Vers où doivent aller les efforts qui résorberont la pandémie du COVID19 ?

Ce sont surtout les banquesPrivées qui se « resynchronisent » pour sauver les restes finissant du capital patronal d’un systèmeCapitaliste usé, à remodeler, pour définitivement fermer les comptes du capitalocène du dérèglementClimatique et ouvrir le vaisseau de l’arborescence de l‘écocène pour affronter la criseClimatique par une réforme en profondeur du systèmeBancaire qui abolira l’équation des banques privées et rouvrira « la même banque pour tout le monde », la Caisse Municipale, sans patrons ni banque privée, mais en CorpsDeMétiers, responsabilisés, qui pourront empêcher Pietraszewskov d’aller fabriquer un millionnaire pour la macronie avec les CaissesDeRetraite collectives en les hyper-privatisant vers une banque étrangère (BlackRock) !

La gestion collective ne suppose pas de supprimer des banques privées mais de garder l’intégralité du vaisseau de l’économie, des finances, de l’action et des comptes publics pour en resserrer la gestion en virant les Balkany qui se cachent dans les tubulures, les circuits, les tuyaux, les passerelles entre les bâtiments, la cale, la cantine et la salle des machines qui jusque là, existaient et opéraient par l’intermédiaire de leurs multiples banques privées disponibles sur le pont ; alors qu’avec « la même banque pour tout le monde », la Caisse Municipale, ils pratiqueraient probablement un peu moins la fraudeFiscale d’évaporation à destination de leurs paradisFiscaux… et, feraient sans doute, un peu plus d’écologie !

La relanceÉconomique prévue, vise-t-elle une poursuite de la guerreÉconomique du systèmeCapitaliste, engagée depuis 1/2 s. ou envisage-t-elle l’économieDeGuerre refondatrice du systèmeBancaire de gestionCollective, capable de fusionner l’économie par la « gestion collective » de toutes les banquesPrivées, fusionnées en une seule, – la même banque pour tout le monde, la Caisse Municipale -, issue du « volet économique de Nuremberg » et des programmes de politiqueÉconomique sortis du ConseilNationalDeLaRésistance, établissant le droit de se structurer en Unités d’exploitation productives collectives sans patrons ni banquePrivée, avec des délégués et des responsables municipaux, régionaux, nationaux, internationaux et mondiaux, sans l’extrêmedroite du capital patronal des banques privées de Ben Laden, de Le Pen, d’Erdogan ou de Poutine !

« Depuis plusieurs mois je cite comme référence le Conseil National de la Résistance. Ce n’était pas un casting mais un projet de reconstruction de la France. Il faut remplacer la technocratie et le pouvoir solitaire par la créativité. C’est le seul chemin pour la reconstruction. » – Yannick Jadot BFMTV COVID19
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Le ConseilNationalDeLaRésistance c’est le « volet économique de Nuremberg », le généralLeclerc !… C’est pas De Gaulle, c’est pas Le Pen, Giscard, Mitterrand, Sarkozy, Chirac, Hollande ou Macron… C’est les CorpsDeMétiers face au capital patronal des BanquesPrivées de l’occupation et des miliciens du régime de Vichy d’extrêmedroite qui déportaient, torturaient et assassinaient pour la collaboration active ; que De Gaulle n’a pas voulu envoyer s’expliquer à Nuremberg.

Le CNR c’est la gestionCollective des Corps de Métiers en Caisse Municipale – la même banque pour tout le monde – face au capital patronal, structurée en Unités productives d’exploitation sans patrons ni banquePrivée sans qui, la SécuritéSociale n’aurait jamais vu le jour !

« On a besoin de se projeter dans une vie sociale et économique et il va falloir faire preuve d’intelligence collective »
Yannick Jadot
#BFMpolitique

L’intelligenceCollective reviendra avec une gestionCollective des CorpsDeMétiers sans patrons ni banquePrivée – en Caisse Municipale, la même banque pour tout le monde – pour organiser l’économieDécarbonée et l’arracher au seul et unique capital patronal des banquesPrivées.

« La même banque pour tout le monde ! »

Les programmes de politiques économiques du capital patronal des banques privées qui ont fait basculer, depuis un demi siècle, l’économie de gestion collective des Corps de Métiers sans patrons de la Caisse Municipale« la même banque pour tout le monde » -, issue de la politique économique du Conseil National de la Résistance auront fort à faire de répondre à combien ils prélèvent d’évasion fiscale et mettent de côté en paradis fiscaux, sur le développement économique collectif qui leur sert à entretenir leurs milliardaires et leurs millionnaires ?

Les programmes de politiques économiques du capital patronal des banques privées qui ont fait basculer, depuis un demi siècle, l’économie de gestion collective des Corps de Métiers sans patrons de la Caisse Municipale« la même banque pour tout le monde » -, issue de la politique économique du Conseil National de la Résistance auront fort à faire de répondre à combien ils prélèvent d’évasion fiscale et mettent de côté en paradis fiscaux, sur le développement économique collectif qui leur sert à entretenir leurs milliardaires et leurs millionnaires ?

L’intérêt général se transforme rapidement en intérêts privés des quelques uns qui possèdent quasiment l’intégralité des richesses collectives de ce qui devrait constituer la somme du travail de toutes et tous, restant aux mains de toutes et tous pour une gestion collective en Caisse Municipale, sans patrons, au lieu de s’évaporer dans les banques privées d’État au monopole du capital. Chaque pays, dès son entrée dans la « zone Euro » – et l’Union européenne dans son intégralité – aurait dû comprendre cela tout de suite, que « la même banque pour tout le monde » dans chaque pays, les poseraient plus forts sur les marchés internationaux et permettait de préserver les notions de « gestion collective » et de « Caisses Municipales ». Au lieu de cette démarche collective, l’Union européenne sombre dans des banques privées qui s’agglutinent, bénéficiant, elles, rapidement des bénéfices que leur apporte le passage à l’€ ; coûtant d’autant plus cher qu’il y a de banques privées par pays, qui vendent pourtant les mêmes produits (Assurances, Immobilier, Services, bien de consommation, produits alimentaires…), mais en séparent la gestion pour l’individualiser autour de prélèvements énormes et nourrir les milliardaires et les millionnaires. Hors, le passage à l’€ pour un pays, aurait eu mieux à faire de travailler et de livrer concurrence avec les banques étrangères et les autres monnaies mondiales, au lieu de s’affronter sur le même territoire en plusieurs banques privées pour finalement, au bout, favoriser plutôt les $ que le Rouble ou le Yuan, les Pesos ou le Bolivar, voire l’Éco africain de demain. L’essorage fiscal pouvait amplement se développer et nourrir des États européens, peu soucieux d’arriver en gestion collective sur les marchés européens avec la même banque pour tout le monde de chaque pays qui couterait d’autant moins cher qu’il y avait de banques privées avant, dans chacun de ces pays !

PATRONAT – Le blog de Plantu

Économie de guerre – économie collective – Caisse Municipale sans patrons ni banques privées…

Pour parer à la crise économique que la pandémie de coronavirus COVID2019 fait endurer à l’économie mondiale, encore faudrait-il se souvenir de « qu’est-ce qu’une économie de guerre » – puisqu’on nous parle de guerre. Au sens d’une mobilisation générale des forces humaines productives qui peuvent partir au front, avec l’espoir qu’il y ait le moins de victimes possibles, affectées plus ou moins gravement par ce virus, produit par la corrélation d’un paramètre animalier, associé à un vecteur humain pour se développer et se propager. Qui dit mobilisation humaine, implique également une mobilisation collective des moyens financiers. Une gestion au bouillon, toujours entre les mains du capital patronal et des banques privées, dans une situation de confinement, ne vaudra jamais la gestion collective en une seule Caisse Municipale vers laquelle toutes les banques privées devraient basculer aujourd’hui.

Au sortir de la guerre qui nous ramène à notre partie du « volet économique », ouvert à Nuremberg le 1er mars 1946, nous sommes sur notre territoire en présence d’une Banque de France qui a deux jambes et après 1972, 1973 et Giscard à l’Élysée en 1974, elle n’en a plus qu’une pour sombrer dans l’accumulation de la dette que renforce le monopole de gestion patronale par banques privées, tous nourris à la même cuillère capitaliste. Notre gestion collective d’unités productives d’exploitations sans patrons ni banques privées, de retour de Nuremberg – sans avis favorable de l’état-major et du capital patronal d’opter pour une monnaie unique mondiale – s’empressa pourtant, dans de nombreux pays du monde, d’encourager de se structurer autour de la décision des Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales du « volet économique » d’aller et de rester en « gestion collective » par « Caisse Municipale » sans patrons ni banques privées. Avec les actions boursières correspondant à la gestion collectives de nos unités productives collectives, nous étions bien au-dessus de ce que véhiculait les banques privées du capital patronal qui fabriquaient déjà des millionnaires et des milliardaires pendant que la Caisse Municipale reconstruisait le pays avec ce qu’il restait du Conseil National de la Résistance du Général Leclerc qui avait emmené les Comités d’Ouvriers et Directions politiques et syndicales à Nuremberg pour y convoquer De Gaulle, expliquer le « pourquoi préférait-il régler cela chez-lui » en France et ne voulait pas participer à ce grand tribunal international de Nuremberg pour y juger les criminels nazis, les faits de collaboration actives français de l’extrême-droite et le comportement spécifiques des miliciens français ?… Sans doute préférait-il conserver et ne pas juger son capital patronal des banques privées et ne soutenait-il déjà moins l’esprit de la Résistance qui allait donner par la suite sur le terrain, la structuration en Caisse Municipale collective des Unités productives de Résistance du CNR, sans patrons ni banques privées, pour entrer à la Banque de France à côté du capital patronal industriel des banques privées, à même égalité des parts boursières de cotations pour une économie partagée entre deux modes de gestion, l’un capitaliste des banques privées, l’autre collectif des caisses municipales. Toutes et tous devenaient capitalistes des banques privées dans l’amnésie totale de l’histoire réelle et collective sur un terrain organisé en unités productives d’exploitations, sans patrons ; mais avec des délégués, des responsables municipaux, nationaux, internationaux et mondiaux d’une Caisse Municipale qui faisait pendentif au capital industriel patronal des banques privées, à la Banque de France !

