Macron ne fait pas une « économie de guerre », il poursuit celle des banques privées du grand patronat du capital industriel !… puisqu’il n’y a plus de gestion collective…

Quand on parle d’économie de guerre, on remonte automatiquement au volet économique de l’économie mondiale, ouvert à Nuremberg le vendredi 1er mars 1946 pour en remettre sur la table que deux mondes allaient désormais s’affronter. Celui des banques privées, constitué du capital patronal, très petit, insignifiant par rapport à celui de gestion collective appartenant à la coalition des Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales, réunies par le Général Leclerc en la circonstance, venue du monde entier (Asie, Europe, Afrique et des Amériques). La question est donc la gestion partagée entre banques privées du capital patronal ou la Caisse Municipale de gestion des Corps de métiers, de leurs délégués, responsables, départementaux, nationaux, internationaux et mondiaux ; bien plus nombreux que les patrons du capital industriel de l’état-major qui voulait reproduire le même système économique que leur offrirait leur « butin de guerre » avec la même manière et des procédés identiques pour en rentabiliser la matière boursière pour fabriquer – non plus des nazis – mais des patrons politiques et militaires, civils ou en uniformes ; tandis qu’attendait la coalition des comités ouvriers et de directions de Leclerc pour présenter sa demande de monnaie unique mondiale pour un monde de paix, structurées en unités productives de gestion collective sans patrons ni banques privées, où les banques privées qui avaient fait les 2 guerres mondiales seront remplacées par la Caisse Municipale unique, la même pour tout le monde, à développer dans chaque corps de métiers, sur chaque Département, Provinces, Gouvernorats, États pour laisser les militaires et leurs patrons mercenaires dans leur caserne qui développaient jusqu’ici, les guerres, pour enrichir leur capital patronal sur les tonnes de cadavres qui nourrissaient les banques privées.

Pour nous, en France, on partageait la faille, souvent entre pouvoir et opposition politique pour trancher entre une forme de moitié / moitié ; histoire de préserver une certaine forme de « neutralité économique, militaire et politique », à l’intérieur de la « Banque de France » entre la gestion collective des unités productives d’exploitations par corps de métiers de la Caisse Municipale des manufactures, artisanats, exploitations agricoles, ateliers des communautés urbaines, équipement collectifs de type écoles, piscines, stades, bibliothèques, musées, hôpitaux civils… jusqu’aux casernes de pompiers ; l’autre moitié étant « réservée » au capital patronal des banques privées qui développait ses petites infrastructures artisanales à côté du grand capital industriel des constructions automobiles, probablement une partie du fret maritime, aérien ou ferroviaire, plus tard le nucléaire, la filière bois et le TGV, en volant probablement la part collective puisque lorsque disparut la Caisse Municipale pour fabriquer quelques banques privées supplémentaires, ce ne fut que pour augmenter de quelques milliardaires et millionnaires de plus ; un peu moins renforcer le salaire des ouvriers, garantir les emplois et leur logement ou leur augmenter le niveau de vie. Fut-elle braquée, a-t-on assassiné pour s’emparer des parts boursières collectives de la Caisse Municipale des ouvriers et des directions politiques et syndicales, puisqu’elles basculèrent comme par miracle, dans les poches des parts d’actions du capital patronal après 1972. Ainsi, ils n’avaient plus à diviser par deux, la rentabilité des deux formes de modèle gestionnaire que nous pratiquions depuis la sortie du volet économique de Nuremberg, avant qu’au bout d’une semaine, l’état-major et le capital patronal des salons mondains en civils étaient venus rosser la délégation du Général Leclerc, constituée des coalitions des Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales de Français, Espagnols, Maghrébins, Africains et Asiatiques, tout de même un peu surpris de découvrir que leurs frères soviétiques étaient surveillés jusque là – et ensuite, allèrent encore le rester longtemps dans les usines, manufactures et ateliers – par des soldats en uniformes, armés de fusils et que leur « Commissaires du peuple », malgré leur apparence de civils en costume cravate, étaient des « officiers » du régime, de la dictature, monarchie ou démocratie qui allaient continuer d’assassiner et de développer la guerre. C’est bien ce qui se produisit malheureusement après la fête des vendanges de 1972, après la disparition de trois personnes retrouvées en cadavres 48 ans après, facilement transformables en os de chien, au moment du « basculement » où l’économie de la Banque de France qui avait deux jambes ou deux bras, se retrouva avec le pied unique du capitalisme d’exploitation ouvrière du capital patronal, alors qu’ils venaient d’anéantir toute forme d’économie égalitaire et partagée des caisses municipales de la nation et de la patrie que géraient les Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales, politiquement du côté du volet économique de Nuremberg en opposition au capital patronal et de son état-major, rarement au pouvoir après 1972. Ça donne De Gaulle qui ordonne au Général Leclerc de l’attendre à 35 mn à 40 km de Paris, le bloquer une fois arrivé dans la ville en 1944, alors qu’il veut foncer vers la prison où étaient retenus des officiers français car un grand rendez-vous mondial allait les attendre à Nuremberg, un an plus tard, le temps de libérer l’Allemagne. Les patrons et les ouvriers au combat, en tant de guerre ; ce n’est plus la même chose, une fois leur capacité politique certifiée en Caisse Municipale par coalitions des Comités, d’assassiner l’une par avarice de l’autre, plus dominatrice et patronale, que directionnelle et ouvrière d’égalité.

Une copine à Macron dans l’auberge des Pyrénées

Mon oncle de Nuremberg

Oublions les caisses municipales de gestion municipale, gloire au capital patronal des banques privées d’assassinats, d’attentats et de terrorisme pour mettre leurs chefs au pouvoir

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