… Si Giscard aurait pu aussi facilement développer son Liban pan-arabique, sa France-Afrique via l’État Islamique dans les mêmes religions armées ?… Voyons ensuite, si depuis ce 1/2 siècle sur les cinquante dernières années, aux vues des guerres d’aujourd’hui, allez voir si la gestion collective qui part de nouveaux programmes de politique économique de la Résistance, unifiera toutes les banques privées en une seule caisse commune de gestion, ne serait pas préférable au secret des affaires des banques privées du capital patronal ; et, d’oser déclarer que de crises économiques en crises sanitaires, culturelles et politiques, il devient de plus en plus urgent d’unifier toutes ces banques privées du capital patronal en une seule caisse de gestion collective, capable d’améliorer les relations entre des pays qui ne fonctionnent qu’à partir de la guerre économique qu’ils se livrent au nom du système capitaliste financier actuel des banques privées, mais qui sont bien incapables de basculer vers une économie de guerre de gestion collective, dans l’objectif de renforcer leur riposte, autrement qu’en paquets de milliards, face à un ennemi invisible que serait encore un virus pandémique. Non, la meilleure réponse n’ayant jamais été les nationalisations ou l’État Providence, encore moins la toute récente « révolution du ruissellement » ; il faudra bien envisager un jour, pour se faire élire, proposer une profonde réforme du système bancaire qui ouvrira sur des programmes de politique économique différents de ceux que nous avons connus jusqu’à présent, parce qu’on n’a pas su unifier les banques privées du capital patronal en une seule caisse de gestion collective, sans patrons ni banques privées !

Vers où doivent aller les efforts qui résorberont la pandémie du COVID19 ?

Ce sont surtout les banquesPrivées qui se « resynchronisent » pour sauver les restes finissant du capital patronal d’un systèmeCapitaliste usé, à remodeler, pour définitivement fermer les comptes du capitalocène du dérèglementClimatique et ouvrir le vaisseau de l’arborescence de l‘écocène pour affronter la criseClimatique par une réforme en profondeur du systèmeBancaire qui abolira l’équation des banques privées et rouvrira « la même banque pour tout le monde », la Caisse Municipale, sans patrons ni banque privée, mais en CorpsDeMétiers, responsabilisés, qui pourront empêcher Pietraszewskov d’aller fabriquer un millionnaire pour la macronie avec les CaissesDeRetraite collectives en les hyper-privatisant vers une banque étrangère (BlackRock) !

La gestion collective ne suppose pas de supprimer des banques privées mais de garder l’intégralité du vaisseau de l’économie, des finances, de l’action et des comptes publics pour en resserrer la gestion en virant les Balkany qui se cachent dans les tubulures, les circuits, les tuyaux, les passerelles entre les bâtiments, la cale, la cantine et la salle des machines qui jusque là, existaient et opéraient par l’intermédiaire de leurs multiples banques privées disponibles sur le pont ; alors qu’avec « la même banque pour tout le monde », la Caisse Municipale, ils pratiqueraient probablement un peu moins la fraudeFiscale d’évaporation à destination de leurs paradisFiscaux… et, feraient sans doute, un peu plus d’écologie !

La relanceÉconomique prévue, vise-t-elle une poursuite de la guerreÉconomique du systèmeCapitaliste, engagée depuis 1/2 s. ou envisage-t-elle l’économieDeGuerre refondatrice du systèmeBancaire de gestionCollective, capable de fusionner l’économie par la « gestion collective » de toutes les banquesPrivées, fusionnées en une seule, – la même banque pour tout le monde, la Caisse Municipale -, issue du « volet économique de Nuremberg » et des programmes de politiqueÉconomique sortis du ConseilNationalDeLaRésistance, établissant le droit de se structurer en Unités d’exploitation productives collectives sans patrons ni banquePrivée, avec des délégués et des responsables municipaux, régionaux, nationaux, internationaux et mondiaux, sans l’extrêmedroite du capital patronal des banques privées de Ben Laden, de Le Pen, d’Erdogan ou de Poutine !

« Depuis plusieurs mois je cite comme référence le Conseil National de la Résistance. Ce n’était pas un casting mais un projet de reconstruction de la France. Il faut remplacer la technocratie et le pouvoir solitaire par la créativité. C’est le seul chemin pour la reconstruction. » – Yannick Jadot BFMTV COVID19
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Le ConseilNationalDeLaRésistance c’est le « volet économique de Nuremberg », le généralLeclerc !… C’est pas De Gaulle, c’est pas Le Pen, Giscard, Mitterrand, Sarkozy, Chirac, Hollande ou Macron… C’est les CorpsDeMétiers face au capital patronal des BanquesPrivées de l’occupation et des miliciens du régime de Vichy d’extrêmedroite qui déportaient, torturaient et assassinaient pour la collaboration active ; que De Gaulle n’a pas voulu envoyer s’expliquer à Nuremberg.

Le CNR c’est la gestionCollective des Corps de Métiers en Caisse Municipale – la même banque pour tout le monde – face au capital patronal, structurée en Unités productives d’exploitation sans patrons ni banquePrivée sans qui, la SécuritéSociale n’aurait jamais vu le jour !

« On a besoin de se projeter dans une vie sociale et économique et il va falloir faire preuve d’intelligence collective »
Yannick Jadot
#BFMpolitique

L’intelligenceCollective reviendra avec une gestionCollective des CorpsDeMétiers sans patrons ni banquePrivée – en Caisse Municipale, la même banque pour tout le monde – pour organiser l’économieDécarbonée et l’arracher au seul et unique capital patronal des banquesPrivées.

« La même banque pour tout le monde ! »

Les programmes de politiques économiques du capital patronal des banques privées qui ont fait basculer, depuis un demi siècle, l’économie de gestion collective des Corps de Métiers sans patrons de la Caisse Municipale« la même banque pour tout le monde » -, issue de la politique économique du Conseil National de la Résistance auront fort à faire de répondre à combien ils prélèvent d’évasion fiscale et mettent de côté en paradis fiscaux, sur le développement économique collectif qui leur sert à entretenir leurs milliardaires et leurs millionnaires ?

Les programmes de politiques économiques du capital patronal des banques privées qui ont fait basculer, depuis un demi siècle, l’économie de gestion collective des Corps de Métiers sans patrons de la Caisse Municipale« la même banque pour tout le monde » -, issue de la politique économique du Conseil National de la Résistance auront fort à faire de répondre à combien ils prélèvent d’évasion fiscale et mettent de côté en paradis fiscaux, sur le développement économique collectif qui leur sert à entretenir leurs milliardaires et leurs millionnaires ?

L’intérêt général se transforme rapidement en intérêts privés des quelques uns qui possèdent quasiment l’intégralité des richesses collectives de ce qui devrait constituer la somme du travail de toutes et tous, restant aux mains de toutes et tous pour une gestion collective en Caisse Municipale, sans patrons, au lieu de s’évaporer dans les banques privées d’État au monopole du capital. Chaque pays, dès son entrée dans la « zone Euro » – et l’Union européenne dans son intégralité – aurait dû comprendre cela tout de suite, que « la même banque pour tout le monde » dans chaque pays, les poseraient plus forts sur les marchés internationaux et permettait de préserver les notions de « gestion collective » et de « Caisses Municipales ». Au lieu de cette démarche collective, l’Union européenne sombre dans des banques privées qui s’agglutinent, bénéficiant, elles, rapidement des bénéfices que leur apporte le passage à l’€ ; coûtant d’autant plus cher qu’il y a de banques privées par pays, qui vendent pourtant les mêmes produits (Assurances, Immobilier, Services, bien de consommation, produits alimentaires…), mais en séparent la gestion pour l’individualiser autour de prélèvements énormes et nourrir les milliardaires et les millionnaires. Hors, le passage à l’€ pour un pays, aurait eu mieux à faire de travailler et de livrer concurrence avec les banques étrangères et les autres monnaies mondiales, au lieu de s’affronter sur le même territoire en plusieurs banques privées pour finalement, au bout, favoriser plutôt les $ que le Rouble ou le Yuan, les Pesos ou le Bolivar, voire l’Éco africain de demain. L’essorage fiscal pouvait amplement se développer et nourrir des États européens, peu soucieux d’arriver en gestion collective sur les marchés européens avec la même banque pour tout le monde de chaque pays qui couterait d’autant moins cher qu’il y avait de banques privées avant, dans chacun de ces pays !

PATRONAT – Le blog de Plantu

Économie de guerre – économie collective – Caisse Municipale sans patrons ni banques privées…

Pour parer à la crise économique que la pandémie de coronavirus COVID2019 fait endurer à l’économie mondiale, encore faudrait-il se souvenir de « qu’est-ce qu’une économie de guerre » – puisqu’on nous parle de guerre. Au sens d’une mobilisation générale des forces humaines productives qui peuvent partir au front, avec l’espoir qu’il y ait le moins de victimes possibles, affectées plus ou moins gravement par ce virus, produit par la corrélation d’un paramètre animalier, associé à un vecteur humain pour se développer et se propager. Qui dit mobilisation humaine, implique également une mobilisation collective des moyens financiers. Une gestion au bouillon, toujours entre les mains du capital patronal et des banques privées, dans une situation de confinement, ne vaudra jamais la gestion collective en une seule Caisse Municipale vers laquelle toutes les banques privées devraient basculer aujourd’hui.

Au sortir de la guerre qui nous ramène à notre partie du « volet économique », ouvert à Nuremberg le 1er mars 1946, nous sommes sur notre territoire en présence d’une Banque de France qui a deux jambes et après 1972, 1973 et Giscard à l’Élysée en 1974, elle n’en a plus qu’une pour sombrer dans l’accumulation de la dette que renforce le monopole de gestion patronale par banques privées, tous nourris à la même cuillère capitaliste. Notre gestion collective d’unités productives d’exploitations sans patrons ni banques privées, de retour de Nuremberg – sans avis favorable de l’état-major et du capital patronal d’opter pour une monnaie unique mondiale – s’empressa pourtant, dans de nombreux pays du monde, d’encourager de se structurer autour de la décision des Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales du « volet économique » d’aller et de rester en « gestion collective » par « Caisse Municipale » sans patrons ni banques privées. Avec les actions boursières correspondant à la gestion collectives de nos unités productives collectives, nous étions bien au-dessus de ce que véhiculait les banques privées du capital patronal qui fabriquaient déjà des millionnaires et des milliardaires pendant que la Caisse Municipale reconstruisait le pays avec ce qu’il restait du Conseil National de la Résistance du Général Leclerc qui avait emmené les Comités d’Ouvriers et Directions politiques et syndicales à Nuremberg pour y convoquer De Gaulle, expliquer le « pourquoi préférait-il régler cela chez-lui » en France et ne voulait pas participer à ce grand tribunal international de Nuremberg pour y juger les criminels nazis, les faits de collaboration actives français de l’extrême-droite et le comportement spécifiques des miliciens français ?… Sans doute préférait-il conserver et ne pas juger son capital patronal des banques privées et ne soutenait-il déjà moins l’esprit de la Résistance qui allait donner par la suite sur le terrain, la structuration en Caisse Municipale collective des Unités productives de Résistance du CNR, sans patrons ni banques privées, pour entrer à la Banque de France à côté du capital patronal industriel des banques privées, à même égalité des parts boursières de cotations pour une économie partagée entre deux modes de gestion, l’un capitaliste des banques privées, l’autre collectif des caisses municipales. Toutes et tous devenaient capitalistes des banques privées dans l’amnésie totale de l’histoire réelle et collective sur un terrain organisé en unités productives d’exploitations, sans patrons ; mais avec des délégués, des responsables municipaux, nationaux, internationaux et mondiaux d’une Caisse Municipale qui faisait pendentif au capital industriel patronal des banques privées, à la Banque de France !

Que reste-t-il aujourd’hui ?… N’y a-t-il plus qu’une armada de banques privées et de capital patronal industriel qui gèrent l’économie mondiale ?… Qu’est-ce qu’est devenue cette Caisse Municipale de gestion collective d’un fonctionnement et d’un mode de gestion sans patrons dont nous aurions grandement besoin pour faire face à la crise sanitaire, sociale, climatique et bancaire que nous allons affronter, sans savoir comment basculer vers une économie de guerre, autrement qu’en réquisitionnant les banque privées pour en faire toutes les caisses publiques que constituaient toutes les caisses municipales de gestion collective sans patrons. Nationaliser ne sert à rien et garde le même patronat qui s’occupe de sa tirelire, tandis que le modèle de Caisse Municipale – la même pour tout le monde – met à l’horizontale toutes les banques privées qui gardent les bâtiments et leurs salariés mais s’orientent vers un type de « gestion collective » différent pour ne plus être patronale de banques privées ; mais des antennes, des unités de la Caisse Municipale, en remplacement de toutes les étiquettes BNP Paribas, Crédit Mutuel, Crédit Agricole, Caisse d’Épargne, Banque Populaire deviennent toutes des « caisses municipales » !

Macron ne fait pas une « économie de guerre », il poursuit celle des banques privées du grand patronat du capital industriel !… puisqu’il n’y a plus de gestion collective…

Quand on parle d’économie de guerre, on remonte automatiquement au volet économique de l’économie mondiale, ouvert à Nuremberg le vendredi 1er mars 1946 pour en remettre sur la table que deux mondes allaient désormais s’affronter. Celui des banques privées, constitué du capital patronal, très petit, insignifiant par rapport à celui de gestion collective appartenant à la coalition des Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales, réunies par le Général Leclerc en la circonstance, venue du monde entier (Asie, Europe, Afrique et des Amériques). La question est donc la gestion partagée entre banques privées du capital patronal ou la Caisse Municipale de gestion des Corps de métiers, de leurs délégués, responsables, départementaux, nationaux, internationaux et mondiaux ; bien plus nombreux que les patrons du capital industriel de l’état-major qui voulait reproduire le même système économique que leur offrirait leur « butin de guerre » avec la même manière et des procédés identiques pour en rentabiliser la matière boursière pour fabriquer – non plus des nazis – mais des patrons politiques et militaires, civils ou en uniformes ; tandis qu’attendait la coalition des comités ouvriers et de directions de Leclerc pour présenter sa demande de monnaie unique mondiale pour un monde de paix, structurées en unités productives de gestion collective sans patrons ni banques privées, où les banques privées qui avaient fait les 2 guerres mondiales seront remplacées par la Caisse Municipale unique, la même pour tout le monde, à développer dans chaque corps de métiers, sur chaque Département, Provinces, Gouvernorats, États pour laisser les militaires et leurs patrons mercenaires dans leur caserne qui développaient jusqu’ici, les guerres, pour enrichir leur capital patronal sur les tonnes de cadavres qui nourrissaient les banques privées.

Pour nous, en France, on partageait la faille, souvent entre pouvoir et opposition politique pour trancher entre une forme de moitié / moitié ; histoire de préserver une certaine forme de « neutralité économique, militaire et politique », à l’intérieur de la « Banque de France » entre la gestion collective des unités productives d’exploitations par corps de métiers de la Caisse Municipale des manufactures, artisanats, exploitations agricoles, ateliers des communautés urbaines, équipement collectifs de type écoles, piscines, stades, bibliothèques, musées, hôpitaux civils… jusqu’aux casernes de pompiers ; l’autre moitié étant « réservée » au capital patronal des banques privées qui développait ses petites infrastructures artisanales à côté du grand capital industriel des constructions automobiles, probablement une partie du fret maritime, aérien ou ferroviaire, plus tard le nucléaire, la filière bois et le TGV, en volant probablement la part collective puisque lorsque disparut la Caisse Municipale pour fabriquer quelques banques privées supplémentaires, ce ne fut que pour augmenter de quelques milliardaires et millionnaires de plus ; un peu moins renforcer le salaire des ouvriers, garantir les emplois et leur logement ou leur augmenter le niveau de vie. Fut-elle braquée, a-t-on assassiné pour s’emparer des parts boursières collectives de la Caisse Municipale des ouvriers et des directions politiques et syndicales, puisqu’elles basculèrent comme par miracle, dans les poches des parts d’actions du capital patronal après 1972. Ainsi, ils n’avaient plus à diviser par deux, la rentabilité des deux formes de modèle gestionnaire que nous pratiquions depuis la sortie du volet économique de Nuremberg, avant qu’au bout d’une semaine, l’état-major et le capital patronal des salons mondains en civils étaient venus rosser la délégation du Général Leclerc, constituée des coalitions des Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales de Français, Espagnols, Maghrébins, Africains et Asiatiques, tout de même un peu surpris de découvrir que leurs frères soviétiques étaient surveillés jusque là – et ensuite, allèrent encore le rester longtemps dans les usines, manufactures et ateliers – par des soldats en uniformes, armés de fusils et que leur « Commissaires du peuple », malgré leur apparence de civils en costume cravate, étaient des « officiers » du régime, de la dictature, monarchie ou démocratie qui allaient continuer d’assassiner et de développer la guerre. C’est bien ce qui se produisit malheureusement après la fête des vendanges de 1972, après la disparition de trois personnes retrouvées en cadavres 48 ans après, facilement transformables en os de chien, au moment du « basculement » où l’économie de la Banque de France qui avait deux jambes ou deux bras, se retrouva avec le pied unique du capitalisme d’exploitation ouvrière du capital patronal, alors qu’ils venaient d’anéantir toute forme d’économie égalitaire et partagée des caisses municipales de la nation et de la patrie que géraient les Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales, politiquement du côté du volet économique de Nuremberg en opposition au capital patronal et de son état-major, rarement au pouvoir après 1972. Ça donne De Gaulle qui ordonne au Général Leclerc de l’attendre à 35 mn à 40 km de Paris, le bloquer une fois arrivé dans la ville en 1944, alors qu’il veut foncer vers la prison où étaient retenus des officiers français car un grand rendez-vous mondial allait les attendre à Nuremberg, un an plus tard, le temps de libérer l’Allemagne. Les patrons et les ouvriers au combat, en tant de guerre ; ce n’est plus la même chose, une fois leur capacité politique certifiée en Caisse Municipale par coalitions des Comités, d’assassiner l’une par avarice de l’autre, plus dominatrice et patronale, que directionnelle et ouvrière d’égalité.

Une copine à Macron dans l’auberge des Pyrénées

Mon oncle de Nuremberg

Oublions les caisses municipales de gestion municipale, gloire au capital patronal des banques privées d’assassinats, d’attentats et de terrorisme pour mettre leurs chefs au pouvoir

« Climat économique »…

Maintenant que nous sommes aux pieds des murs, face au capitalisme destructeur d’un mode productif devenu écocidaire par l’économie de prédation à hyper-capitalisation bancaire, peut-être pourrions-nous remonter au basculement 1er d’une économie qui fut mal comprise, probablement oubliée à Nuremberg en mars 1946, au bout d’une bonne semaine de délibérés dans les tribunaux civils qui rassemblaient les Corps de Métiers et les intellectuels autour de multiples thèmes, dont évidemment celui du « volet économique » qui vit une machine à écrire prêtée par le Général Leclerc, atterrir dans un musée américain, sans aucune autre précision supplémentaire et les quelques centaines de feuillets dactylographiés, concernant la « demande d’une monnaie unique mondiale pour un monde de paix », remise le 1er mars sur le bureau des jurés, traduits dans les différentes langues majeures ; disparaître mystérieusement dans les archives secrètes des États-Unis. Voir si l’Union Soviétique a obtenu sa version, la France la sienne et surtout l’Allemagne, reste aussi une question sans réponse puisque l’état-major décide au cours de ce volet économique, de faire de sa prise de guerre, la reproduction de leur système économique à venir, confondant trop rapidement avec les Corps de Métiers, le grand patronat industriel de la guerre, ou ne considérant que celui des armées !… 

Passé le refus d’une monnaie unique mondiale, on voit bien que l’état-major se distancie des Corps de Métiers et qu’il compte, sans discuter, gérer le monde économique du travail et des ouvriers, uniquement avec le grand patronat industriel, loin des Corps de Métiers constitués à Nuremberg, en coalition de Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales, orientée déjà en « ni droite, ni gauche » ou « avec des droites et des gauches » qui avaient combattues l’extrême-droite avant, pendant et allaient la combattre aussi ensemble, après la guerre. Le capital avait déjà les dents longues, à peine la guerre finie. Mais cela n’empêcha pas bon nombre de municipalités, un peu partout en Europe, de se structurer en « unités productives de gestion collective d’exploitations sans patrons », nul autre que la caisse municipale et la municipalité qui géreront collectivement, en comités d’ouvriers et de directions politiques et syndicales, des manufactures de textile, des brasseries, des mines, les sols agricoles (vignes, vergers, élevages), des scieries et des tanneries municipales, des orfèvres et des bijoutiers municipaux. Cela ne perturbait en rien les activités du grand patronat industriel ou celles des petits patrons à banques privées et comptes individuels qui voulaient déjà rejeter la « caisse municipale collective » pour se livrer à une guerre économique entre banques privées, possédant chacun la sienne, alors qu’aujourd’hui, on aurait raison d’y revenir à cette « caisse municipale », face au réchauffement climatique, pour décider collectivement des investissements et des objectifs communs de réduction des gaz à effet de serre à pratiquer qui, par trop d’émissions de CO2 maintenues, ramèneraient une hausse des t°, supérieure à la moyenne autorisée pour la survie des espèces vivantes et un climat vivable. 

Tant qu’on n’aura pas changé de modèle/système économique, on ne pourra jamais savoir jusqu’où l’équilibre collectif d’une gestion partagée entre Corps de Métiers, caisses municipales et « unités de production de gestion collective sans patrons » auraient pu se prolonger lorsqu’elles furent arrachées par des investisseurs boursiers, dans le soudoiement, les disparitions, les arrestations et les contrôles d’identité qui se multiplient dans la fièvre du capitalisme. En est-on sûr qu’on n’en sait rien ?… Des ateliers municipaux aux hôpitaux civils, de nombreux corps de métiers travaillaient « sans patrons » avec des délégués, des contremaîtres, des chefs d’ateliers et des responsables municipaux, avant le basculement giscardien qui fait gérer ces structures d’équipements collectifs, en y introduisant des patrons, sans doute pour manager les services publics… Et sinon, où seriez-vous allés à l’école, dans les piscines l’été, dans les stades municipaux, les théâtres et les musées municipaux, s’ils n’étaient le fruit d’une gestion collective municipale, complétée par les patrons privés à banque individuelle ?

Une entreprise n’est pas une unité productive de gestion collective d’exploitation sans patrons !

Ici ou là, on entend parler d’une époque où fleurissaient les unités productives de gestion municipale collective d’exploitations, sans patrons mais avec des délégués municipaux, des responsables d’ateliers, structurées en comités d’ouvriers et de directions politiques et syndicales, dont le bénéfice d’exploitation devenait automatiquement collectif pour servir à développer les infrastructures, elles aussi, collectives, au lieu de capitaliser leurs gains dans des banques privées ; cela n’empêchant pas la caisse municipale de fonctionner dans les parcs boursiers… Qui n’a pas mis les pieds dans une école, une piscine, une crèche, une bibliothèque, municipales pour s’en rendre compte ?… Jusqu’aux Musées municipaux et aux casernes de pompiers, de nombreuses infrastructures collectives municipales n’auraient pas pu se développer de 1947 à 1972, si elles n’étaient appuyées par ces unités productives qui estimaient qu’avoir de bons salaires et de bonnes infrastructures collectives, tout en payant moins d’impôts, valait mieux que tout faire passer et mettre en capitalisation, dont au bout, on ne sait jamais ce qui reviendra en retours aux municipalités pour la fête du village, la kermesse scolaire, le financement de pôle emploi ou la sécurité au 14 juillet. Ces unités productives d’exploitation collective sans patrons et à gestion municipale, se structuraient en comités d’ouvriers et de directions politiques et syndicales pour y faire rayonner les Corps de Métiers, les savoir-faire et les échanges internationaux dans chaque département, sous la forme d’une économie directe d’après-guerre de reconstruction, dans un fonctionnement collectif sans patrons. Ce n’est pas le cas des grandes entreprises industrielles comme Citroën, Peugeot ou Renault, ces grands constructeurs automobiles – encore qu’on ait connu des « garages municipaux », avant que chacun devienne patron -, dont le basculement giscardien économique, ne cessera d’essayer de détruire toutes possibilités de valider les revendications syndicales de la classe ouvrière auprès du Conseil Constitutionnel, en rejetant ces comités d’ouvriers et de directions politiques et syndicales, structurées en unités productives collectives à gestion municipale d’exploitations sans patrons ; aux cagibis des vestiaires, à l’étage d’en-dessous, au bâtiment d’à côté, voire carrément au bistrot du coin ou dans des réunions à domicile chez des particuliers. Une certaine idée de la vie publique, politique, culturelle et sociale s’effondrait malheureusement déjà et il n’était pas étonnant, d’entendre Giscard se faire traiter de « calife », dans la presse et les dessins humoristiques !… La caricature n’allait pas tarder à gagner la réalité… en 1980 déjà, les poches sont vides !

Ces « unités productives d’exploitations sans patrons à gestion collective municipale » qui fonctionnaient de 1947 à 1972, n’avaient rien à voir avec des entreprises visant un capitalisme d’État ou une gestion collective étatique comme en union soviétique ou destinée à servir de support à des patrons politiques comme ce sera le cas avec Giscard en 1974 qui veut faire vivre la France à l’heure américaine, ou encore celui du Parti Socialiste 1969 qui devient rapidement la première copie de la coalition écologiste, socialiste et communiste ; voire même l’apparition du Front National en 1972, qui représente une extrême-droite qu’on croyait définitivement enterrée par les Conclusions du Tribunal de Nuremberg, au souhait de ne plus jamais la voire réapparaître dans les urnes dans toute l’Europe, sous sa forme archaïque de politique militaire, désireuse de diriger les démocraties et la Constitution par l’armée comme dans la Turquie d’Erdogan aujourd’hui. Ainsi l’économie de notre pays était parfaitement équilibrée, entre d’un côté les entreprises privées capitalisées dans des banques également privées ; opposées et rivalisant avec un modèle économique beaucoup plus égalitaire, basé sur une gestion collective à partir d’une caisse municipale, structuré en unités productives d’exploitations sans patrons, qui finançaient directement les infrastructures collectives par leurs bénéfices, ce qui, en retours, leur permettait de payer moins d’impôts étant donné que ces structures collectives d’exploitation sans patrons participaient à l’édification des équipements collectifs et ceci, jusqu’aux hôpitaux civils !… Ainsi définie, la culture économique pouvait marcher sur ses deux pieds et il n’était pas compliqué de s’apercevoir que les structures capitalisées, à même valeur productive sur une moyenne du rapport entre la qualité et la surface, n’étaient pas spécialement plus riches que les unités productives collectives sans patrons ; à la nuance près, que l’équivalant patron possédait un peu plus d’épargne individuel, dans lequel par la suite, ils ne toucheront pas pour financer les grands projets d’État du nucléaire, du TGV, préférant saisir les fonds collectifs produits par les unités d’exploitations sans patrons, maintenant que les équipements d’infrastructures collectives s’étaient suffisamment développés entre l’après-guerre et mai 68, ils pouvaient manipuler en l’orientant pour de la capitalisation boursière, la part du capital collectif qui passait directement pour l’édification des écoles, des piscines, des bibliothèques, des théâtres et des musées, jusqu’aux casernes de pompiers ; rompant ainsi et mettant définitivement un terme à toute décision collective sur les orientations économiques qui pouvaient jusque-là émerger de ces comités d’ouvriers et de directions politiques et syndicales qui étaient respectés, non sans douleur lorsqu’on parle de soudoiement, de dessous de table ou de petits arrangements entre amis, ou bien carrément des  « dix ans de résistance dans le textile en Alsace et dans les Vosges » où beaucoup de manufactures relevaient d’une gestion municipale collective. La filière bois dans les Vosges, à la même période, elle par contre, ne tient pas dix ans comme dans le textile et cède beaucoup plus rapidement ; en deux ans tout est dévasté et ne restent que licenciés et scieries désaffectées. Alors le capitalisme, à y regarder de près, n’aurait jamais dû égratigner par la force nos unités productives d’exploitation à gestion collective sans patrons pour mettre en valeur ses petits patrons privés individuels, la plupart du temps avec un petit drapeau politique d’un parti de patrons, hégémonique et unique qui rompait avec la coalition, avec évidemment, le petit compte bancaire à blanchiment adéquat, faisant facilement croire à leurs militants qu’il est si facile de devenir riche dans le capitalisme qui allait mettre Giscard au pouvoir en 1974. Le destin des sociétés s’en trouvait transformé et aux bons salaires pour de bonnes infrastructures collectives avant que tout boursicote, allait se développer la fable boursière intégrale, au profit de l’appauvrissement de nombreuses communes dont la petite économie locale éprouvait les pires difficultés à suivre les lois de l’investissement de masse qui s’empressait de se détourner du fonctionnement égalitaire et sans dette de nos unités productives d’exploitation sans patrons à gestion municipale qui leur demandaient, avant d’aller placer en bourse les bénéfices nets réels de la productivité – une fois les salaires et les infrastructures d’équipements collectifs opérés -, de ne pas toucher à ce modèle de gestion collective qui constituait une partie entière de l’économie française entre 1947 et 1972. Encore plus étrange est que ce type de modèle de gestion collective ne fut pas enseigné dans les universités des sciences économiques. Comprendre que dans les instituts privés d’enseignement de l’économie, c’est hors de question et estimer que la gestion collective sans patrons ne serait pas rentable, nécessiterait qu’on leur enlève toutes les écoles, les piscines, les bibliothèque, les théâtres et les hôpitaux municipaux pour leur faire comprendre l’importance de la part au développement qu’avaient prises ces infrastructures collectives d’unités productives d’exploitation sans patrons, unies en comité d’ouvriers et de directions politiques et syndicales. Depuis l’irrésolution du volet économique, laissée en suspend aux Conclusions du Tribunal de Nuremberg, ces forces productives collectives de gestion sans patrons n’attendirent pourtant pas mais 68, le tremplin giscardien, le PS 1969 ou le FN 1972 pour se structurer à partir 1947, en comités d’ouvriers et de directions politiques et syndicales de coalition anticapitalistes dans le sens où, suite au refus du monde d’adopter une monnaie unique mondiale en mars 1946, une certaine gestion collective risquait de leur échapper et de filer aux mains de quelques uns qui pourraient faire ce qu’ils veulent des bénéfices de la productivité, puisque plus tard, les seuls détenteurs des actions, allaient même jusqu’à transformer les actions boursières collectives sous gestion municipale en actions individuelles par on ne sait quelle magie distributrice de saisie ou de transfert aux mains de quelques familles, dynasties qui n’allaient, ensuite, éprouver aucun problème à convoiter et racheter à plus ou moins bas prix, les affaires de ceux qui tenaient à maintenir une gestion collective sans patrons. 

Dans ce capitalisme qui refuse cette part d’autonomie politique et économique municipale de gestion collective où une part du décisionnel revenait aux comités d’ouvriers et de directions politiques et syndicales, structurés en unités productives d’exploitations collectives sans patrons ; on devine rapidement la stratégie des mauvais gestionnaires qui allaient polluer et détruire la planète, bétonner et pratiquer la déforestation pour élargir le péri-urbain, jeter tout ce qu’ils pouvaient de phytosanitaires dangereux pour la santé humaine dans les sols de culture industrielle ou au fond de leur jardin !… Pourquoi dès lors s’obstiner à vouloir empiler réforme économique sur réformes économiques, uniquement pour jongler sur les indices économiques, alors qu’un modèle de gestion collective sans patrons et sans dette existe depuis 1947 dans notre propre pays et qu’il est reconnu comme partie entière de l’économie française que n’aurait même pas osée renier Pompidou, évaluant le rapport budgétaire et plaisantant avec les barrons sur des communistes qui n’étaient pas là pour foutre le bordel dans le pays !… Alors nous pourrions, un temps soit peu, comprendre comment une gestion rigoureuse et sérieuse, organisée collectivement en unités productives sans patrons, était à même de souder politiquement le pays en divisant le nombre de millionnaires et de milliardaires par deux pour multiplier par trois le nombre de salariés et de saisonniers.

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L’économie refuse la démocratie !

Quand on parle aujourd’hui – ou ose l’envisager, lorsqu’on remonte jusqu’aux Conclusions du Tribunal de Nuremberg – de « Monnaie unique Mondiale », on ne peut contourner la formulation de sa demande, déposée à Nuremberg le 1er mars 1946, dans le cadre et donnant droit et suite à l’ouverture des délibérés thématiques concernant le volet économique, envisagé dès 1942, ayant pour base, le colonialisme et l’impérialisme des États en guerre, en nécessité de matières premières minérales et énergétiques qui aboutissent aux économies militarisées, connues dans les deux guerres mondiales.

Pourquoi alors la demande d’une monnaie unique mondiale déposée en mars 1946, auprès de l’état-major des différents corps d’armée, élaborée collectivement à partir de novembre 1945 par les différents délégués des Corps de Métiers, arrivés à Nuremberg avec le Général Leclerc, sans De Gaulle – bloqué à Paris -, sans Roosevelt, ni Staline ou Churchill, presque morts, en ce qui concerne la répartition de part le monde des Comités d’Ouvriers et de Directions de coalitions politiques et syndicales d’unités d’exploitations à gestion collective sans patrons, venant de France, d’Afrique, d’Angleterre, de l’Union soviétique, des Amériques, de l’Angleterre, d’Allemagne et d’Asie ; pourquoi alors cette première thèse concernant la monnaie unique mondiale, élaborée pendant 6 mois, entre novembre 1945 et mars 1946, fut-elle saisie et certainement confisquée par l’état-major américain, sans doute mise aux archives secrètes par des services spéciaux qui allaient déboucher sur le KGB (URSS) et la Stasi (RDA), le FBI et la CIA, la DST et la DGSI pour finir par se payer en diamants chez Bokassa avec Giscard ?… Saisie et confisquée, non pas dans la bagarre de la partie du camp de Nuremberg qui s’en suivit, lorsque l’état-major était venu marquer sa désapprobation, en molestant les auteurs de la demande émise sur cette idée mondialiste de monnaie unique, venant de ces comités, au sortir du conflit de la seconde guerre mondiale, quand au bout d’une semaine, les demandes pour une réponse favorable à la monnaie unique exigée, deviennent trop insistantes dans l’ensemble du camp de tous les corps d’armée et de métiers ; mais parce que les états-majors, à Nuremberg pour le Tribunal, ont décidé de ne pas en vouloir une seule seconde, dès la mise en route, au départ de sa déposition au registre de l’agenda du déroulement de l’ouverture des débats du volet économique ; qu’il ne pouvait en être question, à l’aube du 1er mars 1946, parce qu’ils n’arrivaient pas à comprendre que jusqu’ici, leurs frères ouvriers soviétiques étaient surveillés dans les ateliers, les usines et les manufactures par des militaires en uniformes avec des fusils, depuis longtemps avant la guerre ou avec les Tsars, estimant sans doute qu’il valait mieux qu’il en reste ainsi pour l’avenir, confisquant la machine à écrire et le reste de papier du camp dissident qui avait contribué à l’élaboration des fascicules et des feuillets constitués, ouvrants droit à la demande de monnaie unique pour sortir de la guerre, au tribunal de Nuremberg, selon le cours du refus de l’accepter, cette demande de monnaie économique mondiale visant la plus aboutie des parités, hélas, devenant rapidement sa transformation en Rideau de Fer, passant d’une demande de monnaie unique mondiale des corps de métiers, en militarisation de l’ensemble du monde (?)… et pour l’ordre patronal de domination sur les comités d’ouvriers et de directions, politiques et syndicales, internationaux… et pour l’ordre économique mondial envisagé pour l’après-guerre qui ne pouvait comme ça, guère dépasser celui de l’économie nazie, saisie et utilisée comme prise de guerre, voire pouvoir encore indemniser suffisamment conséquemment dans l’achat, les matières premières extraites dans des pays étrangers pour éviter de les maintenir en économie faible, sous dépendance des monnaies les plus fortes qu’étaient censées être et rester le $ et la livre sterling, le rouble, le yuan… ensuite, le franc & CFA… le deutsch mark, l’€ & l’ECO, le pesos et le bolívar… dans de nombreuses nations !… Pourtant cette nouvelle organisation économique mondiale à monnaie unique et sous contrôle des Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicaux, constitués en Unités productives collectives à gestion municipale sans patrons, alors proposée à Nuremberg le 1er mars 1946 par les Comités d’Ouvriers et de Directions des Corps de Métiers, répartis en Unités productives à gestion collective municipale d’exploitations sans patrons, existants dans chaque département et chaque pays ; définissait une économie sans dette par la monnaie unique et la coalition politique et syndicale des Comités d’Ouvriers et des Directions de gestion collective du « village des dissidents », réunis en première cité alter-mondialiste, pendant une année entière à Nuremberg, entre l’automne 1945 et l’hiver 1946.

Trump, Poutine, Macron, nul ne sait si la machine à écrire du Général Leclerc, prêtée à ses Vignerons d’Andlau pour aller à Nuremberg à l’automne 1945, élaborer la thèse de demande de monnaie unique mondiale avec les autres Corps de Métiers des autres Nations, finit par atterrir dans un musée national militaire américain ou au Bolchoï de la Pravda pour écrire des articles soviétiques de propagande à Douma d’assassinats, ni si l’ensemble des corps d’armées, ultérieurs et alliés, osent toujours encore aujourd’hui demander aux grandes puissances concernées, si de la thèse en question, fut fait quelques feuilletés ou un mille-feuilles de millionnaires et de milliardaires, réduisant le tout au marteau-pilon, expliquant enfin pourquoi nos vignerons français alsaciens d’Andlau, sous la protection du Général Leclerc, se firent traiter de « communistes » alors qu’ils venaient de l’Ouest – et leurs frères soviétiques qui venaient de l’Est, de fascistes nazis – alors qu’ils et elles étaient, toutes et tous, libres et anarchistes, intellectuels et engagés ; absolument pas germano-soviétiques pour un sou, tout comme ils n’étaient pas impérialistes, colonialistes et capitalistes !