Que reste-t-il aujourd’hui ?… N’y a-t-il plus qu’une armada de banques privées et de capital patronal industriel qui gèrent l’économie mondiale ?… Qu’est-ce qu’est devenue cette Caisse Municipale de gestion collective d’un fonctionnement et d’un mode de gestion sans patrons dont nous aurions grandement besoin pour faire face à la crise sanitaire, sociale, climatique et bancaire que nous allons affronter, sans savoir comment basculer vers une économie de guerre, autrement qu’en réquisitionnant les banque privées pour en faire toutes les caisses publiques que constituaient toutes les caisses municipales de gestion collective sans patrons. Nationaliser ne sert à rien et garde le même patronat qui s’occupe de sa tirelire, tandis que le modèle de Caisse Municipale – la même pour tout le monde – met à l’horizontale toutes les banques privées qui gardent les bâtiments et leurs salariés mais s’orientent vers un type de « gestion collective » différent pour ne plus être patronale de banques privées ; mais des antennes, des unités de la Caisse Municipale, en remplacement de toutes les étiquettes BNP Paribas, Crédit Mutuel, Crédit Agricole, Caisse d’Épargne, Banque Populaire deviennent toutes des « caisses municipales » !

Macron ne fait pas une « économie de guerre », il poursuit celle des banques privées du grand patronat du capital industriel !… puisqu’il n’y a plus de gestion collective…

Quand on parle d’économie de guerre, on remonte automatiquement au volet économique de l’économie mondiale, ouvert à Nuremberg le vendredi 1er mars 1946 pour en remettre sur la table que deux mondes allaient désormais s’affronter. Celui des banques privées, constitué du capital patronal, très petit, insignifiant par rapport à celui de gestion collective appartenant à la coalition des Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales, réunies par le Général Leclerc en la circonstance, venue du monde entier (Asie, Europe, Afrique et des Amériques). La question est donc la gestion partagée entre banques privées du capital patronal ou la Caisse Municipale de gestion des Corps de métiers, de leurs délégués, responsables, départementaux, nationaux, internationaux et mondiaux ; bien plus nombreux que les patrons du capital industriel de l’état-major qui voulait reproduire le même système économique que leur offrirait leur « butin de guerre » avec la même manière et des procédés identiques pour en rentabiliser la matière boursière pour fabriquer – non plus des nazis – mais des patrons politiques et militaires, civils ou en uniformes ; tandis qu’attendait la coalition des comités ouvriers et de directions de Leclerc pour présenter sa demande de monnaie unique mondiale pour un monde de paix, structurées en unités productives de gestion collective sans patrons ni banques privées, où les banques privées qui avaient fait les 2 guerres mondiales seront remplacées par la Caisse Municipale unique, la même pour tout le monde, à développer dans chaque corps de métiers, sur chaque Département, Provinces, Gouvernorats, États pour laisser les militaires et leurs patrons mercenaires dans leur caserne qui développaient jusqu’ici, les guerres, pour enrichir leur capital patronal sur les tonnes de cadavres qui nourrissaient les banques privées.

Pour nous, en France, on partageait la faille, souvent entre pouvoir et opposition politique pour trancher entre une forme de moitié / moitié ; histoire de préserver une certaine forme de « neutralité économique, militaire et politique », à l’intérieur de la « Banque de France » entre la gestion collective des unités productives d’exploitations par corps de métiers de la Caisse Municipale des manufactures, artisanats, exploitations agricoles, ateliers des communautés urbaines, équipement collectifs de type écoles, piscines, stades, bibliothèques, musées, hôpitaux civils… jusqu’aux casernes de pompiers ; l’autre moitié étant « réservée » au capital patronal des banques privées qui développait ses petites infrastructures artisanales à côté du grand capital industriel des constructions automobiles, probablement une partie du fret maritime, aérien ou ferroviaire, plus tard le nucléaire, la filière bois et le TGV, en volant probablement la part collective puisque lorsque disparut la Caisse Municipale pour fabriquer quelques banques privées supplémentaires, ce ne fut que pour augmenter de quelques milliardaires et millionnaires de plus ; un peu moins renforcer le salaire des ouvriers, garantir les emplois et leur logement ou leur augmenter le niveau de vie. Fut-elle braquée, a-t-on assassiné pour s’emparer des parts boursières collectives de la Caisse Municipale des ouvriers et des directions politiques et syndicales, puisqu’elles basculèrent comme par miracle, dans les poches des parts d’actions du capital patronal après 1972. Ainsi, ils n’avaient plus à diviser par deux, la rentabilité des deux formes de modèle gestionnaire que nous pratiquions depuis la sortie du volet économique de Nuremberg, avant qu’au bout d’une semaine, l’état-major et le capital patronal des salons mondains en civils étaient venus rosser la délégation du Général Leclerc, constituée des coalitions des Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales de Français, Espagnols, Maghrébins, Africains et Asiatiques, tout de même un peu surpris de découvrir que leurs frères soviétiques étaient surveillés jusque là – et ensuite, allèrent encore le rester longtemps dans les usines, manufactures et ateliers – par des soldats en uniformes, armés de fusils et que leur « Commissaires du peuple », malgré leur apparence de civils en costume cravate, étaient des « officiers » du régime, de la dictature, monarchie ou démocratie qui allaient continuer d’assassiner et de développer la guerre. C’est bien ce qui se produisit malheureusement après la fête des vendanges de 1972, après la disparition de trois personnes retrouvées en cadavres 48 ans après, facilement transformables en os de chien, au moment du « basculement » où l’économie de la Banque de France qui avait deux jambes ou deux bras, se retrouva avec le pied unique du capitalisme d’exploitation ouvrière du capital patronal, alors qu’ils venaient d’anéantir toute forme d’économie égalitaire et partagée des caisses municipales de la nation et de la patrie que géraient les Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales, politiquement du côté du volet économique de Nuremberg en opposition au capital patronal et de son état-major, rarement au pouvoir après 1972. Ça donne De Gaulle qui ordonne au Général Leclerc de l’attendre à 35 mn à 40 km de Paris, le bloquer une fois arrivé dans la ville en 1944, alors qu’il veut foncer vers la prison où étaient retenus des officiers français car un grand rendez-vous mondial allait les attendre à Nuremberg, un an plus tard, le temps de libérer l’Allemagne. Les patrons et les ouvriers au combat, en tant de guerre ; ce n’est plus la même chose, une fois leur capacité politique certifiée en Caisse Municipale par coalitions des Comités, d’assassiner l’une par avarice de l’autre, plus dominatrice et patronale, que directionnelle et ouvrière d’égalité.

Une copine à Macron dans l’auberge des Pyrénées

Mon oncle de Nuremberg

Oublions les caisses municipales de gestion municipale, gloire au capital patronal des banques privées d’assassinats, d’attentats et de terrorisme pour mettre leurs chefs au pouvoir

« Climat économique »…

Maintenant que nous sommes aux pieds des murs, face au capitalisme destructeur d’un mode productif devenu écocidaire par l’économie de prédation à hyper-capitalisation bancaire, peut-être pourrions-nous remonter au basculement 1er d’une économie qui fut mal comprise, probablement oubliée à Nuremberg en mars 1946, au bout d’une bonne semaine de délibérés dans les tribunaux civils qui rassemblaient les Corps de Métiers et les intellectuels autour de multiples thèmes, dont évidemment celui du « volet économique » qui vit une machine à écrire prêtée par le Général Leclerc, atterrir dans un musée américain, sans aucune autre précision supplémentaire et les quelques centaines de feuillets dactylographiés, concernant la « demande d’une monnaie unique mondiale pour un monde de paix », remise le 1er mars sur le bureau des jurés, traduits dans les différentes langues majeures ; disparaître mystérieusement dans les archives secrètes des États-Unis. Voir si l’Union Soviétique a obtenu sa version, la France la sienne et surtout l’Allemagne, reste aussi une question sans réponse puisque l’état-major décide au cours de ce volet économique, de faire de sa prise de guerre, la reproduction de leur système économique à venir, confondant trop rapidement avec les Corps de Métiers, le grand patronat industriel de la guerre, ou ne considérant que celui des armées !… 

Passé le refus d’une monnaie unique mondiale, on voit bien que l’état-major se distancie des Corps de Métiers et qu’il compte, sans discuter, gérer le monde économique du travail et des ouvriers, uniquement avec le grand patronat industriel, loin des Corps de Métiers constitués à Nuremberg, en coalition de Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicales, orientée déjà en « ni droite, ni gauche » ou « avec des droites et des gauches » qui avaient combattues l’extrême-droite avant, pendant et allaient la combattre aussi ensemble, après la guerre. Le capital avait déjà les dents longues, à peine la guerre finie. Mais cela n’empêcha pas bon nombre de municipalités, un peu partout en Europe, de se structurer en « unités productives de gestion collective d’exploitations sans patrons », nul autre que la caisse municipale et la municipalité qui géreront collectivement, en comités d’ouvriers et de directions politiques et syndicales, des manufactures de textile, des brasseries, des mines, les sols agricoles (vignes, vergers, élevages), des scieries et des tanneries municipales, des orfèvres et des bijoutiers municipaux. Cela ne perturbait en rien les activités du grand patronat industriel ou celles des petits patrons à banques privées et comptes individuels qui voulaient déjà rejeter la « caisse municipale collective » pour se livrer à une guerre économique entre banques privées, possédant chacun la sienne, alors qu’aujourd’hui, on aurait raison d’y revenir à cette « caisse municipale », face au réchauffement climatique, pour décider collectivement des investissements et des objectifs communs de réduction des gaz à effet de serre à pratiquer qui, par trop d’émissions de CO2 maintenues, ramèneraient une hausse des t°, supérieure à la moyenne autorisée pour la survie des espèces vivantes et un climat vivable. 