Unités productives de gestion collective municipale ; comités d’ouvriers et de directions, politiques et syndicales…

Comment peut-on, lorsqu’on parle de « gestion collective », oublier ces structures productives collectives de gestion municipale d’exploitations sans patrons et sans dettes qui permirent de reconstruire et nourrir le pays, tout en contribuant au développement des infrastructures collectives, de l’après-guerre jusqu’au début des années 1970 ?… Que nous n’auront pas raconté comme balivernes tous ces partis politiques post soixante-huitards ?… Du Parti Socialiste 1969 au Front National 1972, en passant par l’UDF 1978 et Giscard 1974 ou le RPR 1976 qui pourraient bien, à y regarder de près, passer pour de mauvais gestionnaires, accumulant la dette, fiers de leur hyper-capitalisme d’État des investisseurs et des chefs d’entreprises ?… N’oublions pas qu’après la guerre et les Conclusions du Tribunal de Nuremberg, les masses de capitaux sont aux mains des vainqueurs qui refusent l’adoption d’une monnaie unique avec sans doute la volonté de poursuivre une économie impérialiste et colonialiste sur les matières premières dans une concurrence déloyale où l’armée devient le seul garant des intérêts de l’État qui s’estiment alors en droit d’occuper d’autres pays. Parallèlement aux capitaux de l’économie volatile mondiale, se structuraient depuis 1947, dans chaque département et chaque Corps de Métiers, des Comités d’Ouvriers et de Directions de coalition, responsables d’Unités productives collectives à gestion municipale sans patrons et sans dette puisqu’elles participaient directement par les bénéfices obtenus, à la construction des écoles, des piscines municipales, des bibliothèques et des théâtres municipaux, des musées et des stades municipaux jusqu’aux casernes de pompiers. Ces bénéfices partagés avec les municipalités, directement alloués pour bâtir les infrastructures collectives et non pas pour des banques particulières, permettaient de se soustraire à l’imposition, tout en créant une économie collective où la formule, « d’abord les salaires, ensuite les infrastructures collectives et après seulement le petit boursicotage financier d’actions et de rétro-actions », pouvait prendre tout son sens ; ou « du pognon, il y en avait, avant qu’il n’atterrisse en totalité dans les caisses du patronat », éclairer de quelle manière furent brisés certains comités d’ouvriers et de directions. Ainsi qu’allait aussi devenir lourd de sens ce capitalisme aux dents longues, étonné de voir tout un secteur en développement lui échapper, mis en auto-gestion partagée avec les municipalités, avant la multiplication des firmes bancaires et la suppression des Comités d’Ouvriers et de Directions : 1974, tout est fini, comités et directions sont renvoyés aux cagibis des vestiaires, un étage en-dessous du bureau qu’ils partageaient avec le grand patronat, le bâtiment d’à côté ou le bistrot du coin. Venu très tôt, ce capitalisme destructeur et outrancier, désireux d’écraser les Comités d’Ouvriers et de Directions de coalition qui décidaient collectivement avec leur municipalité et la caisse municipale, des orientations des investissements pour les infrastructures collectives, à partir des bénéfices de leurs Unités collectives d’exploitation sans patrons, souvent aussi, à la base d’une partie des subventions des hôpitaux civils et municipaux ; allait très vite s’y intéresser à ce fonctionnement collectif, témoin d’une économie saine et bien gérée, sans dette et pleine d’avenir. Il est venu très tôt ce capitalisme, comme un doublon sur les communes !… Chaque département, chaque corps de métiers disposait de ces « unités productives collectives municipales sans patrons » qui fonctionnaient avec des agents municipaux, des contremaîtres, des délégués et des responsables municipaux ; les grands patrons au vestiaire !… Ne pouvons-nous pas nous souvenir des manufactures et cités ouvrières municipales, des brasseries municipales, des mines municipales, des forêts et scieries d’exploitation municipale, des bijoutiers municipaux et des parcelles agricoles municipales, avant que ne se soient implantées, comme des doublons, à côté, ces individualités adeptes de la « libre concurrence », avançant comme des patrons politiques avec des fanions de parti unique pour tout « privatiser » et mettre totalement aux mains du grand capital, ces Comités d’Ouvriers et de Direction, en les détruisant et en les éloignant du même coup des centres décisionnels de l’investissement – les faire taire -, alors qu’ils étaient responsables et légataires des Unités productives collectives municipales d’exploitations sans patrons et sans dettes, mais avec des écoles, des piscines, des manufactures, des stades, des bibliothèques, avant le basculement économique giscardien de 1974, auquel, économiquement, le PS 1969 et le FN 1972 ont fortement contribué, dans une forme d’amnésie historique volontaire absolue de notre culture économique collective de gestion partagée sans patrons qui existait et garantissait la pérennité du développement des infrastructures collectives dans les communes ?

Le basculement économique de Giscard – et les quelques années qui précèdent son accession à la présidence de la République – a ceci de troublant qu’il engage le pays tout entier dans une marche forcée vers le capitalisme avec des jeunes loups qui voulaient la peau de Pompidou. À ce stade de l’économie, la partie des municipalités à gestion collective, n’acceptaient pas de mettre à disposition des investisseurs boursiers, plus de la 1/2 de leur richesse, préférant s’accorder directement au développement des infrastructures collectives… Soudoiement, dessous de table, assassinats, financement occulte, paradis fiscaux ?… rien n’expliquera jamais suffisamment ce qui aura forcé la main au choix collectif du mode de gestion de ces Unités Productives collectives municipales d’exploitations sans patrons ni dette qui avaient reconstruit et nourri la France, jusqu’à la plus petite municipalité de notre territoire. Au sens logique commun et collectif d’une économie à gestion partagée avec les municipalités, entre des structures productives fortes et des comités d’ouvriers et de directions solides, bien ancrés dans l’histoire et la mémoire collective des villages et des villes, depuis l’après-guerre, parfois sous protection du général Leclerc en ce qui concernait pas mal de musulmans qui avaient combattu avec lui et non pas pour le soldat d’extrême-droite Le Pen ; se substitue tout un ordre hiérarchique financier et bancaire, militaro-industriel, qui met la main sur toutes les structures collectives de production existantes pour remplacer les agents et responsables municipaux d’exploitations qui s’y trouvaient, par des petits patrons qui pouvaient remodeler le paysage ouvrier à leur convenance, sans coalition autre que leur petit drapeau politique ou un syndicat particulier, parfois les laissant sur les exploitations, désormais capitalisées individuellement, mais sans responsabilités municipales ni coalition politique et avec un salaire d’ouvrier, alors que leur niveau de vie correspondait pour leur salaire, à celui des cadres et qu’ils bénéficiaient déjà d’entre 10 et 20 ans d’expérience sur le terrain pour la majorité d’entre-eux, qu’ils enseignaient aux jeunes leur métier par l’intermédiaire de leur structure collective… alors concernant leur retraite ?

Bien malins, sournois, fumistes ou vautours, étaient alors soudain devenus les banquiers et les patrons politiques et syndicaux qui se développaient simultanément, à droite, à gauche et au centre, s’accaparant ces unités productives collectives à gestion municipale sans patrons mais de coalition politique et syndicale de culture ouvrière d’avant 1972 et 1968, certainement plus respectueuse que Giscard de l’Édition augmentée de la Constitution qui complète celle de 1958, qui n’a rien à voir avec une réécriture, telle que la concevait Giscard comme un scribouillard et qu’a oubliée de jeter à la poubelle Mitterrand ensuite ; font tous croire que leurs exploitations municipales de gestion collective n’étaient pas « rentables », oubliant rapidement leur contribution sans appel à l’édification des infrastructures collectives, comme dans la chaine énoncée plus haut.

Dès lors on s’aperçoit rapidement qu’avec des gens qui n’ont rien vécu avant 1968 ou 1972, en pleine amnésie d’une révolution qui avait déjà été faite par cette gestion collective municipale des richesses, écrasée pour approvisionner les fonds des nouvelles firmes bancaires ; il devient difficile de discuter d’idéologie, de transition économique ou d’une Révolution écologique. Et de constater que l’histoire commune politique et économique peut facilement se transformer en patronage politique élitiste avec des portefeuilles bancaires qui s’appuient sur une bonne part du capital qui était jusque là collectif et municipal, administré par la volonté des unités productives municipales d’exploitations sans patrons, à partir d’une coalition de comités d’ouvriers et de directions, gérant les caisses municipales, bien avant le grand patronat bancaire et financier des partis et mouvements d’après mai 1968. Avancer ensuite des arguments révolutionnaires, sans tenir compte de ce qui existait jusqu’ici dans notre pays, en matière d’argument économique de gestion collective réelle, grâce aux efforts du Comité National de la Résistance au capitalisme et au fascisme, jusqu’en 1970, 1971, 1972, 1973, 1974 et après, ne laisse guère rien de bien fondé sur les programmes économiques des gouvernements qui se succèdent où s’accumulent la dette, les licenciements, l’évasion fiscale, les faillites, les suicides au travail, l’accroissement de la pauvreté, jusqu’alors résorbée à partir de 1947 avec les efforts communs budgétaires disponibles et les volontés collectives de fonctionner sans patrons pour gérer les richesses des Unités productives en commun, garantes du développement des infrastructures collectives, au lieu de les confier aux banques et au patronat.  

Tout comme l’opinion et leurs jeunes loups envieux estimaient peu rentable le modèle de gestion municipale collective professionnelle par corps de métiers, soudé en Unités productives à gestion collective municipale – alors qu’il était égalitaire, proportionné et gradué en Comités d’Ouvriers et de Directions – ; les nouvelles étiquettes politiques naissantes, pour se mettre en valeur et améliorer leur sens révolutionnaire, allaient même jusqu’à encore aujourd’hui, traiter ces comités d’ouvriers et de directions de « comités collabos et bourgeois », accentuant comme un second patronat, à l’image des rapaces bancaires en manque d’affaires voulant plus de rentabilité, la seule revendication de leur amnésie historique et économique concernant la gestion collective des Municipalités de notre pays et du même coup, la Constitution et son édition augmentée de 1969, reconnaissante de la Culture ouvrière et syndicale ; dans la foulée, les Conclusions du Tribunal de Nuremberg, laissant entrer l’extrême-droite dans les urnes pour les élections de 1974, allant même jusqu’à venir aux meetings de René Dumont pour le snober en ne lui serrant pas la main et lui lancer à la face qu’ils n’étaient pas tout à fait son allié politique, voulant sans doute réduire au néant, la première coalition écologiste, socialiste et communiste pouvant accéder à un second tour des présidentielles, à partir de 1972 qui venait, en partie, déjà d’après 1946 et d’avant 1968.

Le lien historique et économique de la mémoire collective que veut retrouver l’écologie, sera d’extraire des règles contraignantes des entreprises capitalistes destructrices des écosystèmes, la constitution et la restitution d’unités productives à gestion collective sans patrons qui faisaient l’équilibre sans dette entre une part municipale collective de gestion du capital – parfaitement bien gérée collectivement – et le boursicotage bancaire qui spéculait depuis toujours sur le développement national à partir du « reste du capital », mais toujours sous le regard bienveillant des comités d’ouvriers et de directions en coalition, qui, dès lors qu’elle était supprimée, leur permettait d’exploiter, par la suite comme des « braqueurs de la République », la matrice humaine, loin du droit de regard de ces comités d’ouvriers et de directions de la gestion municipale des unités productives collectives d’exploitations sans patrons de départ qui étaient, quant à elles, devenues la matrice politique de l’ensemble humain.

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Municipales 2020 : les Générations entre EELV et Place Publique…

La prise politique de la capitale parisienne est faite de déchirement et de ralliement. Ici nous somme en présence de 3 plates-formes : celle de ParisEnCommun, ParisVilleVerte, aussi les @Parisien_nes, tremplin entre l‘écologie, DavidBelliard, AnneHidalgo et GaspardGantzer.

Encore faudrait-il en différencier, de ce PS 1969 « vieille maison », ceux qui ne voteront pas pour LREM de ceux qui voteront pour la majoritéprésidentielle quoi qu’il arrive. Les @GenerationsMvt choisissent une jonction – presque moitié/moitié – entre PlacePublique et EELV.

Au moins @GenerationsMvt laisse autant de possibilité d’éligibilité à AnneHidalgo qu’à DavidBelliard et au regard du potentiel électoral acquis par @EELV_Paris à la proportionnelle européenne, la VagueVerte 3eVoie ForcePolitique ne devrait pas trop en être inquiétée !

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Passé ce choix démocratique des portes-paroles et déléguéEs des Générations, les voilà désormais en position de force pour revendiquer leur mairie de Trappes, et partout ailleurs où leur potentiel électoral acquis à la proportionnelle européenne les situe en position de le faire !

Municipales écologistes et citoyennes, fraternelles et « arc-en-ciel », démocratiques et insoumises.

Les Municipales2020 approchent sans que nous n’ayons jamais vraiment trouvé de règles élémentaires communes pour les faire fonctionner autrement qu’en imposant une liste sur une autre, une étiquette pour une autre, un tribun pour un autre, un prédicateur pour un autre (?)… Alors que sur notre versant politique, ce devrait être la somme des multiples étiquettes politiques qui nous conduise à la victoire, elle nous en éloignait jusqu’à présent ou alors exigeait de s’en remettre à un parti hégémonique, monolithe, rigide où l’idéologie se résume à 4 motions dont on sait pertinemment que lorsqu’elles conduisent à une majoritéprésidentielle, notre versant politique n’y sera que très faiblement représenté. C’est d’ailleurs cette forme de représentation politique qui n’a jamais vraiment plu à EELV, à la ConfédérationPaysanne, au PCF, aux Générations, à UrgenceÉcologie, au PartiPirate, à ceux de la décroissance, à LFI, au NPA, à la LutteOuvrière… pour finalement se disloquer – au moment du vote – en petits confettis sans pourcentages et n’avoir qu’une existence réduite dans l’échiquier politique qu’il faut remuer et rassembler si nous voulons éloigner la majorité présidentielle des municipalités où finalement, elle n’a pas grand chose à y faire puisque LaRépubliqueEnMarche n’y a pas vraiment de famille implantée dans le terroir, puisque sa famille de départ c’est l’Élysée, même pas une élection régionale au préalable : que voulez-vous, on en oublie la Constitution, on s’emballe dans l’urgence, le vieuxmonde doit céder sa place au nouveaumonde ; mais rien ne change ou très peu, àdeuxvitesses… Mais il n’y a pas que cette majorité présidentielle de Macron – telle qu’elle s’est constituée, enfin, si on peut appeler cela, au respect de la Constitution – qui nous donne envie de dire au banquier de retourner dans sa banque et de rendre l’Élysée au Conseil National de la Résistance ; reste toujours et encore cette maudite extrêmedroite du FN 1972 des Le Pen qui n’aurait jamais dû entrer dans les urnes, d’après l’avis du Général Leclerc et des Conclusions du Tribunal de Nuremberg.

Ce climat délétère, cette ambiance politique pourrie, réduite au statuquo énoncé au-dessus, fait rebondir à la lecture précise de chaque Commune, au résultat de chaque potentiel électoral obtenu aux électionseuropéennes qui resteront toujours un bon test électoral puisque la proportionnelle y évalue de manière très démocratique, l’étendue réelle d’un parti politique où l’impact des écologistes d’EELV arrive en tête ou second du scrutin mais aussi là où c’est au PCF que ça arrive, à PlacePublique, aux Générations comme à Trappes, à LFI où c’est la cas dans certains arrondissements marseillais et à l’Outre Mer, voire même à la Lutte Ouvrière qui remporte une petite municipalité !

Après il y a une manière de s’organiser pour définir les adjoints au Maire, les principaux conseiller du Maire qu’on va élire, ses attachés à la Culture, au Sport, à l’Organisation du Travail, à la gestion du pays… jusqu’à y associer une délégation municipale permanente constituée d’élus correspondants aux petits pourcentages qui commencent avec 1 bulletin de vote, ou 2, 3, 5 ou 10 dans les grandes villes pour atteindre 0,01% et entrer dans les résultats électoraux : ça nous donne le Parti des Révolutionnaires Communistes, le Parti de la Décroissance, peut-être des Fédéralistes… aussi inscrits dans cette composition de la liste des Municipalités éco-citoyennes, solidaires et démocratiques, républicaines et fraternelles, insoumises et rebelles et vous verrez la victoire commune électorale que nous imposerons aux extrêmes-droites et à la majorité présidentielle dans les urnes qui confirmeront notre impatience à réorganiser le travail et l’économie face aux impératifs du réchauffementclimatique de cette conséquence qu’est le dérèglementclimatique sur l’évolution des récoltes, du manquedeau, de l’épuisement des nappesphréatiques, de la multiplication des picsdozone (été comme hiver). Parce qu’on refuse de fonctionner comme des partis droitiers, à près de 35 000 Municipalités qui nous ouvrent les bras, bon courage !

La meilleure des feuilles de route pour ces prochaines municipales est logiquement la base démocratique que nous pouvons utiliser à partir des résultats des EE2019 qui peuvent être une piste pour désigner les Maires, adjoints et conseillers, jusqu’à envisager la constitution d’une délégation permanente des partis compatibles au versant politique pesant de 0,01% à 2%, entre 2% et 5%, 5% et 10%, puis au-delà.

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2019/05/26/elections-europeennes-la-carte-des-resultats-en-france-commune-par-commune_5467620_4355770.html

Une coalition écocitoyenne permettra de remporter de nombreuses municipalités. De l’OutreMer aux arrondissements marseillais, le seul critère qui puisse en définir la TêteDeliste reste la répartition du potentiel électoral établi par la proportionnelle européenne, du moindre petit village ( < 1000 inscrits) jusqu’à chaque arrondissement marseillais, lyonnais ou parisien. Chaque commune a révélé par la proportionnelle européenne, la bannière au meilleur potentiel électoral le mieux placé pour remporter les Municipales2020 et donc, en capacité de désigner l’appartenance politique de chaque futur Maire dans les plus de 34500 communes que compte notre territoire !… C’est alors qu’en reprenant consciencieusement la carte des résultats du scrutin proportionnel européen, on découvre la richesse politique que peut constituer la diversité des formations politiques qui, à l’origine, se présentaient sous l’appartenance « Front de Gauche ». Hors il se trouve que les résultats acquis aux EE2019 – qui sont quand même capables d’orienter les futures élections nationales, sinon on ne parlerait pas autant de proportionnelle pour l’élection des DéputéEs à l’Assemblée Nationale – désignent le parti écologiste EELV comme 3eVoie et « ForcePolitique » capable de rivaliser, à la fois avec l’ExtrêmeDroite RN/FN et la MajoritéPrésidentielle qui se partagent rien qu’à eux deux, à peu près la 1/2 de l’électorat, en y comptant les socialistes du PS 1969 qui ont de fortes chances de voter pour Macron et ses SansÉtiquettes au premier tour. Ça nous laisse l’autre moitié pour manoeuvrer !… et pas mal de temps pour nous demander si les « sans étiquettes » ne sont pas des soldés politiques ? !…

Gagner pour prendre le pouvoir et ne pas l’accaparer comme l’a expliqué Yannick Jadot, revient à désigner et reconnaître un « directoire » capable de rassembler et d’organiser pour les municipales, les élections les plus démocratiques qui puissent être. Selon une logique proportionnelle et d’après les meilleurs résultats obtenus aux élections européennes, on est en droit d’en appeler au « bon sens » lorsque le directoire ne désigne pas toujours EELV comme force politique motrice, là où ce sont les LFIPCFPlacePubliqueGénérationsUrgenceÉcologie ou LutteOuvrière qui l’occupent, en arrivant au-dessus d’EELV sur la carte des résultats de proportionnelle européenne. Même si leur moyenne nationale reste largement inférieure aux prétentions souhaitées par rapport aux monolithes du duel RN/LREM, l’appel d’une coalition reste la meilleure arme pour y échapper, en organisant des ÉlectionsMunicipales citoyennes et écologiques, ArcEnCiel et insoumises, fraternelles et démocratiques pour faire des VillesEnCommun !

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Les Municipales2020 c’est avant tout des petits villages, des villes moyennes où ou s’aperçoit qu’une seule voix peut mener à + d’1% des suffrages, voire jusqu’à 3% pour les petites formations politiques comme UrgenceEcologie, le PCF, le PartiAnimaliste, les Générations, LutteOuvrière sur les résultats aux EE2019 qui restent l’organigramme électoral le plus récent de la population française !

C’est un peu ça le « miracle politique » d’une élection lorsque dans son petit village, pour défendre sa couleur, une seule voix remporte plus d’un-pour-cent des % et démontre encore avec plus de force l’importance capitale que constituera toujours le fait de se rendre aux urnes. Et même ces petites formations politiques à quelques %, ne le font jamais pour rien ou du vent ; une unité reste une unité !

Regardez sur la carte des résultats du potentiel électoral de chaque formation politique à une seule voix…
Provence-Alpes-Côte d’Azur/Hautes-Alpes

à Etoile-Saint-Cyrice, 28 inscrits
PS / PlacePublique : 4,55 %
PartiAnimaliste : 4,55 %
Génération.S : 4,55 %

à Saint-Auban-d’Oze, 78 inscrits, toujours sur une seule voix…
UDI : 2,27 %
Debout La France : 2,27 %

à Freissinières, 177 inscrits, les PCF, UPR, Générations, AllianceJaune, et « les Oubliés de l’Europe » avec une seule voix chacune ramassent quand même 1,14 % des suffrages exprimés !

à Eourres, 84 inscrits, les Générations et le PCF réalisent quand même 2 % des suffrages avec chacun, une seule voix dans l’urne !… etc, à partir des premiers pourcentages qui souvent ne correspondent qu’à une seule voix électorale !

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Citoyenne ou/et Écocitoyenne Écométropole ?
Parce que selon qu’on omet #éco, on n’est déjà même plus sur les mêmes objectifs alors qu’une « coalition la plus large possible » serait nécessaire pour ne pas sombrer à l’OutreMer où le RN/FN et LREM se partagent déjà l’électorat… Éviter que le RN/FN et la majoritéprésidentielle se partagent à nouveau l’électorat aux Municipales2020 – comme ce fut le cas aux EE2019 -, suppose que des coalitions se constituent pour espérer accéder au 2e tour selon le meilleur potentiel électoral spécifique à chaque municipalité et qui varie entre les différentes formations politiques EELV LFI PlacePublique PCF Générations UrgenceÉcologie… Lutte Ouvrière !… À considérer la proportionnelle européenne comme l’excellent indicateur de ce « potentiel électoral », pourquoi ne pas définir la tête de liste de celui ou celle qui briguera la Mairie selon la proportionnalité d’électeurs engrangée aux élections européennes pour laisser à l’Outre-Mer les Mairies possibles à LFI et au PCF, les arrondissements de Marseille, au potentiel phare relevé lors du résultat du scrutin européen, et ainsi de suite pour chacune des plus de 34500 communes définies sur l’ensemble du territoire ?… Les suppléants et les maires-adjoints pouvant ainsi aussi se définir d’après leur bannière politique selon leur % obtenu à la proportionnelle européenne pour mettre en grappe les éluEs légitimes qu’ils sont en droit de revendiquer, dans le but de renforcer le possible passage du 1er tour pouvant conduire à de nombreuses victoires aux côtés de la VagueVerte, autour d’une table de CoalitionPolitique, un peu plus élargie que restreinte !

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Des communes EELV au-dessus de 20% sur une moyenne nationale à 13,47%, révèlent l’ampleur de ce que pourront être les Municipales2020 face au statuquo de l’ambivalence entre la majoritéprésidentielle et l’extrêmedroite, toujours inférieures à 1/4 politique électoral chacune mais néanmoins enclines à s’approprier le 2 tour ?
La 3eVoie de la VagueVerte laisse à l’écologie une forte probabilité politique aux Municipalités éco-citoyennes, solidaires, démocratiques et fraternelles, d’être au 2nd tour pour l’emporter sur la majorité présidentielle ou l’extrême-droite qu’elle aura a affronter…

Non, vous ne rêvez pas et c’est bien la réalité qui justifie l’ambition écologiste d’arriver au deuxième tour dans de nombreuses municipalités pour affronter loyalement la majoritéprésidentielle ou l’extrêmedroite RN/FN 1972 avec la 3eVoie de la VagueVerte politique, constitutive de chaque Municipalité éco-citoyenne, humaniste et solidaire, démocratique et fraternelle… à y regarder de près, sur la carte des résultats des EE2019, le potentiel électoral obtenu par EELV – EuropeanGreens où ils finissent 1er, 2nd ou 3e, confirme ce constat encourageant favorable à une autre proposition politique, différente des prétendus conservateurs et progressisme qui signent, les yeux fermés, n’importe quels AccordsCommerciaux de LibreÉchange !

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À partir du potentiel électoral accumulé aux EE2019 par les différentes formations politiques, on remarque qu’aux Municipales2020EELV PartiPirate SortirDelEuropeDesÉtats GénérationÉcologie PlacePublique, PCF, LFI (…) peuvent s’emparer des urnes au second tour pour se retrouver avec la majoritéprésidentielle ou contre l’extrêmedroite qui ne rivaliseront pas toutes seules entre elles comme précédemment !… Un parti « tout seul », d’1/4 d’électorat pour une moitié de pays, peut difficilement espérer plus que le passage du 1er tour. Le report des voix du second tour n’est qu’illusoire, trop aléatoire, comportant trop de risques ; autant partir en solide coalition dès le premier tour pour garantir d’y être au second et espérer remporter loyalement un maximum de municipalités avec la France entière !

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L’attribution de la capacité d’organiser une Mairie, jusqu’aux derniers de liste pouvant constituer une « délégation permanente aux Municipalités » des petites formations politiques existantes ayant obtenu résultat (Décroissance et Parti Pirate par exemple, ou les Fédéralistes), n’est pas seulement concevable dans le sens EELV – Générations – Place Publique – PCF mais aussi entre LFI – EELV – PCF – Générations – Place Publique… La FranceInsoumise peut parfaitement occuper une place dans l’atome du noyau constitutif des listes, surtout pour ses quartiers marseillais et jusqu’à l’Outre-Mer… Les listes communes écocitoyenne arcenciel écométropole sont d’une importance capitale, voire sans doute exceptionnelle pour pouvoir éviter les crises économiques en se protégeant par la recréation de structures productives collectives municipales où la gestion ce n’est plus un patron et ses actionnaires mais la municipalité qui est son propre patron pour redistribuer les richesses par « économie circulaire » globale, créer des emplois et supprimer les licenciements sur toute la France… Avant 1972, les Céréaliers et les Houblonniers finançaient de leur côté le réseau de chemin de fer SNCF, tandis que les vignerons finançaient les hôpitaux civils avec ce type d’unités de gestions collectives et productives municipales. Giscard les supprime en renvoyant ces comités d’ouvriers avec leurs directions anti-capitalistes aux cagibis des vestiaires – quand ils ne les ont pas assassiné comme à Andlau, fin 1972 -, s’en suit un manque d’approvisionnement financier pour la gestion des « CollectivitésTerritoriales« … début de l’endettement. Une grande victoire aux Municipales élargirait la capacité politique d’intervenir sur l’économie par les Municipalités, directement après les élections et s’occuper de la gestion du pays en faisant basculer toutes les entreprises, exploitations, ateliers et manufactures artisanaux, usines, sur un mode de gestion municipale sur la base d’unités productives locales… En gagnant les Mairies, on prend Bercy et on dit à Macron : retournes dans ta banque !

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Là où les formations politiques, mouvements ou associations qui accompagnent EELV dans la composition des têtes de listes pour les élections, sont au-dessus de la formation écologiste dans les Communes, au résultat du potentiel électoral de chacune, obtenu aux EE2019 ; on peut envisager de leur accorder la fonction de Maire, celle du second dans les résultats européens pour le titre de maire-adjoint, le troisième résultat définissant le « suppléant »… C’est d’ailleurs ce qu’on observe dans la vie courante des municipalités, parfois remodelées, parfois conservatrices, multi-fonctionnelles jusqu’à progressistes, autant pour ce qui est des alliances que compose la droite pour arriver à sortir « sans étiquette » dans ses candidatures ; que des coalitions écologistes collectives où se rejoignent au point de jonction politique des Écologistes d’EELV, du PartiPirate, de la Décroissance, de l’UrgenceÉcologie ; des Communistes du PCF et du Parti révolutionnaire des communistes ; des Socialistes de PlacePublique et Générations – le partisocialiste votera toujours Macron, du moins c’est ce qu’ils ont appris – pour aller affronter dans les urnes pour des raisons politiques évidentes et un projet économique commun, la majoritéprésidentielle en cours et l’extrêmedroite RN/FN, toujours aux abois.

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De toutes façons on ne peut pas séparer dans l’organigramme de l’écologiehumaine, la qualitédelair des problèmes liés à l’AlimentationIndustrielle : la TransitionÉcologique, pour y arriver, nécessite une TransitionAlimentaire où la TransitionAgricole et la TransitionIndustrielle sont nécessaires et indispensables pour aboutir à la TransitionÉnergétique conduisant à l’implication d’une TransitionÉconomique !

Pour sortir du statuquo entre la majoritéprésidentielle et l’extrêmedroite RN/FN 1972 et présenter un projet politique différent de ceux qui se succèdent depuis 45 ans entre PS 1969, FN 1972, RPR 1976, UDF 1978, via l’UMP, LR, l’UDI, LREM/MoDem-Agir aux Municipales2020 ; Grenoble expérimente en actes, depuis 2014 avec son Maire EELVÉricPiolle, les Municipalités éco-citoyennes, humanistes et solidaires, démocratiques et fraternelles qu’il reste à gagner dans tout le pays… Une dynamique incontestable qui réussit plutôt bien et pourrait s’élargir à d’autres Mairies écologistes pour dépasser tout ce que de conservatisme et de progressisme ont raté d’écologie depuis René Dumont et Giscard 1974 (!)

Voilà comment la majoritéprésidentielle LaREM/MoDem entend considérer l’écologie aux Municipales2020 : en l’ignorant purement et simplement, en l’ignorant préférant chercher des alliances avec des « Divers Droite » !… Quel déni de démocratie, à l’heure où tout s’écologise !… À Orléans, La Roche-sur-Yon et Bourges, EELV est distancée de 10% par la majorité présidentielle LREM, tout en arrivant quand même 2e ou 3e aux EE2019, la macronie tente une sortie face aux écologistes qui ont les moyens d’être au 2nd tour des Municipales pour gagner !… Cette alliance à droite avec des « Divers Droite » et la majorité présidentielle ne risque pas gros au départ puisque LREM/MoDem caracole en tête depuis les électionseuropéennes (Orléans, La Roche-sur-Yon et Bourges) mais EELV est en bonne position pour arriver au second tour des Municipales 2020 !

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Maubeuge par exemple.
Prenons l’exemple de Maubeuge (59) des leçons que nous pouvons tirer des électionseuropéennes EE2019 pour bâtir dans la bienveillance les Municipales2020 selon la participation la plus large possible de tous les déléguéEs et portes-paroles des différentes formations politiques arrivées à un résultat électoral qui constitue donc un « potentiel électoral » qui va de l’infime et insignifiant dans la tête des uns, alors qu’il est significatif d’une dynamique politique réelle, surtout si elle tend vers l’écologie, la citoyenneté, la fraternité, le sens démocratique et le rassemblement vers une société commune où chaque Municipalité forme et constitue sa propre Assemblée Nationale avec ses spécificités idéologiques où chaque Commune peut personnaliser sa coalition pour aller affronter l’extrêmedroite RN/FN et la majoritéprésidentielle qu’il serait préférable de concurrencer pour la victoire au second tour !

RN/FN : 37,43 %
LREM/MoDem : 14,19 %
LFI : 7,34 %
EELV : 6,14 %
« Musulmans Français d’Union » : 6,1 %
PlacePublique : 4,84 %
Les Républicains : 4,84 %
Debout la France : 3,2 %
Générations : 2,88 %
PartiAnimaliste : 2,84 %
PCF : 2,77 %
UDI : 2,16 %
LutteOuvrière : 1,07 %
UrgenceÉcologie : O,8%
PartiPirate : 0,11 %
Parti Fédéraliste Européen : 0,03 %
Décroissance : 0% malheureusement mais cela n’empêche pas d’autres municipalités d’en accorder au moins 1 éluE dans la liste du groupe du bureau municipal ou dans la partie d’une délégation permanente attachée aux Municipalités regroupant les différentes composantes politiques qui entrent dans les résultats…

Une certaine logique d’évaluation et de partage du pouvoir qui il doit être « rendu pour ne pas l’accaparer » (la formule est dite par YannickJadot) pourrait nous orienter vers une Mairie, de toute façon composite, capable d’éloigner le RN/FN des urnes, soit avec la formule précédente utilisée à Schiltigheim où EELV, PCF, Socialistes – Place Publique ont utilisé une coalition LREM régionale différenciée de la majorité présidentielle conduite par Danielle Dambach. Soit en désignant un Maire FranceInsoumise et un adjoint au maire EELV – puisque ceux de Mélenchon y sont devant Yannick Jadot – et des Conseillers ajoutant les Générations, le PCF, Urgence écologie… jusqu’au 1er % enregistré qui est le Parti Pirate.

En oubliant la France Insoumise de Mélenchon, on risque de faire monter les scores du FN alors qu’en composant avec eux, on a de fortes chances de prendre la place pour le second tour à la majorité présidentielle… Après il faut savoir vers où on va, qu’elle politique on veut simplement reproduire ou réellement changer, transformer !… tenant compte, bien entendu, que la proportionnelle européenne – et c’est bien parce qu’elle en est une, proportionnelle – restera toujours un excellent rendez-vous électoral qui mesure le potentiel électoral de chaque formation politique avec laquelle on peut composer pour arriver à la plus solide des « coalitions » pendant que les droites multiplient leurs « alliances » !

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Restons sur les derniers résultats du « potentiel électoral » des formations politiques françaises aux EE2019… Quand les écologistes et YannickJadot disent que pour les Municipalités2020, chaque commune est une spécificité à part entière, capable de trouver sa solution de coalition pour arriver au second tour pour battre l’extrêmedroite ou la majoritéprésidentielle, ils n’ont pas tort tant les programmes de leurs opposants tournent le dos à l’écologie, aux DroitsHumains, au meilleur accueildesmigrants, à la sécurité de l’emploi (CDI), à l’égalité et à la Justice !

Prenons l’exemple singulier mais pas inintéressant de Port-Saint-Louis-du-Rhône dans les Bouches-du-Rhône (11) : 6344 inscrits…

RN/FN : 35,12 %
PCF : 25,48 %
LFI : 9,81 %
LREM/MoDem : 8,04 %
EELV : 5,87 %
PS/PlacePublique : 2,17 %

En considérant que les résultats des électionseuropéennes 2019 sont un indicateur suffisamment fiable, à partir du moment qu’il concerne plus de la 1/2 de l’électorat et que ce sont les mêmes électeurs qui se rendront aux urnes pour les Municipales, Port-Saint-Louis-du-Rhône verrait-il un communiste arriver à la Mairie ?

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2019/05/26/elections-europeennes-la-carte-des-resultats-en-france-commune-par-commune_5467620_4355770.html

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L’exemple d’un sondage à Caen

Ce sondage reflète la vieille ViePolitique municipale de Caen et ne tient pas compte des résultats acquis aux électionseuropéennes (EE2019) qui définissent les potentiels électoraux de chaque formation politique… Et qu’on ne vienne pas nous dire en sous-main que c’est un autre électorat qui votera aux Municipales2020 !
À y regarder de près, selon ce résultat, LR n’engrange que 8% des suffrages alors que la majoritéprésidentielle LaREM arrive en tête (27%) devant le médian écologiste EELV (19%) qui risquent, tous deux, de se retrouver au second tour de la municipale… et voir Caen devenir une ville écologiste !

https://www.ouest-france.fr/elections/municipales/municipales-caen-le-sondage-commande-par-lr-place-rudy-l-orphelin-en-challenger-de-joel-bruneau-6564099

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Marseille pour exemple ?

Pour les Municipales2020Marseille est une municipalité pilote forte intéressante si on contourne rapidement les fakenews et l’infox qui se poursuivent comme pendant les électionseurpéennes EE2019 sur fond de EELV serait prête à faire des alliances avec LREM au 1er tour. Démenti immédiatement par la nécessité d’une réalité « Marseille éco-citoyenne, solidaire et sociale » capable de battre la caillot droitier sur ses deux remparts : le flanc de la majoritéprésidentielle et celui de l’extrêmedroite des RN/FN qui, tantôt qu’on observe les potentiels électoraux par arrondissements aux européennes2019, révèlent qu’ils s’immiscent presqu’en favoris pour le second tour, parfois ensemble, parfois que pour l’un des deux… Les % parlent d’eux-mêmes sur comment Marseille est politiquement vécue et vivable selon les arrondissements, avant que d’arriver à la moyenne générale de toute la ville…

1er arrondissement (18737 inscrits, 1 vote = 0,01 %)
EELV : 24,07 %
LREM/MoDem : 16,96 %
LFI : 15,46 %
RN/FN : 10,66 %
PS/PlacePublique : 7,51 %
Générations : 5,9 %
PCF : 5,75 %
LR : 4,78 %

2e arrondissement (11277 inscrits, 1 vote = 0,02 %)
RN/FN : 20,3 %
LREM/MoDem : 17,39 %
EELV : 16,54 %
LFI : 13,11 %
PS/PlacePublique : 6,27 %
LR : 5,37 %
Générations : 4,72 %
PCF : 3,91 %

3e arrondissement (20104 inscrits, 1 vote = 0,02 %)
RN/FN : 25,46%
LFI : 16,28 %
LREM/MoDem : 14,34 %
EELV : 9,02 %
PS/PlacePublique : 5,62 %
PCF : 5,21 %
Générations : 5,09 %
LR : 4,1 %

4e arrondissement (28434 inscrits, 1 vote = 0,01 %)
RN/FN : 25,29 %
LREM/MoDem : 17,75 %
EELV : 15,9 %
LFI : 8,8 %
LR : 7,32 %
PS/PlacePublique : 5,85 %
Générations : 3,79 %
PCF : 3,55 %

5e arrondissement (24128 inscrits, 2 votes = 0,02 %)
RN/FN : 20,2 %
EELV : 19,66 %
LREM/MoDem : 17,72 %
LFI : 9,74 %
PS/PlacePublique : 6,62 %
LR : 6,43 %
PCF : 4,61 %
Générations : 4,28 %

6e arrondissement (24229 inscrits, 1 vote = 0,01 %)
LREM/MoDem : 25,07 %
EELV : 19,24 %
RN/FN : 14,81 %
LR : 10,18 %
LFI : 7,37 %
PS/PlacePublique : 6,79 %
Générations : 3,7 %
PCF : 3,4 %

7e arrondissement (24019 inscrits, 1 vote = 0,01 %)
LREM/MoDem : 27,21 %
RN/FN : 20,32 %
EELV : 17,34 %
LR : 9,82 %
PS/PP : 5,74 %
LFI : 5,04 %
PCF : 3,28 %
Générations : 2,68 %

8e arrondissement
(53976 inscrits, 1 vote = 0%, 2 votes = 0,01 %)
LREM/MoDem : 29,66 %
RN/FN : 20,15 %
EELV 13,71 %
LR : 13,15 %
PS/PP : 4,95 %
LFI : 4,03 %
PCF : 2,42 %
Générations : 2,06 %

9e arrondissement
(48320 inscrits, 1 vote = 0%, 3 votes = 0,01%)
RN/FN : 26,26 %
LREM/MoDem : 23,86 %
EELV : 13,41 %
LR : 10,27 %
LFI : 5,51 %
PS/PP : 4,67 %
PCF : 2,37 %
Générations : 2,32 %

10e arrondissement (33274 inscrits, 1 vote = 0,01 %)
RN/FN : 33,63 %
LREM/MoDem : 17,76 %
EELV : 10,54 %
LFI : 7,38 %
LR : 7,09 %
PS/PP : 4,49 %
PCF : 3,16 %
Générations : 2,59 %

11e arrondissement (38014 inscrits, 1 vote = 0,01%)
RN/FN : 33,82 %
LREM/MoDem : 17,38 %
EELV : 11,51 %
LFI : 7,69 %
LR : 7,55 %
PS/PP : 4,43 %
PCF : 2,98 %
Générations : 2,35 %

12e arrondissement
(42178 inscrits, 1 vote = 0%, 2 votes = 0,01%)
RN/FN : 27,57 %
LREM/MoDem : 22,32 %
EELV : 12,86 %
LR : 11,27 %
LFI : 4,85 %
PS/PP : 4,66 %
PCF : 2,67 %
Générations : 2,12 %

13e arrondissement (52763 inscrits, 2 votes = 0,01%)
RN/FN : 35,28 %
LREM/MoDem : 17,36 %
EELV : 10,67 %
LFI : 8,76 %
LR : 6,05 %
PS/PP : 4,36 %
PCF : 3 %
Générations : 2,82 %

14e arrondissement (31353 inscrits, 1 vote = 0,01 %)
RN/FN : 35,32 %
LFI : 14,01 %
LREM/MoDem : 13,22 %
EELV : 8,37 %
PCF : 4,45 %
PS/PP : 4,36 %
LR : 4,07 %
Générations : 3,59 %

15e arrondissement (31147 inscrits, 1 vote = 0,01%)
RN/FN : 35,4 %
LFI : 15,68 %
LREM/MoDem : 12,35 %
EELV : 7,54 %
PCF : 4,72 %
PS/PP : 4,57 %
Générations : 3,47 %
LR : 3,4 %

16e arrondissement (10187 inscrits, 1 vote = 0,02 %)
RN/FN : 30,79 %
LFI : 13,42 %
EELV : 12,84 %
LREM/MoDem : 11,97 %
PCF : 7,81 %
PS/PP : 5,08 %
Générations : 3,51 %
LR : 2,93 %

Si un bureau municipal se construit dans la diversité, en coalition, la plus large possible, on obtient ce nombre de personne minimum des autres formations politiques nécessaires à l’élaboration d’une majorité municipale – ce qui n’induit pas forcément l’idée d’une majoritéprésidentielle, surtout quand on est dans l’opposition -, avec une simple règle égalitaire de base d’une unité en-dessous de 5% et de deux unités au-dessus de 5%, pour constituer une « délégation permanente » aux conseils municipaux et « rendre le pouvoir »… Mais on peut aussi mettre la barre à 3%…
Et… En route pour le second tour des Municipales éco-citoyennes, solidaires et républicaines, démocratiques et fraternelles !… « Faire vivre la démocratie » !

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Mulhouse !

Les forces politiques en lice, Municipales2020, selon le potentiel électoral établit par les EE2019 à Mulhouse :

EELV : 13,71% = le Maire.
LFI : 7,35% = un adjoint + son secrétaire.
PlacePublique : 6,03% = un deuxième adjoint + secrétaire.
Générations : 2,66% = un porte-parole.
UrgenceEcologie : 2,07% = un délégué.
PCF 1,63% = un porte-parole.
Parti Révolutionnaire Communistes : 0,15% = un délégué.
LutteOuvrière : 0,67% = un porte-parole.
PartiPirate : 0,35% = un délégué…

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L’ambiguïté parisienne !

BenjaminGriveaux en campagne pour les Municipales2020 c’est du lourd pour le Climat !
Il envisage des pluies diluviennes sur Paris et utilise les voixsurberge pour les fermer à la circulation, effaçant ainsi, ou s’appropriant la politique d’EELV et d’AnneHidalgo sur la capitale !

Dans le 16ème arr. démocratique de la capitale, la candidature écocitoyenne ParisVilleVerte devra se serrer les coudes avec les autres pour espérer passer le 1er tour, arrivée que 3e aux élections européennes avec seulement 8%, bien en-dessous de sa moyenne nationale (13,47%)

Sur le 16ème arr. démocratique, on a des potentiels étonnants au sortir de la proportionnelle des EE2019 où la majoritéprésidentielle LREM caracolait en tête avec 46,1%. C’est bien ce qui prédispose à la candidature « cumulée » de Villani et Griveaux !
lesRépublicains arrivé seconds dans le 16ème arr. démocratique avec 24,22% à la proportionnelle européenne, rivalisent pour le 2e tour. Reste à déterminer l’option que prendront
EELV 8,4%
PS PlacePublique 3,15%
Générations 1,25%
LFI 1,15%
pour se tourner vers l’éventualité d’une coalition avec Villani ou LR pour faire de l’écologie ou rester écologiste !

Il y a déjà une liste citoyenne, éco-responsable et républicaine, solidaire et démocratique, compatible avec ParisVilleVerte Groupe écologiste de Paris EELV PlacePublique PCF UrgenceEcologie PartiPirate LFI (…) bien plus attrayante que le conservatisme souverainiste d’un BenjaminGriveaux ou celle du libreéchange d’un Villani, voire celle d’un PS 1969 qui n’a appris à ses électeurs qu’à voter Macron de la majoritéprésidentielle !

Sondage intéressant dans le 16ème arrondissement pour se demander mais où sont passés les 46% de potentiel électoral obtenu par la majorité présidentielle aux dernières élections européennes ?… La candidature dissidente de Cédric Villani serait-elle passée par là ?… En tous cas, elle nous ramène à du 17% ou 15% selon qu’on considère Benjamin Griveaux ou Villani… Anne Hidalgo avec ses 24% d’intention tient compte d’écologistes qui voteraient éventuellement pour elle alors que David Belliard reste sur une poussée de la Vague Verte des européennes, grimpant de quelques % et qui, avec une bonne coalition, pourrait créer la surprise dans cet arrondissement parisien en franchissant la marche du premier tour !… Pourquoi pas avec Danièle Simonet, accrédité de 5% pour maire-adjoint permettrait d’aller vers les mêmes coalitions pour l’Outre-Mer.
https://www.linternaute.com/actualite/politique/2225593-municipales-a-paris-villani-stoppe-par-macron-actus-sondages-tout-savoir

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À Strasbourg

AlainFontanel est le candidat du ruissellement de la majoritéprésidentielle avec ou sans étiquette sur l’écométropole de Strasbourg aux Municipales2020, au centre-ville, où il a de fortes chances d’affronter l’écocitoyenne JeanneBarseghian du directoire d’EELV arrivée 2e aux EE2019, l’extrêmedroite du RN/FN étant désormais distancée de presque une dizaine de % d’écart !

RN/FN : 12,8 %
EELV : 20,69 %
LREM : 27,75 %
PlacePublique : 7,7 %
LFI : 6,9 %
Générations 4 %
Urgenceécologie : 2,01 %
PCF : 1,52 %
PartiPirate : 0,64 %
Lutte Ouvrière : 0,51 %
Parti fédéraliste européen : 0,17 %
Décroissance : 0,05 %

https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/bas-rhin/strasbourg-0/strasbourg-alain-fontanel-annonce-sa-candidature-aux-municipales-2020-1736669.html

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À Marckolsheim

Frédéric PFLIEGERSDOERFFER avance à Marckolsheim avec une étiquette de MajoritéRégionale, sommes toutes assez vague, selon qu’on se positionne sur une majoritéprésidentielle, celle de la VagueVerte des EE2019, ou d’une région qui n’a toujours jurée que par l’extrêmedroite du FN de Le Pen 1972, du partisocialiste 1969 d’Armand Jung, du RPR de Marcel Rudloff 1976 ou par l’UDF 1978 de Fabienne Keller, la suivante de Giscard 1974… On aura certainement le RN/FN au second tour des Municipales2020 mais pour l’adversaire qu’il rencontrera, l’énigme est encore totale entre
LREM : 19,01%

EELV : 12,4%
LFI : 5,48%
PlacePublique : 3,31%
Urgenceécologie : 2,18%
Générations : 1,88%
PCF : 0,9%
Lutte Ouvrière : 0,68%
Parti Fédéraliste Européen : 0,45%

https://www.lalsace.fr/actualite/2019/09/24/frederic-pfliegersdoerffer-candidat-a-la-candidature

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À Barr

Il manque 3 à 4% aux #EELV des #EE2019 pour griller la politesse de la présence au 2e tour au RN/FN d’extrême-droite pour pouvoir affronter loyalement la #majoritéprésidentielle aux porchaines #Municipales2020 !
Pour une coalition #écocitoyenne #arcenciel, du petit village à l’#écométropole, la feuille de route, c’est la répartition des potentiels électoraux de chaque parti, pas les sondages !
Pour faire des adjoints aux maires et des suppléants, nos partis sont là !
#Barr c’est 4 785 inscrits aux #électionseuropéennes et avec un bulletin de vote on fait 0,04% dans les résultats et nous disposons de
EELV : 17% – RN/FN : 20% – LREM 25%
#LFI : 3,93%
#PlacePublique : 3,89%
#Génératins : 2,6%
#UrgenceÉcologie : 2,18%
#PCF : 1,13%
Lutte Ouvrière : 0,84%
Parti Fédéraliste Européen : 0,21%
#PartiPirate : 0,17%
Décroissance : 0,13%

https://www.dna.fr/edition-de-obernai-barr-rosheim/2019/10/17/municipales-deux-candidats-declares-et-deux-points-d-interrogation

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1972 : le basculement…

1972 : le basculement vers l’hyper-capitalisation étatique giscardienne des structures d’unités productives collectives ou individuelles de gestion municipale d’exploitations territoriales.

À partir de 1972 – du moins sur le vignoble d’Andlau et l’ensemble des crus alsaciens -, ainsi que dans d’autres secteurs d’activités, liés aux différents « corps de métiers » sur tous les départements où existaient aussi des « unités productives individuelles ou collectives municipales » d’exploitation égalitaire ; on vit des responsables municipaux disparaître ou réduits au simple smic social. La place de la coalition municipale politique interne, locale, composée de plusieurs petites formations politiques de départ, elles-mêmes constituées de « comités d’ouvriers et de directions », est alors prête à se transformer par enchantement en étendard politique idéologique unique hégémonique, voué au capitalisme grandiloquent pour transformer les petits patrons qui n’en étaient pas, en « grand patron » qu’ils prétendaient être – ou devenir – avec leur petit drapeau politique, à la place du précédent système de gestion collective municipale de coalition utilisé par les mairies – jusqu’ici – pour gérer les équipements collectifs, à partir de ces « Comités d’Ouvriers et de Directions », loin du capitalisme outrancier et débridé qu’allait utiliser Giscard – non pas pour augmenter les richesses individuelles et collectives des municipalités – mais pour faire disparaître un mode de gestion égalitaire et collectif, estimé « anticapitaliste », improductif ou peu rentable et saisir de force des fonds de capitaux préexistants qui ne dormaient pas puisqu’ils garantissaient une participation financière à la gestion des collectivités territoriales redistributives… Elles existaient pourtant avant 1972, ces structures municipales collectives de production économique qui avaient de bons résultats commerciaux et sociaux devant eux, égalant les exploitations de patrons bancaires capitalistes « isolés » qui eux, ne passaient par la mairie que pour payer leurs impôts fonciers et territoriaux, une fois l’an mais pas mensuellement, ce qui leur permettait de pratiquer d’autres formes de mécénats. Pourquoi les petits drapeaux politiques qui se sont plantés par la force sur ces surfaces d’exploitations collectives qui en avaient pourtant déjà collectivement un, de drapeau, à ce moment-là, rattaché aux mairies face au patronage bancaire totalitaire, allaient remplacer plus tard ces collectifs de « comité d’ouvrier et de direction » par des partis politiques post soixante-huitards qui allaient vite oublier la coalition originale et l’insulter en les traitant de « comités ouvriers bourgeois et collabos » alors qu’elle était anticapitaliste ?… Pour mieux s’emparer de ces exploitations collectives municipales – souvent agricoles, manufacturières, artisanales – et la plupart du temps, profiter d’un portefeuille de remplacement individuel personnel à capitaliser soi-même, dans un compte secret où pouvait par la suite se poser toutes sortes de plates-formes à blanchiment sous un fanion politique spécifique, finalement éloigné de la gestion collective municipale initiale ?… Pour financer la FNSEA et jeter sur les cultures agraires et les espaces verts, des tonnes de pesticides, saboter les prochaines élections présidentielles où Giscard, Le Pen ou Mitterrand devaient s’imposer ; mais surtout pas la coalition écologiste de René Dumont avec ses communistes et ses socialistes ?… Le patronage syndical capitaliste avait de beaux jours devant lui et Giscard, une base politique, suffisamment solide et large pour fabriquer ses millionnaires et imposer sa « dictature économique », quand même constituée illégalement par rapport au mode de gestion, collectif et local, établi sur des structures d’unités productives collectives municipales qui avaient toujours apportées de bons résultats économiques de gestion et sur lesquelles, on allait puiser des fonds de capitaux inestimables : l’américanisation des terres avec du steak chewing-gum par système bancaire intermédiaire, présentée comme « meilleure rentabilité » possible, voyait naître le syndicalisme industriel qui pouvait désormais supplanter les petites unités productives individuelles ou collectives d’exploitation agricole, manufacturière ou artisanale, mais de gestion « municipale », en unités politiques ; le capitalisme d’État allait s’approprier ces unités productives de gestion municipales indirectes et en faire à peu près tout ce qu’il voulait. Financer des hôtels de charme, graisser des milliardaires – et un peu moins les hôpitaux civils -, étoiler l’hôtellerie de luxe sur le dos des piscines et campings municipaux ; tout ça devenait possible puisque la part municipale ainsi glanée, acquise plus ou moins dans la malhonnêteté, permettait d’augmenter les comptes des patrons au profit de la gestion municipale des équipements collectifs qui se résignaient ainsi à devenir les supplétifs du grand capitalisme productif, abandonnant le plus souvent possible, ces unités productives municipales de base dont les Comités d’Ouvriers et de Direction garantissaient l’équilibre économique par la gestion collective, jusqu’à avant Giscard 1974 – UDF 1978 de Fabienne Keller, le FN Le Pen 1972, RPR de Marcel Rudloff et le PS 1969 d’Armand Jung… Où en sommes-nous alors aujourd’hui politiquement, alors que nous disposions jusqu’en 1972 de Comités d’Ouvriers et de Directions, implantés sur des structures d’unités productives collectives ou individuelles qui étaient la base d’une gestion égalitaire municipale et non pas la multiplication des crises économiques où l’on re-capitalise de la dette à n’en plus finir ?… Certaines formations politiques en auraient-elles profité pour s’introduire dans des coalitions existantes, en imposant une bannière politique sur les autres déjà préexistantes et briser ainsi la coalition de départ ou la supplanter par une casquette unique qui mépriserait la coalition en se croyant supérieure ?… Autour de cette année charnière de 1972, le basculement vers l’hyper-capitalisation giscardienne et la police politique Le Pen FN ou PS 1969, allait pourrir la vie de quantité de gens, faire aboyer de travers de nombreux économistes, s’étaler la propagande à faire fuir les militants, éclore les tribuns et les prédicateurs, détruire la vie politique, sociale et culturelle de la coalition originelle d’avant, pendant et après la guerre ; voire disparaître toute une société productive politique sociale culturelle et économique, soudée et unie, que même pas Pompidou n’aurait osé humilier comme Giscard, dans un premier temps, a osé le faire, en les renvoyant, une fois qu’il fut élu, aux cagibis des vestiaires ; Le Pen par la suite, en nationalisant les ouvriers vers l’extrême-droite, oubliant tous les étrangers qui avaient combattus avec le général Leclerc et qui appartenaient à la Quatrième Internationale, le plus souvent, travaillant comme « agents municipaux » dans ces unités productives collectives municipales (!)

Après vient la terrible épreuve de la comparution des deux systèmes de modèle de gestion, la prétention de leurs résultats à l’épreuve des faits, entre un système hyper-capitalisé bancaire national et une unité productive collective locale municipale qui se valaient, non pas sous la forme de comptes bancaires sur-gonflés ; mais en tant qu’investissement collectif dans les collectivités territoriales, direct, horizontal avec les services publics, mis sous actions boursières par la suite, isolées dans des portefeuilles que nous estimerions aujourd’hui inactifs puisqu’ils ne profitent qu’à une poignée de millionnaires dont on pourrait très bien en insuffler quelques uns dans les municipalités moins productives. Le pays du capitalisme qu’on veut nous faire croire génial, constitue en fait la pire arnaque jamais envisagée avant Giscard qui réquisitionne par la force un bon nombre d’avoirs municipaux, marquant ainsi la perte de l’autonomie municipale pour ces unités productives collectives où les cadres – responsables – employés étaient bien payés puis se sont retrouvés smicards, réduits à simple ouvrier. Les richesses naturelles fournies par la production ne suffisant plus à leur cupidité mais satisfaisant largement la gestion collective, la spéculation sur le produit devenait possible : le moindre brin de textile, morceau de cuir ou grain de raisin devenait le lieu de toutes les élucubrations propices aux délires mythologiques où tout se transforme en or mais pas pour le tanneur, le tisserand ou le vigneron ; seulement pour les milliardaires et les millionnaires qui s’occupent de faire tourner les affaires, les structures, nous disent-ils, alors qu’elles fonctionnaient d’elles-mêmes avec une gestion municipale pour certaines d’entre-elles qui se définissaient comme « unité productive municipale ». Qu’on ne s’imagine pas que ce système capitaliste est si remarquable que ça car n’oublions pas que, ajouté au basculement des unités productives collectives municipales de l’ensemble du territoire vers la capitalisation d’État, mises sous étiquette du grand patronat, le service « 3615 Ulla » de Giscard qui représente une certaine quantité de capitaux à répartir ; vous n’obtenez pas beaucoup d’intérêt supplémentaire sur le produit mais vous pouvez répartir l’ensemble du blanchiment aux actionnaires qui pourront voir grimper leur % d’intérêt et leur rémunération en dividendes augmenter, tandis que les ouvriers restent pauvres. Avec un tel système, voulu par Giscard et ses actionnaires où s’installe un certain « secret des affaires », qu’on ait la même Caisse Municipale ou différentes banques de marques qui se livrent une concurrence acharnée, on retrouve tous les représentants aux étiquettes de l’investissement, apporter leurs fonds de capitaux sur la même table étatique pour enfin constater que dans la sphère militaroïde, on peut faire la guerre au Liban, en France à fric, qu’on pourra toujours transposer au moche et pauvre Orient avec un État Islamique pour religion armée d’extrême-droite à coups d’État, à la botte d’Erdogan, de Le Pen, de Trump et de Poutine.

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Les écologistes européens gouverneront l’Union européenne !

Alors oui, l’Écologie européenne peut et doit transformer les pratiques, les process et le progress en Écologie humaine, constitutionnelle, sociale et productive qui respecte l’environnement, ne détériore pas la biodiversité ; où les matières transportées et transformées ne contribuent pas à l’augmentation des émissions de CFC et de CO2 qui pénalisent la qualité de l’air et de l’eau potable. Heureusement, à temps, est encore à portée de l’activité humaine, la possibilité de modifier notre mode d’exploitation productiviste de prédation et de destruction des écosystèmes, de changer l’organisation du transport des marchandises pour évoluer vers un bilan carbone plus acceptable, du stockage des produits jusqu’à leur distribution favorisant l’économie circulaire et les circuits courts.

L’Écologie Européenne, humaine, constitutionnelle, sociale et productive est la politique commune qui permet, sur le long terme, de ne pas accepter qu’un groupe comme Auchan par exemple, puisse licencier quelques centaines de salariés pour préparer une structure commerciale comme Europacity qui met en péril tout un environnement naturel par la déforestation et la bétonisation qu’elle implique. 

Un simple « traité constitutionnel européen » ne suffit pas. Et on le voit bien avec tout ce que pose comme problèmes, depuis 2005, le « libéralisme économique capitaliste à rentabilité maximale ». Matières premières qui viendraient à manquer, énergies fossiles trop polluantes que la photosynthèse ne pourra plus absorber, préférant laisser les gaz à effet de serre s’accumuler dans l’atmosphère pour poursuivre la destruction de la couche d’ozone protectrice de notre oxygène ; tant d’indicateurs qui nous montrent que le prétendu bilan positif du capitalisme financier de l’évasion fiscale via des paradis fiscaux, contribue en réalité aux pires menaces négatives que la planète ait jamais rencontrées… Ce traité constitutionnel européen ne peut suffire s’il n’est pas accompagné, dorénavant dans l’Union européenne, d’un Traité Environnemental adéquat, suffisamment étoffé et solide pour résorber les menaces réelles du dérèglement climatique qui pèsent sur les civilisations des « sociétés de marché ».L’urgence climatique ne se résout pas à un simple classement individuel où on fait bonne figure, en limitant la catastrophe, au lieu de la résoudre : prétendre améliorer le bilan carbone quand les émissions de CO2 repartent à la hausse, laisse songeuse la bonne volonté des prétendants au « conseil de défense écologique » !… CDDÉ, lui-même qui ne semble pas être la réponse attendue par toutes celles et ceux qui portent plainte contre le gouvernement de Macron pour inaction écologique… Mais si son « Conseil de défense écologique » est réellement écologiste, qu’il construise alors des auvents avec des drones et de la toile pour protéger les glaciers et les névés d’altitude, en été comme en hiver, avant qu’il n’y ait plus d’eau dans les rivières !

Ce Traité Environnemental est la force d’un développement intelligent.

Faut-il multiplier les « couloirs à camions » ou être du côté d’une écologie humaine qui alerte et fait respecter les normes anti-pollution aux concessionnaires automobiles impliqués dans le dieselgate ?… Les chiffres sont effrayants lorsqu’on parle du nombre de décès causés par les émissions de CO2 et de particules fines, en plus grande partie, à cause du diesel et du kérosèneEurope Écologie est l’affirmation de la volonté de changer à la fois la politique de la ville et l’aménagement du territoire en fonction du maintient d’une qualité de l’air acceptable, du choix des « mobilités courtes » (vélo, transports en commun)… L’écologie quémande l’arrêt du diesel, gare aux Gouvernements nationaux qui en reculeront l’échéance en se déresponsabilisant !

L’adoption du Traté Environnemental européen garantit aussi les droits humains, les libertés individuelles, la paix, la préservation de la biodiversité, la protection de l’environnement jusqu’à la mise en valeur d’une agriculture paysanne sans pesticides, une agriculture de qualité qui permette aux petits producteurs de défendre le Droit Animal… Mais la plus grande capacité que porte l’écologie sur l’économie du 21e siècle, aujourd’hui, demain et pour toujours ; c’est qu’avec des solutions politiques et des projets techniques concrets, elle est la charnière en capacité réelle de transformer le mode d’exploitation productiviste du capitalisme des gros pollueurs qui, par leur prédation, multiplient l’écocide, favorisent la déforestation et la bétonisation… en un mot comme en cent, développent les salaires minables de la misère humaine

Ce Traité environnemental est aussi une garantie locale pour que gardes champêtres et gardes forestiers soient aussi les lanceurs d’alerte du 21e siècle et participent à la protection des rivières qui passent dans les forêts, contre les gros pollueurs qui dégazent inopinément !

Le Traté Environnemental relancera donc toute l’Union Européenne qui pourra définir de nouveaux cadres au développement industriel, aux implantations d’activité, à l’exploitation des sols, selon des lois de protection de l’environnement et des mesures pour préserver la biodiversité ; tous les pays qui ont des European Greens risquent de le signer ipso facto et de l’appliquer immédiatement car il est urgent de faire repartir à la baisse les émissions de CO2, tout comme il est urgent d’élaborer une marine marchande à voile pour améliorer le bilan carbone de la planète.

Traité environnemental associé à une « banque européenne du climat », ordonneront et légifèreront sur les infractions commises par les pollueurs sur l’environnement qui mettent en péril sa biodiversité, sa qualité de l’air et de son eau potable ; veilleront à la non-commercialisation des produits chimiques dangereux pour la santé humaine et nuisibles aux variétés des semences issues de l’agriculture paysanne traditionnelle locale sans pesticides… Le plus important avec ce système est que, non seulement ils assureront aux agriculteurs que leur aide européenne ne reste pas bloquée dans leur pays par un compte gouvernemental pendant deux ou trois ans, mais amortira aussi vers les plus démunis, par des financements spécifiques, l’amortissement du coût de la Transition Écologique =
Transition Énergétique + #Transition Alimentaire + Transition Économique !

Une véritable Transition Économique commence par l’arrêt des saisies de l’aide agricole européenne destinée aux petits producteurs et à l’agriculture paysanne traditionnelle sans pesticides !… Saisine effectuée par le gouvernement qui tarde depuis 2 ou 3 ans, selon les cas, à arriver ; ce qui n’est pas dans l’intérêt des agriculteurs (bio-dynamique)… L’Europe n’est pas une tirelire où les lobbies gonflent les actionnaires pendant que l’agriculture voit beaucoup de paysans baisser l’âme pendant que leur aide retardée sert de taux d’intérêt annuel bancaire au grand capital qui pratique le monopole des subventions, avant acheminement !… L’Évasion Fiscale, les Paradis Fiscaux commencent toujours avec les questions agraires et/ou industrielles !

L’écologie d’Europe Écologie est une science pragmatique de terrain, en milieu naturel et urbain (Déforestation / bétonisation) qui réagit aux constats du dérèglement climatique pour hisser la meilleure réponse possible à l’effondrement des espèces et de la biodiversité I   

L’écologie humaine c’est la politique qui ne se plante pas là où les autres plantent leurs échecs, leur libéralisme ou le nationalisme d’extrême-droite !

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Un Tribunal international pour terminer les tentatives de califat en Irak et Syrie et briser les ambitions territoriales d’Erdogan sur des parties syriennes.

La nécessité de vouloir absolument établir un tribunal international au sortir des massacres, des viols et assassinats – attentats, coups d’État – s’impose, non pas seulement aux Kurdes du Kurdistan d’Irak, d’Iran ou de Syrie, où s’est principalement manifesté l’État Islamique d’invasion terroriste, enfanté, en partie, par les camps d’entrainement de Ben Laden et l’ISIS américain ; puis complété par un puissant réseau logistique européen : affilié par l’extrême-droite liée aux armées en Belgique, appuyé à Strasbourg par le petit empereur « imam auto-proclamé » Farid Benyettou, ventant déjà au lycée, autour d’une cour lepéniste du FN avec son soldat Jean-Marc Vallat, la prédiction d’un État Islamique pour « mettre le monde à feu et à sang », Benyettou qu’on retrouve comme brancardier dans un hôpital parisien, accueillant les premières victimes des attentats des terrasses parisiennes avec (déjà ?) dans les bras deux Kouachi pour le prix d’un de chez Charlie Hebdo, un an avant…

Un puissant réseau qui aura probablement, pendant 30 ans, envoyé de nombreux jeunes, adolescent ou à peine majeurs, s’implanter progressivement dans les quartiers des métropoles irakiennes et syriennes, puis infiltrer par une autre brèche, les services des armées d’Irak et de Syrie, jusqu’à déserter leur Corps de défense pour aller violer, massacrer et assassiner des populations désarmées avec ISIS et Daesh qu’ils ont rejoints.   

Un tribunal international pour mettre l’État Islamique hors d’état de nuire devant une cour de Justice. Cette Cour de justice, centrée autour des Kurdes, concerne aussi les Nations qui partagent ce point commun qui est d’avoir vu s’implanter ou simplement passer Daesh / ISIS sur la période d’invasion dans leur territoire. D’avoir combattu sans relâche l’EI, jusqu’à son éradication d’Irak, du Kurdistan, des Monts du Sinjar, au Koweit, devant le Liban, près de la Jordanie et de la Palestine, en Syrie ; des liens solides peuvent se nouer entre ces 8 Nations qui ont affronté l’EI… Des liens bien plus en adéquation avec les Kurdes et l’expression des démocraties arabes et des multi-confessionnalités religieuses que ne le serait le cercle plus restreint de la « coalition internationale » dont l’aide était certaine… De Kobanê à l’auto-proclamé califat de Mossoul, des massacres dans le Sinjar à l’incursion frontalière du Koweit, rapidement éteinte, jusqu’à l’épisode du Liban de courte durée, en Jordanie et en Palestine ; que ce soient des incursions frontalières plus ou moins profondes ou du simple camping près de l’armée turque de l’AKP d’Erdogan, de ces villes et ces villages de 8 Nations – sur des zones inhabitées, moins -, l’État Islamique d’invasion n’a laissé que ruines, cadavres au nom d’une religion dont il sera dorénavant, difficile de justifier une quelconque quête spirituelle, là où les Kurdes d’Öcalan ont toujours été une force émergente de paix, ce que n’a jamais voulu comprendre l’Europe, en sa capitale des Droits de l’Homme qui a, dès le départ, préférée Farid Benyettou et Jean-Marc Vallat, bien plus intéressants aux yeux des mercenaires, que l’existence profonde liée à l’histoire de l’humanité et des civilisations dite par le « peuple sans armes » Êzîdîs.

Les Forces Démocratiques Syriennes Kurdes ne sont pas qu’une simple armée de mobilisation collective, réagissant instantanément aux invasions d’autres armées sur son territoire, en capacité de réunir rapidement les femmes et les hommes valides pour combattre les assaillants ; elles sont aussi redevenues la puissance émergente de paix qu’elles ont toujours été en Syrie depuis 1986 où elles protègent les Gouvernorats et en Turquie depuis 1984 où les demandes de cessez-le-feu et de reconnaissance politique pacifique par le % électoral Kurde échouent, n’aboutissent jamais ou sont rejetées, alors que les arrestations augmentent, leurs élus – enseignants – avocats – journalistes, poursuivis, censurés, évincés, les peines de prison atteignent des chiffres à plusieurs vies… Une mairie ou des quartiers, remplacés par des casernes militaires…

« Le retour des Jihadistes »

« Retour des jihadistes français : Nicole Belloubet évoque une majorité d’enfants »

http://www.rfi.fr/france/20190131-france-retour-jihadistes-francais-enfants-syrie-nicole-belloubet

Une fois différencier les enfants des femmes qui n’ont jamais combattus, des jihadistes, avec le risque que les convictions idéologiques les pousseraient ensuite à commettre des attentats par vengeance ; tout le monde n’éprouve pas la même nécessité à poursuivre avec cet État Islamique Français et Américain (Daesh/ISIS), à tentatives de coups d’État en Irak et en Syrie, les mêmes dessins terroristes de mercenaires de manipulation et d’endoctrinement pour faire comme toutes les religions armées finalement, encore que nulle part n’est écrit que Jésus ou Mahomet devaient se transformer un jour en mercenaire ou en terroriste pour édifier des religions armées ; au plus grand reniement du « peuple sans armes » de l’Ancien Testament… Alors les laisser là-bas, les rapatrier – puisqu’une grande part serait « Française » – mais pour les juger de quoi ?… D’avoir essayé de faire comme la religion armée du vatican qui doit sans doute les respecter pour leur engagement aux extrêmes ?


Que faut-il évaluer par procès ?


– Le point de départ de la prolongation des camps d’entraînement de Ben Laden où se rendent des Français qui devaient sûrement confondre la cour de leur lycéen avec une mosquée de Brooklyn pour y dissimuler un « imam auto-proclamé », voire une caserne de Jean-Marie Le Pen où germaient ses militantEs et ses soldats ; peut-être même la prolongation du syndicat patronal d’extrême-droite locale à loups noirs qui pendant 35 ans auront contribué, à leur manière, au développement, au conditionnement et au recrutement, ainsi qu’à l’acheminement des jihadistes ?


– Les autorités officielles des pays d’où ils proviennent qui sauront dissimuler leur pouvoir d’influence, de persuasion et de manipulation structurelles et organisationnelles, suffisamment évoluées « administrativement » ou numériquement pour façonner un tel carnage, au nom d’une prétendue « liberté religieuse » d’expression militaire, terroriste, révolutionnaire aux valeurs nationalistes familiales d’extrême-droite ?


– La structure gestionnaire de l’État jusqu’au niveau local et départemental qui oblige le proviseur d’un petit lycée de province à Strasbourg neudorf à accueillir Farid Benyettou en tant qu’élève sur-doué (à part en 2 Kouachi pour le prix d’un, il a fait preuve d’aucun résultat scolaire) et Jean-Marc Vallat (il venait de subir un échec à son concours d’entrée au lycée militaire d’État où il avait été candidat et vient se réfugier au Jean Monnet) pour qu’ils s’y rencontrent et aillent au Bar CIntra avec des escortes développer « la même religion des deux parties d’un même cerveau » l’EI Daesh/ISIS et leur Chef Le Pen à l’Élysée en utilisant le terrorisme rien qu’en s’inventant des « gauchistes » pour leur faire la semaine du « t’as serré la main d’Öcalan, t’es un terroriste » aux récréations ou en salle avant le cours ?… peut-être par invention bolchevique ou vers l’aveuglement révolutionnaire peut conduire puisque Öcalan n’a jamais enseigné les coups d’État, le terroriste et les attentats ; la défense c’est autre chose, certainement pas une secte de mercenaires d’extrêmes-droites qui se prend pour l’état-major national au fond de la cour d’un lycée !


– Le commissariat de neudorf qui n’a pas répondu à l’appel du proviseur pour intervenir et demander à Benyettou d’aller ailleurs faire ses prêches de mise à feu et à sang du monde, si il n’obtenait pas son « État Islamique » ou si les Kurdes obtenaient un État avant le sien, conseillé par un « état-major » un peu jeune ?


– Les clubs de rencontre « mariages » qui sollicitent sur Internet, Facebook ou Meetic, spécialisés dans l’Islam ou l’union traditionnelle strictement religieuse catholique qui ne cessent de lancer des appels vers de jeunes recrues pour se rendre en Syrie ou en Irak y rencontrer leur partenaire idéal dans le jihadisme, l’islamisme radical et le terrorisme ?

« La République en marche » est responsable !