Tant qu’on n’aura pas changé de modèle/système économique, on ne pourra jamais savoir jusqu’où l’équilibre collectif d’une gestion partagée entre Corps de Métiers, caisses municipales et « unités de production de gestion collective sans patrons » auraient pu se prolonger lorsqu’elles furent arrachées par des investisseurs boursiers, dans le soudoiement, les disparitions, les arrestations et les contrôles d’identité qui se multiplient dans la fièvre du capitalisme. En est-on sûr qu’on n’en sait rien ?… Des ateliers municipaux aux hôpitaux civils, de nombreux corps de métiers travaillaient « sans patrons » avec des délégués, des contremaîtres, des chefs d’ateliers et des responsables municipaux, avant le basculement giscardien qui fait gérer ces structures d’équipements collectifs, en y introduisant des patrons, sans doute pour manager les services publics… Et sinon, où seriez-vous allés à l’école, dans les piscines l’été, dans les stades municipaux, les théâtres et les musées municipaux, s’ils n’étaient le fruit d’une gestion collective municipale, complétée par les patrons privés à banque individuelle ?

Une entreprise n’est pas une unité productive de gestion collective d’exploitation sans patrons !

Ici ou là, on entend parler d’une époque où fleurissaient les unités productives de gestion municipale collective d’exploitations, sans patrons mais avec des délégués municipaux, des responsables d’ateliers, structurées en comités d’ouvriers et de directions politiques et syndicales, dont le bénéfice d’exploitation devenait automatiquement collectif pour servir à développer les infrastructures, elles aussi, collectives, au lieu de capitaliser leurs gains dans des banques privées ; cela n’empêchant pas la caisse municipale de fonctionner dans les parcs boursiers… Qui n’a pas mis les pieds dans une école, une piscine, une crèche, une bibliothèque, municipales pour s’en rendre compte ?… Jusqu’aux Musées municipaux et aux casernes de pompiers, de nombreuses infrastructures collectives municipales n’auraient pas pu se développer de 1947 à 1972, si elles n’étaient appuyées par ces unités productives qui estimaient qu’avoir de bons salaires et de bonnes infrastructures collectives, tout en payant moins d’impôts, valait mieux que tout faire passer et mettre en capitalisation, dont au bout, on ne sait jamais ce qui reviendra en retours aux municipalités pour la fête du village, la kermesse scolaire, le financement de pôle emploi ou la sécurité au 14 juillet. Ces unités productives d’exploitation collective sans patrons et à gestion municipale, se structuraient en comités d’ouvriers et de directions politiques et syndicales pour y faire rayonner les Corps de Métiers, les savoir-faire et les échanges internationaux dans chaque département, sous la forme d’une économie directe d’après-guerre de reconstruction, dans un fonctionnement collectif sans patrons. Ce n’est pas le cas des grandes entreprises industrielles comme Citroën, Peugeot ou Renault, ces grands constructeurs automobiles – encore qu’on ait connu des « garages municipaux », avant que chacun devienne patron -, dont le basculement giscardien économique, ne cessera d’essayer de détruire toutes possibilités de valider les revendications syndicales de la classe ouvrière auprès du Conseil Constitutionnel, en rejetant ces comités d’ouvriers et de directions politiques et syndicales, structurées en unités productives collectives à gestion municipale d’exploitations sans patrons ; aux cagibis des vestiaires, à l’étage d’en-dessous, au bâtiment d’à côté, voire carrément au bistrot du coin ou dans des réunions à domicile chez des particuliers. Une certaine idée de la vie publique, politique, culturelle et sociale s’effondrait malheureusement déjà et il n’était pas étonnant, d’entendre Giscard se faire traiter de « calife », dans la presse et les dessins humoristiques !… La caricature n’allait pas tarder à gagner la réalité… en 1980 déjà, les poches sont vides !

Ces « unités productives d’exploitations sans patrons à gestion collective municipale » qui fonctionnaient de 1947 à 1972, n’avaient rien à voir avec des entreprises visant un capitalisme d’État ou une gestion collective étatique comme en union soviétique ou destinée à servir de support à des patrons politiques comme ce sera le cas avec Giscard en 1974 qui veut faire vivre la France à l’heure américaine, ou encore celui du Parti Socialiste 1969 qui devient rapidement la première copie de la coalition écologiste, socialiste et communiste ; voire même l’apparition du Front National en 1972, qui représente une extrême-droite qu’on croyait définitivement enterrée par les Conclusions du Tribunal de Nuremberg, au souhait de ne plus jamais la voire réapparaître dans les urnes dans toute l’Europe, sous sa forme archaïque de politique militaire, désireuse de diriger les démocraties et la Constitution par l’armée comme dans la Turquie d’Erdogan aujourd’hui. Ainsi l’économie de notre pays était parfaitement équilibrée, entre d’un côté les entreprises privées capitalisées dans des banques également privées ; opposées et rivalisant avec un modèle économique beaucoup plus égalitaire, basé sur une gestion collective à partir d’une caisse municipale, structuré en unités productives d’exploitations sans patrons, qui finançaient directement les infrastructures collectives par leurs bénéfices, ce qui, en retours, leur permettait de payer moins d’impôts étant donné que ces structures collectives d’exploitation sans patrons participaient à l’édification des équipements collectifs et ceci, jusqu’aux hôpitaux civils !… Ainsi définie, la culture économique pouvait marcher sur ses deux pieds et il n’était pas compliqué de s’apercevoir que les structures capitalisées, à même valeur productive sur une moyenne du rapport entre la qualité et la surface, n’étaient pas spécialement plus riches que les unités productives collectives sans patrons ; à la nuance près, que l’équivalant patron possédait un peu plus d’épargne individuel, dans lequel par la suite, ils ne toucheront pas pour financer les grands projets d’État du nucléaire, du TGV, préférant saisir les fonds collectifs produits par les unités d’exploitations sans patrons, maintenant que les équipements d’infrastructures collectives s’étaient suffisamment développés entre l’après-guerre et mai 68, ils pouvaient manipuler en l’orientant pour de la capitalisation boursière, la part du capital collectif qui passait directement pour l’édification des écoles, des piscines, des bibliothèques, des théâtres et des musées, jusqu’aux casernes de pompiers ; rompant ainsi et mettant définitivement un terme à toute décision collective sur les orientations économiques qui pouvaient jusque-là émerger de ces comités d’ouvriers et de directions politiques et syndicales qui étaient respectés, non sans douleur lorsqu’on parle de soudoiement, de dessous de table ou de petits arrangements entre amis, ou bien carrément des  « dix ans de résistance dans le textile en Alsace et dans les Vosges » où beaucoup de manufactures relevaient d’une gestion municipale collective. La filière bois dans les Vosges, à la même période, elle par contre, ne tient pas dix ans comme dans le textile et cède beaucoup plus rapidement ; en deux ans tout est dévasté et ne restent que licenciés et scieries désaffectées. Alors le capitalisme, à y regarder de près, n’aurait jamais dû égratigner par la force nos unités productives d’exploitation à gestion collective sans patrons pour mettre en valeur ses petits patrons privés individuels, la plupart du temps avec un petit drapeau politique d’un parti de patrons, hégémonique et unique qui rompait avec la coalition, avec évidemment, le petit compte bancaire à blanchiment adéquat, faisant facilement croire à leurs militants qu’il est si facile de devenir riche dans le capitalisme qui allait mettre Giscard au pouvoir en 1974. Le destin des sociétés s’en trouvait transformé et aux bons salaires pour de bonnes infrastructures collectives avant que tout boursicote, allait se développer la fable boursière intégrale, au profit de l’appauvrissement de nombreuses communes dont la petite économie locale éprouvait les pires difficultés à suivre les lois de l’investissement de masse qui s’empressait de se détourner du fonctionnement égalitaire et sans dette de nos unités productives d’exploitation sans patrons à gestion municipale qui leur demandaient, avant d’aller placer en bourse les bénéfices nets réels de la productivité – une fois les salaires et les infrastructures d’équipements collectifs opérés -, de ne pas toucher à ce modèle de gestion collective qui constituait une partie entière de l’économie française entre 1947 et 1972. Encore plus étrange est que ce type de modèle de gestion collective ne fut pas enseigné dans les universités des sciences économiques. Comprendre que dans les instituts privés d’enseignement de l’économie, c’est hors de question et estimer que la gestion collective sans patrons ne serait pas rentable, nécessiterait qu’on leur enlève toutes les écoles, les piscines, les bibliothèque, les théâtres et les hôpitaux municipaux pour leur faire comprendre l’importance de la part au développement qu’avaient prises ces infrastructures collectives d’unités productives d’exploitation sans patrons, unies en comité d’ouvriers et de directions politiques et syndicales. Depuis l’irrésolution du volet économique, laissée en suspend aux Conclusions du Tribunal de Nuremberg, ces forces productives collectives de gestion sans patrons n’attendirent pourtant pas mais 68, le tremplin giscardien, le PS 1969 ou le FN 1972 pour se structurer à partir 1947, en comités d’ouvriers et de directions politiques et syndicales de coalition anticapitalistes dans le sens où, suite au refus du monde d’adopter une monnaie unique mondiale en mars 1946, une certaine gestion collective risquait de leur échapper et de filer aux mains de quelques uns qui pourraient faire ce qu’ils veulent des bénéfices de la productivité, puisque plus tard, les seuls détenteurs des actions, allaient même jusqu’à transformer les actions boursières collectives sous gestion municipale en actions individuelles par on ne sait quelle magie distributrice de saisie ou de transfert aux mains de quelques familles, dynasties qui n’allaient, ensuite, éprouver aucun problème à convoiter et racheter à plus ou moins bas prix, les affaires de ceux qui tenaient à maintenir une gestion collective sans patrons. 