Il faut bien avoir à l’esprit et prendre conscience que cela fait maintenant une bonne vingtaine d’années que les écologistes européens alertent les gouvernements nationaux sur les risques liés à l’utilisation des produits chimiques qui dégradent l’environnement, menacent la physiologie humaine et l’équilibre de notre santé. Si, il y a vingt ans, lorsqu’était déposé devant l’Union européenne le pack « CFC, CO2, Pesticides, Herbicides, Fongicides », il n’était pas surprenant de voir l’accélérateur décisionnel se pencher sur l’interdiction des CFC, alors la principale cause de la perforation de la couche d’ozone ; plus inquiétante était la décision de remettre la lutte contre les CO2 et les pesticides à plus tard, bien que les mêmes menaces scientifiques pesaient déjà dans l’utilisation de ces produits. Quel retard accumulé, depuis le refus des autorités politiques, à prendre ces menaces plus au sérieux par rapport à la gravité des lésions possibles sur les organismes fragiles, non plus seulement chez l’adulte en bonne santé mais aussi chez les nourrissons et les enfants en bas-âge, dont nous pouvons dorénavant vérifier la véracité scientifique médicale à chaque attaque de particules fines et lourdes qui mettent bronchiolites, bronchites, asthmes et autres lésions pulmonaires ou allergiques, au menu principal des cabinets médicaux… Aujourd’hui, aux États-Unis, des plaignants bien seuls et démunis devant leur vie écourtée, portent devant la Justice les preuves irréfutables que le glyphosate est nuisible pour la santé humaine puisqu’étant la cause de cancers violents ; la France, quant à elle, pourrait-elle se permettre de remettre en doute le verdict des résultats scientifiques par l’argumentation fallacieuse d’un scientisme déviationniste, dont on se demande si les résultats eux-mêmes ne sont pas décidés et financés par les lobbies de Monsanto, du Roundup, du glyphosate et de Bayer ?… Mais la science n’est pas au service de l’économie !… La science de la terre et l’écologie ont vocation de veiller à ce que l’économie ne détruise pas plus qu’elle ne l’a fait jusqu’à présent l’environnement, les nappes phréatiques, les sols agraires et forestiers… C’est donc bien d’une irresponsabilité absolue dont a fait preuve la majorité présidentielle sur les bancs de l’Assemblée nationale où les apprentis stagiaires en période d’essai gouvernementale perpétuelle de cette « République en marche » ont décidé de ne pas inscrire dans la Loi – ni maintenant, ni dans trois ans – l’interdiction du glyphosate et autres détergents, phytosanitaires ou désherbants dangereux pour notre santé et celle de nos enfants… Ils seront volontairement responsables des lésions déjà détectées qui pourraient être en lien avec l’utilisation trop rapprochée de produits « pesticides – herbicides – fongicides » reconnus scientifiquement comme pouvant créer des lésions irréversibles sur les organismes humains. Trop nocifs et donc extrêmement dangereux, rien que pour les sols, ils font également disparaître des espèces animales de type oiseaux et insectes (abeilles, coccinelles), nécessaires à l’équilibre de l’écosystème, aux pollinisations et indispensables pour le maintient d’une biodiversité saine et stable ; d’où l’urgence qu’il y aurait – et qu’il y avait pourtant – à statuer différemment en faveur de la protection des sols et des cultures, au lieu de favoriser la poursuite de la destruction de notre écosystème par l’utilisation prolongée de produits chimiques dans l’agriculture industrielle et le jardinage des particuliers, l’entretien des espaces verts ou des voies ferrées de la SNCF.

Et si ce n’était pas pour rien que toutes ces communes , municipalités et espaces urbains, aient décidé de ne plus utiliser de pesticides dans la gestion de leurs « espaces verts » ?… Et ce n’est donc pas que dans l’agriculture qu’ils sont utilisés, les Roundup Monsanto glyphosate… comme par hasard, on retombe sur la SNCF pour qui l’Écologie n’a pas plus de signification que sa propre restructuration, quitte à effriter et laisser partir en lambeaux les sites naturels qu’elle traverse de ses voies ; sans parler de ses plans de licenciements et de sa politique libérale qui la met réellement en cause lorsqu’on tombe sur ce genre de constat de catastrophe pour l’environnement… Pourquoi les services d’entretien des voies ferrées du parc ferroviaire n’ont-ils pas suivi l’exemple des employés municipaux des espaces verts qui ont choisi, avant tout pour leur santé, de ne plus utiliser de produits toxiques pour désherber, quitte à embaucher… Comme eux, la décision à la SNCF peut venir des salariés qui parviendront à faire prendre conscience aux directions, de la dangerosité à persister de poursuivre avec une telle pratique écocide !

Si on parle souvent de réchauffement climatique c’est avant tout d’un dérèglement dont il s’agit… Dérèglement des « régulateurs climatiques naturels » entamé, lorsqu’il y a 30 ans, les scientifiques constataient avec inquiétude que la couche d’ozone, protectrice de la haute atmosphère, se faisait ronger par les CFC… Depuis, sur terre, ce n’est plus seulement dans la haute atmosphère que se complique les dégradations : destruction des zones humides, assèchement des zones inondables, construction d’autoroutes superflues, déforestation supérieure à l’aménagement d’espaces verts, épandages industriels de pesticides chimiques détruisent faune et flore ; tous ces composants, liés à de mauvaises pratiques qui abusent des polluants, sont autant de facteurs humains écocides qui continuent de menacer aujourd’hui la Biodiversité et contribuent à l’affaiblissement du fonctionnement « naturel » de l’écosystème !

La Loi tout de suite !… Il s’agit d’études scientifiques qui démontrent la possibilité cancérigène de l’exposition au glyphosate !
L’Écologie n’est pas une religion ou une secte, c’est une politique issue des résultats scientifiques irrévocables…


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FR Glyphosate

Nicolas Hulot a démissionné !

Ce n’est pas parce que NicolasHulot né le 30 avril 1955 vient de démissionner que Mélenchon deviendrait automatiquement le « 1er écologiste » aujourd’hui ( BFMTV – Bourdin Direct – Benoît Hamon : https://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/benoit-hamon-face-a-jean-jacques-bourdin-en-direct-903551.html )… Sinon que penser de ces 30 années de victoires, de résultats et d’avancées à l’Union européenne et dans le monde sous la bannière écologiste européenne qui ne sont pas si infimes ou minimes comme beaucoup essayent encore de le prétendre actuellement… Il y a 52 députés dont 6 Français que Yannick Jadot veut prolonger aux Europeennes2019 ; et pourquoi pas, ne pas l’agrandir ? !… Ce sont eux les 1ers écologistes !… Qui poursuivent les travaux d’Eva Joly, commencés par ses équipes qui déposèrent le 1er grand dossier – en dehors de ceux du nucléaire et de l’agriculture qui ont toujours été des dossiers « permanents » – sur la Table de l’EuropeanUnion lorsqu’ils demandèrent d’adopter et d’appliquer le pack CFC CO2 Pesticides ; à ce moment-là, ce n’est sûrement pas leur faible pourcentage électoral qui aurait refusé leur requête, sinon, nous ne serions pas aujourd’hui proche du « zéro CFC » !… Par contre, si ils avaient obtenu une majorité absolue dans les urnes, les CO2 et les pesticides auraient fait parti de la prise en compte et non pas seulement la question des CFC… De toutes façons, tant au niveau expérience que pratique, ça ne peut pas être Mélenchon le 1er écologiste !… Ce n’est pas parce que Nicolas Hulot quitte le gouvernement qu’il ne resterait pas le 1er écologiste politique de France ; c’est peut-être pour le rester – « 1er écologiste » – qu’il démissionne de chez Macron ! ?… José Bové aussi pourrait le mériter ce titre !… Mais on n’est pas là pour distribuer des titres Monsieur Bourdin Direct ; on est là pour constituer et défendre une force politique écologiste européenne qui est, quasiment, pourrait-on dire, la seule qui obtienne des résultats…

Nicolas Hulot triple l’impact des consciences sur les trois forces politiques que sont Les eurodéputés Europe écologie qui existent déjà dans l’Union européenne et qui obtiennent des résultats depuis 30 ans de pack CFC CO2 Pesticides ; ce qui les différencie des deux autres – les Insoumis et Génération.s !

N’empêche que stratégiquement, si NicolasHulot démissionne aujourd’hui, il fait de Macron un président ego-recyclable, compostable et jetable… La brosse à dents en canne à sucre contre des conserves de raviolis ; poids-chiche contre Monsanto, lièvre contre gaz de schiste ?

Nicolas Hulot démissionne du gouvernement Edouard Philippe pour garder liberté et propriété intellectuelle en poursuivant ses engagements pour qu’avance l’écologie réelle du Climat, des énergies renouvelables, la santé au travail, la sortie du nucléaire, du glyphosate !… Le renouvellement permanent du pack CFC CO2 Pesticides proposé il y a trente ans par les écologistes à l’EuropeanUnion reste d’actualité !

C’est du négationnisme scientifique, intellectuel, économique, pédagogique et social que d’oser prétendre que l’écologie ne sert à rien, qu’elle est bien loin de nos soucis quotidiens, inutile EELV ?
@LCI passe du Tweet pour manipuler l’Opinion opinionlive

On reproche trop rapidement à Nicolas Hulot de ne pas avoir prévenu Macron ou Philippe !… En retour EmmanuelMacron et Édouard Philippe – au demeurant toujours ravis de travailler avec lui – avaient-ils signalé sa nomination pour qu’il ne puisse ni avancer, ni évoluer, ni bouger… pour le bloquer ?

De nombreux ministres de la 1ère à 5ème République ont su se faire respecter en démissionnant – « claquer la porte » c’est pour Mélenchon qui n’a jamais démissionné, il « appelle » à démissionner ; mais lui, n’a jamais démissionné – ; ça doit permettre de prendre conscience de l’#urgence d’aller vers l’écologie pour les Europeennes2019 de l’EuropeanUnion green Europe

On ne mets pas aux poubelles 30 années de travaux menés dans les commissions européennes pour arracher des résultats et des victoires dans l’EuropeanUnion sur la TransitionEcologique et la TransitionEnergetique sinon que serait ce pack CFC CO2 Pesticides où beaucoup a été fait et dont il reste encore beaucoup à faire… Les eurodéputés Europe écologie existent déjà à l’UE et ils sont efficaces, Macron et Philippe aurait dû respecter Nicolas Hulot pour ses 30 années au service de l’écologie dans l’Union européenne avec Eva Joly, Yannick Jadot et José Bové mais aussi de nombreux autres qui constituent leurs équipes alors que LaREM / EnMarche n’y ont même pas un pied ou une porte ouverte !

écologie sociale, politique, économique, institutionnelle et constitutionnelle mais surtout aux Europeennes2019 en #France et dans l’EuropeanUnion !… Moins chez Macron ou Juncker, Salvini et Orban ; mais plus avec les écologistes européens là où LaREM n’existe pas encore.

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On apprend ce matin que Nicolas Hulot quitte le gouvernement très certainement pour aborder les Europeennes2019 avec l’ancrage de l’écologie dans l’ EuropeanUnion ; la verte Europe est difficile à vivre chez Macron qui en fait du « vernis écolo » ou un enjeu nationaliste pour les lobbies !

Hulot démissionne comme Montebourg et Sapin avant lui et #Macron se fait progressiste contre le nationalisme pour les élections européennes mais oublie de mentionner la 3ème force : l’écologie internationaliste de Yannick Jadot qui existe déjà en green Europe !

Nicolas Hulot pensait débloquer des dossiers, continuer d’en développer et d’en faire avancer d’autres face aux urgences climatiques et environnementales, aux polluants Diesel glyphosate pesticides CFC CO2, devant le désastre de la politique migratoire et de l’immobilisme économique : l’écologie part construire ailleurs ce qu’elle ne peut réaliser avec Macron…

On saisit à quel point la politique européenne de #Macron ne peut dépasser son petit parti national qui pense pouvoir transposer sa victoire aux présidentielles sur les Européennes2019 sans écologie alors que ces politiques européennes écologistes existent bel et bien dans l’UE.

Nicolas Hulot vient à peine de démissionner qu’on parle déjà immédiatement derrière de macrontientuntruc mais la place qu’il va devoir remplacer ne va pas être simple…il n’y a personne qui soit de son niveau pour Macron et ses engagements politiques ne vont pas disparaître de l’écologie !

EmmanuelMacron en prend pour son envergure et aux prétentions, dépassé qu’il doit être face à l’urgence de développer des politiques liées à l’écologie qui ne dépendent pas uniquement de l’Economie de la lobbycratie qui domine l’Europe.

Les Européennes2019 seront donc forcément Politique !

 

« Ce n’est pas une affaire d’État » ! ?

« Ce n’est pas une AffairedEtat » !

La Constitution n’est pas un support que les ambitieux peuvent adapter jusqu’à leur convenance… La Constitution n’est pas au service d’élus qui pourraient en abuser mais définit les contours qui évitent les abus de pouvoir dès lors que la Constitution est respectée… Vouloir s’y soustraire, s’imaginer au-dessus serait la dépasser, « oser » ?… non !… c’est la mettre en péril, la fragiliser, risquer gros et le Parlement n’a pas à être aux ordres de l’Élysée – Présidence de la République française, n’en déplaise à ceux qui auraient choisi cette nouvelle formule (LaREM) qui n’a d’existence politique qu’une fois élue, le temps d’une élection…

 

D’après GerardCollomb, auditionné le premier, exposant quasiment discrètement un résumé sommaire sur les récentes attaques terroristes et appuyant son argumentaire tout autour de la crise sécuritaire, il n’est pas loin le chemin où AlexandreBenalla passera pour être devenu comme ça à cause du Terrorisme : CollombDemission !

Et voilà pourquoi, comme plus personne ne sait qui, du Préfet de police, du Président ou du centre de formation « Parti Socialiste 1969 » devrait agir pour signaler ce genre de cas d’usurpation de rôle et de fonction, n’explique pourtant pas, quelle reste la raison principale pour laquelle ce genre d’AffaireMacronBenalla devient possible ?… Y a-t-il des écoles et des formations, voire des grosses écuries politiques pour façonner ainsi le non respect des règles et des responsabilités ?… Alexandre Benalla : faire le policier aux abords du restaurant « la mama » à La Mongie, là où ski d’habitude et par tradition EmmanuelMacron, ce n’est ni les boulevards parisiens pris par une manifestation, ni les marches de l’Elysée qu’il faudrait faire briller pour auréoler un Président, sans qui, Benalla ne serait évidemment rien devenu…

EnMemeTemps rejeter la faute sur l’Élysée ou le Ministère de la justice pendant que GerardCollomb la rejette sur la Préfecture dans l’AffaireBenalla permet donc à tous de repousser la poursuite du débat sur la ReformeConstitutionnelle : qu’on ne s’y retrouve surtout qu’à 1/2 entre l’autorité de la @Place_Beauvau, le Préfet de police, l’Élysée et les observateurs invités, initiés ; relève d’un étrange subterfuge traduisant un dysfonctionnement institutionnel pour le moins incertain dans lequel la Justice pourra autant faire confiance que mettre en doute plus sérieusement les auditions avec documents administratifs à l’appui, pouvant révéler les tromperies, le mensonge des déclarations et réfuter des positions, des postures qui découleraient de l’abus de pouvoir.

Mais la Constitution est si bien faite en ses Lois oubliées ou effacées que le Préfet de police en charge de l’invitation gracieuse d’Alexandre Benalla, n’a daigné prévenir personne pour qu’on retrouve Benalla Place de la Contrescarpe pour ce qui allait désormais devenir l’AffaireDu1erMai. Que ce même Préfet parvient à rejeter la faute sur l’Élysée ou le gouvernement via le ministère de la Justice, serait de l’habileté de tous ; mais qu’il réussisse finalement à reporter la poursuite des débats sur la ReformeConstitutionnelle et ainsi satisfaire tout le monde, suggère un degré de complicité assez élevé !

Pas plus EmmanuelMacron que GerardCollomb ou des Préfets nommés par la présidence de la république ne détiennent la réponse d’à qui incombe la faute, si faute il y a puisque nous découvrons, au fur et à mesure que les auditions avancent dans l’affaire Benalla, à quoi peut servir la Politique en sa substantielle moelle. Dans cette AffaireMacronBenalla AffaireBenallaMacron, on est loin des « frais de bouche », des petits trafics de fausses factures destinés à rehausser le niveau de vie des pauvres élus ou engraisser le financement occulte des campagnes électorales ; on nage en plein délire, depuis le coiffeur de François Hollande à 6 000 €, la com’ de Solférino à 7 000 € et maintenant les 10 000 € d’un adjoint-conseil ou conseiller-adjoint du président de la République… Benalla éprouve bien des difficultés à effectuer des heures pour justifier d’un travail légal pour lequel l’Elysee le paierait, alors il fait des heures supp’, Place de la Contrescarpe. Et VincentCrase qui se ballade en sa compagnie autour de la manifestation avec un flingue alors qu’il n’a peut-être même pas de permis du port d’arme, mis à part une autorisation suggestive plus ou moins officielle… Les « observateurs » armés, invités, initiés ou de leur propre chef, ne peuvent plus être considérés pour « invités » comme pourraient par exemple l’être des sociologues conviés à observer les phénomènes de foule ou des jeunes policiers volontaires, là pour renforcer les rangs des forces de l’ordre ou simplement observer, sujets à recrutement ou désireux de changer d’orientation dans les rangs de la police ?

Le grand rendez-vous d’EdouardPhilippe devant l’Assemblée…
Bon, je ne dis pas que les agents de sécurité ne puissent pas avoir d’ascenseur social mais de là à se retrouver marchant devant le Président de la république, surveiller son planning, lui préparer le quatre-heures. La position qu’occupait AlexandreBenalla jusqu’ici, à côté d’EmmanuelMacron, envierait bon nombre de gendarmes, de policiers ou d’officiers militaires ; y serait-il parvenu en grillant les étapes, trop rapidement, comme si il aurait sauté, en l’évitant, la vie des casernes ?… Un Président de la république peut s’entourer de qui il veut, de choisir ses bras droits et gauches mais là, ce n’est même plus du favoritisme ou du piston ; c’est doubler volontairement la hiérarchie parce que Macron en a besoin pour son NouveauMonde de mise à l’essai d’un an et il semblerait que le locataire de l’Élysée aura du mal à se passer ou à se séparer de Benalla, tant il doit en avoir besoin puisqu’il trouve son boulot intéressant. Il ne suffit pas de trouver le passage à tabac inadmissible ou inacceptable lorsqu’on s’aperçoit que la période d’essai « BenallaMacron » était depuis longtemps terminée.

Observateur privilégié du Président Emmanuel Macron, – il était à la manif’ du 1er mai Macron ? ! – initié par le service d’ordre rapproché spécialisé du « parti socialiste1969 » – peut-on dire qu’il était réellement à bonne école ? -, Alexandre Benalla et tant d’autres, ne sont que le reflet d’un arbitraire décisionnel lié à la fonction suprême qui outrepasse les procédures réglementaires pour ouvrir la porte au NouveauMonde de Macron : le temps des « généraux » !… Après une année d’essai, « demandée » si aimablement par Emmanuel Macron, on voit le résultat mais il faut dire que De Gaulle – qui n’a ni rendu l’Élysée au CNR, ni daigné retourner dans sa caserne – y a beaucoup contribué…

DONC une affaire d’État parce qu’on ne se substitue pas à l’autorité policière quand on est pas en capacité de le faire… qu’un agent de sécurité comme BenallaTF1 participe comme « observateur » à une manifestation ne l’autorise probablement pas à prendre des initiatives lorsque l’orage est passé et que les manifestants sont neutralisés… La mission de l’État pour laquelle AlexandreBenalla était dépêché s’est-elle transformée en initiative individuelle, pas forcément crédible puisque provenant d’un proche de l’Élysée d’EmmanuelMacron, marque de sa politique « arbitraire, autoritaire et de plus en plus opaque » ?

Macronarchie !… Et il ne peut en être autrement étant donné qu’EnMarche n’a pas d’existence politique légale avant qu’EmmanuelMacron n’ose se présenter aux élections Présidentielles de 2017… Par conséquent sa candidature ne peut même pas être reconnue par la Constitution puisqu’on demande à une formation politique nouvelle de d’abord avoir été présentée à une élection locale (Législatives – Européennes, Municipales ou Régionales) au préalable, avant que de se présenter pour l’Élysée !… Pour éviter ce genre de surprise malvenue, je suppose ! ?

Ainsi mettre fin à une CommissionEnqueteBenalla truffée de contradictions et de transferts des responsabilités entre la Préfecture de police et l’Élysée, sans doute dépassée par l’initiative ou l’interprétation personnelle d’un agent de sécurité-collaborateur-organisateur de la vie du Président Emmanuel Macron ; n’empêche pas le dépôt à l’Assemblée d’une MotionDeCensure produite par les 3 groupes de la Gauche :
Communists Communist
Parti Socialiste (Nouvelle Gauche)
FranceInsoumise

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#AffaireDEtat
#macronmonarque #MacronMonarc

CollombLaBrute&amp;LeTruand

A. Benalla : « voltigeur » à pied ?

AlexandreBenalla n’a pas trompé l’État tout seul, de son propre chef pour en tirer un intérêt personnel supplémentaire qui l’auréolerait de gloire, grâce à sa position proche de l’Elysee… Il a bénéficié d’une aide, d’un enseignement et d’encouragements extérieurs qui débouchent sur une affaire de Politiqueintérieure générale qui mettait en valeur la période d’essai d’un an du gouvernement fraichement installé.

Usurper l’État délibérément de son propre chef comme l’ont fait Benalla et Macron, sombre inévitablement dans la bavure vite blanchie sous des « Benalla aimait son métier », imbu de responsabilités, sa jeunesse l’a écroulée sous le poids du sens du devoir.

Si Emmanuel Macron promet qu’il n’y aura « pas d’impunité » pour Alexandre Benalla, cela implique que pour lui aussi il n’y en aura pas. Tout comme ne suffira pas le trop évasif « nous nous sommes trompés, il faut assumer cette erreur »,  mal-venu et hors d’estime d’une Députée LaREM, Sonia Krimi, au bord du précipice de l’excuse… On veut bien croire Emmanuel Macron qui trouve ces faits inacceptables mais il faudra qu’il veille à ce que les services d’enquête, aussi bien liés aux gendarmeries qu’à la Commission d’enquête de l’Assemblée, parviennent à établir les influences, autant individuelles d’Alexandre Benalla que collectives par lesquelles il est rattaché par les motivations dites d’apprentissage et de formation qui lui ont enseignées de pratiquer de telles actes, sans oublier toutes celles et ceux, agressés dans les mêmes conditions déplorables de violence gratuite – hors manifestation comme aux abords et dedans -, n’ayant malheureusement pas pu filmer ou identifier leur agresseur (casqué ou à cagoule, à pistolet ou à matraque) ; et on nous parlerez encore de sous-effectifs dans la police, alors qu’elle met chaque fois le paquet lors des grands rassemblements, s’en prenant parfois avec acharnement aux individus sans défense qu’ils parviennent à isoler ou sortir du groupe de manifestants et dont ils ne se contentent pas seulement d’une simple « neutralisation » pour interpellation légale, ailleurs dans un commissariat ou sur la voie publique ; que non, ils en profitent pour s’en servir à se défouler, toujours à l’unité, un par un, à l’écart en créant une zone protégée à plusieurs, en « agents très spéciaux » qui passent à tabac manu-militari et qui n’ont fait que répondre à une gracieuse invitation préfectorale, rapidement transformée en excès de zèle…

Alexandre Benalla se fait aujourd’hui traiter de tous les noms d’oiseau : « voyou, racaille, canaille, p’tite frappe, nervi, barbouze vous choisirez » lance la Députée @menard2017 mais quand précisera-t-on qu’il s’agit d’une école de sécurité et de combat étatique ?

– « Alexandre Benalla n’est au fond qu’un d’entre vous », répond la Députée Emmanuelle Ménard pour conclure son intervention, fort à propos, et taper dans le mille, la marque de toute la désapprobation d’un pays pour une telle dérive montée en système !

Benalla s’est mis en danger, a mis sa propre vie en danger parce que si ça avait vraiment chauffé comme il le prétend, il aurait été en coquilles et en bouclier !… c’est du niveau des CRS qui se réfugient derrière un kiosque parce que des manifestants jettent des cocktails Molotov… forcément, le kiosque à journaux en bois brûle !
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Alexandre Benalla Usurpateur d’une RepubliqueExemplaire ?… voltigeur à pied ?… École sécuritaire ultra-libérale du parti socialiste 1969 et/ou du FN 1972 ?

Toute l’école d’État (réseau) liée à ces formations spécialisées dans la sécurité rapprochée aux personnes (gardes du corps), plus ou moins privée, policière militaire, religieuse ; toutes celles qui pratiquent ces violences et les enseignent doivent disparaître et être rayées de l’État !… Qui donnent ces ordres qu’ils ne peuvent pas donner mais qu’ils aimeraient bien pouvoir exécuter, ce pour quoi ils engagent des types qui ne sont pas habiliter pour le faire à infiltrer le pouvoir au plus haut sommet ou dans des gargouilles pour qu’ils puissent quand même le faire : passage à tabac manu militari n’a rien à voir avec la « neutralisation légale d’un individu ». Frauder l’État délibérément de son propre chef comme ont fait BenallaMacron & CollombDemission, sombre inévitablement dans la bavure vite blanchie sous des « Benalla aimait son métier, imbu de responsabilités il en exalte la possibilité de violence, sa jeunesse l’a écroulée sous le poids du sens du devoir ». Théoriquement, selon l’éthique vantée et la qualité des prestations avancées, le passage à tabac et les violences policières filmées ne sont pourtant pas enseignées, mais bel et bien enregistrées par vidéos… L’enseignement de la violence policière et de toutes ses exactions prouvées depuis Clément Méric, Rémi Fraisse ou Malik Oussekine, les Arabes dans la Seine, la hantise « du canon pointé sur le Parlement », un triple assassinat des « loups noirs » à Andlau à la fin de l’année 1972 permet à tout un village d’organiser un mensonge énorme sur des ventes de domaines viniques et à un flic de rosser un instituteur qui demandait à Strasbourg d’ouvrir une enquête pour « disparition »… Les os qui remontent à la surface 45 ans après, ça doit bien se passer quelque part pour que lorsque j’appelle la gendarmerie de Barr un samedi après-midi pour qu’on me réponde et me parle d’os de chiens c’est suffisamment signe d’une marque de complicité avérée dans ce triple assassinat d’Andlau à la fin de l’année 1972, une ou deux semaines après la toussaint ; c’est tout un enseignement échappatoire, en toute clandestinité politique… mais entourée de protection rapprochée !

Avant tout, VincentCrase & Alexandre Benalla sortent d’une école spécialisée plus ou moins privée, militarisée, religieuse, chargée de la protection rapprochée des chefs d’État. Gardes du corps, collaborateurs, milice de l’Hémicycle, police spéciale, pourquoi pas agents secrets capables de tout ? Quand l’OAS et le KGB s’affrontent (!)

On parle le plus souvent de « neutralisation des individus » que de « coups à donner » dans les services. Pourtant un certain nombre d’agents les pratiquent – des réservistes ici en l’occurrence -, au nom de quel droit d’abuser le pouvoir en usurpant la fonction de départ attribuée ?… Agissent-ils par ordre politique, sous les injonctions de volontés extérieures, chargées de former des « militants-miliciens-privés » qu’ils destinent à renforcer l’aspect inébranlable des formations politiques pour lesquelles ils travaillent ensuite ?

AlexandreBenalla Usurpateur a été jugé directement, très rapidement, presqu’en cachette par les services de l’Élysée, dès le lendemain de ses violences avérées et gratuites sur manifestant(-e), pourtant neutralisé(-e)s au préalable, avant qu’il n’intervienne pour mettre en valeur son sens du devoir ; mais la Justice ne l’a pas encore fait comparaître devant un tribunal ou une cour martiale pour l’utilisation frauduleuse qu’il a fait de sa position occupée dans le pouvoir, probablement enseignée dans les écoles de formations qui conduisent à ce genre de poste avec responsabilité quand même d’une certaine importance (!)

On hurle à l’inquisition pour l’interruption des débats de la ReformeConstitutionnelle basculés en forum sur l’affaire BenallaMacron CollombDemission ; séance publique, lieu de débat, ramené à une plus stimulante « Commission d’Enquête » qui cherchera à déterminer si on est dans le cas d’une « affaire Benalla » ou d’une « affaire Macron », autrement dit dans une affaire d’Etat ou dans l’AffaireDu1erMai2018 1erMai2018 !

« Majorité » ou « oppositions » n’est même pas la question :

Ça commence dès 1981 avec Mitterrand du « Parti Socialiste 1969 » – ces services d’État de sécurité rapprochée pour chefs d’État (gardes du corps) – qui souhaitait qu’ils n’outrepassent pas leur fonction, surtout si ils étaient liés au « FN 1972 » des extrême-droites, pressés de mettre Le Pen à sa place… le problème c’est qu’ils ne se contentent pas seulement des heures correspondant à leur travail officiel au sommet de l’État, mais ils travaillent toujours à côté, le bénévolat politique transformé en heures supplémentaires !

La Ministre @justice_gouv @NBelloubet reproche à l’opposition une volonté de prendre en otage la Constitution !… Subtile pirouette de Nicole Belloubet pour trancher l’AffaireBenallaMacron et couper la poire en deux : tout ça pour dissocier le cas Benalla qualifié d’individuel, d’une question collective comme la ReformeConstitutionnelle, ce qui lui laisse espérer qu’elle arrivera à nous éloigner de la situation réelle d’une Affaire d’État et de barbouze !… Mais ce n’est même plus un otage le texte de la ReformeConstitutionnelle c’est devenu un cadavre de réédition en réédition, de cumulards en cumulards, doubles dossards ou triples casquettes, de petits arrangements entre amis en abus de pouvoir, de règles d’éligibilité bafouées en droites réunies en une seule par sa même extrême…

La simple boutade « dégagez » ou CollombDemission, plus sérieuse jusqu’à MacronDestitution, n’aidera pas à comprendre que ce service de l’État, concernant la sécurité de l’Élysée de garde rapprochée des chefs d’État, forme et encourage régulièrement ce genre de fleuron de la nation et d’exemplarité de l’ordre publique, toujours à prétendre que c’est comme cela qu’on travaille !… De manière forte et irréfléchie, comme des boeufs, en frappant la tête par derrière ou en tirant dans le dos ou la tête de face… Dans le résultat de la prestation de l’agent AlexandreBenalla, on ne peut craindre que cela ressemble de beaucoup aux enseignements divulgués dans les commandos, milices, groupes d’action d’extrêmes-droites de leurs ancêtres, au point de se demander si cette place, finalement militaire puisqu’il s’agit de la sécurité du chef de l’État, à côté de l’État, elle n’aurait pas été volée grâce au triple assassinat d’Andlau de la fin de l’année 1972 puisqu’un bureau politique, lié à l’Amicale des Vignerons du vignoble d’Andlau, y a été détruit avec… ironie du sort, il était directement lié à l’État Français de part la protection de la signature du général Leclerc qui leur avait été attribuée pour garder les Trois Domaines du vin d’Andlau aux trois vignerons – ouvriers-patrons qui devaient succéder au père adoptif qui les avait accueillis ; ce qui permettait ainsi de maintenir des liens de politique et d’amitié très forts entre des Espagnols qui étaient venus s’y réfugier pour fuir le régime de Franco, Andlau et le reste de l’Europe, pendant et après la guerre, toujours aux côtés de Leclerc, celui de De Gaulle un peu moins !… Ils y habitaient depuis la guerre, ont serré les coudes avec tout le village d’Andlau entre 1948 et 1972, jusqu’à cette triple disparition par assassinat prémédité, présentée comme une vente légale des trois domaines, motivée par un départ pour un retour vers un pays imaginaire, se faire élire ailleurs, dans une autre bourgade – les trois cadavres -, moqué l’ainé légataire devenu instituteur à Strasbourg, jusqu’au passage à tabac au commissariat central de l’époque (fin 1972) où il venait demander des vérifications et l’ouverture d’une enquête régulièrement avec son gamin de six ans 1/2… Un flic de 22 ans – probablement fidèle aux loups noirs, également de l’époque – contre un instituteur de 41 ans, on croit rêver !… Mais à l’époque, on ne rêvait pas, on comprenait déjà trop le mensonge fabriqué sur trois cadavres, tout comme le vol politique qu’il permit de réaliser sur la municipalité, ainsi que les équilibres égalitaires qui en furent modifiés… Ça faisait trop longtemps que l’extrême-droite cherchait à s’incruster dans les Préfectures et les Municipalités, se prenant pour des gens importants, maintenant que leurs enfants étaient devenus grands… Ses milices cognent, frappent, molestent, humilient et assassinent : en triple, en double ou en simple, de fin 1972 à aujourd’hui… Et il faudrait les supporter encore longtemps, Monsieur le président EmmanuelMacron après 45 ans de fable ?

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RÉPONDRE

« Ouvriers – Patrons »

« Ouvriers – Vendangeurs – Patrons – Propriétaires – exploitants – gestionnaires – municipaux »

Pour reprendre une question d’actualité qui nous hante toutes et tous, à voir se préfigurer l’éternelle CriseÉconomique dont nous ne savons nous prémunir lorsque les actionnaires et investisseurs ponctionneront leurs bénéfices et leurs dividendes sur leur offre financière avec EmmanuelMacron qui n’en aura alors plus fini d’arrêter de bidouiller tous les indices économiques comme jamais il l’aura fait jusque là… Mais que faire alors ?… Depuis quand commence l’endettement irréversible ?… 45 ans signalent les GiletsJaunes qui en savent quelque chose, de leurs parents ou de leur enfance avant, pendant et après Giscard qui préparait bien sa montée au pouvoir dès 1972 avec son second le FN de Le Pen et le 1er né de tous qui allaient « faire la peau » à Pompidou, le PartiSocialiste de 1969 d’Armand Jung… Mais ce que ne nous ont jamais dit les différents gouvernements, Mairies, Députés ou majorités présidentielles qui se sont succédés après Giscard, autant pour le PS 1969, le RPR 1976 de Marcel Rudloff ou l’UDF de Fabienne Keller, c’est qu’on entendit plus jamais parler des unités productives de gestion collective municipales dans chaque département et dans chaque corps de métiers… Vignerons, céréaliers, houblonniers, textile, tisserands, scieries, tanneurs, orfèvres, ferronniers, maréchal-ferrant, etc… ; tous participaient collectivement au financement des hôpitaux civils, des chemins de fer, des écoles – piscines – installations sportives, garages, casernes de pompiers et toutes infrastructures collectives en cours de projet ; parce qu’ils le pouvaient, étant donné que ces unités productives se différenciaient du capitalisme de l’hyper-gestion giscardienne, qu’elles étaient contrôlées par les municipalités qui étaient le seul patron avec un comité d’ouvrier et de direction comme observateur et contrôleur qui renvoyaient automatiquement les bénéfices en retour vers les infrastructures communales. Donc point besoin de capitalisme !… d’autant plus que ces infrastructures d’unités productives collectives à gestion municipale disparues, faisaient à peu près le même chiffre d’affaire que des patrons capitalistes hyper bancaires, de même corps de métier, à même superficie d’exploitation. Entre le gestionnaire des « Trois domaines » d’Andlau avant 1972 (et une triple disparition) qui fait baisser l’impôt sur la surface exploitée à son voisin qui est « patron bancaire » (pas municipal) parce qu’il exploite plus de surface agricole mais que son cru est moins coté, à celle qui fait croire mauvaise récolte pour payer moins ses ouvriers, il y a toute la différence entre la gestion humaine d’une économie saine et collective et la rapine d’une patronne dont la frugalité, l’avarice, la cupidité et le dont d’abus d’exploitation n’avaient plus de limite. Bien entendu, l’année là, il n’y avait qu’elle qui avait de mauvaises récoltes, les autres vignerons n’avaient pas le même constat après les vendanges. C’est bien là que la gestion municipale dépasse – ou tout au moins égale de loin le capitalisme financier et prédateur – celle du patronage bancaire qui exploitera toujours les ouvriers au maximum pour gonfler le capital, bien en-dessous au niveau des performances communes et humaines du système collectif communal, de celui des structures productives à gestion collective qui participent directement par la municipalité à l’organisation territoriale du département, sans les préfectures !… Du département à l’État, dans le contexte des Comités et des Directions d’unités productives à gestion collective municipale, on offre la spéculation boursière disponible pour la gestion spéculative bancaire financière à hauteur de pas plus de la 1/2 ; tandis que les structures patronales individuelles placent 90% pour finalement pas gagner beaucoup plus ou moins que la municipalité gestionnaire collective paye ses employéEs. Inversement, de l’État vers les municipalités et les patrons-patronat-bancaire-individuel, aux gestions collectives d’unités productives, on demande ce qui est disponible pour la spéculation, on ne force pas la main en réquisitionnant plus de la 1/2 des avoirs de réserve pour des grands projets comme les autoroutes, le nucléaire ou le train à grande vitesse…

Ensuite sur l’ensemble du territoire, ces unités productives se font remplacer immédiatement par du patronage politique qui permet aux formations politiques d’y mettre un dossard à étiquette et auto-financer ses campagnes électorales, en lieu et place des écoles, des piscines, des théâtres, des casinos. Giscard est élu mais les municipalités ne sont déjà plus gérées de la même manière et en 1980, les poches sont vides !… et aujourd’hui, les hôpitaux, les écoles, les gendarmeries vont mal… Qui avait raison ?… Les « unités productives collectives à gestion municipale » ou le capitalisme bancaire patronal à tête unique vendue à l’hyper-gestion financière et boursière généralement orientée, plus vers l’évasionfiscale des paradisfiscaux que vers l’émancipation des infrastructures collectives ?

Bon ça c’était pour la petite popote commerciale villageoise et pour les grandes villes lorsqu’il s’agissait de petites unités productives collectives municipales d’exploitation, de production et de gestion, en concurrence avec les petits patrons individuels, forcément au même niveau économique par rapport aux salaires ; les deux configurations de gestion ne s’affrontant plus sur leur propre organisation du travail et de redistribution des bénéfices mais s’obligeant par l’État dans le financement du grand capital de structures plus volumineuses et internationales. Reste alors la question des grandes entreprises aux gros chiffres d’affaire, auxquelles participent par taxes les petites et moyennes entreprises d’où elles pompent leurs fonds de capitaux et d’investissements pour leurs grands trusts financiers, dont il faudrait savoir si elles donnent en retour aux municipalités, une partie de leurs stocks de milliardaires et de millionnaires en ristourne, autrement que sous la forme d’un impôt sur les locaux ou les terres, mais en tant que fond de fonctionnement des collectivités territoriales et des structures communales collectives ?… La réciproque des gros sur les petits ne serait-elle plus de mise pour que participation collective aux servicespublics, implique, autant les petites structures individuelles ou collectives qui subventionnent le grand capital, ne soient pas rendue, réciproquement, par le grand capital qui reverse de moins en moins aux municipalités en retour pour les collectivités… La part du « capital collectif pour les structures communes » ne s’évapore-t-elle pas et n’est-elle pas détenue aux mains uniques du grand capital boursier qui jette des miettes de leurs bénéfices au plus petit des participants budgétaires ; là où le petit épargnant n’a même plus 1% d’intérêts annuels ?… Car, voyez-vous, entre ce qu’ils laissent aux piscines, aux écoles ou aux hôpitaux et ce qu’ils évaporent fiscalement avec des « grands crus » qui étaient avant 1972 municipaux, on passe du cru collectif nominal au « grand cru bancaire » !… De même que des céréaliers et houblonniers qui finançaient la SNCF, on arrive à sauter vers le nucléaire si on ajoute l’effondrement du textile et de la filière bois pour graisser les fonds de capitaux nécessaires qui transforment la gestion municipale collective en capitalisation individuelle où se perd la notion de gestion collective municipale d’unités productives devenues amnésiques, par la réquisition des avoirs des fonds de gestion municipaux pour la « haute finance » (Bercy aujourd’hui), annonçant la perte de l’autonomie budgétaire. Des petits villages aux grandes et moyennes villes, un surplus budgétaire afflue par la suppression des structures de gestion collectives municipales sur l’ensemble du territoire, dans tous les départements, remplacées par du « patronage politique » qui plante son petit drapeau dessus à la place des comités d’ouvriers et des directions concernées ; ne laissant à la gestion des gains, la gestion des piscines, des écoles et des casernes aux Municipalités ; le nucléaire, le TGV et la recherche aux gros boursiers. Autrement dit, une nouvelle manière de devenir pauvre puisque le maximum de bénéfices reste dans la finance et les communes ne récupèrent que les miettes.

Aux Municipales2020, reprenons et recréons des unités productives collectives, tant au niveau de la « gestion des politiques » que de celui d’outils productifs créateurs d’emplois dans la technique d’ateliers, de manufactures, d’exploitations et de négociants fonctionnant en gestion municipale par la suite si on les remporte pour aller ensuite à Bercy, discuter avec Macron et l’aider à tourner la page plus vite que lui et enclencher une révolution économique dont la TransitionÉconomique aura absolument besoin pour démarrer toutes les autres (alimentaire, énergétique, agricole, industrielle), sans quoi cette TransitionÉcologique qu’on nous promet, n’arrivera sans doute jamais !

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Le coup devait être rondement mené pour insister par la suite autant sur une « vente légale », sans chercher à vérifier quoi que ce soit ; et bien des complicités graviter autour pour marquer avec lourdeur, à chaque occasion de visites administratives ou privées, la perte d’Andlau dans le coeur de mes parents, le manque de confiance là où il n’aurait jamais dû y en avoir, oubliant avec méthode que Mario et Jean, accompagnés de deux autres vignerons au retour de Nuremberg en 1946 ou venus plus tard, ont toujours fait les vendanges pendant une bonne vingtaine d’années et qu’ils connaissaient bien le milieu vinicole de pendant la guerre essentiellement mais certainement un peu mieux celui de l’après-guerre qui visait à restituer des municipalités politiques de la collaboration active et du pétainisme dans un climat exécrable de poursuite de la « révolution nationale ». De là à penser que trois personnes finiraient au fond d’un sous-bois d’Andlau au début des années 1970, non seulement pour voler leur territoire mais aussi avec la ferme volonté d’organiser une falsification mémorielle sur leur dépouille ; loin d’eux, toujours à l’esprit, de se douter que cet assassinat les séparerait un jour et que leurs écrits, joints des papiers militaires signés de la protection du général Leclerc, saisis et coffrés comme si une guerre des polices et des armées était déclarée dans la foulée, à partir des trois domaines d’Andlau où 45 ans plus tard émergent trois cadavres dont personne n’aurait souvenir ?

Les ossements de trois personnes différentes ont été retrouvés à Andlau après des pluies diluviennes, il y a deux ou trois ans (quatre tout au plus)… À partir de combien de cadavres peut-on parler de charnier ?… Il se trouve que mon père Jean Chrétien, originaire d’un père adoptif d’Andlau, viticulteur en activité, arrivé à Andlau en 1938, a perdu les trois ouvriers viticulteurs, qu’il avait recrutés avec les soins de son père adoptif, en 1973 ou 1972, le jour où il devait se rendre chez le notaire d’Andlau qui devait léguer aux trois ouvriers/patrons/vendangeurs, la propriété de son enfance, puisqu’en 1973, Jean Chrétien était marié, avait trois enfants et ne pouvait plus s’occuper de la vigne avec eux… La commune d’Andlau lui a fait croire, en le menaçant directement de mort, lui et sa famille, que ses trois ouvriers viticoles avaient vendu « derrière son dos » cette propriété pour 10 000 francs et partir en vacances… Mais il n’en est rien puisque leur trois cadavres sont remontés à la surface, sur lesquels il faudrait mettre un nom… Lorsque Jean Chrétien a tenté et essayé de lancer une enquête à partir de la police de Strasbourg, le commissariat n’a même pas daigné prendre et enregistrer sa déposition concernant cette étrange disparition, certainement motivée et muée en triple assassinat par l’équipe de Schwarze Wölfe qui venait chaque fois les menacer de mort aux fêtes des vendanges (1970-1971-1972) et emmerdait une bonne partie du village toute l’année durant. Le plus jeune avait une vingtaine d’années, cheveux mi-longs, lunettes, sourire sadique et très arrogant mais ce jeune homme, très violent verbalement, ne s’attendait sûrement pas que 45 ans après, les cadavres de ceux qu’il a sans doute assassiné en 1973 ou en 1972, referaient un jour surface (!)… Ce ne sont sûrement pas 3 vignerons, toujours joyeux, rigolard mais jamais revanchards, à qui peuvent appartenir ces ossements mais les cadavres remontent toujours à la surface, même quarante cinq ans après… Belle cuvée, beau millésime !… Il y a peut-être un Maire et un notaire parmi les trois mais ce qui est sûr, c’est que l’ouvrier – patron – vigneron « Mario » qui est resté après la guerre et la libération est certainement dedans, dans ce petit ossuaire qui ne peut qu’appartenir à l’extrême-droite et au jeune policier blondinet aux lunettes appartenant aux « loups noirs », on est en 72/73… En tous cas, après la « dernière » fête des vendanges de l’amicale des Vignerons d’Andlau, personne n’osait pouvoir imaginer un tel meurtre, où au passage, l’extrême-droite d’Andlau et de Mittelbergheim, ravit aux communistes le Siège du haut commandement de l’état-major de l’Armée française qui était acquis à ces « communistes » par signature certifiée du Général Leclerc et l’accord des contributions du Tribunal de Nuremberg ; non pas pour broder et fignoler de la propagande autour de ce titre mais pour que la Municipalité d’Andlau puisse garantir la paix civile en acceptant autour de la table des Vignerons de l’amicale, le maximum, voire l’intégralité souhaitée sur l’ensemble du territoire, des formations politiques qui se présenteront désormais aux élections de la République… Il se trouve que cette extrême-droite à « loups noir(-e)s », tantôt y venait ou envoyait des espions qui rendaient compte dans le village voisin des ordres du jour des réunions, tantôt se contentait de venir haranguer sa fierté en uniformes noirs fluorescents, devant le maire de l’amicale des vignerons bien habillés, les étrangers communistes de la 4ème Internationale du général Leclerc, aux fêtes des vendanges annuelles… Non seulement la paix civile était garantie et les 3/4 des villageois voulaient désormais « garder » cette nouvelle majorité municipale, présentant ses efforts du collectif municipal à l’ensemble des citoyens et aux loups noirs, venus écouter en civil, l’après-midi, le choix de maintenir un équilibre entre le patronat et les ouvriers/patrons/vignerons, seuls gestionnaires, tout en garantissant et précisant que les banques et les églises devaient rester en-dehors des influences de la trésorerie du vignoble des trois domaines, au lieu de chercher à les contrôler avec l’extrême-droite et la droite, tout au bout de la droite, du bout de la table de l’Amicale des réunions… Populiste ou populaire, peu importe !… Toujours est-il qu’un des vignerons de l’Assemblée avait définitivement décidé l’année passée, suite à une prise de conscience longue de plusieurs années, de mettre son tonneau chez-nous, là où il y en avait le moins pour ne plus aller chez le nazi qui lui demandait à chaque récolte une cinquantaine de bouteilles parce qu’il estimait en droit de le taxer pour « utilisation de la cuve communale »… Le « communalisme municipal » était en marche ; le « communisme libertaire » en cavale !… Un des trois vignerons qui restaient sur le domaine, depuis que le père adoptif, commun aux trois, était décédé, s’apprêtait à partir pendant un an faire un tour dans le monde, faire les prochaines vendanges ailleurs parce que chez-lui, à Andlau sur le « domaine commun », il trainait au lit jusqu’à 10h30 et ne foutait plus rien dans les vignes des trois ouvriers viticulteurs patrons dont il faisait pourtant partie… La mauvaise herbe poussait, pendant que Mario et son collègue désherbaient à la main les vignes pour ne pas jeter de cochonneries chimiques dessus comme ils le faisaient déjà dans toutes les petites communes où ils ont déniché par la suite des loups noirs identiques… Mais il est parti, promettant un retour différent après les prochaines vendanges, grand et fier, comme quand il partait en vélo au village à côté, presque chaque soir, répandre sa Pervitine que lui offraient les loups noirs de l’extrême-droite alsacienne, ce qui l’empêchait terriblement d’aider ses camarades dans le vignoble… Il a même demandé que les vendangeurs n’avaient qu’à désherber pendant les vendanges pour rester au lit et se faire des piqures, après tout, il était l’égal patron mais l’ouvrier avait disparu… Il est peut-être effectivement revenu puisque mon père (propriétaire avec Mario et bientôt « moi ») s’est fait menacer de mort par l’employé municipal censé entretenir et nettoyer le cimetière de l’église ou la chapelle saint-André, certainement pas avec une carabine en main, promettant de le tuer avec sa femme et ses enfants si il revenait un jour à Andlau… Il était tellement fou, d’extrême-droite et des loups noirs qu’il a même précisé que même si un jour il revenait avec un chien, il tuerait aussi son chien (!)… Les autres ont fait croire à mon père, toujours propriétaire du domaine avec les trois patrons de manière officielle à ce moment là, avant d’être notariée, que tous les 3 ouvriers-patrons-viticulteurs avaient vendu le site à la municipalité et aux églises pour partir en vacances, prendre de la pervitine avec des filles faciles qui aimaient ces produits ou se saouler la gueule, ne se doutant certainement pas qu’un jour, 45 ans après, le cadavre de trois personnes différentes referaient surface… Ce jour là, entre la dernière fête des vendanges, la toussaint et noël – c’était un jeudi -, mon père avait rendez-vous avec le notaire qui a peut-être aussi été enterré avec Mario, puisqu’il avait disparu ou ne répondait pas aux coups de sonnettes répétés à la grosse porte cochère de son cabinet d’officine au plein centre d’Andlau… « En vacances aussi », c’est ce que tout le village s’est mis à penser par la suite… Un notaire sur rendez-vous vaut bien un propriétaire ruiné psychiquement devant un tel mensonge ? !… Mon père avait perdu l’ami qui devait m’enseigner la vigne plus tard sur ce domaine du père adoptif commun… Il m’avait déjà demandé à six ans, de me dépêcher de grandir pour venir travailler avec lui, reconnaître les pieds de vigne sauvages en bordure des forêts pour que la milice municipale ne vienne pas les faucher, les baliser et les laisser un an ou deux, avant de les transplanter ensuite dans l’alignement classique des vignes… Distinguer le tir bouchon qui descend vers le sol, du lisier qui envahit les pieds de vigne et qui montent vers les grappes… Des boutures ou les plus petits pieds sauvages qui naissaient dans les allées, il essayait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine, dans la petite maisonnée au-dessus de l’église, lorsqu’il ne pouvait plus hisser de piquets pour prolonger la rangée… Il fallait commencer à déboiser pour créer de nouvelles parcelles et planter après avoir travaillé la terre, retirer les souches. Les vignes sauvages commençaient à ré-apparaître, les exploitations s’agrandir, « Laurent » travailler avec Mario… Ma mère Georgette était toute contente d’offrir des pots de confiture bien propres pour les boutures de Mario !… Parfois ça prenait racine, c’était le « petit miracle » de la vigne !… Mario pensait que ma mère avait fini par enfin le respecter mais il était loin de se douter que ses frangines, ou leurs maris – ça dépendait de qui prenait la parole là où de toutes façons, il n’y avait plus rien à dire quand on les voyait encore -, tous dans les banques ou à l’Urssaf, revenaient toujours à la charge, questionnant sans cesse sur d’éventuelles « nouvelles » d’Andlau, se moquant de mon père Jean à propos de ses origines qui l’auraient trompées en politique. Mais il avait pourtant essayé de demander aux gendarmes et aux policiers, ainsi qu’aux inspecteurs de Strasbourg, d’envoyer au moins un chien de la cynophile faire le tour de SA propriété des trois domaines d’Andlau, soupçonnant un meurtre, l’assassinat organisé… Ils refusaient chaque fois de prendre la déposition de mon père, prétextant après mille explications, qu’on ne pouvait pas risquer ce service sur une affaire présentée comme une « vente légale », dont on ne pouvait plus rien vérifier que l’inexactitude d’une considération de l’arbitraire policier qui n’allait qu’aider à développer 45 ans de mensonges, étant donné que le chien de la Brigade canine des chasseurs alpins Français aurait trouvé les trois corps des cadavres en dix minutes (?)… Qu’ils finissent par dire à mon père qu’il ferait mieux d’arrêter de lire des romans ou d’en lire moins et de mieux s’occuper de ses enfants est une évidence de complicité affirmée avec les loups noirs mais qu’ils se rappellent qu’avant de devenir des gradés, ils ont tous commencé comme ouvriers, signifie peut-être déjà leur appartenance au cercle étroit de l’extrême-droite d’une police complice d’assassinats qui refuse d’enquêter ou d’au moins s’assurer qu’il n’y a pas de risque qu’on tombe sur une situation aussi sordide, 45 ans après étant donné qu’ils protégeaient déjà comme ça le marché de la pervitine de l’État en dirigeant essentiellement l’héroïne de l’armée bénie par la cocaïne du vatican, des banques pour blanchir, le temple de l’abbatiale d’en face et l’église pour fournir d’inutiles milices de surveillance… Que la « patronne » de sa terre l’invite pour mes 18 ans à venir déguster la dernière cuvée de leur papauté dans sa cave, est déjà frauder une invitation qui venait de mon père, désireux d’aller boire un coup à Andlau pour l’occasion ; mais qu’elle rougisse jusqu’à par-terre lorsqu’il a refusé, en lui disant qu’il n’est pas bon son vin, qu’il sent le mort et le souffre est déjà un aveu de complicité d’assassinat… à 18 ans, je n’en avais toujours que 7 ou 8… et le fourrage de gueule se poursuivait sur notre dos… Papa était juste allé vérifier quelque chose dont il se doutait dès la première seconde, lorsque la petite maison était vide, le jour du rendez-vous chez le notaire du maire de l’époque et de la « majorité municipale composite » de cette période qui convenait à l’ensemble du village d’Andlau… Comment peut se dérouler l’enquête aujourd’hui sur ces trois ossements appartenant à trois personnes différentes ?… Quel mensonge vont-ils poursuivre pour protéger un vol de propriété organisée, maintenant que l’extrême-droite de ces loups noirs a envahi tous les uniformes où le képi est plein de schnouffe d’une french rachetée par Giscard avec les soins d’un « esprit militaire » mal placé ?… Quelle fantaisie militaire développeront-ils maintenant qu’ils ont aussi volé le carton de carnets militaires que Mario écrivait sur la vie du village, celle de l’amicale et le développement du vignoble qui respectait sans doute mieux les ouvriers, les patrons, les vendangeurs – tous viticulteurs – contre les ordres de la bande d’assassins qui n’a pas que volé les écrits de Mario, mais aussi sa vie et celle de toute une famille de vignerons. Le chef de cette « milice Schwartze Wölfe » insultant, menaçant de mort et promettant l’assassinat du bureau politique du village, alors âgé de 22, 23 ans à l’époque avec son uniforme noir d’une police dite « spéciale » avait osé demander à ma mère si elle comptait lui faire beaucoup d’enfants à cette « grande famille de vigneron », si son fils ainé, mon « grand frère est aussi là », au début de la soirée, lorsqu’il nous attendait pour nous cracher dessus et nous insulter, avant que nous n’entrions dans le bistrot de l’Amicale. Ce « soldat – policier – gendarme – militaire » – il prétendait tout faire et tout être – disait que ses parents étaient déjà la famille unique du vignoble, que son territoire n’avait pas besoin d’une deuxième famille. Mais ce qu’il ne racontait pas, c’est que ses parents à lui, pendant la guerre de la résistance, avait déjà essayé de s’approprier tout le village d’Andlau au niveau des parcelles viticoles avec l’armée allemande du reich de la pervitine, ce pour quoi il se réjouissait de voir le « grand-père », père adoptif de Jean et de Mario, puis des deux autres propriétaires venus l’aider après la guerre, convoqué par la Gestapo chez le notaire avec le Maire de la guerre pour vérifier les titres de propriété des trois domaines et quand ils lui ont expliqué que cette famille de collabos voulait utiliser l’armée allemande pour voler toutes les vignes d’Andlau, parce que le village en était menacé ainsi, il comprenait puisqu’il est parti rosser cette famille de collabos et offert quelques caisses de ce si bon vin à ses soldats allemands. Si on insiste trop, ma soeur et moi sur les trois familles de la même propriété, assassineront-ils encore ?… Anti-dateront-ils la datation de la médico-légale des légistes de la Gendarmerie ?… Trouveront-ils des datations différentes entre les trois corps ?… Prendront-ils la précaution et le soin de tout faire vérifier par un autre institut médico-légal pour évaluer la véracité des données au lieu de chercher à se contenter de toujours laisser trois cadavres sous la fontaine à mon père d’Andlau.

Néanmoins – c’est important et très grave – pour la suite de nos histoires et des esclandres que soulèvent forcément la découverte de trois ossements humains sur un même territoire divisé en trois parcelle différentes (6000, 11000 et 10000 hectares), inégales au niveau superficie mais se valant par les différents cépages que leur rentabilité commerciale rapportera toujours… Donc à égalité de valeur monétaire et sociale pour que les trois vignerons qui devait succéder au père adoptif, ne s’imaginent pas pouvoir devenir plus riche que ses deux collègues, ce qu’exigeait encore devant notaire, de son vivant, le père adoptif de Jean Chrétien et de « Mario » pendant la guerre. À la mort de celui que les trois recrues des trois domaines appelaient le grand père, le vieux, le père adoptif des trois, le domaine restait au nom des premiers fils adoptif (Jean Chrétien et Mario.), suivit des deux autres venus s’installer avec eux après la guerre… En rajouter un quatrième aurait appauvri les trois autres et Jean (mon père) ne voulait pas leur alourdir la tâche, alors il a décidé qu’il le lèguerait à Mario et à ses collègues comme il fallait qu’ils restent trois sur ces trois domaines ; sauf si l’un d’eux, partait vendanger ailleurs, laissant aux prochaines récoltes des vendanges, ses collègues avec un « ouvrier patron » en moins, ce qui risquait de pénaliser sa propre récolte, à moins que des fantômes d’un village voisin ne fassent le travail à la place des deux qui restaient, d’autant plus, qu’inversement au loup noir qui se pavanait, l’un des trois vignerons portait l’uniforme de l’armée italienne de Moussolini pour faire « double face » ou écho et prétendait même être capable de démolir Franco en Espagne avec son uniforme multi-fonctionnel à l’étanchéité douteuse, alors que le bureau venait d’apprendre qu’il était malade assez sérieusement depuis deux ans et que ce n’était certainement pas le moment de déclencher une guerre civile, un coup d’État ou des attentats. Avec le temps, le régime de Franco n’en avait plus pour très longtemps et il valait mieux rester au pays faire les vendanges avec ses collègues… Ce qu’il restait du bureau politique de l’unité du Général Leclerc, recrutait déjà les combattants ; remplacer ce bureau local par De Gaulle comme seule et unique référence, systématiquement, c’était déjà avoir vendu le fauteuil de l’État-major qui appartenait aux communistes républicains pour le transférer à l’extrême-droite qui ne devait surtout plus jamais en avoir ou en avait déjà un qui présentera sa propre liste militaire aux prochaines élections de 1974 contre son opposant et pourtant allié militaire, le centriste Giscard : un bras ou une jambe mais certainement pas la tête, était l’exigence élémentaire et essentielle de tout l’équilibre des municipalités en France puisqu’il reposait sur la sincérité des Républicains espagnols qui avaient rejoins le camp de Leclerc en France, tout comme l’avait fait ce Maghreb et l’Afrique noire du Sahel Unifié avant Giscard, ceux du Maroc, de l’Algérie, de Tunisie, de Libye, d’Egypte, de Palestine, d’Israël, du Liban, de Syrie, d’Irak et du Kurdistan (Turquie) qui scandaient « Franco assassin » dans une grande manifestation à Strasbourg parce qu’ils étaient « républicains » et pas nationalistes ou à État Islamique et des extrêmes d’aujourd’hui. D’ailleurs Leclerc aurait toujours aimé, souhaité et préféré que le Général rende l’Élysée au CNR et retourne dans sa caserne au lieu de se laisser manipuler aussi aisément par les barons et les extrêmes-droites, ce qui ultérieurement ferait sans doute « national-socialisme » ou « socialistes du pouvoir »… Dans le vignoble c’était un drôle d’artisanat poujadiste, collaborationniste et fasciste durant toute la guerre, des bordelais aux crus alsaciens vers les reliques et drapeaux nazis, déclarés comme « souvenirs », un peut partout dans les préfectures, gendarmeries ou commissariats de police où ils purent être enregistrés, découverts ultérieurement sur toute la collerette vinicole où furent saisis, au début des années 1970, les loups noirs nazis d’Alsace entre Obernai, Molsheim, Barr, Ottrott, Rosheim, Mittelbergheim, Epfig, Mutzig – fallait bien qu’ils prennent la bière aussi quelque part, à l’idée de ne rien partager – jusqu’à Thannenkirch, Dambach, Villé, Albé, Breitenau… Tous les uniformes ont été envahis par cette couleur unique présentée par le policier du village voisin comme le digne héritage militaire de sa « famille pervitine »… Du noir foncé fluorescent phosphorescent ?… Si c’est pour leur gala de mythomanes nazis et se présenter comme pompier la nuit tombée et policier le jour, le père de Jean Cavaillès avait beau lui expliquer qu’en France, la couleur de l’uniforme de la police est bleue et pas noire, il répondait « chez-nous en France d’Alsace, on a une nouvelle police, j’ai un tailleur spécial qui nous les fait », qu’il n’était pas nazi et ses parents non plus, qu’il s’était fait rosser, passer à tabac pour « haute trahison » par le reich allemand… Que du vent mauvais provocateur qui annonçait que la république régurgiterait maintenant ses droites réunies en une seule par sa même extrême dans ce vignoble, menaçant déjà de mort ses opposants idéologiques des autres camps politiques, pactisant avec une, deux ou trois des étiquettes politiques présentes à l’Amicale des vignerons d’Andlau… Une « police spéciale » sur le modèle milicien de la collaboration pour protéger notre vignoble et notre sécurité, ça avait de quoi irriter tout de même en 1972. Son bien fondé se calcule au nombre d’ossements qui refont surface depuis cette période, leur sincérité au nombre de contaminés du pouvoir, des élus, des soldats, des policiers qui se rapprocherait le plus de celui qu’avait atteint le peuple allemand depuis 1935 par rapport aux quantités de Pervitine vendues légalement en pharmacie et importées directement de la Turquie, très intéressée par le régime des casernes nazies et le projet de développement militariste… Un loup noir échappé et voilà une champignonnière à Députés, Maires, Conseillers régionaux et municipaux, désormais accessibles et disponibles, puisque débarrassés des « communistes républicains de Leclerc » qu’il fallait pourtant protéger et ne surtout pas s’en débarrasser dans l’espoir d’obtenir des voix électorales supplémentaires quand ils n’existeraient plus politiquement, civilement et activement… À preuve du contraire, lorsqu’on lit les résultats électoraux d’Andlau, atteignants seulement 33% de participation, je me dis que même mort, Mario est encore avec nous et s’exprime par 73% d’abstention, de non-participation ou de votes blanc et nuls : trois listes à au moins 1% étaient envisagées et se présenteraient aux Présidentielles de 1974 selon le bureau politique. Suite à toute cette trahison qu’on ne découvre que 45 ans plus tard est un triple assassinat ; un assassin criminel dangereux et « ancien militaire » d’extrême-droite était sûrement parmi eux mais n’a fait que 0,74% au premier tour, contrairement à ceux qui franchirent cette barre des 1%. Même Mario disparu et faussement interprété par les mauvais acteurs qui lui ont succédés ensuite, le maire de l’inauguration de la nouvelle majorité municipale, entouré de l’amicale des vignerons d’Andlau de 1972 n’a certainement pas été muté ailleurs pour se faire élire à Biarritz ou en Savoie chez une cousine, déjà plus ou moins haute dans le projet de cette infamie de police politique d’extrême-droite, socialisée et policée mais au bout de combien de triples, doubles ou simples assassinats ?… Pour dérober, prélever et blanchir combien de millions à partir des municipalités ?

Le problème avec cette micro société d’Andlau semblerait qu’elle n’ait jamais compris qu’un camp politique ne pouvait s’approprier la totalité des institutions à lui seul. Être maire n’implique pas qu’on doive aussitôt aussi être en même temps « chef de la police », manager des banques et bien vu des ligues du Vatican, des Mosquées ou des Synagogues, tout au bout de la droite, dans l’extrême militaro-tarée-religieuse, sans risquer rapidement de se retrouver chez Le Pen et Erdogan, Poutine et Assad. La laïcité ne se résout pas à ça puisqu’elle en supprimerait trop facilement la séparation des pouvoirs. Alors l’équilibre démocratique acquis à Andlau par l’Amicale vigneronne à l’automne 1972 autour de la majorité municipale en cours ne voulait pas dire que ceux qui n’étaient pas de manière officielle aux réunions puissent envier de la remplacer un jour, sans même y siéger, tout en prétendant faire une autre amicale mais à partir du village de naissance du nouveau policier du royaume venu se pavaner exprès pour nous présenter sa version de la démocratie autoritaire léguée par son lointain paternalisme ; ni qu’une des formations présentes occasionnellement ou de façon permanente autour de la table de réunion, ne rêve de se faire élire autrement que par les urnes, au cas où des petites formations seraient prises d’une fièvre révolutionnaire trop risquée pour les villageois, les étrangers sous la protection de la signature du Général Leclerc, les prisons de Franco et l’approbation des Conclusions du Tribunal de Nuremberg, deux clauses essentielles à respecter et à maintenir en vigueur même après la trop rapide disparition du maréchal Philippe Leclerc de Hautecloque. Ce que garantissait la majorité de l’Amicale d’alors a viré court et la suite c’est 1974 : l’inversement du sens des aiguilles d’une montre pour Andlau (Départements 67 et 68) qui ne parviendra plus qu’à rassembler uniquement des droites jusqu’aux pires extrêmes, comme dans tous les villages voisins d’Andlau, peuplés et sans doute déjà régentés par cette « haute autorité policière », codée loups noirs, où personne n’osait résister comme Andlau résistait entre 1970 et 1972, où il n’y avait pas que des droites dans le pinard mais où ce « policier » prétendait qu’il ne fallait que des droites, d’après l’enseignement de ses parents qui gouvernaient déjà tant de village, avant, pendant la guerre et malheureusement pour toujours, après. Quel effort de conservatisme foudroyant mais d’une turpitude intellectuelle figée et stérile, sans équivalent… Un triple assassinat n’attire pas que des financiers, une entreprise de pompes funèbres, quelques pleureuses ou des abandonnés de la vie. C’est toute une construction imaginaire de la réalité de la « vie municipale » qui se trouve coincée et saisie entre un accaparement qui frise le totalitaire par la totalité des pouvoirs pour une seule droite, le religieux de rigueur avec la spécificité que toute contestation de leurs « idées » ou formation d’une opposition, ne peut conduire qu’à de sévères répressions, voire l’ouverture à de possibles assassinats prémédités, l’éventualité d’utiliser une fausse science de psychanalyse pour pousser les gens à avaler l’impossible et ne plus jamais leur donner la parole qu’ils avaient construite pour tous mais pas pour que d’autres s’en emparent et se mettent à parler comme eux mais avec des dossards différentes, appartenant tous aux droites pour éloigner au maximum les gauches. Aucun électeur ne devait se douter qu’à Andlau aux élections de 1974, le vote s’effectuerait sur trois cadavres reposant au fond des urnes, mis à part l’élite qui allait naître à partir d’une organisation policière criminelle organisée définitivement transférée sur les urnes dans leur camp… Peu importait le résultat, l’État policier pouvait renaître et la fable du Franco qui allait reconquérir toute l’Europe poursuivre son chemin parce qu’il n’avait jamais arrêté la guerre ; pas plus qu’en dehors de cette secte militaire et policière civile, il n’oserait y avoir de citoyens qui puissent lire le carton plein de « carnets de Mario » écrits au rythme de un par an, depuis son arrivée à Andlau, disparus des radars avec lui sous la vente frauduleuse et falsifiée des « trois domaines ouvriers »… Et maintenant que trois ossements de trois personnes différentes font surface, cette même organisation criminelle organisée pour soi-disant protéger l’État, risque de réagir comme ils l’ont fait depuis 1973, 1974 et 1975. 1974 et 1975, ce n’est plus que pour Mario, l’ami qui devait devenir mon futur patron et personne d’autre, que mon père va voire la hiérarchie policière – complètement cadenassée également – à propos de la lettre de mon docteur au Conseil juridique de l’Ordre des médecins, censée aussi être protégée par l’autorité de la signature du Général Leclerc, comme devait la rester celles de Mario et de mon père, sans parler de l’autorité politique qui risquait d’être renversée dans les résultats… Merci pour les crises de nerfs qu’orchestre une telle milice, même pas certaine d’émerger du scrutin en vainqueur, régnant par la terreur et l’éloignement du camp politique qu’ils estimaient avoir définitivement battu, ou du moins enterré, espérant qu’on n’en entendrait plus jamais parler à l’avenir… Si quelqu’un dorénavant oserait reconnaître ce « nouveau policier », de tous les uniformes, certainement celui qu’il fallait éviter dès 1969 ; le dit milicien politique, à l’uniforme noir foncé, pourrait toujours essayer de se teindre les cheveux et d’essayer de prétendre que des fous ou des illuminés pourraient le confondre avec Gilbert Gress. Sans justice possible, il pouvait régner en maître. Un peu comme la préfecture du chef-lieu bloquait des plaintes, des transmissions furent toutes bloquées pour ne pas éveiller les soupçons de ce pouvoir inversé qu’une police spéciale imposait sans urnes, en dehors des urnes, au nez et à la barbe de notre Constitution, version complétée et augmentée de l’édition 1969 (1ère réédition) ainsi que de l’approbation des Conclusions du Tribunal de Nuremberg de 1946. Quelque chose de légal qui conduisait à l’égalité des villageois / vignerons en économie, en politique et sur le social disparaissait de chez-nous pour aller se reproduire et poursuivre le développement dans les pattes d’autres « rois », la propagande se modifier en rognant sur un côté qui ne devait pourtant pas « disparaître ».

Seulement aujourd’hui, 45 ans après la sinistre macabre découverte, il semblerait que ces énigmatiques « loups noir(-e)s » officient toujours mais ce n’est plus un tailleur qui leur confectionne d’horribles costumes mais un teinturier, fort utile, pour s’emparer de tous les uniformes, statuts directionnels, postes à responsabilité, gouvernance qui échappaient à leur contrôle ou auxquels, jusque là, ils ne comprenaient rien… Là où cette opposition vitupérante et odieuse prenait les gardiens du village pour des communistes, avant la découverte d’un triple assassinat ; ils ne se doutaient sans doute pas qu’ils étaient déjà « communalisés » et non pas « communistes de propagande ». C’est à penser que la propagande, ces assassins, estimaient qu’ils étaient les seuls en droit de la faire, que la propagande c’était pour eux. Ce n’est qu’eux qui la feraient, pas l’amicale !

Mais à partir du moment où on me répond que « c’est peut-être ou sans doute des os de chiens » ou que « tout le monde n’a pas forcément en mémoire des faits divers de la presse locale, relatifs à des ossements humains qui remontent à la surface », je redoute que sous le képi, il ne traine pas quelques « cagoules noires à pistolets » qui commettent les mêmes exactions, dans l’espoir de ravir des majorités électorales pour pratiquer l’hyper-capitalisé, là où « communalisé » peut empêcher ce terrorisme acté, proche des gangs de la French et du grand banditisme de l’extrême-droite, directement liée au pouvoir, depuis qu’ils pouvaient s’inspirer des « carnets des trois vignerons de Mario » et se les partager pour n’en reproduire qu’une pâle et sinistre copie dans la réalité… À mon avis, si ils s’étaient contentés de faire des photo-copies – même si en 1972 c’était un peu compliqué – et laisser ces trois personnes en vie, au lieu de les présenter ensuite comme des « voyageurs » alors qu’ils venaient de se faire buter, bien des majorités communalisées, déjà existantes auraient été maintenues plus facilement. Outre que ces pratiques d’assassinats laissent l’angoisse qu’elles puissent se multiplier sous les pluies diluviennes, restera quand même à l’esprit, la machinerie enclenchée pour faire disparaître les « communalisés municipaux » pour faire émerger des chefs, des maîtres à la place… Le retour aux seigneuries amorcé, l’esclavagisme salarial aménagé pouvait aisément se développer sur le dos de trois cadavres à Andlau. Après, comment sont traités les ossements et sous quel contrôle, effrayeraient si ils finissaient dans la poubelle d’une morgue pour arranger « tout le monde », histoire de leur donner une fausse image et changer la conception de la majorité à partir d’un triple assassinat et poursuivre leur fable politique sous la forme de différents millésimes qu’ils écrieraient eux-mêmes, à la place de Mario qui du millésime, en faisait un carnet par an avec son équipe qui rendait compte de l’évolution politique et de l’aménagement du travail liés aux vignerons, à chaque réunion d’une Amicale de villageois viticulteurs politisés depuis 1940.