Dans ce capitalisme qui refuse cette part d’autonomie politique et économique municipale de gestion collective où une part du décisionnel revenait aux comités d’ouvriers et de directions politiques et syndicales, structurés en unités productives d’exploitations collectives sans patrons ; on devine rapidement la stratégie des mauvais gestionnaires qui allaient polluer et détruire la planète, bétonner et pratiquer la déforestation pour élargir le péri-urbain, jeter tout ce qu’ils pouvaient de phytosanitaires dangereux pour la santé humaine dans les sols de culture industrielle ou au fond de leur jardin !… Pourquoi dès lors s’obstiner à vouloir empiler réforme économique sur réformes économiques, uniquement pour jongler sur les indices économiques, alors qu’un modèle de gestion collective sans patrons et sans dette existe depuis 1947 dans notre propre pays et qu’il est reconnu comme partie entière de l’économie française que n’aurait même pas osée renier Pompidou, évaluant le rapport budgétaire et plaisantant avec les barrons sur des communistes qui n’étaient pas là pour foutre le bordel dans le pays !… Alors nous pourrions, un temps soit peu, comprendre comment une gestion rigoureuse et sérieuse, organisée collectivement en unités productives sans patrons, était à même de souder politiquement le pays en divisant le nombre de millionnaires et de milliardaires par deux pour multiplier par trois le nombre de salariés et de saisonniers.

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L’économie refuse la démocratie !

Quand on parle aujourd’hui – ou ose l’envisager, lorsqu’on remonte jusqu’aux Conclusions du Tribunal de Nuremberg – de « Monnaie unique Mondiale », on ne peut contourner la formulation de sa demande, déposée à Nuremberg le 1er mars 1946, dans le cadre et donnant droit et suite à l’ouverture des délibérés thématiques concernant le volet économique, envisagé dès 1942, ayant pour base, le colonialisme et l’impérialisme des États en guerre, en nécessité de matières premières minérales et énergétiques qui aboutissent aux économies militarisées, connues dans les deux guerres mondiales.

Pourquoi alors la demande d’une monnaie unique mondiale déposée en mars 1946, auprès de l’état-major des différents corps d’armée, élaborée collectivement à partir de novembre 1945 par les différents délégués des Corps de Métiers, arrivés à Nuremberg avec le Général Leclerc, sans De Gaulle – bloqué à Paris -, sans Roosevelt, ni Staline ou Churchill, presque morts, en ce qui concerne la répartition de part le monde des Comités d’Ouvriers et de Directions de coalitions politiques et syndicales d’unités d’exploitations à gestion collective sans patrons, venant de France, d’Afrique, d’Angleterre, de l’Union soviétique, des Amériques, de l’Angleterre, d’Allemagne et d’Asie ; pourquoi alors cette première thèse concernant la monnaie unique mondiale, élaborée pendant 6 mois, entre novembre 1945 et mars 1946, fut-elle saisie et certainement confisquée par l’état-major américain, sans doute mise aux archives secrètes par des services spéciaux qui allaient déboucher sur le KGB (URSS) et la Stasi (RDA), le FBI et la CIA, la DST et la DGSI pour finir par se payer en diamants chez Bokassa avec Giscard ?… Saisie et confisquée, non pas dans la bagarre de la partie du camp de Nuremberg qui s’en suivit, lorsque l’état-major était venu marquer sa désapprobation, en molestant les auteurs de la demande émise sur cette idée mondialiste de monnaie unique, venant de ces comités, au sortir du conflit de la seconde guerre mondiale, quand au bout d’une semaine, les demandes pour une réponse favorable à la monnaie unique exigée, deviennent trop insistantes dans l’ensemble du camp de tous les corps d’armée et de métiers ; mais parce que les états-majors, à Nuremberg pour le Tribunal, ont décidé de ne pas en vouloir une seule seconde, dès la mise en route, au départ de sa déposition au registre de l’agenda du déroulement de l’ouverture des débats du volet économique ; qu’il ne pouvait en être question, à l’aube du 1er mars 1946, parce qu’ils n’arrivaient pas à comprendre que jusqu’ici, leurs frères ouvriers soviétiques étaient surveillés dans les ateliers, les usines et les manufactures par des militaires en uniformes avec des fusils, depuis longtemps avant la guerre ou avec les Tsars, estimant sans doute qu’il valait mieux qu’il en reste ainsi pour l’avenir, confisquant la machine à écrire et le reste de papier du camp dissident qui avait contribué à l’élaboration des fascicules et des feuillets constitués, ouvrants droit à la demande de monnaie unique pour sortir de la guerre, au tribunal de Nuremberg, selon le cours du refus de l’accepter, cette demande de monnaie économique mondiale visant la plus aboutie des parités, hélas, devenant rapidement sa transformation en Rideau de Fer, passant d’une demande de monnaie unique mondiale des corps de métiers, en militarisation de l’ensemble du monde (?)… et pour l’ordre patronal de domination sur les comités d’ouvriers et de directions, politiques et syndicales, internationaux… et pour l’ordre économique mondial envisagé pour l’après-guerre qui ne pouvait comme ça, guère dépasser celui de l’économie nazie, saisie et utilisée comme prise de guerre, voire pouvoir encore indemniser suffisamment conséquemment dans l’achat, les matières premières extraites dans des pays étrangers pour éviter de les maintenir en économie faible, sous dépendance des monnaies les plus fortes qu’étaient censées être et rester le $ et la livre sterling, le rouble, le yuan… ensuite, le franc & CFA… le deutsch mark, l’€ & l’ECO, le pesos et le bolívar… dans de nombreuses nations !… Pourtant cette nouvelle organisation économique mondiale à monnaie unique et sous contrôle des Comités d’Ouvriers et de Directions politiques et syndicaux, constitués en Unités productives collectives à gestion municipale sans patrons, alors proposée à Nuremberg le 1er mars 1946 par les Comités d’Ouvriers et de Directions des Corps de Métiers, répartis en Unités productives à gestion collective municipale d’exploitations sans patrons, existants dans chaque département et chaque pays ; définissait une économie sans dette par la monnaie unique et la coalition politique et syndicale des Comités d’Ouvriers et des Directions de gestion collective du « village des dissidents », réunis en première cité alter-mondialiste, pendant une année entière à Nuremberg, entre l’automne 1945 et l’hiver 1946.

Trump, Poutine, Macron, nul ne sait si la machine à écrire du Général Leclerc, prêtée à ses Vignerons d’Andlau pour aller à Nuremberg à l’automne 1945, élaborer la thèse de demande de monnaie unique mondiale avec les autres Corps de Métiers des autres Nations, finit par atterrir dans un musée national militaire américain ou au Bolchoï de la Pravda pour écrire des articles soviétiques de propagande à Douma d’assassinats, ni si l’ensemble des corps d’armées, ultérieurs et alliés, osent toujours encore aujourd’hui demander aux grandes puissances concernées, si de la thèse en question, fut fait quelques feuilletés ou un mille-feuilles de millionnaires et de milliardaires, réduisant le tout au marteau-pilon, expliquant enfin pourquoi nos vignerons français alsaciens d’Andlau, sous la protection du Général Leclerc, se firent traiter de « communistes » alors qu’ils venaient de l’Ouest – et leurs frères soviétiques qui venaient de l’Est, de fascistes nazis – alors qu’ils et elles étaient, toutes et tous, libres et anarchistes, intellectuels et engagés ; absolument pas germano-soviétiques pour un sou, tout comme ils n’étaient pas impérialistes, colonialistes et capitalistes !