Alors il y a une énorme différence entre les « trois de Nuremberg » qui ont accompagné le Général – Maréchal Leclerc, Mario, mon père et sans doute le père de Jean Cavaillès, effectivement sur le terrain, depuis Andlau – Ottrott jusqu’aux Conclusion de 1946 pour ramener deux autres vignerons avec eux, dans l’espoir de poursuivre le fonctionnement municipal, communalisé autour d’une amicale de trois vignerons qui donnerait à tous, à partir de la municipalité, l’accréditation aux partis reconnus par cette amicale qui composeront les élections, après 1947 jusqu’en 1972 et égaliseront, entre autant – qu’elles ne présenteront de listes -, la parité financière des aides budgétaires allouées par la nation aux régions, à toutes les élections ; de ceux qui joueraient avec, après 1972, d’un triple assassinat, avec la conviction que le monde aurait changé et que les étiquettes politiques nouvelles, créées de toutes pièces après mai 1968 (« Lutte Ouvrière, LCR 1972 », FN 1974 et PS 1969 ; OCL 1976 et AL 1978) en taisent un triple crime dans leur bagages intellectuel et politique, à travers tout le vignoble alsacien, en se référant uniquement à De Gaulle pour mieux oublier l’autre général, Philippe Leclerc, devenu Maréchal Hautecloque 1947 ou Nuremberg 1946… Donc tout ce qui vient après 1947 en tant que nouvelles politiques, ne peut qu’être problématique et dangereux… Quant aux plaisantins qui citeront le Maréchal d’avant la guerre sur cet esprit, le Pétain qui n’a jamais disparu des requins d’Andlau à provocations, pour échapper aux règles de l’état-major, où la présence de cette « amicale 4ème internationale des vignerons d’Andlau-Leclerc », ne devait pas disparaître ni dans les corps de l’armée, ni dans les vies municipales des bureaux politiques qui poursuivraient l’accréditation des 3 vignerons d’Andlau par transmission notariale… Même quand De Gaulle sera mort, ce système est le bon, si on tient pour base le général Leclerc, il met les individus à égalité stricte, sans domination de titres, lorsque les gens se parlent. Mais il y a une différence, toute énorme qui puisse aussi développer parralèlement le mensonge politique, social et militaire, lorsque systématiquement, il ne reste même plus un bras ou une jambe dans le haut état-major militaire et policier ; il ne peut que s’en suivre du Vietnam, de l’Algérie, du Maroc, de l’Irak, de la Syrie – après 45 ans de mensonges – de l’état islamique et des droites extrêmes autant que les gauches ainsi qu’un vol, pur et simple des « carnet des 3 vignerons » pour prendre frauduleusement le pouvoir à la place de trois personnes assassinées à Andlau, à l’automne 1972, après la Toussaint et avant Noël, lâchement, en mafieux policiers… Pire est l’excuse-mensongère qui dira plus tard, « on est désolé mais il n’y a plus de communistes qui s’y présentent aux postes de policiers, gendarmes et militaires » ou qu’ils n’obtiennent pas les « résultats souhaités aux examens », alors que des papiers militaires de répartition de titres dans le corps de l’armée furent volés et saisis par des mafias politiques où il n’y avait plus aucun espoir de trouver la moindre confiance. Tout serait-il dans les coffres des Le Pen et des loups noir(-e)s ?…

Ces trois ambassadeurs de la paix de Nuremberg n’avaient rien d’une politique des partis nés après mai 1968 mais ils étaient sous la protection de la signature du général Leclerc, rassemblant des soldats de la 4ème Internationale et des Républicains espagnols qui combattaient sous la bannière française pour renverser l’ordre fasciste nazi ; non pas pour ensuite propager le terrorisme, mais pour s’en prémunir… Lorsque leur titre militaire disparu avec l’accident d’avion où le général Leclerc perdit la vie avec leur protection militaire, pouvait se déclencher une élimination organisée des gradés encore en fonction dont se chargerait bien l’extrême-droite dès lors que pouvait être remplacée la haute fonction occupée par Leclerc par un général plus conservateur. Au risque de rompre l’équilibre politique dans les états-majors et aboutir à ce candidat aux Présidentielles de 1974, directement issu des rangs de l’armée, créant une rupture avec les règles de bienséance en ce qui concerne les conditions élémentaires et essentielles préalables aux candidatures pour les élections, prescrivant l’interdiction de se présenter à tous mandats électoraux, les personnes ayant occupé un poste important dans les Gendarmeries, les Polices ou les Armées ; ce qu’était bel et bien Le Pen Jean-Marie !… Et quoi de plus logique dans l’armée française que d’avoir des gradés communistes en nos rangs, même Leclerc disparu, lorsqu’il s’agira d’affronter Moscou et Pékin pour protéger le Vietnam ?… La non-reconnaissance de leur place dans l’état-major français de l’armée par la suite, ne pouvait que semer la zizanie entre les camps politiques nouveaux qui émergeaient dans la vie civile en les éloignant des bureaux politiques de certaines municipalités où ils se maintenaient dans des alliances, des unions entre les gauches et les droites. À partir d’une telle rupture et cassure, ils ne pouvaient forcément que favoriser nettement les droites de manière quantitative sur les gauches, quasiment avant même que les résultats n’étaient publiés… Un camp politique avançait, l’autre reculait ; tout dépendait d’à quelle date on faisait remonter cette gauche de 1947 qui descendait des ambassadeurs de Nuremberg en 1946, d’avant ou d’après 1972 en ce qui concerne le petit village de patrons-ouvriers vignerons d’Andlau, avant qu’une disparition maquillée en vente légale des trois domaines en 1973 ne finissent par signaler l’existence de trois cadavres sur l’une des propriétés, 45 ans après, révélant en même temps presque 1/2 siècle de mensonges concernant ce vigneron assassiné et non pas déserteur, certainement accusé à tort. Ne restait plus qu’une municipalité en deuil, un État trompé et un instituteur dans le désarroi, persuadé que ses vignerons ne  pouvaient être partis mais dont l’autorité policière refusa une bonne dizaine de fois d’engager pour lui des recherches autour de la maisonnée. Les autorités policières, persuadée qu’on ne pouvait envisager l’assassinat prétextant qu’il faut du sang et des cadavres pour cela, marquèrent presque leur complicité d’assassinat en molestant violemment cet instituteur qui était mon père, le menaçant d’enfermement psychiatrique comme son fils ainé et comme sa femme l’avait été, si il continuait d’insister… Sentant intuitivement qu’on commençait sérieusement à lui nier l’évidence, ne sachant à quelle autorité supérieure hiérarchique s’adresser pour trouver un peu de compréhension pour qu’un chien de la brigade canine fasse au moins le tour de la propriété d’Andlau qui devait être léguée aux trois vignerons ouvriers-patrons, le père des vignerons et le flic aux idées noires en vinrent aux mains.

Cette armée, d’étrangers qui avaient la protection de la signature du général Leclerc, était composée d’agriculteurs, d’ouvriers, de municipaux et de notables qui n’étaient ni militaire, ni policiers, ni gendarmes de métier pour pouvoir le montrer et s’en vanter à la moindre occasion dans la vie civile, aux élections, aux fêtes des villages mais ça n’empêchait pas qu’il y en ait, sans qu’il cherchent absolument à le faire savoir… Ces trois vignerons transformés en « aides de camp » de la garde rapprochée du général Leclerc, appartenant aux « étrangers » sous la protection de l’armée française, n’étaient pas que venus à Nuremberg en 1945 pour déposer les armes et faire la paix, leur présence devait nourrir aussi le débat sur la résolution du volet économique à partir du réseau des vignerons en Europe qui étaient dans la possibilité d’ouvrir la vie politique sur des amicales municipales communales pour permettre à la politique de vivre dans les villages par des réunions communes à toutes les formations politiques pour éviter qu’il n’y en ait qui complotent à l’extérieur du cercle communal dans des greniers, des caves ou des sectes d’extrême-droite… Le fascisme devait arrêter de se cacher sous des réunions isolées où finalement on ne les voyait que pour mieux nous attaquer, dans des joutes oratoires, nous et les participants de l’Amicale. À chaque fête annuelle des vendanges où ces loups noirs – non contents de se combler de ridicule en insultant publiquement une partie du village – s’exhibaient, ils  voyaient là, aussi croître la certitude de la garantie de ne plus pouvoir espérer quelque retour en politique que ce soit par les urnes en direction de leur propagande. Ils devenaient l’assurance d’être le plus petit pourcentage des élections, bien qu’ils pensaient détenir l’ensemble des domaines et des territoires par les préfectures, les gendarmeries et certains commissariats de province. D’où la nécessaire présence de nos trois vignerons, une année durant à Nuremberg, aux Conclusions du Tribunal qui tombèrent malheureusement, dès 1946, sur l’incompréhensible irrésolution du pan économique lié aux demandes d’une « monnaie commune » qui serait la même sur l’ensemble de la planète, ce qui aurait permis d’éviter les fraudes de devises, les paradis fiscaux trop frauduleux, l’évaporation fiscale, les vols de domaines et les taux de change exorbitants…

La spécificité des rencontres de Nuremberg dans l’immédiate après-guerre, outre les délibérés du Tribunal militaire dont les plaidoiries dureront une année pleine, de l’automne 1945 à octobre 1946, est le regroupement des différents corps de métiers sur place, décidés à sortir du conflit mondial avec des bases solides qui garantiraient à l’avenir une meilleure sécurité économique pour éviter les guerres, à partir d’une réflexion intellectuelle, technique et fonctionnelle qui aurait dû déboucher sur une monnaie unique mondiale. Cette hypothèse de départ n’était pas que motivée par les corps de métiers présents dans les armées victorieuses avec les alliés auxquelles les Brigades Internationales faisaient partie intégrale ; mais concernait également l’organisation municipale de localités, sévèrement perturbées par la collaboration et les extrêmes-droites actives dans de nombreux pays européens, dont les plus significatives se traduiront par la dictature fasciste italienne de Musollini, le régime autoritaire de Franco, la France de Pétain et de Laval de la collaboration active acquise au régime nazi… Ce modèle économique naît d’une réflexion internationale liée à l’organisation du travail, devait bien passer par les corps de métiers présents dans les armées : du maréchal ferrant à la sidérurgie et à la métallurgie, en passant par le carburant et le marché du pétrole ; le monde ne s’attendait pas que les Conclusions débouchent sur l’irrésolution de ce volet économique qui n’a pas su comprendre que le statut d’« ouvrier – patron » était parfaitement vivable et pas seulement par des vignerons mais l’était déjà également aussi avant la guerre par de nombreuses structures artisanales et la plupart des entreprises manufacturières… Ce raté permis alors de développer le grand capital par nationalisations pour passer au-dessus d’une gestion municipale communalisée. Les corps de métiers se transformèrent en corporations ou y retournèrent pour ceux qui étaient  avant la guerre déjà dans cet esprit de corporation où on est, soit ouvrier, soit patron ; mais pas les deux, on n’en peut pas être les deux !… Le « grand patronat », horriblement coûteux, pouvait ensuite prendre ou reprendre, sans scrupules, le pas en matière gestionnaire sur les localités et les régions pour s’élever au rang national, au-dessus des municipalités qui détenaient jusque là, une partie insécable de leur capital qui ne devait normalement pas pouvoir leur être retirée.

Durant toute cette année à Nuremberg, de fin 1945 à fin 1946, le monde était loin de se douter que s’érigeait, là, sans doute, le premier village altermondialiste, à partir de rencontres organisées avec différents corps de métier, venus exposer leurs problèmes par rapport à l’organisation économique de l’armement qui avait conduit à la guerre, la folie de conquête des chefs d’État. À la stupeur générale, quelle ne fut pas la surprise des occidentaux de découvrir les ouvriers-patrons soviétiques, attelés à signaler que l’URSS n’avait que fait perdre à de nombreuses municipalités une forme d’autonomie communale, loin de se douter que les mines et les carrières d’exploitation des roches, les entreprises manufacturières et industrielles, l’artisanat, se feraient un jour diriger par des soldats armés, prêts à déporter au nom d’un hypothétique non-respect des règles du soviet suprême, mais sous la sacralisation d’un centralisme étatique totalitaire. Inversement à cette situation de collectivisme outrancier que les soviétiques auraient bien aimer quitter, après la guerre et la paix une fois signée ; les occidentaux redoutèrent au contraire, quant à eux, que le monde se contente tout simplement de reproduire le modèle de l’économie nazie du reich allemand, à quelques variantes près, qui synthétisait à lui tout seul, la rupture des termes de l’échange par la substitution d’une junte militaire à l’économie naturelle, ne se contentant pas seulement de piller les richesses des pays envahis mais allant même jusqu’à décider de la mort d’ethnies entières. Le nationalisme d’extrême-droite militarisée venait d’écrire sa sale page de l’histoire qu’il était urgent de tourner puisque tous les corps de métier en avaient fait les frais, des deux côtés de l’axe, durant une bonne dizaine d’années. Dès 1935, en Allemagne, une fois les « lois raciales » promulguées pour de nombreux citoyens qui ne répondaient pas aux critères strictes d’aryanité, il devenait déjà difficile de trouver du travail et la ghettoïsation pouvait dès lors s’enclencher et prendre le pas sur la libre circulation des personnes ; en Union Soviétique, l’autonomie individuelle laissait depuis encore plus longtemps, aussi la place au dirigisme étatique, tout autant militarisé mais pas sous le même argumentaire de propagande, d’où l’élaboration diabolique d’un pacte germano-soviétique du démon, scellant ainsi l’alliance mondialisée de dictatures qui pensait pouvoir renverser le monde et mieux le maîtriser à l’avenir. Quelle illusion directionnelle !

Toutes les salles de réunion, les brasseries, les gymnases, les places publiques, les centres de presse, accueillirent à Nuremberg dès novembre 1945, non pas seulement les armées mais aussi le maximum de corps de métier qui les composait. Ainsi purent échanger et statuer de nombreuses professions issues de toutes les nations. Aussi bien des cordonniers que des métallurgistes, des tisserands des filatures, des tanneurs, les briqueteries et les tailleurs de pierre, des agriculteurs aux vignerons ; tous venaient déposer leur cahier des charges et leurs réflexions sur l’après-guerre en reconstruction pour ce qui allait constituer l’un des pans le plus important des différents volets du Tribunal de Nuremberg qui ne devait pas seulement faire audience sur l’aspect militaire mais aussi définir les contours d’une société plus humaine et plus juste, liée à une organisation économique plus évoluée qui permettrait d’être moins militarisée… Et cela ne pouvait passer sans aborder dès mars 1946 le « volet économique » qui malheureusement s’est rapidement transformé en « irrésolution du volet économique », préférant laisser le monde, déchiré en deux derrière un Rideau de Fer, au lieu d’envisager, une bonne fois pour toutes, une économie durable qu’aurait permis de solidifier la création d’une monnaie unique. À l’ouest, le grand patronat allait pouvoir s’en donner à coeur joie, se prenant certainement pour le plus grand syndicat de la planète ou le soviet suprême du capitalisme ; tandis que l’Est allait éprouver, derrière son Mur de Berlin, la plus grande difficulté à arracher la moindre once d’autonomie municipale communale, locale et régionale au régime soviétique, également vainqueur. Cette possibilité avait pourtant été évoquée, demandée et revendiquée par le tribunal économique des plaidoiries de Nuremberg. La solidarité ouvrière et les patrons-ouvriers qui réunissaient jusqu’ici les villages autour d’amicales, de cercles, d’associations de professions, ne pouvaient qu’en pâtir et la politique se dégrader jusqu’à voir poindre, au loin, l’effrayante possibilité cauchemardesque d’élaborer une cinquième Internationale encore plus vouée au grand patronat que ne l’était la quatrième Internationale effectivement présente à Nuremberg, derrière le général Leclerc avec les étrangers « engagés militaires », notamment originaires des Brigades Internationales.

Après Nuremberg, l’année 1947 allait marquer pour les deux blocs – le bloc soviétique et le bloc capitaliste – la crainte et la peur d’une perte générale de l’autonomie municipale des gestions communales qu’une gestion économique hyper-centralisé de l’État remplacerait rapidement par le grand patronat qui allait supprimer progressivement les petites expériences individuelles, en rachetant les petits groupes pour en faire des trusts internationaux… Le nationalisme bancaire, spéculatif et financier, développé aux États-Unis, en plein essor pendant l’effort de guerre, pouvait déferler sur l’Europe, l’Afrique, l’Asie et réduire les petites autonomies d’ouvriers-patrons à une simple main d’oeuvre ouvrière qui n’aurait ainsi, par conséquent, plus aucun mot à dire sur le décisionnel de l’organisationnel… Dans ces conditions, une cinquième Internationale ne risquait-elle pas sérieusement de discrètement se ranger du côté du grand patronat, des « présidents-directeurs-général », des notables, des cadres supérieurs, des ONG, sensés maintenir la classe ouvrière à l’organisation de ses volontés et à l’assujettissement de la rentabilité patronale, là où avant, l’ouvrier-patron travaillait à titre égalitaire à côté de ses ouvrier(-e)s ?… Contrairement aux espoirs que devait permettre ce qui aurait dû se traduire par la résolution du volet économique des Conclusions du Tribunal de Nuremberg, à partir des corps de métier et non pas des rivalités nationalistes ; l’irrésolution, renvoyait inversement, directement au développement du corporatisme patronal et non plus seulement à l’esprit – plus performant parce que plus égalitaire – des ouvriers-patrons liés par leur proximité avec les corps de métiers. Après 1972, s’enclenche une vitesse différente où le patronat à visage humain (ouvrier-patron) se transforme en menace de licenciements et en perte de l’autonomie ouvrière comme dans l’entreprise horlogère LIP de Besançon où la justice se rend toute autant ridicule que le patronat en portant une décision judiciaire contraire à l’auto-gestion qui, une année durant, constituait pourtant un modèle de développement économique exemplaire, sans le patronat mais avec une augmentation des salaires, des perspectives d’embauche assurées et l’écoulement sur le marché de tous les produits garanti !

Ce triple assassinat d’Andlau qui a probablement eu lieu une semaine ou deux après la toussaint de 1972, ne laissait pas qu’une falsification mémorielle de l’histoire collective du village – désormais possible – entre 1940 et 1948 jusqu’en 1972, mais offrait également la possibilité de modifier les propriétés et les domaines, en ne les faisant pas dépendre seulement des parcelles de culture, comme ça l’était précédemment. Au contraire, le basculement est judicieux et saugrenu, dorénavant toutes les vignes dépendraient uniquement des cuves de traitement alors qu’ils ne pouvaient jamais en être les « propriétaires » puisqu’ils ne cultivaient pas le raisin… Ils ne faisaient que le stocker en le laissant macérer et fermenter jusqu’à ce qu’il devienne du bon vin… Dans les vignes, ils organisaient déjà des visites touristiques pour vanter un produit qu’ils n’avaient pas fabriqué mais que les vignerons faisaient pousser pour eux ; c’est pour ça qu’on ne les voyait que trop rarement sur le terrain, encore moins souvent au travail avec un sécateur à la main ou une brouette de renfort pour chaque pied de vigne, avec un intelligent mélange de terreau – terre glaise – cailloux rocheux d’un certain calibrage, dans les allées, après les vendanges, préparer le terrain pour l’hiver qui nourrissait aussi les sols… Ils s’imaginaient sans doute devenir l’étiquette des crus et des cépages avec leur cuve à bouillon, à la place de leurs patrons (ouvriers) ?… Rien que de vulgaires sous-traitants, finalement devenus « grands patrons » des Domaines par les Cuves, à la place des « ouvriers – patrons – vignerons » qui cultivaient la vigne et le raisin pour toute la municipalité commune… Au début, immédiatement après la guerre, les cuves redevenaient la propriété communale et n’avaient pas vocation à devenir des « grands patrons » à la place des patrons – ouvriers, tous les jours sur le terrain, eux, dans leurs vignes et à l’Amicale des vignerons du village où s’élaborait « publiquement » la politique, autrement que sur le modèle des convoitises, des insultes ou des menaces de mort dont les traces restent vivaces à nos mémoires, tant elles correspondent, encore aujourd’hui, à ce maudit réseau nazi de loups noir(-e)s d’extrême-droite et d’ultra-droite, contenu jusqu’en 1972, jusqu’à ce sordide assassinat de trois personnes différentes qui refont surface 45 ans après dans un sinistre ossuaire.

Trois ossements humains, correspondant à trois cadavres, découverts à Andlau en Alsace, quarante cinq années plus tard parce que maquillés en retour au pays ou en décision d’aller exercer une fonction administrative ailleurs à cette époque ; ne pouvaient que développer le traumatisme mémoriel, non pas seulement pour le père d’une famille et son ami d’enfance – tant il était impossible par rapport au vécu de ce père de famille, qu’un notaire et un vigneron puissent disparaître au même moment, accompagnés d’une troisième personne, le même jour quasiment – mais aussi pour tout un village dont la répartition entre l’équilibre créé sur les trois parcelles par l’égalité « patron – ouvrier » sur les trois domaines où vivait au moins un des « trois disparus », n’a pu qu’en être modifiée, partagée ou vendue illégalement à l’aide d’une fable imaginaire, étonnante mais irréelle. Qu’un simple instituteur, ayant pourtant fait ses armées, se fasse littéralement refuser le droit d’ouvrir une enquête sur « son ou ses disparu(-s) d’Andlau », à Strasbourg où il exerçait son métier, dès la fin de l’année 1972 parce que le notaire avec qui il avait rendez-vous avec ses vignerons était subitement prétendu « en vacances » ou parti sur une autre commune ; constitue déjà amplement l’aveu d’une complicité avec ce réseau politique infréquentable qui venait les insulter et les menacer de mort, à chaque fête des vendanges, devant le restaurant de l’amicale des vignerons du village qui profitait de l’occasion pour faire le bilan annuel avec les forces politiques partenaires et coopératrices de cette Amicale. Qu’il s’en fasse rosser parce que devenu trop insistant dans les commissariats, les gendarmeries et le bureau des armées de sa ville, quant à la nécessité d’au moins envisager de faire le tour du domaine à Andlau, au-dessus de la chapelle avec un chien spécialisé pour retrouver des cadavres, forcément disparus ; prouve suffisamment qu’il fallait un jour attendre que l’ossuaire remonte à la surface pour interpeller directement tout un vignoble qui aura vécu pendant ce temps avec une conscience et une connaissance plus ou moins développées du niveau de complicité probable ou impossible des uns et des autres avec ces « loups noirs »… Organiser par le mensonge une telle trahison, qui ne pouvait même pas être considérée comme une hypothèse, en est quand même devenue une, loin de la réalité des liens de l’enfance du vécu d’un plaignant qui demande la justice et pour son vigneron, annoncé comme étant « rentré dans son pays » et non pas simplement disparu, dans le genre « on ne sait pas où il est »… Que leur vinasse sente le cadavre et l’extrême-droite aujourd’hui, n’étonnera sans doute personne !… On ne modifie pas l’organisation du travail à partir d’un vol ; on ne bâtit pas un vignoble sur un triple assassinat !

« Ni droite, ni gauche » ou bien « plus que la droite et la gauche » ne signifie pas forcément avoir « un pied derrière et un pied devant » qui puisse ne pas simplement relever de la marche mais en arrive aussi à pouvoir remonter à une situation historique située entre l’après 1948 où l’extrême-droite recommence à menacer, jusqu’au terrorisme de l’OAS des années 1960 ou lorsqu’elle resurgit férocement en « loups noirs », en Alsace au début des années 1970 – précisément à Andlau, à la fin de l’année 1972, une semaine ou deux après la toussaint, simulant une disparition d’un notaire, d’un vigneron – allant jusqu’à réveiller, 45 ans plus tard, la démonstration d’un triple assassinat sur un ossuaire fabriqué pour faire reposer, durant tout ce temps, trois disparus, partis en voyage ou en vacances, transformés en cadavres ; ne m’inspire pas plus de confiance en l’après 1972 au niveau de la politique pratiquée dans les Armes, tant en Gendarmeries, qu’en Armées et en Polices mais me donne surtout l’impression de me réveiller à 52 ans en mort-vivant – 45 ans plus tard puisque j’en avais 7 lorsque mon père s’est fait jeter dehors du commissariat parce qu’il demandait simplement l’ouverture d’une enquête, flairant un assassinat -, oubliés de la société et ignorés, lui comme moi, maintenus aux écarts par le vol de la propriété de son enfance, aux Trois Domaines d’Andlau chez son père adoptif, aujourd’hui mort comme lui depuis longtemps…

Il y a donc l’avant 1972 et l’après 1972 où passe, au travers d’un triple assassinat, la casse d’un bureau politique d’une amicale de vignerons, parfaitement équilibrée, égalitaire et gestionnaire de la municipalité communale, sans doute capable de faire basculer ensuite les propriétaires, patrons, ouvriers, vendangeurs dans le grand patronat vinique qui transforme la richesse d’une municipalité en capital bancaire, essorant les plus petits employés, les définissant comme retournant « au bas de l’échelle », faisant désherber les vendangeurs, transformant les patrons en investisseurs de la SNCF, du nucléaire et des milices d’extrêmes-droites puisqu’ils n’ont plus à être « ouvrier et patron », faisant de l’église l’unique propriétaire des Trois Domaines… Comble de l’ignorance restera sans doute le début du creusement du trou de la « sécurité sociale » qui, du point de vue des décisions municipales d’avant 1972 qui furent remises en question par ce triple assassinat désormais mis à jour, est la possibilité de délester cette sécurité sociale lorsque la mentalité d’une municipalité permet de le faire elle-même en finançant le matériel médical au ouvriers, patrons, vendangeurs… Ce matériel élémentaire, composé de lunettes, de gants, de prothèses ou des binocles, pouvait aisément s’acquérir avec l’aide municipale allouée à tous et minorée d’après le niveau de richesse des personnes concernées ; ce qui ne signifiait pas qu’automatiquement elles payent plus ou moins d’impôts mais dépendait souvent de la qualité du vin produit et de la surface d’exploitation. Les plus pauvres ne payaient pas beaucoup et la municipalité n’avait aucune honte à en payer l’intégralité du moment que l’employé-e pouvait poursuivre son bon travail dans les vignes mais pas autour, en s’inventant des règles juridiques et financières différentes. Ainsi, le notaire quand je l’ai connu dans mon enfance, à cinq ans, était ami avec mon père et son père adoptif du domaine, portait un monocle pour la dernière fois. Impatient d’attendre l’arrivée de son binocle : pourtant la municipalité a aussi participé aux frais de l’outil visuel, pas tous frais payés, mais le geste ; en retour, ce notaire ou l’instituteur garantissaient les frais de bouche à l’auberge de l’amicale, lors des réunions du village où la politique n’était pas la seule bienvenue. Il faut dire que bien manger et bien boire la nourrissaient mieux !… Ce n’est pas pour autant qu’il en méritait l’assassinat, au prétexte de défendre le statut des trois domaines aux trois ouvriers-patrons du château d’Andlau…

Y aurait-il une différence entre le vignoble municipal, local et communal et la viticulture patronale du vieux CNPF étatique des années 1970 qui rallongeait les cuves avec du sucre jusqu’au début des années 1980 ?…

Il semblerait que oui, puisqu’à Andlau (Bas-Rhin / Alsace / 67140), on peut aujourd’hui, 45 ans après, retrouver les cadavres de trois personnes de ce village, mentionnées comme ayant tout vendu pour faire leur vie aux États-Unis ou se faire élire en Savoie alors qu’elle furent assassinées et enterrées au milieu de trois domaines… À la dernière fête des vendanges de 1972, peut avant leur disparition, un genre de « loup noir », flic d’extrême-droite, était particulièrement virulent à leur égard, les insultant et leur promettant de les envoyer dans les prisons de Franco en Espagne parce qu’il estimait que c’était là qu’était leur place… Devant une telle incohérence existentielle relative à l’Amicale des Vignerons d’Andlau, mon père, alors devenu instituteur après son parcours d’apprenti-ouvrier-patron-vendangeur sur ce vignoble, se rendait régulièrement au commissariat de ce même loup noir devenu plus tard député pour qu’il ouvre une enquête mais se faisait rosser, molester et humilier : le problème c’est qu’alors, à l’époque, en 45mn, ils auraient retrouvé ces trois dépouilles et n’auraient pas été obligés d’attendre 45 ans que les os remontent à la surface… Pire encore, il y a quelques mois, cet entretien téléphonique avec un gendarme de Barr qui ose me parler d’os de chiens (?)… Après vient Giscard qui modifie certaines règles constitutionnelles relatives au droit local, communal et municipal auquel toutes et tous participaient activement par l’Amicale, avant ce triple assassinat maquillé en mensonge de « vente légale » effectuée sur trois cadavres qui leur permirent de faire couler de l’or pendant 45 ans – et sans doute, estiment-ils, pour toujours – après leur meurtre lourdement dissimulé derrière l’évocation de vies falsifiées et modifiées à la convenance d’un patronat devenu assassin.

Jcavailles

Changement climatique et rétablissement violent de l’équilibre climatologique

On s’en fout de Galileo , il faut protéger les glaciers de la planète Terre avec vos bras oscillants à stations spatiales pour fabriquer des « boucliers solaires » !

Peut-on vraiment et sérieusement parler de ce « changement climatique », tant vanté par les spécialistes et les chercheurs, sans jamais préciser qu’il peut se produire ou être freiné et stoppé par la simple volonté humaine, commerciale et industrielle de ne plus utiliser les produits destructeurs qui en sont la cause.  Ce qui est donc important ce serait pour aujourd’hui et demain, de réaliser la même démarche entreprise il y a 30 ans sur la lutte contre les CFC pour la reproduire avec les mêmes critères sur les CO2… Cet hiver nous avons perçu les premiers signes des bénéfices de cette interdiction faite hier aux usagers d’utiliser des produits à vaporiser contenant des CFC, autant dans les records de hauteur de neige enregistrées dans les stations que dans la longévité du manteau neigeux resté constant… Ce n’est pas tant d’un « changement climatique » dont il est question mais réellement d’un rétablissement du climat, où en montagne, il doit se maintenir « glaciaire » et le 0* descendre plus souvent dans les plaines pour freiner les fontes de la neige et éviter les débordements des zones inondables car les variations de la limite entre la pluie et la neige (le 0*) doit être stable et non pas fluctuer entre 500m à 1500m d’un jour à l’autre et selon les vallées plus ou moins froides de la chaine du massif alpin… Alors un peu de CO2 en moins, selon la même méthode appliquée aux CFC, devrait rétablir des hivers rigoureux au manteau neigeux important sur les Alpes, les Vosges, le Jura et les Pyrénées, ainsi que sur le Massif central et le Puy-de-Dôme dans les années à venir !… à moins que des étés, aussi rigoureux, ne grillent le tout ? !… Mais le catastrophisme n’a pas lieu d’être et les violences des tempêtes ne font que confirmer, en l’accentuant et en le rendant plus violent, ce rétablissement climatique naturel, encore possible, effectué uniquement par l’interdiction de certains polluants destructeurs utilisés dans l’activité humaine… comme le sont les CFC, les CO2 et les pesticides !

Quelles sont les principales menaces pour l’écosystème ?… Chronologiquement ce sont les CFC les premiers agents destructeurs de la couche d’ozone, protectrice de la nocivité des rayons du soleil : la crème solaire pour les humains, peut-être ; mais pour la terre ?… Les mesures prises depuis, à la suite de la prise de conscience scientifique, il y a 30 ans, conduisent aujourd’hui à penser que ce n’était pas peine perdue et que les effets bénéfiques, liés à l’interdiction d’utiliser les CFC, commencent à se percevoir… En hiver, même si la limite entre la pluie et la neige descend très rarement en plaine, en altitude, elle aurait tendance de nouveau à onduler autour des 1000m d’altitude avec des marges de 100m à 500m au coeur de l’hiver relevées le même jour, selon les vallées plus ou moins froides de la chaine alpine… Cette année, la neige était de retour sur tous les sommets montagneux européens avec même 6m50 d’épaisseur au plus haut de l’épaisseur du manteau neigeux dans les Alpes suisses !… Dommage que des mesures identiques n’aient pas été prises en direction des CO2 à la même époque par l’Union européennes, ça éviterait sans doute que l’été ne brûle le tout après l’hiver et le printemps, jusqu’à absorber trop rapidement l’apport en eau de la couche neigeuse pour, au bout, amputer les récoltes des fruits et légumes d’1/3 à 2/3 ; pour les châtaignes et les pommes ça peut même être pire, on a vu dans les Cévennes que sur des parcelles où une famille d’exploitants récoltaient jusqu’à 5 ou 6 tonnes, il ne leur en restait plus qu’une ou à peine trois selon l’intensité des sécheresses estivales… Alors activer des mesures strictes sur l’utilisation des CO2 permettrait, sans doutes, d’observer des phénomènes climatiques moins violents, censés nous ramener vers un rétablissement des équilibres climatologiques liés aux saisons que définirait une gestion atmosphérique « naturelle » sans CFC ni CO2 pour le moment.

#CFC #CO2emissions #changementclimatique #ClimateChangeisReal or #ClimateFiction

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Ces chutes de neige recensées n’étaient plus arrivées depuis 30 ans pour certains secteurs… !

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Ces chutes de neige recensées n’étaient plus arrivées depuis 30 ans pour certains secteurs… c’est la preuve d’un rétablissement climatologique dû à la suppression des CFC qu’on commence à percevoir, en effets secondaires sur les plaines, après les avoir suffisamment observés en altitude durant tout le début de l’hiver où la limite pluie-neige, autrement dit l’établissement du 0°c pour la saison hivernale, ondulait et fluctuait entre 500m/700m jusqu’à 2000m/2300m d’altitude où il fallait monter pour trouver le 0° le même jour mais pas au même endroit dans la chaîne alpine ?… Voilà enfin l’hiver qui descend sur la plaine !… Ça ralentira les inondations ces gelées nocturnes et remontera d’autant la glaciation des glaciers en haute altitude où le -15° épaissira à nouveau la couche de glace… Attention le printemps vient vite qu’il faudra s’empresser d’effectuer la même démarche entreprise contre les CFC avec les CO2 ; d’ailleurs on s’étonnera toujours que les politiques n’ont pas adopter la même démarche avec les CO2 que celle qu’ils effectuaient alors à l’époque sur les CFC, ça devait pourtant aller de pair… L’Union européenne devrait avancer en ce sens : CFC / CO2 même combat !… « La terre, l’eau et l’air » fonctionnent ensemble… Si vous soignez l’un des trois éléments – l’air par exemple – sans vous préoccuper des 2 autres, les effets bénéfiques en matière de mesures pouvant être prises pour freiner et résorber le dit ChangementClimatique seront insignifiants… Si on soigne un élément, l’air, il faut aussi se préoccuper des sols et de l’eau, de la terre et des nappes phréatiques ; tout cela fonctionne ensemble… Alors vite l’Union européenne UE : Pesticides CFC CO2 même combat !

« La terre, l’air et l’eau »… tout cela fonctionne ensemble… si les inondations augmentent c’est parce que la ligne de la limite pluie-neige ondule entre 500m et 2000m selon les jours et les régions alpines ou pyrénéennes… la seule manière de freiner les inondations d’hiver vient par des gelées en plaine… nous commençons à peine à percevoir les effets bénéfiques sur l’atmosphère et ses « gaz régulateurs » de l’engagement pris pour interdire les CFC qu’on ne comprend toujours pas pourquoi la même démarche n’a pas été ordonnée plus rapidement pour diminuer les CO2… Autant de retard pris sur les CO2 peuvent peut-être nous faire craindre la noyade et un gilet de sauvetage sur les épaules du Zouave du pont de l’Alma mais ne doit pas nous faire oublier que ce qui a marché pour les CFC aura le même résultat bénéfique pour l’environnement avec les CO2… Les pesticides ?… il n’y a qu’à observer lors des grandes chaleurs estivales le ralentissement de la croissance des végétaux et des fruits – pour l’année 2017, 1/3 à 2/3 des récoltes ne sont pas présentes dans les greniers, les granges et les silos selon les espèces – on comprend que ce ne sont pas seulement les pesticides qui brûlent les sols mais que les mauvaises conditions atmosphériques et de l’oxygène à taux élevé de CO2 freine le métabolisme de croissance des plantes le jour… Rapidement on s’aperçoit que les cultures en milieu fermé (indoor) avec clim et air conditionné donnent de meilleurs résultats que dans un milieux naturel de campagne multi-pollué (!)

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Les inondations dévastatrices connues par les cultures agricoles durant cet hiver ne pourraient-elles pas donner l’occasion aux assurances d’initier le passage au bio par les engrais naturels et l’apport nutritionnel aux terres lessivées dans la clause de recouvrement du type « catastrophes naturelles » ?

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L’air et la terre fonctionnent ensemble… si on améliore l’état des sols par rapport aux pesticides, qu’on continue la lutte contre les CFC et qu’on mène la même démarche pour stopper les émissions pharaoniques de CO2 ; les récoltes ne seraient-elles pas meilleures ?

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Les hivers aux crues de plus en plus abondantes, la fluctuation en altitude de la limite pluie-neige qui accentue les inondations sont-ils les marques de perturbations climatiques qui causent d’importants dégâts ?

Il est temps de se préoccuper des risques de Crues mais ne vous inquiétez pas, c’est juste la nature qui reprend par la force son droit aux zones inondables !… Sinon comment voulez-vous que les nappes phréatiques se régénèrent ?

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L’ecologie dans sa critique de l’urbanisme d’une bétonisation généralisée, dans son plaidoyer contre les Pesticides non seulement mauvais pour les sols et les productions mais aussi pour la santé humaine ; montre bien qu’elle est incompatible avec la PolitiquedelaVille libérale.

Hohneck

L’Hommage de la nation au Colonel Arnaud Beltrame et toujours autant de questions sur le terrorisme.

Passées les trois vagues de l’attaque terroriste dans l’Aude entre Carcassonne et la ville de Trèbes, Arnaud Beltrame sort béatifié par la nation et Darouane Lakdim félicité sur le sites jihadistes devenus de moins en moins virtuels… Aucun reproche, l’otage est sauve au sacrifice d’un agent de Gendarmerie qui oeuvrait pour le travail bien fait et l’aboutissement de ses missions, la défense du pays jusqu’à l’échange de sa propre personne… Comme si un otage ça pouvait se remplacer ? Un otage ça se libère mais ça ne s’échange pas… Arnaud Beltrame l’a fait en son âme et conscience et ne s’en est même pas posé la question, se doutant bien que son geste allait avoir une importance décisive pour la suite de l’attaque, sans qui nous n’aurions sans doute jamais appris que Lakdim D. demandait la libération de Salah Abdeslam, le terroriste « intermédiaire » de la cellule belge de Möllenbeck ; étant donné qu’Arnaud Beltrame, en pleine conscience de ses moyens avait soigneusement placé son téléphone portable quasiment en « micro cravate » dans la place de l’action du terroriste dans ce supermarché où à eu lieu la prise d’otage à laquelle Arnaud Beltrame s’est substitué pour paralyser l’assaillant armé. Revendication d’une demande de libération d’un terroriste qui ne peut de toutes façons pas aboutir puisqu’il aurait fallu répondre à Lakdim D. à ce moment là : libérer Abdeslam, on va vous l’amener Salah, un hélicoptère le cherche et sera là dans 1h30, étant donné que Salah Abdeslam n’a pas été très bavard, sachant qu’il ne risquait de sortir de tous ses interrogatoires, qu’en longue peine de prison et non pas avec l’hypothèse, bien précise à son esprit, d’être fusillé au sortir d’une Cour martiale. Donc libérer Abdeslam, oui mais mort ou vif ?… Oh France !… Que n’as-tu souffert de la rue des Rosiers à la rue Myrha*, de l’assassinat de Charlie Hebdo au gang des terrasses parisiennes, en passant par Nice, la Belgique, l’Allemagne, l’Angleterre, l’Espagne et le « Liban 1974 », jusqu’à Arnaud Beltrame aujourd’hui, lâchement et froidement abattu, désarmé mais bloquant définitivement la route au terroriste Lakdim D. ?…

« Ça en valait la peine » affirme Emmanuel Macron dans l’Hommage national au Colonel Arnaud Beltrame et c’est incontestable au niveau de l’engagement demandé par ces corps d’armée spécialisés que sont le GIGN, la Gendarmerie et la BAC de cet inspecteur rentré au Bataclan pour abattre sans hésiter le premier terroriste qui se trouverait à sa portée… « Donner sa vie pour en sauver une autre », celle d’une civile, une femme qui plus est, caissière dans ce supermarché SuperU de la ville de Trèbes alors que rien ne nous dit ou confirmerait que le terroriste l’aurait abattue aussi froidement, notamment si cette caissière avait pu dire à l’agresseur qu’elle est musulmane et qu’en conséquence, il ne devait pas lui faire de mal… Arnaud Beltrame n’a pas eu le temps d’évaluer de telles hypothèses dans son intervention et n’était présente à son esprit que la vie de cette caissière qu’il s’estimait en droit et devoir de sauver…

C’est une possibilité et comme nous n’en excluons aucune, pour bloquer rapidement le « terrorisme », il vaudrait mieux, tant que c’est encore possible, mener des investigations d’enquêtes chez nos militaires français qui mangeaient, il y a plus de trente ans déjà, des vipères au bain-marie avec Ben Laden – très impressionné au demeurant – dans les camps d’entrainements d’al-Qaïda, dont on ne saura bientôt, même plus si ils sont French, Turc ou Ricain, à force de les fréquenter, sous couvert du « secret militaire », sans jamais, à aucun instant, oser songer un moment les supprimer par devoir éthique et pour la Démocratie ; voire mieux encore, réellement mettre fin au trafic de l’héroïne des armées, blanchi par la cocaïne d’un Vatican à banques spécialisées sur la matière financière pour le plus grand bonheur des pouvoirs capitalistes militaro-religieux ; autrement dit, faire cesser la French, rachetée par Giscard et ramenée du Liban pour sauver les banques françaises par le « marché de la blanche » auquel semblerait avoir pris goût toute une aristocratie française et européenne, au nez et à la barbe pourtant de ce pan entier des Conclusions du Tribunal de Nuremberg relatif à l’usage des drogues chimiques en famille, en société, en politique et en religion… L’usage militaire étant révélé en Indochine par ce sinistre slogan : « un Vietnam, de l’héroïne »… Si nous n’oublions pas tous les antécédents du terrorisme en Europe et dans le Monde, dont le plus significatif est sans doute le coup d’État, à plus forte raison ceux tentés par le tout « récent (?) » État Islamique français rencontré en Irak puis en Syrie mais heureusement avortés par les forces Kurdes de défense des populations civiles – que tous ces coups d’État, de l’ensemble de la chaine de l’Amérique Latine à ceux de la Turquie ou de l’Espagne de Franco, sont les pires attaques terroristes vécues par des populations civiles aux défenses limitées puisqu’ils participent d’actions éclaires sur des populations désarmées, sans défense, comme au Sinjar ou à Afrin – ; l’important est quand même de savoir que nous ne sommes pas là pour les servir ou les assister et qu’en la matière, les services anti-terroristes de Belgique nous ont démontré qu’il y avait chez-eux – mais certainement également un peu dans l’Europe toute entière – une certaine corrélation entre des groupes d’extrême-droite de l’armée et le terrorisme auquel fut révélé qu’ils prêtaient une assistance matérielle et logistique. Groupes de complicité qui ne pourront ensuite se contenter de simplement déclarer qu’ils ne le font plus, que c’est terminé ou que c’était pour « infiltrer les réseaux jihadistes du terrorisme » pour mieux se faire blanchir alors que dans la réalité, on peut rapidement s’apercevoir qu’ils les nourrissent, les partagent et les entretiennent distinctement, au prétexte qu’ils comprennent l’aspect impartial d’une extrême religion qu’ils partagent amplement comme « les deux parties d’un même cerveau » puisque cette « religion militaire » incarne et symbolise dans les drogues chimiques, au plus haut point, le pouvoir et les limites que par ses coups de force, hélas parfois, la religion et le militaire peuvent prendre de pas au nom d’une certaine droiture – toutefois illégale – sur le politique et l’intellectuel.

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*Myrha : pour la rue Myrha et cela semblerait avoir disparu du raisonnement qui tient compte d’une chaine intellectuelle, rappelons que l’Imam assassiné était un Imam de la religion musulmane laïque et multi-confessionnelle… Pourquoi ce crime de la rue Myrha n’est-il pas plus souvent rappelé lors des débats ou des exposés sur le terrorisme ?… Sans doute parce que depuis le 1er coup d’État de Turquie, les forces militaires éloignent ces Imams démocratiques au profit des intégristes mahométans alors qu’ils permettaient aux Kurdes et aux Arabes de vivre pacifiquement et socialement, jusqu’aux quelques mosquées où ils furent assassinés récemment au sud de Kobanê pour transformer leur mosquée en caserne ou en cantine jumelée à une maternité mais appartenant à Daesh, l’État Islamique français ou turc, l’ISIS américain.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Attentats_de_1995_en_France

 

Beltrame2018

Manifestations mondiales pour Afrin le samedi 24 mars :

La journée internationale du Kurdistan a rappelé au monde qu’Öcalan et les Kurdes n’ont jamais voulu tuer les Turcs… Par conséquence, ils n’ont pas à être tributaires des multiples attaques lancées par l’héritier de la succession des coups d’État de la Turquie, qui, bien entendu, ont toujours donné lieu à des élections libres non sans une certaine préparation préalable par l’intervention militaire – avant qu’elle ne soit religieuse – de certaines purges, arrestations, expropriations, massacres qui permirent, chaque fois, au postulant des putschs turcs d’être, non pas seulement en accord religieux, militaire, politique et social avec le coup d’État ; mais aussi d’avoir toutes les chances de se hisser aux postes de 1er ministre, au sommet du pouvoir.

Qu’Afrin est dans la même situation d’occupation de leur ville par une junte militaire à coups d’État que l’étaient Kobanê, Barcelone, l’Equateur, le Honduras, le Venezuela, le Paraguay, le Chili, l’Argentine, le Pérou, la Bolivie, la Panama, Salvador, le Guatemala, le Brésil, Costa Rica, le Nicaragua et le Mexique ; toute la chaîne d’Amérique Latine !… L’OTAN n’y est toujours pas plus sensible et continue de soutenir des politiques issues des coups d’État… Après, oser traduire cet engagement de l’OTAN pour certaines faveurs pour que se développe l’État Islamique français à tentatives de coups d’État en Irak, puis en Syrie ; et peut-être même avant déjà, en Libye, ne serait que juste reconnaissance du « non-droit » qu’utilisent souvent les forces militaires pour forcer la main ou parvenir à leurs fins, sans pour autant trop y réussir si on observe les Résistances d’Amérique Latine, de l’Europe face aux nazis, des Amérindiens faces aux Espagnols et aux Portugais, jusqu’aux musulmans de Birmanie face aux Bouddhistes nationalistes et bien sûr les Kurdes qui sont entrain de subir les mêmes assauts militairement disproportionnés que les Kurdes n’en subissent en Turquie depuis le 1er coup d’État de 1960.

Afrin24mars2018

Égalité face au patronat !

Le gouvernement d’Emmanuel Macron mettra sans doute cette journée de mobilisation du personnel SNCF sur le compte de la contestation alors qu’elle n’est pas du tout « contestataire », même si la contestation reste une étape qui doit mener vers l’égalité des syndicats, des salariés et des précaires face au patronat, au Medef, à l’évaporation fiscale et aux banques à blanchiment… Laisser ça sous le coup de la « contestation » serait ne pas voir ce que l’économie du système politique de Macron et de Gattaz va rogner sur un avenir présenté comme égalitaire mais complètement disproportionné dans ce que le vécu aura permis d’accumuler comme richesses, entre ce patronat montré du doigt et l’ensemble des salariés et des indemnisés qui peuvent encore espérer un jour arriver à la retraite, trouver ou re-trouver un travail… Les Royalistes nommaient déjà cela l’égalité devant la loi divine je présume ?… Or il n’en est rien !… Pas plus du côté des lois divines que de celles d’un équilibre économique quelconque, prétendu comme tel au niveau de l’égalité mais qui n’est en réalité qu’un subterfuge pour limiter au mieux l’émergence de la classe dirigeante, dominante au possible la classe toujours considérée comme laborieuse alors qu’elle est strictement majoritaire sur le plan humain !… Quantitativement, dans ses propositions, ses mises en avant des inégalités et ses intentions d’inverser ces contraintes inégalitaires, jugées immuables par le patronat du grand capital mais toujours soumises à questionnement sur l’égalité des répartitions des déséquilibres constatés ; jamais l’ensemble des syndicats, des salariés et des précaires n’aura rencontré mur plus cimenté, autant de portes entrouvertes uniquement sur l’abandon de revendications pourtant essentielles portant sur ce débat, jamais résolu, entre le marxisme et le libéralisme.

Alors pourquoi nommer « contestataire » comme l’a fait cette après-midi du 22 mars 2018 sur l’antenne de BFMTV le Rédacteur-chef Thierry Fabre, si ce n’est pour donner raison à la matraque, au Gouvernement et donc forcément aux « casseurs » ?… Ou reprocher à Nathalie Arthaud et à Olivier Besancenot d’en faire le lieu contestataire de leur politique alors que la démarche est « strictement égalitaire » face au Medef ; simplement égalitaire. Égalité des salaires, égalité entre les femmes et les hommes, face aux mesures juridiques sur le harcèlement ; égalité dans le choix des horaires et des plannings, l’égalité des salariés devant le patronat lorsqu’ils pourraient intervenir et interdire l’utilisation de produits dangereux ou les méthodes de licenciement hasardeuses, méthodiques et rapides ; comme si l’arbitraire et l’autoritarisme devenaient la seule loi économique capable de redresser les sociétés capitalistes issues du libéralisme. Ce qui est fausse route !… À résoudre aussi rapidement une question économique, si difficile, qu’est celle du marxisme et du libéralisme, ne court-on pas vers les pires politiques qui justifieront toujours la primauté de l’une sur l’autre avec la force policière, militaire, religieuse mais certainement pas par la raison « intellectuelle », surtout depuis l’irrésolution du volet économique des Conclusions du Tribunal de Nuremberg, entamée dès mars 1946 et clôturée par un rideau de Fer et le refus du bloc capitaliste de reconnaître la nécessité d’utiliser une monnaie unique au sortir de la seconde guerre Mondiale ?… À trop renier les politiques effectivement égalitaires, en leur claquant ainsi un couvercle sur leurs revendications d’Égalité – et le gouvernement a montré de quoi il était capable depuis ses Ordonnances et la Loi Travail, jusqu’à cette « loi de réforme SNCF » -, finira par se prendre en retour un accroissement sans fin de la mobilisation syndicale, non plus seulement dans la rue, où elle reste si injustement insignifiante ou infondée aux yeux du gouvernement ; mais aussi sur les lieus de travail, les administrations et les Services publics !… Au Travail !

Newroza Norouz 2018 : « Allah is Kurdistan ! »

Amed, Ankara, Batman, Cîzre, Cizîr Botan, Hesekê, Îzmîr, Kobanê, Meriwan, Mêrsîn, Nisêbîn, Quendîl, Riha, Stenbol, Silêmanî, Wan…

De nombreuses villes Kurdes, où l’armée turque avait mis ses blindés entre les deux législatives de juin et novembre 2015 pour multiplier les arrestations et tuer des civils ; fêtent le Newroz 2018 sur fond de poursuite de la guerre civile que l’État turc a déclenché lors du coup d’État de 1980 – le troisième, si on compte ceux de 1960 et de 1973 -, déteignant jusqu’aux villes Kurdes de la Syrie du nord-ouest maintenant, hors des frontières de la Turquie et peu importe si ils tuent les Arabes et les Kurdes ensemble… Même si ces quelques repères historiques – pourtant essentiels pour comprendre une telle impasse démocratique – n’ont toujours rien résolu quant à la nécessité de mettre fin aux coups d’État turcs qui enclenchent des guerres civiles successives, n’apportent pas plus quant à la demande de paix et d’indépendance par rapport à cette politique militaro-religieuse qui n’intéresse qu’une partie des Turcs finalement et seulement, 40 à 50 et quelques % tout au plus ; à peine la moitié de la Turquie, soit-dit en passant… Le Kurdistan, en tant que politique, carrément moins !… et vous comprendrez pourquoi, lorsque vous aurez percuté que la Turquie et ses Turcs n’ont pas beaucoup été victimes de ces guerres civiles, déclenchées par les coups d’État militaires et religieux à répétition, motivés par la force, l’usage des armes à feu, les menaces de mort, jusqu’aux assassinats qu’autorise l’erronée appellation « terroriste » ; qu’il ne faut donc par conséquent, pas confondre les guerres ottomanes avec celles, bien plus civiles, des coups d’État !… Penser contre, serait-il donc devenu « terroriste » ?… Fausse Républiques et Fausses Démocraties qui s’édifient sur l’usage des armes et qui n’ont rien d’autre à proposer comme relations sociales et projet politique que l’armée et/ou la religion pour répondre aux questions philosophiques soulevées par le marxisme, fermement opposé au libéralisme issu de trop de fables, tant au niveau de la hiérarchisation des pouvoirs étatiques qu’à la manière dont les sociétés se font manipuler par les sectes, les religions et les banques tout au long de son développement.

À Newroz, il n’y a plus qu’un Kurdistan ; le Kurdistan qui accroît son indépendance culturelle au fil des années depuis que s’écoulent les premiers coups d’État, devenus les ustensiles de la politique du pouvoir militaro-religieux d’une Turquie virant nationaliste-islamiste pour faire plaisir aux États – Nations, chasser des minorités Kurdes, musulmanes, en leur vouant un sort pire que funeste avec une existence politique réduite au minimum ou résolue par une majorité parlementaire imaginaire d’un arbitraire autoritaire : à la disparition ?… Le pouvoir social et culturel des Kurdes prouve pourtant le contraire à cette politique que mène Istanbul depuis le 1er coup d’État et Ankara depuis la rupture des négociations-pourparlers, cessez-le-feu, installés depuis 1984 avec Öcalan aux tables des demandes démocratiques et non pas terroristes, séparatistes, militaires ou policières… Ce en quoi, Erdogan tournerait rapidement aux yeux de l’Histoire pour un « séparatiste islamiste » voué au simple statut des dictatures religieuses, militaires et donc forcément politiques !

Norouz2018

Afrîn est tombée aux mains de l’État Islamique d’Erdogan.

Pourquoi depuis le coup d’Etat de 1980, l’OTAN et la Turquie refusent-elles systématiquement la paix avec les Kurdes : ce n’est pas le Kurdistan qui fait la guerre aux Turcs, c’est l’armée de l’AKP d’Erdogan qui attaque les civils Kurds comme de parfaits terrorists depuis hier à Kobanê, jusqu’à aujourd’hui à Afrine.

Pourquoi les grandes puissances qui ont aidé les font-elles aujourd’hui preuve d’autant de consentement avec la qui peut ainsi continuer d’agresser les comme elle le fait impunément depuis le coup d’ turc de 1980 ?

« La Turquie plante son drapeau à Afrine » (Christine Ockrent) mais on voit surtout des drapeaux syriens et les troupes, inquiètes, qui marchent dans les rues en ruines, ressemblent à l’État Islamique du daesh qui avait déjà attaqué l’Irak jusqu’au Mont Sinjar, la Syrie jusqu’à Kobanê… Il y a même un soldat avec un foulard rouge autour du cou qui pourrait ressembler aux chinois du Xing-Yang (Dzongarie) qui sont repartis de Syrie vers la Chine non sans être remarqués puisqu’elle aussi, la Chine, a déclaré la guerre à l’État Islamique (https://reseauinternational.net/la-chine-declare-la-guerre-a-daesh/). Seulement, comme Erdogan a permis aux gangs jihadistes de daesh de rejoindre l’armée turque ou celle d’Assad, il devient difficile, depuis cette déclaration, de la mettre en application… Cela n’empêcherait pourtant pas d’effectuer des opérations de contrôle d’identité en Irak et en Syrie pour cartographier cette armée composite d’Erdogan, déceler si ils sont répertoriés dans les fichiers internationaux du terrorisme, voire ceux des Peshmergas. Cette ressemblance avec les hordes jihadistes de l’État Islamique, battant désormais le pavillon turc et syrien à Afrîn, demande nécessairement aux spécialistes de se poser la question de savoir combien de nationalités différentes composent les armées turques et syriennes, d’en saisir les registres différents de la nationalité turque ou syrienne afin d’identifier ceux qui auraient pu fouler avec l’État Islamique de Daesh les territoires Kurdes d’Irak et de Syrie, comme les Turkmènes MHP d’Erdogan par exemple. Ce ne serait pourtant pas difficile d’adopter cette technique utilisée par les services de sécurité du Kurdistan et de l’Irak qui permit de découvrir qu’ISIS était composé de plus d’une centaine de nationalités différentes. Alors ne serait pas étonnant ensuite de pouvoir surprendre l’AKP d’Erdogan pour lui signaler qu’il y a des terroristes qui ne sont pas Turcs dans son armée, qui ont participé avec l’État Islamique aux attaques sur des populations Kurdes désarmées ou faiblement équipées (!)

L’OTAN est sourde d’oreilles depuis le coup d’État de 1980 en Turquie et soutien Erdogan aujourd’hui, depuis 1974 lorsque Giscard a racheté la French et l’a dissimulée derrière le « minitel rose » (3615 Ulla) pour y écouler l’héroïne des Armées bénie par la cocaïne du Vatican… Quant à la Turquie, espère-t-elle réaliser la même opération économique et financière avec l’Europe qu’elle l’a réalisée avec l’Allemagne nazie sur les produits de drogues chimiques (Pervitine und Eukodal)…

Öcalan, dans ses pourparlers avec le gouvernement Turc en 1984, ne voulait ni d’une Muraille de Chine, ni d’un Rideau de Fer pour le Kurdistan et la Turquie, alors toujours tributaires du coup d’État de 1980, financé par Giscard probablement, ses jeunesses nationalistes, bien françaises et pratiquantes. Contrairement à ces volontés, #Erdogan a fait pour les #Kurdes, à la fois une Muraille de Chine et un Rideau de Fer, tous deux double face, certainement pour des raisons économiques, l’implantation d’une économie spéciale et privilégiée ?

https://actu.orange.fr/monde/syrie-le-drapeau-turc-flotte-sur-la-ville-kurde-d-afrine-CNT0000010bg5f/photos/des-combattants-syriens-soutenus-par-l-armee-turque-pillent-des-magasins-apres-la-chute-de-la-ville-kurde-syrienne-d-afrine-le-18-mars-2018-64952048e7f8b68de43734c14461d546.html

http://www.lepoint.fr/monde/syrie-scenes-de-pillage-a-afrine-apres-l-entree-des-forces-pro-turques-18-03-2018-2203564_24.php

Rupture des règles démocratiques de la Turquie soutenue par l’OTAN… La paix Kurde toujours d’actualité…

Pour l’instant – que ce soient des Kurdes d’Öcalan ou des PKK/YPG-J-D, défendants successeurs d’un statut démocratique – n’ont fait qu’être agressées, régions kurdes de la Syrie à la Turquie, l’Iran, l’Irak un peu moins ; par l’armée turque de l’AKP d’Erdogan qui déborde maintenant au-delà de sa frontière vers la Syrie pour lui voler son grenier agricole, tuer des Kurdes comme lors du 1er coup d’État de 1960, réitéré en 1980, dès lors qu’aucun frein n’ait pu être enclenché sur cet indomptable État Islamique français d’une tentative de coup d’État, avortée en Irak puis en Syrie, grâce aux « Unités de défense du Kurdistan », en synergie avec le développement d’une réflexion intellectuelle qui puisse stopper ces incessants assauts militaires ou religieux, lancés désormais par la Turquie d’Erdogan en dehors de ses frontières, non plus seulement sur le Péloponnèse mais peut-être également sur l’Europe toute entière. 

Tout pourrait être dit, à la mesure de toute l’hypocrisie du double-jeu et le déploiement des doubles-faces auxquels aime bien se livrer l’OTAN (Theresa May vs Vladimir Poutine), rien qu’à se référer à la déclaration de son premier secrétaire généralLord Ismay sur le rôle de l’OTAN qui consiste à « garder les Russes à l’extérieur, les Américains à l’intérieur et les Allemands sous tutelle » (Citation originale : « Keep the Russians out, the Americans in, and the Germans down »). La conception est sans doute très proche de ce que devait se dire l’état-major nazi sur ses stratagèmes pour forcer, dominer et exploiter l’Europe dans sa seconde guerre Mondiale… Certains appellent cela des « invariants », de l’impérialisme, de l’usurpation des droits internationaux ; toujours est-il qu’à chaque fois que nous revenons en arrière sur toutes ces questions d’égalité, est mis en péril un débat intellectuel dont les résultats démontrent pourtant le contraire et infléchissent, par conscience, les motifs prétextants l’hypothèse d’un déploiement des forces militaires, notamment lorsque l’« impératif de défense » des populations agressées se transforme en « opportunité de l’attaque », prête à terroriser des populations massacrées comme dans le Sinjar durant l’attaque du déploiement de l’État Islamique français de la tentative de coup d’État, avortée en Irak et en Syrie, où il était cependant impératif de défendre les populations kurdes essentiellement mais aussi des musulmans arabes aux religions multi-confessionnelles. Au lieu de favoriser la logique de la défense, se développe alors contrairement la multiplication des possibilités d’attaquer des populations faiblement armées en augmentant inversement les milices islamistes de jihadistes, chargées d’opérer derrière ISIS et daesh au nom d’une « société occulte », européenne et internationale, liée aux nationalismes islamistes et d’extrême-droite qui laissent guère de possibilité aux victimes de faire valoir leur droit. Savoir donc différencier les assaillants des opprimés agressés, permettrait aux meilleurs chefs d’État d’accroître leur confiance dans le développement de leur autorité intellectuelle et non pas uniquement militaire ou religieuse qui ne font qu’augmenter le coût humain et matériel sans résoudre quoi que ce soit des tensions ou des conflits, alors que c’est tout le projet qu’était venu déposer Abdullah Öcalan sur la table des négociations de la Turquie en 1984 en demandant l’Indépendance par le dialogue sans passer par la guerre…

Le Monde, à tort ou à raison, a certainement tendance à mettre au-dessus de tout l’organisation du traité de l’Atlantique nord revendiquée comme se devant des « obligations de sécurité et de défense collectives » ; devise qui aurait pu être aussi appliquée à un « peuple sans État » au nom de l’égalité du débat économique entre le marxisme et le capitalisme. Malheureusement, dès le départ, était marquée la volonté d’utiliser cette OTAN pour déséquilibrer les rapports de force entre ces deux formes de marché en privilégiant le capitalisme, à dessin de marquer sa domination sur le marxisme, renvoyant alors tous les conflits, non pas à cette autorité militaire OTAN mais à l’irrésolution du volet économique des Conclusions du Tribunal de Nuremberg pourtant engagées dès mars 1946 qui voient alors immédiatement se jeter un Rideau de Fer entre les Alliés capitalistes et les Soviétiques Résistants… Que la France s’y soit soustraite, à cette année de plaidoiries et de délibérés, aura certainement également aussi sa part d’influence dans ses prises de décisions ultérieures en ce qui concerne son soutien envers différentes juntes fascistes, des régimes totalitaires, des dictatures religieuses, des partis d’extrême-droite, nationalistes et autoritaires, raciaux et sectaires, communautaires et minoritaires, des rigoristes catholiques intégristes du Prieuré et du Chardonnet au flux constant de prêtres, de curés et d’abbés pédophiles avec une diffusion prononcée pour des partouzes à la cocaïne au Vatican avec des rabatteurs-organisateurs et ce n’est pas du cinéma puisqu’ont été saisies et mises sous scellés les vidéos de la pédopornographie active du Primat des Gaules…

L’OTAN ne cessa, dans sa finalité, de rivaliser avec le pacte de Varsovie comme dans une fausse guerre ou une guerre imaginaire devenue réelle… Sa création en 1955 est étrangement parallèle à l’abandon de l’aide économique accordée par les États-Unis à la Turquie… De l’Allemagne de l’Est à la crise tchèque ou hongroise, y est mis en avant, pour le revendiquer, le régime politique et social dit « marxiste-léniniste » mais c’est une aberration parce qu’à ce moment là (1980-1990), le seul système réellement « marxiste-léniniste » est au Kurdistan et le pacte de Varsovie, lui, est plutôt « bolchevique-stalinien », tant au niveau bureaucratique que policier… À preuve du contraire, la Yougoslavie communiste qui ne l’a jamais signée pour ne pas être vassalisée, puisque de toutes façons, en cas de crise comme celle des missiles de Cuba, les pays signataires n’avaient pas leur mot à dire et Moscou décidait de tout…

Alors on peut taper sur l’un ou l’autre, tantôt critiquer le pacte ou questionner l’Alliance ; finalement ne manqua juste à la dissolution du pacte de Varsovie en 1991 après la chute du Mur de Berlin, uniquement que l’OTAN ait pu en faire autant parce qu’historiquement, l’existence de l’OTAN n’a plus lieu d’être à partir du moment où le pacte de Varsovie faisait vivre l’Alliance par l’existence d’une guerre froide qui prolonge et développe le Rideau de Fer jeté dès mars 1946 sur l’Europe, suite au climat d’irrésolution du volet économique des Conclusions du Tribunal de Nuremberg sur quoi l’Identité européenne de sécurité et de défense (IESD) aurait chaque fois dû se rabattre pour le résoudre et non pas l’entretenir pour que soit maintenue la course à l’armement !… Le pacte de Varsovie une fois dissout, sans existence, il n’y a pas plus de raisons que l’OTAN poursuive la sienne si ce n’est pour écraser d’un déséquilibre ou par la force armée, la primauté du modèle occidental sur tous les autres, essentiellement lorsque le débat intellectuel ne donne plus raison qu’à ceux qui utilisent la force armée pour parvenir à leurs fins, rompant sans aucunes scrupules le rôle premier et défensif d’une armée pour la transformer en « attaques » comme en Turquie et en Syrie alors qu’il n’y a vraiment pas lieu de reprocher aux Kurdes d’Öcalan leur demande d’Indépendance depuis 1984, révisée en partition administrative depuis l’Irak et toujours aussi segmentée dans sa problématique intellectuelle sur l’échelle de la linéarité historique aux oreilles du pouvoir politique de la Turquie théocratique d’Erdogan qui maintient qu’il est hors de question d’envisager l’autonomie Kurde. Maintenue « hors de question » et donc hors du temps – alors que c’est « la question » -, n’est-ce pas claquer trop rapidement une chape de plomb sur un débat intellectuel, pourtant nourricier et vivifiant, à partir du moment où il maintient la différenciation essentielle entre le « marxisme-léninisme » et les « bolcheviques-staliniens » sur laquelle Öcalan a toujours insisté parce que dans ce cas, les craintes d’un conflit armé n’ont plus lieu d’être et montrent que leur éclatement et leur déroulement sont des faux prétextes servant à rejeter de manière expéditive des demandes démocratiques ?… Tout comme il met aussi l’accent sur les craintes et les doutes pour nos sociétés de voir le débat intellectuel autour du pouvoir se limiter en fables militaires et religieuses uniquement, ce qui est le propre des États autoritaires et nationalistes, tant du côté du communisme d’État (douma des assassinats) que de celui des juntes fascistes (dictatures militaires) ! ?… Un « peuple sans État » n’a pas a être considéré ainsi, automatiquement par les grandes puissances (Turquie, Syrie, France), comme un peuple sans Droits puisqu’il devient le peuple du Droit International derrière Öcalan !

Öcalan n’a jamais signé ce pacte de Varsovie au fur et à mesure qu’il devenait inutile en ne permettant pas au pays signataires de s’exprimer. En ce qui concerne le conflit militaire qui oppose l’armée turque du coup d’État de 1980 au PKK – où parviennent à pourparlers, Kurdes et Turcs en 1984 -, Öcalan tient à rappeler qu’il n’est pas en mesure de tuer des Turcs mais seulement venu demander la reconnaissance culturelle, sociale et politique d’un groupe kurde au Parlement d’Ankara ; la reconnaissance politique et pacifique étant sa seule arme pour éviter l’escalade d’un conflit intellectuel et probablement économique que l’armée risquait de transformer en guerre civile contre le peuple kurde, le plongeant dans une crise culturelle et sociale liée au droit de leur territoire mis sous convoitises. Seulement, ensuite, ainsi l’armée turque n’apparait aux yeux des Kurdes et du monde comme étant ni plus ni moins qu’une vulgaire milice islamiste qui n’a cessé de se développer depuis le 1er coup d’État de 1960 alors qu’Öcalan avait le niveau d’un conseiller militaire bien plus que l’image de terroriste que lui taille l’OTAN, la Turquie et la France ; les États-Unis sembleraient vouloir revenir à des discussions pour modifier ce statut injustement attribué puisque le PKK n’a pas rompu les négociations et que c’est l’armée turque qui a lancé la guerre civile, plongeant les régions kurdes dans la terreur et le sang, les massacres et les enlèvements, les exécutions et les arrestations…

On peut appeler cela « guérilla », Résistance ou « lutte armée », qu’on sera toujours loin de la réalité de ceux qui vivent ces situations conflictuelles poussées à la guerre, nées d’une occupation d’invasion et non d’une défense légitime et digne. Populations agressées alors nécessairement obligées de se constituer en « unités de défense » alors qu’au départ par temps de paix, avant les coups d’État pour les Kurdes et les Turcs, ils ne sont ni militaires, ni policiers puisqu’elles sont « populations civiles ». Impardonnable serait ensuite la fraude intellectuelle qui viserait à considérer une population attaquée comme « terroriste », héritière de multiples massacres qui ne fait que se défendre, pour ainsi mieux détourner l’attention de ses agresseurs qui ont pourtant tout fait, eux, pour rompre tout processus de paix, toutes tentatives de pourparlers ou de négociations, uniquement pour poursuivre la « lutte des armées », cette fois-ci protégées par le terrorisme d’État, les petits arrangements entre amis, soutenues par le marché de l’armement et la fraude fiscale, irritées par la lutte des classes, le marxisme, le partage des richesses, l’équilibre entre l’économie et l’environnement, l’égalité entre les femmes et les hommes…

Öcalan2013

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Une mondialisation de l’économie basée sur des prisonniers politiques ?

L’irrésolution du volet économique des Conclusions du Tribunal de Nuremberg, pan entier des débats et discussions autour des délibérés et des plaidoiries des séances de travail qui orchestrèrent, une année durant, de l’automne 1945 à l’automne suivant, ce qui allait fonder le Monde au sortir de la guerre entre l’hyper-capitalisme nazi et la Résistance des maquisards aux soviétiques, jusqu’à la nouvelle invasion américaine ; cette question non-résolue reste pourtant une constante essentielle dans la poursuite et la multiplication des conflits militaires et religieux, alors que le débat intellectuel aurait dû amplement suffire pour maintenir cette paix si souvent revendiquée dans le monde…

Pourquoi irrésolution du volet économique, pourtant entamé dès mars 1946, alors que le bon sens aurait dû donner raison à une entente entre les soviétiques et les capitalistes qui proposait à l’économie planétaire de fonctionner désormais avec une « monnaie unique mondiale » pour permettre de limiter le passage clandestin de masses monétaires entre les différentes économies qui préféraient garder des monnaies différentes et spécifiques aux Nations et aux États. Refus absolu du monde capitaliste des Américains et des Alliés. Avec une monnaie unique, il devient beaucoup plus difficile d’échapper aux contrôles, à l’évaporation fiscale et aux paradis fiscaux ; bref, aux mafias et à la politique business !

À voir, en dehors de leurs influences de propagande, ce qu’économiquement entretenait la Turquie avec le régime nazi à partir de certaines matières premières, on n’est pas étonné que tout un monde ait préféré garder le modèle de cette économie nazie, essentiellement nourrie des ventes en pharmacie des produits de la Turquie. Parfaite « économie blanche » qui favorise le blanchiment bancaire puisqu’il y a deux monnaies différentes qui l’établissent, deux Nations autant imprégnées l’une que l’autre du fascisme, comme ils en existaient aussi mais à une moindre mesure, en France, en Angleterre et aux États-Unis, avant que n’éclate réellement la guerre en 1940. L’avantage d’une monnaie unique permettrait de supprimer les trafics fiscaux de flux monétaires non déclarés, empêcherait l’évaporation des masses monétaires ainsi que les prélèvements arbitraires effectués sur les bénéfices, puisqu’on ne sait jamais vraiment où ils atterrissent, ni dans quelle « banque étrangère », ni sous quelles formes d’investissements et encore moins avec quelle raison sociale ils sont placés… Parfois on dispose d’exposés clairs et précis pour l’une ou l’autre de ces données, rarement des trois… Les vérifications une fois effectuées, malgré le coût des opérations d’enquêtes, révèlent alors tout un montage de sociétés fantômes qui n’existent pas ou qui sont transférées sur d’autres banques, dans d’autres pays… Tout un Monde des échanges qui garderait le modèle économique des relations entre la Turquie et l’Allemagne nazie, se baserait donc forcément sur la commercialisation et la diffusion des drogues chimiques de Pervitine et nous tomberions inéluctablement par après sur la « French française » qui commercialisait l’héroïne vers les Amériques avant que Giscard ne la rachète à la Turquie, non sans une certaine répression, et ne crée « 3615 Ulla » et le « minitel rose » pour mieux la camoufler et la dissimuler… Qu’aujourd’hui nous vivions entre l’héroïne des armées et la cocaïne du Vatican pour seule linéarité intellectuelle et historique, expliquerait en quoi la planète est constamment à feu et à sang, autant qu’elle l’a toujours été !… Le paroxysme et l’apogée restant entre les mains d’Allah et de Dieu de cet État Islamique français pour coups d’État en Irak et en Syrie, sorte de réunion de toutes les religions en une seule par sa même extrême chimique et militariste, idéologique et sociale, nationaliste et autoritaire, au goût prononcé pour les milices sécuritaires, les massacres de grande envergure et les prières…

Ce n’est pas seulement un système économique que les drogues chimiques permettent de conserver mais elles développent également tout une panoplie de structures de propagande et de manipulation, jusqu’à essayer d’emmener les Kurdes derrière cet État Islamique français, recruteur attitré de la tentative de coups d’État avortés en Irak et en Syrie… On ne sait plus s’il faut en remercier Erdogan ou la France ?… les deux mon général ? (!)… Et quelques sniffs plus loin, doit-on retrouver un Erdogan, financé par la French et l’État Islamique français, à Kobanê ?… On est arrivé à un tel point qu’on va finir par ne même plus savoir si les camps d’entrainement d’al-Qaïda sont Ricains ou French, en tous cas, on y bouffe de la vipère au bain-marie avec Ben Laden qui semblait très ravi à l’époque ?… Si c’est les soviétiques ou les Américains de Ben Laden qui ont assassiné le commandant Ahmed Chah Massoud en Afghanistan ?

Les rapports économiques et les débats entre le marxisme et le capitalisme ne sont donc pas près d’être clos et ce n’est pas en laissant Öcalan en prison qu’on pourra les mener là où ils devraient être conduits… Rien que par l’irrésolution du « volet économique » des Conclusions du Tribunal de Nuremberg, ajoutée de la chute du Mur de Berlin (Rideau de Fer), plus aucun prisonnier marxiste ne devrait être derrière les barreaux pour motifs de terrorisme. À plus forte raison si l’accusation sort d’une impasse intellectuelle soulevée lors de pourparlers ou de négociations, suivie du refus catégorique d’accorder une indépendance éthique aux territoires des Kurdistans qui pourtant aurait permis d’en rester à une économie d’échange en Turquie – même si cela n’avait été que sous la forme d’une partition administrative – et de ne surtout pas sombrer dans la guerre de l’été 1984 entre le PKK et l’armée turque du coup d’État de 1980, dans les Régions du sud-Est de la Turquie où, depuis, les prisons ne cessent de se remplir d’Istanbul à Ankara par cette politique du coup d’État, suivie de celle certainement plus civile, du paria, ensuite qui est infligée aux Kurdes, encore aujourd’hui dans l’organigramme intellectuel de l’AKP d’Erdogan, à qui il faudrait s’empresser de signaler qu’on ne résout pas une question intellectuelle d’économie et de politique en décrétant que tout opposant intellectuel doit être poursuivi, persécuté, emprisonné, voire exécuté… C’est utiliser l’armée, en dehors de sa vocation de défense et se donner un peu trop facilement le droit de tuer ; l’outrepasser en lançant des attaques sur les minorités kurdes, arméniennes, turkmènes… À plus forte raison si ce modèle du schéma tactique de la politique liée aux coups d’État, à l’intérieur du pays, cherche à se transporter et à s’exporter sur des territoires étrangers comme le fait la Turquie maintenant en Syrie, peut-être demain en Grèce ou en Bulgarie. Les Nations qui soutiennent ce genre d’exportation en auront gros sur la conscience lorsque seront exposées les dynamiques qui transforment un « coup d’État intérieur » en prétexte de défense mais sur une position d’extra-territorialité pour finalement se transformer littéralement et tout simplement en « coup d’État extérieur ». Ça s’appelle faire la guerre sans qu’elle ne soit justifiée si ce n’est autrement que par l’argument que le coup d’État dont elle est issue, fonctionnant si bien à l’intérieur d’un pays – appelé ailleurs dictature – justifierait amplement le droit de l’exporter et de l’utiliser dans des pays voisins pour briser ainsi leur territoire et violer leur frontière par un déploiement militaire, à plus forte raison si les régions convoitées sont faiblement armées. Les opérations de l’olivier d’Erdogan, en Syrie dans le canton d’Afrin, montrent le calibrage des frappes qui détruisent au minimum l’habitat comme si Erdogan se contentait de bombarder les places centrales et les rues pour semer la terreur sur les populations civiles ; ce n’est plus une guerre mais du terrorisme d’État (populations civiles désarmées et pacifiques). Les dégâts traduisent le choix du calibrage de l’armement utilisé pour déranger et gêner la vie paisible et rurale de ces régions agraires… Tel calibre pour un four à pain, tel autre pour un silo à grain, là un obus plus gros pour détruire une cave souterraine en pierre où sont stockés de l’alimentaire… Toutes ces images démontrent et prouvent que l’armée turque se conduit en Syrie comme des terroristes d’État, de l’État Islamique précédent ; poursuivant les mêmes techniques qu’ISIS et que daesh, autant d’appellations qui ramèneront toujours aux camps d’entrainements de Ben Laden, à l’armée jihadistes, l’État Islamique français…

L’autorité militaire que revendique toujours encore aujourd’hui Erdogan sur les régions kurdes n’émane pas du « Droit international » mais d’un coup d’État personnel que chaque 1er ministre effectue à son passage au pouvoir sur les Institutions et la Constitution, sinon la situation et la réalité des Kurdes en Turquie ou en Syrie aurait évolué par les conventions collectives de l’ONU et du Droit au débat marxiste, autrement que derrière le masque d’un État Islamique français ; du coup, lui aussi, sans doute protégé par l’OTAN parce que bien militariste et d’un fond religieux rugueux, établi de longue date… Pour la juridiction internationale, il est d’autant plus étonnant qu’elle fasse confiance et accepte une « République de Turquie » issue d’une succession de coups d’État pour cautionner les mesures expéditives employées dans les procédés d’autorité faisant usage de la force policière et armée parce qu’elle n’a pas supporté la hauteur des débats intellectuels entre le marxiste Öcalan et le dictateur Erdogan, ni même avoir daigné enregistrer leur demande légitime démocratique d’Indépendance dans leur manière de penser, de structurer leur vie sociale et économique, de choisir leur appartenance politique.