Unités productives de gestion collective municipale ; comités d’ouvriers et de directions, politiques et syndicales…

Comment peut-on, lorsqu’on parle de « gestion collective », oublier ces structures productives collectives de gestion municipale d’exploitations sans patrons et sans dettes qui permirent de reconstruire et nourrir le pays, tout en contribuant au développement des infrastructures collectives, de l’après-guerre jusqu’au début des années 1970 ?… Que nous n’auront pas raconté comme balivernes tous ces partis politiques post soixante-huitards ?… Du Parti Socialiste 1969 au Front National 1972, en passant par l’UDF 1978 et Giscard 1974 ou le RPR 1976 qui pourraient bien, à y regarder de près, passer pour de mauvais gestionnaires, accumulant la dette, fiers de leur hyper-capitalisme d’État des investisseurs et des chefs d’entreprises ?… N’oublions pas qu’après la guerre et les Conclusions du Tribunal de Nuremberg, les masses de capitaux sont aux mains des vainqueurs qui refusent l’adoption d’une monnaie unique avec sans doute la volonté de poursuivre une économie impérialiste et colonialiste sur les matières premières dans une concurrence déloyale où l’armée devient le seul garant des intérêts de l’État qui s’estiment alors en droit d’occuper d’autres pays. Parallèlement aux capitaux de l’économie volatile mondiale, se structuraient depuis 1947, dans chaque département et chaque Corps de Métiers, des Comités d’Ouvriers et de Directions de coalition, responsables d’Unités productives collectives à gestion municipale sans patrons et sans dette puisqu’elles participaient directement par les bénéfices obtenus, à la construction des écoles, des piscines municipales, des bibliothèques et des théâtres municipaux, des musées et des stades municipaux jusqu’aux casernes de pompiers. Ces bénéfices partagés avec les municipalités, directement alloués pour bâtir les infrastructures collectives et non pas pour des banques particulières, permettaient de se soustraire à l’imposition, tout en créant une économie collective où la formule, « d’abord les salaires, ensuite les infrastructures collectives et après seulement le petit boursicotage financier d’actions et de rétro-actions », pouvait prendre tout son sens ; ou « du pognon, il y en avait, avant qu’il n’atterrisse en totalité dans les caisses du patronat », éclairer de quelle manière furent brisés certains comités d’ouvriers et de directions. Ainsi qu’allait aussi devenir lourd de sens ce capitalisme aux dents longues, étonné de voir tout un secteur en développement lui échapper, mis en auto-gestion partagée avec les municipalités, avant la multiplication des firmes bancaires et la suppression des Comités d’Ouvriers et de Directions : 1974, tout est fini, comités et directions sont renvoyés aux cagibis des vestiaires, un étage en-dessous du bureau qu’ils partageaient avec le grand patronat, le bâtiment d’à côté ou le bistrot du coin. Venu très tôt, ce capitalisme destructeur et outrancier, désireux d’écraser les Comités d’Ouvriers et de Directions de coalition qui décidaient collectivement avec leur municipalité et la caisse municipale, des orientations des investissements pour les infrastructures collectives, à partir des bénéfices de leurs Unités collectives d’exploitation sans patrons, souvent aussi, à la base d’une partie des subventions des hôpitaux civils et municipaux ; allait très vite s’y intéresser à ce fonctionnement collectif, témoin d’une économie saine et bien gérée, sans dette et pleine d’avenir. Il est venu très tôt ce capitalisme, comme un doublon sur les communes !… Chaque département, chaque corps de métiers disposait de ces « unités productives collectives municipales sans patrons » qui fonctionnaient avec des agents municipaux, des contremaîtres, des délégués et des responsables municipaux ; les grands patrons au vestiaire !… Ne pouvons-nous pas nous souvenir des manufactures et cités ouvrières municipales, des brasseries municipales, des mines municipales, des forêts et scieries d’exploitation municipale, des bijoutiers municipaux et des parcelles agricoles municipales, avant que ne se soient implantées, comme des doublons, à côté, ces individualités adeptes de la « libre concurrence », avançant comme des patrons politiques avec des fanions de parti unique pour tout « privatiser » et mettre totalement aux mains du grand capital, ces Comités d’Ouvriers et de Direction, en les détruisant et en les éloignant du même coup des centres décisionnels de l’investissement – les faire taire -, alors qu’ils étaient responsables et légataires des Unités productives collectives municipales d’exploitations sans patrons et sans dettes, mais avec des écoles, des piscines, des manufactures, des stades, des bibliothèques, avant le basculement économique giscardien de 1974, auquel, économiquement, le PS 1969 et le FN 1972 ont fortement contribué, dans une forme d’amnésie historique volontaire absolue de notre culture économique collective de gestion partagée sans patrons qui existait et garantissait la pérennité du développement des infrastructures collectives dans les communes ?

Le basculement économique de Giscard – et les quelques années qui précèdent son accession à la présidence de la République – a ceci de troublant qu’il engage le pays tout entier dans une marche forcée vers le capitalisme avec des jeunes loups qui voulaient la peau de Pompidou. À ce stade de l’économie, la partie des municipalités à gestion collective, n’acceptaient pas de mettre à disposition des investisseurs boursiers, plus de la 1/2 de leur richesse, préférant s’accorder directement au développement des infrastructures collectives… Soudoiement, dessous de table, assassinats, financement occulte, paradis fiscaux ?… rien n’expliquera jamais suffisamment ce qui aura forcé la main au choix collectif du mode de gestion de ces Unités Productives collectives municipales d’exploitations sans patrons ni dette qui avaient reconstruit et nourri la France, jusqu’à la plus petite municipalité de notre territoire. Au sens logique commun et collectif d’une économie à gestion partagée avec les municipalités, entre des structures productives fortes et des comités d’ouvriers et de directions solides, bien ancrés dans l’histoire et la mémoire collective des villages et des villes, depuis l’après-guerre, parfois sous protection du général Leclerc en ce qui concernait pas mal de musulmans qui avaient combattu avec lui et non pas pour le soldat d’extrême-droite Le Pen ; se substitue tout un ordre hiérarchique financier et bancaire, militaro-industriel, qui met la main sur toutes les structures collectives de production existantes pour remplacer les agents et responsables municipaux d’exploitations qui s’y trouvaient, par des petits patrons qui pouvaient remodeler le paysage ouvrier à leur convenance, sans coalition autre que leur petit drapeau politique ou un syndicat particulier, parfois les laissant sur les exploitations, désormais capitalisées individuellement, mais sans responsabilités municipales ni coalition politique et avec un salaire d’ouvrier, alors que leur niveau de vie correspondait pour leur salaire, à celui des cadres et qu’ils bénéficiaient déjà d’entre 10 et 20 ans d’expérience sur le terrain pour la majorité d’entre-eux, qu’ils enseignaient aux jeunes leur métier par l’intermédiaire de leur structure collective… alors concernant leur retraite ?

Bien malins, sournois, fumistes ou vautours, étaient alors soudain devenus les banquiers et les patrons politiques et syndicaux qui se développaient simultanément, à droite, à gauche et au centre, s’accaparant ces unités productives collectives à gestion municipale sans patrons mais de coalition politique et syndicale de culture ouvrière d’avant 1972 et 1968, certainement plus respectueuse que Giscard de l’Édition augmentée de la Constitution qui complète celle de 1958, qui n’a rien à voir avec une réécriture, telle que la concevait Giscard comme un scribouillard et qu’a oubliée de jeter à la poubelle Mitterrand ensuite ; font tous croire que leurs exploitations municipales de gestion collective n’étaient pas « rentables », oubliant rapidement leur contribution sans appel à l’édification des infrastructures collectives, comme dans la chaine énoncée plus haut.

Dès lors on s’aperçoit rapidement qu’avec des gens qui n’ont rien vécu avant 1968 ou 1972, en pleine amnésie d’une révolution qui avait déjà été faite par cette gestion collective municipale des richesses, écrasée pour approvisionner les fonds des nouvelles firmes bancaires ; il devient difficile de discuter d’idéologie, de transition économique ou d’une Révolution écologique. Et de constater que l’histoire commune politique et économique peut facilement se transformer en patronage politique élitiste avec des portefeuilles bancaires qui s’appuient sur une bonne part du capital qui était jusque là collectif et municipal, administré par la volonté des unités productives municipales d’exploitations sans patrons, à partir d’une coalition de comités d’ouvriers et de directions, gérant les caisses municipales, bien avant le grand patronat bancaire et financier des partis et mouvements d’après mai 1968. Avancer ensuite des arguments révolutionnaires, sans tenir compte de ce qui existait jusqu’ici dans notre pays, en matière d’argument économique de gestion collective réelle, grâce aux efforts du Comité National de la Résistance au capitalisme et au fascisme, jusqu’en 1970, 1971, 1972, 1973, 1974 et après, ne laisse guère rien de bien fondé sur les programmes économiques des gouvernements qui se succèdent où s’accumulent la dette, les licenciements, l’évasion fiscale, les faillites, les suicides au travail, l’accroissement de la pauvreté, jusqu’alors résorbée à partir de 1947 avec les efforts communs budgétaires disponibles et les volontés collectives de fonctionner sans patrons pour gérer les richesses des Unités productives en commun, garantes du développement des infrastructures collectives, au lieu de les confier aux banques et au patronat.  

Tout comme l’opinion et leurs jeunes loups envieux estimaient peu rentable le modèle de gestion municipale collective professionnelle par corps de métiers, soudé en Unités productives à gestion collective municipale – alors qu’il était égalitaire, proportionné et gradué en Comités d’Ouvriers et de Directions – ; les nouvelles étiquettes politiques naissantes, pour se mettre en valeur et améliorer leur sens révolutionnaire, allaient même jusqu’à encore aujourd’hui, traiter ces comités d’ouvriers et de directions de « comités collabos et bourgeois », accentuant comme un second patronat, à l’image des rapaces bancaires en manque d’affaires voulant plus de rentabilité, la seule revendication de leur amnésie historique et économique concernant la gestion collective des Municipalités de notre pays et du même coup, la Constitution et son édition augmentée de 1969, reconnaissante de la Culture ouvrière et syndicale ; dans la foulée, les Conclusions du Tribunal de Nuremberg, laissant entrer l’extrême-droite dans les urnes pour les élections de 1974, allant même jusqu’à venir aux meetings de René Dumont pour le snober en ne lui serrant pas la main et lui lancer à la face qu’ils n’étaient pas tout à fait son allié politique, voulant sans doute réduire au néant, la première coalition écologiste, socialiste et communiste pouvant accéder à un second tour des présidentielles, à partir de 1972 qui venait, en partie, déjà d’après 1946 et d’avant 1968.

Le lien historique et économique de la mémoire collective que veut retrouver l’écologie, sera d’extraire des règles contraignantes des entreprises capitalistes destructrices des écosystèmes, la constitution et la restitution d’unités productives à gestion collective sans patrons qui faisaient l’équilibre sans dette entre une part municipale collective de gestion du capital – parfaitement bien gérée collectivement – et le boursicotage bancaire qui spéculait depuis toujours sur le développement national à partir du « reste du capital », mais toujours sous le regard bienveillant des comités d’ouvriers et de directions en coalition, qui, dès lors qu’elle était supprimée, leur permettait d’exploiter, par la suite comme des « braqueurs de la République », la matrice humaine, loin du droit de regard de ces comités d’ouvriers et de directions de la gestion municipale des unités productives collectives d’exploitations sans patrons de départ qui étaient, quant à elles, devenues la matrice politique de l’ensemble humain.

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Municipales 2020 : les Générations entre EELV et Place Publique…

La prise politique de la capitale parisienne est faite de déchirement et de ralliement. Ici nous somme en présence de 3 plates-formes : celle de ParisEnCommun, ParisVilleVerte, aussi les @Parisien_nes, tremplin entre l‘écologie, DavidBelliard, AnneHidalgo et GaspardGantzer.

Encore faudrait-il en différencier, de ce PS 1969 « vieille maison », ceux qui ne voteront pas pour LREM de ceux qui voteront pour la majoritéprésidentielle quoi qu’il arrive. Les @GenerationsMvt choisissent une jonction – presque moitié/moitié – entre PlacePublique et EELV.

Au moins @GenerationsMvt laisse autant de possibilité d’éligibilité à AnneHidalgo qu’à DavidBelliard et au regard du potentiel électoral acquis par @EELV_Paris à la proportionnelle européenne, la VagueVerte 3eVoie ForcePolitique ne devrait pas trop en être inquiétée !

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Passé ce choix démocratique des portes-paroles et déléguéEs des Générations, les voilà désormais en position de force pour revendiquer leur mairie de Trappes, et partout ailleurs où leur potentiel électoral acquis à la proportionnelle européenne les situe en position de le faire !

Municipales écologistes et citoyennes, fraternelles et « arc-en-ciel », démocratiques et insoumises.

Les Municipales2020 approchent sans que nous n’ayons jamais vraiment trouvé de règles élémentaires communes pour les faire fonctionner autrement qu’en imposant une liste sur une autre, une étiquette pour une autre, un tribun pour un autre, un prédicateur pour un autre (?)… Alors que sur notre versant politique, ce devrait être la somme des multiples étiquettes politiques qui nous conduise à la victoire, elle nous en éloignait jusqu’à présent ou alors exigeait de s’en remettre à un parti hégémonique, monolithe, rigide où l’idéologie se résume à 4 motions dont on sait pertinemment que lorsqu’elles conduisent à une majoritéprésidentielle, notre versant politique n’y sera que très faiblement représenté. C’est d’ailleurs cette forme de représentation politique qui n’a jamais vraiment plu à EELV, à la ConfédérationPaysanne, au PCF, aux Générations, à UrgenceÉcologie, au PartiPirate, à ceux de la décroissance, à LFI, au NPA, à la LutteOuvrière… pour finalement se disloquer – au moment du vote – en petits confettis sans pourcentages et n’avoir qu’une existence réduite dans l’échiquier politique qu’il faut remuer et rassembler si nous voulons éloigner la majorité présidentielle des municipalités où finalement, elle n’a pas grand chose à y faire puisque LaRépubliqueEnMarche n’y a pas vraiment de famille implantée dans le terroir, puisque sa famille de départ c’est l’Élysée, même pas une élection régionale au préalable : que voulez-vous, on en oublie la Constitution, on s’emballe dans l’urgence, le vieuxmonde doit céder sa place au nouveaumonde ; mais rien ne change ou très peu, àdeuxvitesses… Mais il n’y a pas que cette majorité présidentielle de Macron – telle qu’elle s’est constituée, enfin, si on peut appeler cela, au respect de la Constitution – qui nous donne envie de dire au banquier de retourner dans sa banque et de rendre l’Élysée au Conseil National de la Résistance ; reste toujours et encore cette maudite extrêmedroite du FN 1972 des Le Pen qui n’aurait jamais dû entrer dans les urnes, d’après l’avis du Général Leclerc et des Conclusions du Tribunal de Nuremberg.

Ce climat délétère, cette ambiance politique pourrie, réduite au statuquo énoncé au-dessus, fait rebondir à la lecture précise de chaque Commune, au résultat de chaque potentiel électoral obtenu aux électionseuropéennes qui resteront toujours un bon test électoral puisque la proportionnelle y évalue de manière très démocratique, l’étendue réelle d’un parti politique où l’impact des écologistes d’EELV arrive en tête ou second du scrutin mais aussi là où c’est au PCF que ça arrive, à PlacePublique, aux Générations comme à Trappes, à LFI où c’est la cas dans certains arrondissements marseillais et à l’Outre Mer, voire même à la Lutte Ouvrière qui remporte une petite municipalité !

Après il y a une manière de s’organiser pour définir les adjoints au Maire, les principaux conseiller du Maire qu’on va élire, ses attachés à la Culture, au Sport, à l’Organisation du Travail, à la gestion du pays… jusqu’à y associer une délégation municipale permanente constituée d’élus correspondants aux petits pourcentages qui commencent avec 1 bulletin de vote, ou 2, 3, 5 ou 10 dans les grandes villes pour atteindre 0,01% et entrer dans les résultats électoraux : ça nous donne le Parti des Révolutionnaires Communistes, le Parti de la Décroissance, peut-être des Fédéralistes… aussi inscrits dans cette composition de la liste des Municipalités éco-citoyennes, solidaires et démocratiques, républicaines et fraternelles, insoumises et rebelles et vous verrez la victoire commune électorale que nous imposerons aux extrêmes-droites et à la majorité présidentielle dans les urnes qui confirmeront notre impatience à réorganiser le travail et l’économie face aux impératifs du réchauffementclimatique de cette conséquence qu’est le dérèglementclimatique sur l’évolution des récoltes, du manquedeau, de l’épuisement des nappesphréatiques, de la multiplication des picsdozone (été comme hiver). Parce qu’on refuse de fonctionner comme des partis droitiers, à près de 35 000 Municipalités qui nous ouvrent les bras, bon courage !

La meilleure des feuilles de route pour ces prochaines municipales est logiquement la base démocratique que nous pouvons utiliser à partir des résultats des EE2019 qui peuvent être une piste pour désigner les Maires, adjoints et conseillers, jusqu’à envisager la constitution d’une délégation permanente des partis compatibles au versant politique pesant de 0,01% à 2%, entre 2% et 5%, 5% et 10%, puis au-delà.

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2019/05/26/elections-europeennes-la-carte-des-resultats-en-france-commune-par-commune_5467620_4355770.html

Une coalition écocitoyenne permettra de remporter de nombreuses municipalités. De l’OutreMer aux arrondissements marseillais, le seul critère qui puisse en définir la TêteDeliste reste la répartition du potentiel électoral établi par la proportionnelle européenne, du moindre petit village ( < 1000 inscrits) jusqu’à chaque arrondissement marseillais, lyonnais ou parisien. Chaque commune a révélé par la proportionnelle européenne, la bannière au meilleur potentiel électoral le mieux placé pour remporter les Municipales2020 et donc, en capacité de désigner l’appartenance politique de chaque futur Maire dans les plus de 34500 communes que compte notre territoire !… C’est alors qu’en reprenant consciencieusement la carte des résultats du scrutin proportionnel européen, on découvre la richesse politique que peut constituer la diversité des formations politiques qui, à l’origine, se présentaient sous l’appartenance « Front de Gauche ». Hors il se trouve que les résultats acquis aux EE2019 – qui sont quand même capables d’orienter les futures élections nationales, sinon on ne parlerait pas autant de proportionnelle pour l’élection des DéputéEs à l’Assemblée Nationale – désignent le parti écologiste EELV comme 3eVoie et « ForcePolitique » capable de rivaliser, à la fois avec l’ExtrêmeDroite RN/FN et la MajoritéPrésidentielle qui se partagent rien qu’à eux deux, à peu près la 1/2 de l’électorat, en y comptant les socialistes du PS 1969 qui ont de fortes chances de voter pour Macron et ses SansÉtiquettes au premier tour. Ça nous laisse l’autre moitié pour manoeuvrer !… et pas mal de temps pour nous demander si les « sans étiquettes » ne sont pas des soldés politiques ? !…

Gagner pour prendre le pouvoir et ne pas l’accaparer comme l’a expliqué Yannick Jadot, revient à désigner et reconnaître un « directoire » capable de rassembler et d’organiser pour les municipales, les élections les plus démocratiques qui puissent être. Selon une logique proportionnelle et d’après les meilleurs résultats obtenus aux élections européennes, on est en droit d’en appeler au « bon sens » lorsque le directoire ne désigne pas toujours EELV comme force politique motrice, là où ce sont les LFIPCFPlacePubliqueGénérationsUrgenceÉcologie ou LutteOuvrière qui l’occupent, en arrivant au-dessus d’EELV sur la carte des résultats de proportionnelle européenne. Même si leur moyenne nationale reste largement inférieure aux prétentions souhaitées par rapport aux monolithes du duel RN/LREM, l’appel d’une coalition reste la meilleure arme pour y échapper, en organisant des ÉlectionsMunicipales citoyennes et écologiques, ArcEnCiel et insoumises, fraternelles et démocratiques pour faire des VillesEnCommun !