Abdullah Ocalan

Un Univers sous un autre monde : 58 ans de coup d’État

Si les Kurdes et Öcalan n’avaient pas eu le mérite d’attaquer intellectuellement les régimes militaires successifs de la Turquie religieuse au nom des Droits et des Libertés pour éveiller les consciences turques sur certains manquements à la démocratie, autrement qu’avec du Le Pen ou du « boeuf-carotte » ; telle que démocratiquement les définissaient, dans les Républiques, les Royautés, les Unions d’États ou de Républiques, les Conclusions du Tribunal de Nuremberg en 1946, nous pourrions toujours croire pour la Turquie, à fable du pouvoir réduite de plus en plus au premier coup d’État de 1960, jusqu’au Erdogan d’aujourd’hui, reproduction illimitée de la technique du coup d’État militaire pour parvenir au pouvoir, aux affaires ou à d’importantes fonctions, tout en développant des politiques nationalistes à caractère religieux ou militaire qui finissent par ne plus arriver à se dissocier, à se séparer, à marquer la séparation des pouvoirs qui permettrait d’instituer que la laïcité c’est avant tout le droit de ne pas faire la prière et de ne pas croire aux fables religieuses. Et on oserait parler de laïcité lorsque l’armée ordonne le religieux ou quand le religieux permet d’encourager des déploiements militaires superflus et non-souhaitables, parce qu’ils sont, tous les deux, le militaire et le religieux, fortement ancrés dans la vie publique et les institutions dans des sociétés hiérarchiques où plus de la 1/2 des populations occupe des zones rurales ?… C’est donc principalement dans les campagnes que s’opèrent les changements de régime comme l’a montré autour de Kobanê, l’acharnement avec lequel ISIS s’est installé dans des mosquées pour y installer ses casernes, cantines et maternités dans le but de faire disparaître – dans certains lieus de culte musulman, ils ont assassiné – la religion musulmane multi-confessionnelle, sauvée in-extremis par les Kurdes qui offrirent aux Arabes une Charte démocratique de défense pour les religions pluri-confessionnelles, ce qui permit alors aux YPG/J d’en récupérer quelques unes pour éviter que ne s’instaure une dictature religieuse et militaire dans les Régions de certains districts où Arabes et Kurdes cohabitent parfaitement sans rivalités et travaillent ensemble. C’est là qu’Erdogan, avec son « opération olivier », vient frapper alors qu’il outrepasse – chez lui, en Turquie, il le dépasse – le Droit que lui accorde son pouvoir derrière sa frontière.

Ainsi, chaque coup d’État promet un « autre monde » pour ceux qui travaillent et qui prient, économiquement plus équilibré, un peu comme Macron définirait ce « nouveau monde » qui, bon dieu, ressemble pourtant si étrangement, au demeurant, à s’y méprendre, aux précédents !… Pas grave !… pour ceux qui ont des doutes, l’armée et la police sont là pour arrêter, exécuter et faire taire les esprits contradictoires qui n’en sont pas pour autant moins bien éclairés… Au contraire, le plus souvent, ils concernent l’intégralité de la société et pas seulement une partie uniquement « dirigeante », à qui tout le monde devrait vouer le bon dieu ou Allah sans confessions, sinon ils se risquent aux conversions forcées, aux arrestations ou aux assassinats. Dans les propositions qu’ils présentèrent avec Öcalan à la Turquie puis à l’Union européenne, à propos de l’Indépendance du Kurdistan, demandée au milieu des années 1980 pour une raison bien précise qui est celle de l’incompatibilité politique de leur conception sociale de la démocratie avec des régimes autoritaires militaires ou religieux qui n’en irritaient pas pour autant, plus que ça, les oreilles alors fébriles de l’OTAN, face à l’ampleur des questions de politique mondiale soulevées par un Kurdistan marxiste qui en attendait plus de l’Occident, surtout de l’UE. Quand la force militaire et/ou religieuse prend le pas sur la raison intellectuelle, même si celle-ci en est marxiste, ne peuvent qu’en sortir blocages et gel de la pensée, exécutions arbitraires irraisonnées et suppression de religions, pourtant, elles, tout aussi nécessaires et importantes à la cohésion d’autres sociétés que les coups d’État cherchent à dominer, jusqu’à leur suppression si nécessaire ; semblerait confirmer l’acharnement avec lequel Erdogan attaque les Kurdes, carrément jusqu’au-delà de ses frontières maintenant (nord-ouest syrien), dans un Univers inconnu de son monde.

Se remettre en mémoire la succession des coups d’État en Turquie est absolument nécessaire pour comprendre la stratégie politique du pouvoir militaire et religieux qui fait, sans cesse depuis 1960, soit appel à l’un, soit à l’autre pour présenter chaque fois de nouvelles solutions qui résoudraient les crises économiques, géreraient les Droits et les Libertés, focaliseraient tout autour du ciel et de l’armée pour transformer les carences intellectuelles en pouvoir divin ou militaire ; panacée ultime des dictatures et des pouvoirs mafieux qui s’autorisent ensuite – et dès le début -, à molester, à encourager les meurtres, pratiquer la vindicte et les passages à tabac… Avec la particularité de la Turquie, qu’aujourd’hui, Erdogan cumule toutes les techniques des coups d’État précédents pour faire croire qu’ils auraient disparus, à la différence, qu’à chaque fois qu’un nouveau coup d’État posait l’armée au pouvoir, les méthodes et les techniques devenaient de pire en pire, comme si la folie du pouvoir les rendaient à chaque fois plus violents, cruels et destructeurs, criminels et insultants, au noms, bien entendu à chaque fois, soit de l’un ou soit de l’autre, de Allah et de Dieu… L’armée des juntes leur donnerait-elle tous les pouvoirs que maintenant Erdogan est le seul à détenir dans son pays et par la France, où l’AKP s’est tout aussi facilement implanté que le FN, traduisant ses accointances par la gestion d’un cabinet spécialisé pour les recrutements mixtes d’un État Islamique français à tentative de coups d’État islamistes avortés en Irak et en Syrie ? !… On parle de « révolution(-s) syrienne » mais il s’agit d’un coup d’État islamiste effectué avec des milices, elles-mêmes, islamistes, employées tout autant par le Vatican que par l’islamisme rigoriste du type de celui qui a assassiné dans les mosquées pluri-confessionnelles autour de Kobanê pour y mettre une caserne de « daesh en Syrie », une cantine jouxtée d’une maternité ; ça n’en fait que deux à ma connaissance mais ISIS a procédé ainsi et a dû réitérer ce genre de massacre qui n’est pas innocent dans la manière de forcer la main sur les croyances et les religions multi-confessionnelles… C’est bien joli et beau des « religions multi-confessionnelles » mais si leur hiérarchie et leurs orientations politiques se tournent vers l’extrême-droite uniquement, puisqu’elles n’intéressent qu’elles, l’Islam nationaliste religieux ne peut que rencontrer la violence comme des bouddhistes ou la « police religieuse ». Sous une telle domination, il y a peu de chance qu’un équilibre politique puisse en résulter puisque ce « multi- » ne se réduit en finalité qu’à un cercle de « multi-dictature », étant donné que l’espace religieux, réservé aux confessionnalités, ne tourne plus qu’autour d’un seul flanc politique, bâti en son extrême par la même religion à principes extrémistes, les armées respectives de plusieurs pays et la police conventionnelle à rigueur religieuse en vigueur dans chaque pays où l’autorité et le sécuritaire font « religion » et orientent les pensées ; puisse-t-on alors comprendre que ces procédés de cerclage social laissent peu de place à la raison intellectuelle mais favorisent l’indiscutable et permettent de rejeter bon nombre de débats… En particulier, ceux de l’Arménie et du Kurdistan, toujours autant tributaires de nos armées qui prétendraient leur fabriquer des armées qu’ils n’ont pas et n’ont jamais eu ?… Mais il pourrait historiquement en être pareil pour l’Algérie, le Maroc, l’Egypte ou la Libye…

Pour les Kurdes, les Arméniens et les Turkmènes (…), les Eurasiens et les Caucasiens ; il était clair que derrière la « Religion » se tramait un autre monde autour de leur Univers de paix, nourri de réflexions intellectuelles et de débats mais où la religion ne permettait certainement pas de tout hiérarchiser ainsi pour interdire et massacrer par ce pouvoir militaire, pas toujours forcément légitime, surtout dans une telle succession de coups d’État qui ont forgés la Turquie politique de l’AKP d’Erdogan d’aujourd’hui.

German-Turkish_Treaty_of_Friendship_and_Non-Aggression

Les Kurdes ne peuvent pas rester indéfiniment les otages du coup d’État turc de 1960 ou de 1980

On pourra toujours disserter ou déserter sur les différences ou les similitudes entre un coup d’État, une Révolution ou une « révolution nationale »… La principale restant quand même que la spécificité du coup d’État qui met l’intégralité de l’armée ou une partie seulement, au service d’un groupe politique, présenté comme novateur mais généralement quand même le plus souvent conservateur et religieux, traditionnel et féodal ; solidifie les pouvoirs de police et du religieux contre l’autorité intellectuelle pour laquelle les juntes, les staliniens, les bolcheviques et les extrêmes-droites nationalistes n’ont pour seule réponse que les chars, les bombardements, les arrestations, les déportations, les assassinats, le lynchage ou les exécutions en public, la pratique de la torture, le harcèlement, des conversions forcées, jusqu’à l’éviction des groupes intellectuels vis-à-vis desquels ils étaient venus à cours d’arguments et perdaient progressivement la faible autorité intellectuelle qu’ils exerçaient sur eux par la religion, en les maintenant aux marges ou sous le registre subversif pour mieux les chasser ensuite par l’intervention militaire, policière, religieuse ou/et sociale. Les Révolutions, quant à elles, ne font pas appel à l’armée ou à une religion mais en constituent une par les masses humaines qu’elles mobilisent et drainent pour prendre le pouvoir, néanmoins aussi par un passage au coup de force, si la marée humaine n’est pas amplement suffisante ou si celle-ci a essuyé des tirs des forces de l’ordre avant ; voire une lutte armée engagée en réaction après de multiples exactions, enlèvements ou interventions spécifiques et localisées, organisées pour diminuer leur force intellectuelle,  saisir leurs écrits sur une philosophie différente, légitime et raisonnée, pourtant argumentée du « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes », de la reconnaissance de l’existence des minorités, jusqu’au statut culturel, linguistique, administratif et social, non négociables, par filiation directe aux Conclusions du Tribunal de Nuremberg…

Donc nous voici arrivés à la différence essentielle et primordiale, entre une dictature qui mise ses putschs et ses coups d’État sur l’insuffisance intellectuelle de son argumentaire réduit ; des Révolutions, nourries de philosophies politiques qui par la critique et l’exposition de perspectives économiques et sociales différentes, démontrèrent à partir de la justesse du raisonnement que l’utilisation de la force et le déploiement militaire ne faisaient que prouver l’incapacité à maîtriser un véritable débat intellectuel, violant par la même occasion aussi, directement les Conclusions du Tribunal de Nuremberg de 1946… Toutes ces juntes militaires, d’Erdogan à Le Pen, de Pinochet à Staline au Mur de Berlin et à la « frontière » palestinienne jusqu’à « ISIS France », n’étaient que constructions imaginaires d’une autorité intellectuelle spéculative du juridique, jointe à celle, plus spécifiquement policière, religieuse, et sportive du social ; ainsi qu’à toutes formes de dominance culturelle, à fortiori, si celle-ci s’argumente et prétendrait l’être sur la base des drogues chimiques de Sigmund Freud et de la French Valley (!), voire peut-être sur une plus large échelle temporelle, à l’émergence d’un « État Islamique français en Irak et en Syrie » qui préparerait sous capes par différentes manipulations du ressort des ligues, des loges et de mouvements diverses et variés, un coup d’« État Français islamiste » en Irak, puis en Syrie avec Erdogan et Le Pen ?… Poutine ou Assad ?… L’Histoire peut-être moins, mais les « services secrets » tarderont sûrement à en expliquer les rouages et le processus militaro-étatique qui déclenchèrent un tel carnage à Kurdes en potence, du Sinjar en Irak, à Kobanî en Syrie, préférant sans doute « blanchir » ce qui annihile la réalité intellectuelle au lieu de la sauver, en la faisant passer pour secondaire et la vouer à la main-mise de sociétés mafieuses qui prennent bords sur tous les flancs politiques où tout le monde a un képi pour ami, se suffisant amplement ainsi à leur pensée déviationniste et réductionniste dont ils voudraient établir des niveaux hiérarchiques et intellectuels infondés en les justifiant à coups de fables religieuses, sexuelles, politiques, sociales et donc forcément économiques…

Le coup d’État – contrairement aux Révolutions – a le désavantage de limiter la vie politique à l’armée, à la religion ou à une combinaison des deux, proclamée parti politique au pouvoir mais pouvant aussi parfaitement se faire élire légalement, non sans certaines purges massives au préalable et le passage par un régime militaire autoritaire de quelques mois à plusieurs années. Parfois ces purges ont lieu après l’élection, confirmant au demeurant resté conseiller auprès du parti élu, la nécessité d’utiliser les forces militaires et policières pour solidifier un pouvoir fortement ou faiblement élu et développer des programmes politiques douteux, tels que des lois raciales ou d’autres formes de ségrégation (langues, coutumes, croyances), ce que toute logique démocratique n’aurait jamais autorisée. Dans ces conditions apparaissent concrètement dans quelles impasses politiques et existentielles pouvaient se retrouver les Kurdes après ce premier coup d’État turc du 27 mai 1960 qui a la particularité de mettre en scène un groupe d’officiers évincer le gouvernement : facile de sortir son sabre ou son pistolet devant les parlementaires désarmés du Parti Démocrate de son propre pays pour mettre le général Cemal Gürsel à la place du 1er ministre pro-islamiste Adnan Menderes dont la politique religieuse laisse la célèbre formule « si le peuple le désire, il peut même rétablir le califat » !

Pour le pouvoir de la junte militaire, il devient alors rapidement possible de contester par la force, avec des tribunaux irréguliers et illégaux les prises de décisions économiques antérieures, puisqu’en 1960 c’est pour des motifs économiques et une crise provoquée par le retrait de l’aide américaine qui mit un pays sous pression dans la fragilité, que se déclenchât le coup d’État par réaction de la bureaucratie kémaliste qui sollicite l’armée pour lui venir en aide ; puis, encore plus aisé ensuite, de devenir plus totalitaire encore que n’étaient présentés ceux qu’ils étaient venus remplacer par la force (!)… Entre le Parti Républicain du Peuple et le Parti Démocrate de cette époque, si la différence essentielle repose sur l’interprétation du kémalisme et son influence sociale et laïque ; les résultats religieux et la militarisation dans la société turque, à la prétention d’améliorer l’économie, se valent, puisque tout ça finira d’abord en Parti de la Justice puis en AKP… Plus que difficile aussi se définit l’existence des minorités sous cette constellation de la domination religieuse à laquelle on pourrait opposer nos « guerres de religions dans l’Europe chrétienne », en signe de mise en garde dans la troublante succession des coups d’État en Turquie, où l’économie et l’armée ne sont pas les seules matricielles du déclenchement, bien souvent la religion structure et motive ou apporte sa simple participation à sa réalisation. Quand est-ce que le Monde sortira de telles fables pour instrumentalisations politiques et daignera enfin accorder l’indépendance aux Kurdistans sur des statuts et une résolution qui confirmeraient l’appartenance de l’argumentaire intellectuel d’Abdullah Öcalan aux Tables des Conclusions du Tribunal de Nuremberg auxquelles nous sommes toutes et tous censés appartenir, sauf la France qui s’en est soustraite peut-être ?… Pour mieux préparer un « coup d’État islamique français en Irak et en Syrie » ?… Sommes-nous arrivés à une situation où la configuration du carnage ne permettra même plus de différencier les camps d’entrainement d’al-Qaïda de la France ou des États-Unis, un daesh français d’un daesh ricain ?

Un « prospère islamiste turc, Erdogan », contre le Marxiste Humaniste kurde Öcalan !

Les débuts de la théocratie turque…

Recep Tayyip Erdogan rentre en 1983 dans une toute nouvelle formation politique fraichement créée, le Parti de la Prospérité, sans doute pour alimenter l’insuffisance des réponses religieuses et économiques qui auraient dû être apportées, soulevées et proposées, un an plus tard en 1984, dans le débat intellectuel qui allait s’ouvrir autour des pourparlers d’Öcalan, des Kurdes et de la société turque avec le régime gouvernemental de la Turquie, pour le moment issu d’une autocratie militaire et religieuse du « coup d’État » alors en vigueur, qui oriente la vie politique, sociale, religieuse et intellectuelle, forcément dans une impasse démocratique… Mais la situation insurrectionnelle, mise au pilori, ne vient pas des Kurdes à ce moment-là : elle résulte de la militarisation de la société turque qui ambitionne d’affronter le Kurdistan de la Turquie alors qu’ils vivent tous deux, Kurdes et Turcs, à ce moment-là du coup d’État militaire en 1980 – comme la majorité des Turcs aux confessionnalités religieuses multiples -, sous le joug de la junte du 12 septembre du général Kenan Evren qui pouvait ainsi se maintenir au pouvoir avec son régime militaire dictatorial aux mesures d’exception et aux tribunaux « populaires » et religieux, jusqu’en 1983, avant que les élections législatives du 6 novembre 1983 marquent le retour à un régime civil, tout autant autocratique et arbitraire, loin de toutes « conventions internationales », où le Parti de la Mère Patrie devient majoritaire et prolonge le « système de 1960 issu de la prise du pouvoir par l’armée »… On imagine alors aisément, suffisamment en profondeur ensuite, ce que les Kurdes et certains démocrates turcs comme Fethullah Gülen ou Abdullah Öcalan, purent ainsi subir comme répressions intellectuelle et religieuse, suite à ce coup d’État qui ne pouvait en réalité qu’être dépositaire d’une fausse autorité militaire et donc d’une fausse autorité intellectuelle ; à fortiori d’une fausse autorité sociale et politique. Est-ce donc là, la marque des cancres que d’utiliser systématiquement la force militaire/policière, muée en coup d’État politique, lorsque l’argumentaire intellectuel et historique n’y suffisent plus à consolider et maintenir au pouvoir des responsables qui n’ont jamais été élus au prétexte qu’ils redresseraient une économie qui ne le sera pas ?… Des responsables qui n’ont jamais été élus mais qui prennent le pouvoir quand même, grâce aux coups d’État militaires pour se faire élire ensuite sur une religion unique pour parti unique ou par la répression intellectuelle et politique qu’ils déploient sur les élections, d’une manière ou d’une autre, pour faire taire les forces démocratiques ou toutes formes d’opposition politique intellectuelle qui  pourrait venir en travers de leur route… La situation n’en a pourtant été que plus tendue depuis l’échec de ces négociations de 1984 où la Turquie ne vit « opposition intellectuelle et armée » qu’au travers de la société kurde d’Öcalan et du PKK ; mais c’était contre un coup d’État militaire bien précis, alors en vigueur, non pas contre une société turque qui aurait pu apporter avec ses populations, son ralliement intellectuel aux Kurdes ; que par devoir et pour renverser dans les urnes ce régime autocratique militaire turc qu’exerçait Evren sur Öcalan, les Kurdes et les Turcs, définitivement. Les politiques turcs du coup d’État militaire de 1980 devaient démocratiquement accepter aux Tables des décisions et des négociations, la pensée et les solutions pluralistes du marxiste d’Ankara, Abdullah Öcalan et non pas les réprimer ; à double raison pour des motifs économiques qui remontent, d’une part, à l’irrésolution du volet économique des Conclusions du Tribunal de Nuremberg, entamée dès mars 1946 et, plus récemment, d’autre part, à l’essor du marché de la French des drogues chimiques entre la France, les États-Unis et la Turquie qui constitue certainement l’une des raisons principale du conflit militaire turc avec les Kurdes et un Öcalan qui ne devait sûrement pas accepter que ces produits deviennent l’apanage des armées pour l’héroïne ou du Vatican en ce qui concerne la cocaïne avec au bout, l’émergence de partis nationalistes d’extrême-droite, populistes et fascistes, militaires et d’autorité religieuse supérieure, s’estimant certainement en droit d’adjoindre le nationalisme islamiste au terrorisme révolutionnaire, à dessin de retranscrire, au mieux, la même forme de pouvoir politique infondée d’un quelconque véritable débat rationnel intellectuel, hormis leurs réunions clandestines ; juste la simple appartenance religieuse et sécuritaire qui fonde leur identité, mais n’explique en rien leur refus d’affronter un véritable débat marxiste, autrement que par la force militaire, chaque fois déployée, sur laquelle ils pensent accroître la richesse nationale de leur PIB alors qu’aucune résolution des crises économiques n’est perçue autrement que sous la forme de « petites reprises économiques » ou de légères hausses de la croissance mais sans jamais chercher la solution réelle par une remise en question fondamentale du système économique capitaliste qui pourrait faire prendre conscience de la nécessité du marxisme.

Le débat marxiste est définitivement clos en Turquie et sévèrement réprimé par la nouvelle Constitution établie par des juristes militaires et approuvée par 81% des voix au référendum de 1982 pour permettre d’accroître les pouvoirs de l’armée, prôner la discipline et la hiérarchie auxquelles se prête parfaitement le nationalisme islamiste qui se développe depuis le coup d’État de 1960 qui marque la montée puissante et violente du fanatisme religieux contre les laïcs, les socialistes, les kémalistes et l’extrême-gauche, d’où une tension idéologique permanente entretenue par ce qu’impose le régime militaire sans laisser de choix, ce qui ne pouvait aboutir qu’à des massacres et des attentats. La loi d’exception 2547 concernant la subversion des « idéologies de gauche » est également promulguée dans la foulée de la prise du pouvoir de l’armée en 1980. Les partis politiques sont alors directement visés par l’armée qui cherche à en dissoudre un maximum pour les supprimer ou les transformer : Parti Républicain du PeupleParti de la JusticeParti du Salut NationalParti Nationaliste ; tous sont appelés à se tourner à nouveau vers les principes d’Atatürk mais sans l’occidentalisation et l’armée développe une synthèse turco-islamique entre le nationalisme laïc kémaliste et l’Islam des 98% de musulmans qui composent la population turque dont 80% d’entre-eux vivent en régions rurales des campagnes. Des purges ont lieu, les principaux journaux (CumhuriyetMilliyetHürriyet) sont fermés et les programmes universitaires révisés pour réorienter l’enseignement. Le Sénat est supprimé par les militaires qui estiment suffisante l’existence d’une chambre parlementaire unique, la Grande Assemblée Nationale Turque devenant à la fois les murs du silence de la démocratie et de la république turque, ainsi que les remparts d’une autocratie hiérarchique directionnelle nationaliste et islamiste. Des tribunaux se multiplient et visent à attaquer directement ceux qui porteraient atteinte aux principes fondateurs d’Atatürk mais on ne sait pas réellement sous quels critères et selon quel arbitraire s’établissent les plaintes autrement que sur simple décision du Conseil de Sécurité Nationale rattaché à l’armée qui dicte les règles de l’Assemblée. C’est à ce moment là aussi que fut prise la décision de fixer au seuil de 10% la possibilité pour une formation politique d’avoir le droit d’entrer à l’Assemblée pour siéger ; ce qui explique avec quels efforts Erdogan, les Législatives, il les a jouées deux fois en 2015 (juin et novembre) mais ne parvint, malgré tout, pas à faire descendre le HDP sous ce seuil fatidique des 10% alors il lui a simplement suffit de l’interdire, purement et simplement, prétextant qu’un bon nombre d’entre-eux étaient compromis avec des terroristes et donc passibles d’emprisonnements ou d’assassinats.

Si l’histoire de la Turquie semble mouvementée depuis le premier coup d’État de 1960 jusqu’au retour à un gouvernement civil marqué par les législatives de novembre 1983, elle n’est pourtant pas si complexe, à partir du moment où chaque coup d’État cherche à éloigner les critiques des mouvements marxistes par le renforcement de l’autorité militaire qui permet aussi indirectement de solidifier ainsi le pouvoir religieux, le seul capable de rejeter les débats intellectuels qui soumettent aux critiques l’économie et la politique, non pas pour viser leur destruction mais pour en tirer l’amélioration de l’humaine condition en redéfinissant les investissements et les prises de bénéfices… Mais de 1960 à encore aujourd’hui, on ne peut pas dire que ces régimes militaires dont vient Erdogan furent une réussite économique et c’est, contrairement à ce que prétendaient leurs programmes, vers une augmentation de la pauvreté que les travailleuses et les travailleurs voient évoluer leur vie, à plus forte raison si ils militent pour des politiques marxistes qui les exposent à des poursuites policières et juridiques, si ils ne se font pas assassiner ou molester… Passer comme Erdogan de peines de prison de 6 ans, réduites à 3 ans pour insulte à la religion ou à la nation du régime nationaliste, n’est pas vraiment une preuve de démocratisation ; la réduction des crédits, le gel des salaires, ainsi que la difficulté à rétablir une balance commerciale qui puisse réduire l’inflation et équilibrer le PIB, ne montrent qu’une volonté calculée ou inconsciente à utiliser les recettes de l’Occident mais uniquement au plan économique… Dès qu’il s’agit de philosophie politique comme a essayé de le faire Öcalan avec les Kurdes, s’érigent les murs de l’autorité religieuse qui renvoient les revendications d’égalité face au sens des hiérarchies islamiques qu’il reste à transgresser… La suppression du droit de grève et de manifester en témoignent et si la religion ne rétablit pas l’ordre dans les esprits, il reste les déploiements militaires à l’intérieur du pays comme si politiquement la Turquie devenait l’otage d’une volonté militaire supérieure consubstantielle, conduisant jusqu’à Erdogan, aujourd’hui, qui ne cesse d’encore en abuser dans les régions à forte dominante kurde dans la population ou en Syrie sur Afrin et Kobanî. À y regarder de près, que de similitudes avec les régimes autoritaires nazis et bolcheviques où l’armée et la police déterminent les limites de la pensée intellectuelle, définissent en quoi ce qui n’appartient pas à leur point de vue est rapidement qualifié de subversif, emprisonnent, torturent et exécutent… Peut-être aussi, parallèlement à ce conservatisme autoritaire, politique et religieux, doit-il, sûrement encore aujourd’hui, subsister en Turquie, des parcelles de l’économie turque qui firent d’eux des alliés de la propagande nazie devenue impressionnante à leurs yeux. À voir avec quelle facilité tout le peuple Allemand allait suivre la politique des nazis en achetant massivement et librement dans les pharmacies du reich ces produits liés aux drogues chimiques qu’on appelait Pervitine et Eukodal – équivalents de l’héroïne, de la cocaïne et des extasies aujourd’hui – ; c’était quand même la Turquie qui en fournissait la matière brute !… Mais c’est le peuple Allemand qui s’est précipité dessus, pendant qu’étaient déportés du Reichstag les Communistes d’abord et ensuite les Socialistes, avant qu’elles ne soient distribuées dans la Wehrmacht pour lancer les offensives criminelles d’Hitler. Qu’aujourd’hui la Turquie rêve d’obtenir pour son économie la même possibilité commerciale, non plus seulement avec l’Allemagne nazie de cette époque mais avec l’ensemble de l’Europe contemporaine, n’étonnerait personne… L’opium du peuple?… ce n’est pas que la religion !… C’est aussi une certaine idée de l’autoritarisme politique qui s’appuie sur des réseaux mafieux militaires, religieux et sociaux ; surtout quand il s’impose de lui-même par le développement de réseaux criminels du commerce humain lié aux drogues chimiques. Dans cette configuration, Öcalan apparaît plus comme le symbole d’une lutte contre la mafia en Turquie et en Europe que comme un simple et vulgaire terroriste !… Et Erdogan plus comme le chef d’une mafia politique qu’un Président qui défendrait une pluralité politique vivante, dans une démocratie parlementaire, où ne serait pas ordonné par l’arbitraire autoritaire quelles formations politiques ont le droit d’y siéger.

Depuis cette date fatidique de 1984 et derrière le contexte du dernier coup d’État militaire de 1980 qui marquent l’échec inexplicable des premières rencontres de pourparlers entre les Kurdes et les Turcs qui vivaient pourtant sous la même dictature militaire à ce moment, semble s’étioler la raison intellectuelle contre une autorité militaire doublée de l’autorité religieuse par on ne sait quelle sombre alchimie… Abdullah Öcalan tend la main à un régime politique issu d’une dictature militaire et religieuse qui lui arrache le bras avant que de lui attribuer le ridicule matricule de « terroriste » pour l’enterrer socialement ; « opposant à la dictature militaire et religieuse naissante en Turquie » aurait été préférable comme dénomination aux oreilles de l’ONU et de l’OTAN, censées être les Organisations mondiales dépositaires des Conclusions du Tribunal de Nuremberg de 1946. Au contraire d’une quelconque raison intellectuelle menée par un débat rationnel, deviennent-ils, inversement, les organisateurs de la mondialisation du marché mondial des drogues chimiques avec la Turquie, propice au développement des dictatures religieuses et militaires dont on ne sait jamais sur quels régimes politiques populistes elles peuvent déboucher après avoir emprisonné Öcalan ?

L’exemple de la Turquie, de l’Iran jusqu’au Pakistan ou à l’Afghanistan, témoigne de sociétés qui cimentent la vie politique par l’autorité religieuse où 60% à 80% des populations consomment de l’héroïne essentiellement, de la cocaïne à moindre mesure, espérant ainsi fortifier l’économie au nom de leur 3% possédant et représentatif, ne réussissant pourtant qu’à développer au final « État Islamique français en Irak et en Syrie », gangs mafieux dans les cités, milices islamistes dans la Ghouta orientale, « canaris jaunes » dans le métro lyonnais, école militaro-religieuse française privée où on trouve des mioches de 14 ans – comme dans les jeunesses hitlériennes – préparer des explosifs à base de plastic pour faire sauter des mosquées en France ou en Europe… Le PKK continuant d’être prolongé dans la vie intellectuelle kurde et européenne avec les PIK, PSK, KKP, MLKP, TKP/ML ou DHKP-C ; trouvant malheureusement en Europe et en Occident, quasiment la même haine intellectuelle envers les questions soulevées par le Marxisme et le même mépris électoraliste nationaliste d’extrême-droite lorsqu’il s’agit de dépasser le conservatisme ou d’asseoir leur propre autorité policière par une certaine propagande nationaliste liée à l’hygiénisme moraliste du comportementalisme, nourri de fables religieuses, politiques ou sociales, parfois même cosmiques ; voire la même répression que leur vouent la Turquie de l’AKP d’Erdogan et les partis nationalistes européens de la « French valley », lorsqu’il est question du financement de leurs campagnes électorales locales ou nationales (« cagoules à pistolet » par exemple). Et on s’étonne ensuite qu’il y avait plus de Français dans la rue aux côtés des Espagnols pour gueuler « Franco, assassin » qu’il n’en reste aujourd’hui aux côtés des Kurdes pour crier « Erdogan fasciste ! »

Abdullah_Öcalan

COVID19… Aide humanitaire… distribution territoriale :

La pandémie de coronavirus, résorbée en épidémie, réalise tout le poids de l’importance du système économique, qu’à pris le développement des marchés mondialisés et de l’accord avec les espaces écologiques, dans la gestion de sociétés qui vivent au ralenti dans des périodes de confinement, résiliées en dé-confinement. À peine énoncées les procédures de sortie de l’épidémie du virus COVID19, surgissent déjà des études scientifiques qui redoutent un « prolongement » inévitable vers un Sars-Covid 2 pour l’automne. Ose-t-on espérer une prémonition moins catastrophique, bien qu’il est précisé que ce Sars-Covid 2 serait moins meurtrier et violent que le COVID19 ne l’a été ?… Et si nous nous penchions plutôt sur le secteur économique, tellement plus préoccupant de la réalité des licenciements et cessations d’activités d’entreprises qui ne concernent pas forcément les plus petites d’entre-elles, où les remèdes sont moins scientifiques que ceux de la science ou de la médecine, contrairement à la présomption scientifique qu’on ferait des « sciences économiques », lorsqu’elles ne servent, au bout du compte, uniquement les « banques privées » du capital patronal, parmi lesquelles, les banques estimées « solidaires » sont toutes aussi importantes que les multinationales. Il n’y a pas d’économie générale sans une « petite économie », notamment lorsqu’elle concerne des unités productives de gestion collective en caisses municipales, sans patrons ni banques privées qui sortaient des programmes de politique économique du Conseil National de la Résistance pour organiser l’activité manufacturière, artisanale ou commerciale sur le territoire et permettre ainsi au système de la Sécurité Sociale de s’assurer, sous serment des engagements de l’État, une participation du capital patronal des banques privées à même hauteur que les unités productives en Caisse Municipale, dans les cotisations patronales et les investissements pour les équipements collectifs. Système d’activité productive de taille modeste, qu’aujourd’hui on appelle vite « petites et moyennes entreprises », sans forcément rappeler rapidement qu’elles n’ont plus le choix, ni la possibilité de se rattacher à une « gestion collective » en Caisse Municipale, parmi les propositions faites par la Chambre du Commerce, de l’Industrie, de l’Artisanat et de l’Agriculture lors de leur rattachement, jusqu’à oublier cette possibilité du choix « sans patrons ni banques privées » pour ne plus que tout consacrer aux mains du capital patronal des banque privées.

L’économie n’est pas au plus mal lorsqu’elle est toute orientée vers la satisfaction des millionnaires et des milliardaires, aux mains des multinationales et des lobbies ; l’habitude des licenciements qui se multiplieront et les cessations d’activités en cascade, nous feront croire que nous pouvons certainement pallier au pire, mais pour combien de temps et au bout de combien d’attaques de ce type de pandémie planétaire, pourrons-nous faire front, si un certain nombre de pays se retrouvent bloqués, quelques mois dans l’année ?… Étonnant devient ensuite le rapport que nous pouvons établir avec l’économie mondiale et les pays qui dépendent des aides humanitaires pour la santé, l’alimentation, l’agriculture, l’éducation qui, un peu comme les budgets pour la transition écologique, ne veulent pas être sacrifiés pour colmater ce qui bouscule et bouleverse l’organisation économique dans la crise sanitaire du Covid19. Car qui dit « aides humanitaires mondiales », dit capitalisations, pays « riches » et quand on dit « riches », c’est bien les 3% qui détiennent l’ensemble de toutes la richesse mondiale et que parmi ces 3% des plus riches de la planète, 1% seulement détient tous les capitaux, les cordons de la Bourse et des parcs d’investissements qui permettent quand même à pas mal de gens – cependant, toujours qu’une partie infime de la population totale du globe -, d’être tout de même très riche !… Allez, allons jusqu’à 5 ou 7%, voire 10% de riches, on reste sur 1/10e des populations qui habitent dans tous les pays, surtout là où arrivent les aides humanitaires économiques, bien encadrées par les banques privées du capital patronal ou avec le réseau des « banques solidaires », encore en difficultés pour s’extirper des contraintes et des astreintes liées au type de fonctionnement du capital patronal des banques privées du système capitaliste financier de très grand monopole. Ce même capitalisme de monopole financier, on le trouve déjà en Grèce où l’aide européenne ne parvient pas aux Mèdes qui correspondent pourtant à une organisation administrative distributive territoriale qui n’est pas uniquement censée fonctionner pour le prélèvement des impôts, mais aussi en cas de nécessité de secourir chaque Département, Province, Gouvernorat ou Wilaya, où ces aides financières mondiales doivent arriver. Elles arrivent !… affirment les experts politiques et économiques. Et pourtant, déjà une bonne partie est bloquée quelques temps pour fonds de capitalisation et certains frais de gestion, liés au personnel des fonctionnaires de l’État. C’est qu’il ne faudrait par reproduire indéfiniment ce qui est arrivé en Grèce par la faute de la gestion européenne de l’économie politique, sinon on finira par comprendre et saisir où et comment l’argent dort !… avant qu’une politique de transformation économique du système bancaire privé et des programmations de la politique économique ne vienne mettre un terme aux lenteurs perçues par les Départements/Provinces/Gouvernorats ou Wilayas concernés. Une politique de gestion collective distributive aux Caisse Municipales ou Régionales, selon le découpage déjà prévu par l’organisation administrative territoriale en vigueur des pays concernés !