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Les Municipales2020 c’est avant tout des petits villages, des villes moyennes où ou s’aperçoit qu’une seule voix peut mener à + d’1% des suffrages, voire jusqu’à 3% pour les petites formations politiques comme UrgenceEcologie, le PCF, le PartiAnimaliste, les Générations, LutteOuvrière sur les résultats aux EE2019 qui restent l’organigramme électoral le plus récent de la population française !

C’est un peu ça le « miracle politique » d’une élection lorsque dans son petit village, pour défendre sa couleur, une seule voix remporte plus d’un-pour-cent des % et démontre encore avec plus de force l’importance capitale que constituera toujours le fait de se rendre aux urnes. Et même ces petites formations politiques à quelques %, ne le font jamais pour rien ou du vent ; une unité reste une unité !

Regardez sur la carte des résultats du potentiel électoral de chaque formation politique à une seule voix…
Provence-Alpes-Côte d’Azur/Hautes-Alpes

à Etoile-Saint-Cyrice, 28 inscrits
PS / PlacePublique : 4,55 %
PartiAnimaliste : 4,55 %
Génération.S : 4,55 %

à Saint-Auban-d’Oze, 78 inscrits, toujours sur une seule voix…
UDI : 2,27 %
Debout La France : 2,27 %

à Freissinières, 177 inscrits, les PCF, UPR, Générations, AllianceJaune, et « les Oubliés de l’Europe » avec une seule voix chacune ramassent quand même 1,14 % des suffrages exprimés !

à Eourres, 84 inscrits, les Générations et le PCF réalisent quand même 2 % des suffrages avec chacun, une seule voix dans l’urne !… etc, à partir des premiers pourcentages qui souvent ne correspondent qu’à une seule voix électorale !

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Citoyenne ou/et Écocitoyenne Écométropole ?
Parce que selon qu’on omet #éco, on n’est déjà même plus sur les mêmes objectifs alors qu’une « coalition la plus large possible » serait nécessaire pour ne pas sombrer à l’OutreMer où le RN/FN et LREM se partagent déjà l’électorat… Éviter que le RN/FN et la majoritéprésidentielle se partagent à nouveau l’électorat aux Municipales2020 – comme ce fut le cas aux EE2019 -, suppose que des coalitions se constituent pour espérer accéder au 2e tour selon le meilleur potentiel électoral spécifique à chaque municipalité et qui varie entre les différentes formations politiques EELV LFI PlacePublique PCF Générations UrgenceÉcologie… Lutte Ouvrière !… À considérer la proportionnelle européenne comme l’excellent indicateur de ce « potentiel électoral », pourquoi ne pas définir la tête de liste de celui ou celle qui briguera la Mairie selon la proportionnalité d’électeurs engrangée aux élections européennes pour laisser à l’Outre-Mer les Mairies possibles à LFI et au PCF, les arrondissements de Marseille, au potentiel phare relevé lors du résultat du scrutin européen, et ainsi de suite pour chacune des plus de 34500 communes définies sur l’ensemble du territoire ?… Les suppléants et les maires-adjoints pouvant ainsi aussi se définir d’après leur bannière politique selon leur % obtenu à la proportionnelle européenne pour mettre en grappe les éluEs légitimes qu’ils sont en droit de revendiquer, dans le but de renforcer le possible passage du 1er tour pouvant conduire à de nombreuses victoires aux côtés de la VagueVerte, autour d’une table de CoalitionPolitique, un peu plus élargie que restreinte !

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Des communes EELV au-dessus de 20% sur une moyenne nationale à 13,47%, révèlent l’ampleur de ce que pourront être les Municipales2020 face au statuquo de l’ambivalence entre la majoritéprésidentielle et l’extrêmedroite, toujours inférieures à 1/4 politique électoral chacune mais néanmoins enclines à s’approprier le 2 tour ?
La 3eVoie de la VagueVerte laisse à l’écologie une forte probabilité politique aux Municipalités éco-citoyennes, solidaires, démocratiques et fraternelles, d’être au 2nd tour pour l’emporter sur la majorité présidentielle ou l’extrême-droite qu’elle aura a affronter…

Non, vous ne rêvez pas et c’est bien la réalité qui justifie l’ambition écologiste d’arriver au deuxième tour dans de nombreuses municipalités pour affronter loyalement la majoritéprésidentielle ou l’extrêmedroite RN/FN 1972 avec la 3eVoie de la VagueVerte politique, constitutive de chaque Municipalité éco-citoyenne, humaniste et solidaire, démocratique et fraternelle… à y regarder de près, sur la carte des résultats des EE2019, le potentiel électoral obtenu par EELV – EuropeanGreens où ils finissent 1er, 2nd ou 3e, confirme ce constat encourageant favorable à une autre proposition politique, différente des prétendus conservateurs et progressisme qui signent, les yeux fermés, n’importe quels AccordsCommerciaux de LibreÉchange !

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À partir du potentiel électoral accumulé aux EE2019 par les différentes formations politiques, on remarque qu’aux Municipales2020EELV PartiPirate SortirDelEuropeDesÉtats GénérationÉcologie PlacePublique, PCF, LFI (…) peuvent s’emparer des urnes au second tour pour se retrouver avec la majoritéprésidentielle ou contre l’extrêmedroite qui ne rivaliseront pas toutes seules entre elles comme précédemment !… Un parti « tout seul », d’1/4 d’électorat pour une moitié de pays, peut difficilement espérer plus que le passage du 1er tour. Le report des voix du second tour n’est qu’illusoire, trop aléatoire, comportant trop de risques ; autant partir en solide coalition dès le premier tour pour garantir d’y être au second et espérer remporter loyalement un maximum de municipalités avec la France entière !

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L’attribution de la capacité d’organiser une Mairie, jusqu’aux derniers de liste pouvant constituer une « délégation permanente aux Municipalités » des petites formations politiques existantes ayant obtenu résultat (Décroissance et Parti Pirate par exemple, ou les Fédéralistes), n’est pas seulement concevable dans le sens EELV – Générations – Place Publique – PCF mais aussi entre LFI – EELV – PCF – Générations – Place Publique… La FranceInsoumise peut parfaitement occuper une place dans l’atome du noyau constitutif des listes, surtout pour ses quartiers marseillais et jusqu’à l’Outre-Mer… Les listes communes écocitoyenne arcenciel écométropole sont d’une importance capitale, voire sans doute exceptionnelle pour pouvoir éviter les crises économiques en se protégeant par la recréation de structures productives collectives municipales où la gestion ce n’est plus un patron et ses actionnaires mais la municipalité qui est son propre patron pour redistribuer les richesses par « économie circulaire » globale, créer des emplois et supprimer les licenciements sur toute la France… Avant 1972, les Céréaliers et les Houblonniers finançaient de leur côté le réseau de chemin de fer SNCF, tandis que les vignerons finançaient les hôpitaux civils avec ce type d’unités de gestions collectives et productives municipales. Giscard les supprime en renvoyant ces comités d’ouvriers avec leurs directions anti-capitalistes aux cagibis des vestiaires – quand ils ne les ont pas assassiné comme à Andlau, fin 1972 -, s’en suit un manque d’approvisionnement financier pour la gestion des « CollectivitésTerritoriales« … début de l’endettement. Une grande victoire aux Municipales élargirait la capacité politique d’intervenir sur l’économie par les Municipalités, directement après les élections et s’occuper de la gestion du pays en faisant basculer toutes les entreprises, exploitations, ateliers et manufactures artisanaux, usines, sur un mode de gestion municipale sur la base d’unités productives locales… En gagnant les Mairies, on prend Bercy et on dit à Macron : retournes dans ta banque !

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Là où les formations politiques, mouvements ou associations qui accompagnent EELV dans la composition des têtes de listes pour les élections, sont au-dessus de la formation écologiste dans les Communes, au résultat du potentiel électoral de chacune, obtenu aux EE2019 ; on peut envisager de leur accorder la fonction de Maire, celle du second dans les résultats européens pour le titre de maire-adjoint, le troisième résultat définissant le « suppléant »… C’est d’ailleurs ce qu’on observe dans la vie courante des municipalités, parfois remodelées, parfois conservatrices, multi-fonctionnelles jusqu’à progressistes, autant pour ce qui est des alliances que compose la droite pour arriver à sortir « sans étiquette » dans ses candidatures ; que des coalitions écologistes collectives où se rejoignent au point de jonction politique des Écologistes d’EELV, du PartiPirate, de la Décroissance, de l’UrgenceÉcologie ; des Communistes du PCF et du Parti révolutionnaire des communistes ; des Socialistes de PlacePublique et Générations – le partisocialiste votera toujours Macron, du moins c’est ce qu’ils ont appris – pour aller affronter dans les urnes pour des raisons politiques évidentes et un projet économique commun, la majoritéprésidentielle en cours et l’extrêmedroite RN/FN, toujours aux abois.

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De toutes façons on ne peut pas séparer dans l’organigramme de l’écologiehumaine, la qualitédelair des problèmes liés à l’AlimentationIndustrielle : la TransitionÉcologique, pour y arriver, nécessite une TransitionAlimentaire où la TransitionAgricole et la TransitionIndustrielle sont nécessaires et indispensables pour aboutir à la TransitionÉnergétique conduisant à l’implication d’une TransitionÉconomique !

Pour sortir du statuquo entre la majoritéprésidentielle et l’extrêmedroite RN/FN 1972 et présenter un projet politique différent de ceux qui se succèdent depuis 45 ans entre PS 1969, FN 1972, RPR 1976, UDF 1978, via l’UMP, LR, l’UDI, LREM/MoDem-Agir aux Municipales2020 ; Grenoble expérimente en actes, depuis 2014 avec son Maire EELVÉricPiolle, les Municipalités éco-citoyennes, humanistes et solidaires, démocratiques et fraternelles qu’il reste à gagner dans tout le pays… Une dynamique incontestable qui réussit plutôt bien et pourrait s’élargir à d’autres Mairies écologistes pour dépasser tout ce que de conservatisme et de progressisme ont raté d’écologie depuis René Dumont et Giscard 1974 (!)

Voilà comment la majoritéprésidentielle LaREM/MoDem entend considérer l’écologie aux Municipales2020 : en l’ignorant purement et simplement, en l’ignorant préférant chercher des alliances avec des « Divers Droite » !… Quel déni de démocratie, à l’heure où tout s’écologise !… À Orléans, La Roche-sur-Yon et Bourges, EELV est distancée de 10% par la majorité présidentielle LREM, tout en arrivant quand même 2e ou 3e aux EE2019, la macronie tente une sortie face aux écologistes qui ont les moyens d’être au 2nd tour des Municipales pour gagner !… Cette alliance à droite avec des « Divers Droite » et la majorité présidentielle ne risque pas gros au départ puisque LREM/MoDem caracole en tête depuis les électionseuropéennes (Orléans, La Roche-sur-Yon et Bourges) mais EELV est en bonne position pour arriver au second tour des Municipales 2020 !

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Maubeuge par exemple.
Prenons l’exemple de Maubeuge (59) des leçons que nous pouvons tirer des électionseuropéennes EE2019 pour bâtir dans la bienveillance les Municipales2020 selon la participation la plus large possible de tous les déléguéEs et portes-paroles des différentes formations politiques arrivées à un résultat électoral qui constitue donc un « potentiel électoral » qui va de l’infime et insignifiant dans la tête des uns, alors qu’il est significatif d’une dynamique politique réelle, surtout si elle tend vers l’écologie, la citoyenneté, la fraternité, le sens démocratique et le rassemblement vers une société commune où chaque Municipalité forme et constitue sa propre Assemblée Nationale avec ses spécificités idéologiques où chaque Commune peut personnaliser sa coalition pour aller affronter l’extrêmedroite RN/FN et la majoritéprésidentielle qu’il serait préférable de concurrencer pour la victoire au second tour !

RN/FN : 37,43 %
LREM/MoDem : 14,19 %
LFI : 7,34 %
EELV : 6,14 %
« Musulmans Français d’Union » : 6,1 %
PlacePublique : 4,84 %
Les Républicains : 4,84 %
Debout la France : 3,2 %
Générations : 2,88 %
PartiAnimaliste : 2,84 %
PCF : 2,77 %
UDI : 2,16 %
LutteOuvrière : 1,07 %
UrgenceÉcologie : O,8%
PartiPirate : 0,11 %
Parti Fédéraliste Européen : 0,03 %
Décroissance : 0% malheureusement mais cela n’empêche pas d’autres municipalités d’en accorder au moins 1 éluE dans la liste du groupe du bureau municipal ou dans la partie d’une délégation permanente attachée aux Municipalités regroupant les différentes composantes politiques qui entrent dans les résultats…

Une certaine logique d’évaluation et de partage du pouvoir qui il doit être « rendu pour ne pas l’accaparer » (la formule est dite par YannickJadot) pourrait nous orienter vers une Mairie, de toute façon composite, capable d’éloigner le RN/FN des urnes, soit avec la formule précédente utilisée à Schiltigheim où EELV, PCF, Socialistes – Place Publique ont utilisé une coalition LREM régionale différenciée de la majorité présidentielle conduite par Danielle Dambach. Soit en désignant un Maire FranceInsoumise et un adjoint au maire EELV – puisque ceux de Mélenchon y sont devant Yannick Jadot – et des Conseillers ajoutant les Générations, le PCF, Urgence écologie… jusqu’au 1er % enregistré qui est le Parti Pirate.

En oubliant la France Insoumise de Mélenchon, on risque de faire monter les scores du FN alors qu’en composant avec eux, on a de fortes chances de prendre la place pour le second tour à la majorité présidentielle… Après il faut savoir vers où on va, qu’elle politique on veut simplement reproduire ou réellement changer, transformer !… tenant compte, bien entendu, que la proportionnelle européenne – et c’est bien parce qu’elle en est une, proportionnelle – restera toujours un excellent rendez-vous électoral qui mesure le potentiel électoral de chaque formation politique avec laquelle on peut composer pour arriver à la plus solide des « coalitions » pendant que les droites multiplient leurs « alliances » !

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Restons sur les derniers résultats du « potentiel électoral » des formations politiques françaises aux EE2019… Quand les écologistes et YannickJadot disent que pour les Municipalités2020, chaque commune est une spécificité à part entière, capable de trouver sa solution de coalition pour arriver au second tour pour battre l’extrêmedroite ou la majoritéprésidentielle, ils n’ont pas tort tant les programmes de leurs opposants tournent le dos à l’écologie, aux DroitsHumains, au meilleur accueildesmigrants, à la sécurité de l’emploi (CDI), à l’égalité et à la Justice !

Prenons l’exemple singulier mais pas inintéressant de Port-Saint-Louis-du-Rhône dans les Bouches-du-Rhône (11) : 6344 inscrits…

RN/FN : 35,12 %
PCF : 25,48 %
LFI : 9,81 %
LREM/MoDem : 8,04 %
EELV : 5,87 %
PS/PlacePublique : 2,17 %

En considérant que les résultats des électionseuropéennes 2019 sont un indicateur suffisamment fiable, à partir du moment qu’il concerne plus de la 1/2 de l’électorat et que ce sont les mêmes électeurs qui se rendront aux urnes pour les Municipales, Port-Saint-Louis-du-Rhône verrait-il un communiste arriver à la Mairie ?

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2019/05/26/elections-europeennes-la-carte-des-resultats-en-france-commune-par-commune_5467620_4355770.html

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L’exemple d’un sondage à Caen

Ce sondage reflète la vieille ViePolitique municipale de Caen et ne tient pas compte des résultats acquis aux électionseuropéennes (EE2019) qui définissent les potentiels électoraux de chaque formation politique… Et qu’on ne vienne pas nous dire en sous-main que c’est un autre électorat qui votera aux Municipales2020 !
À y regarder de près, selon ce résultat, LR n’engrange que 8% des suffrages alors que la majoritéprésidentielle LaREM arrive en tête (27%) devant le médian écologiste EELV (19%) qui risquent, tous deux, de se retrouver au second tour de la municipale… et voir Caen devenir une ville écologiste !

https://www.ouest-france.fr/elections/municipales/municipales-caen-le-sondage-commande-par-lr-place-rudy-l-orphelin-en-challenger-de-joel-bruneau-6564099

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Marseille pour exemple ?

Pour les Municipales2020Marseille est une municipalité pilote forte intéressante si on contourne rapidement les fakenews et l’infox qui se poursuivent comme pendant les électionseurpéennes EE2019 sur fond de EELV serait prête à faire des alliances avec LREM au 1er tour. Démenti immédiatement par la nécessité d’une réalité « Marseille éco-citoyenne, solidaire et sociale » capable de battre la caillot droitier sur ses deux remparts : le flanc de la majoritéprésidentielle et celui de l’extrêmedroite des RN/FN qui, tantôt qu’on observe les potentiels électoraux par arrondissements aux européennes2019, révèlent qu’ils s’immiscent presqu’en favoris pour le second tour, parfois ensemble, parfois que pour l’un des deux… Les % parlent d’eux-mêmes sur comment Marseille est politiquement vécue et vivable selon les arrondissements, avant que d’arriver à la moyenne générale de toute la ville…

1er arrondissement (18737 inscrits, 1 vote = 0,01 %)
EELV : 24,07 %
LREM/MoDem : 16,96 %
LFI : 15,46 %
RN/FN : 10,66 %
PS/PlacePublique : 7,51 %
Générations : 5,9 %
PCF : 5,75 %
LR : 4,78 %

2e arrondissement (11277 inscrits, 1 vote = 0,02 %)
RN/FN : 20,3 %
LREM/MoDem : 17,39 %
EELV : 16,54 %
LFI : 13,11 %
PS/PlacePublique : 6,27 %
LR : 5,37 %
Générations : 4,72 %
PCF : 3,91 %

3e arrondissement (20104 inscrits, 1 vote = 0,02 %)
RN/FN : 25,46%
LFI : 16,28 %
LREM/MoDem : 14,34 %
EELV : 9,02 %
PS/PlacePublique : 5,62 %
PCF : 5,21 %
Générations : 5,09 %
LR : 4,1 %

4e arrondissement (28434 inscrits, 1 vote = 0,01 %)
RN/FN : 25,29 %
LREM/MoDem : 17,75 %
EELV : 15,9 %
LFI : 8,8 %
LR : 7,32 %
PS/PlacePublique : 5,85 %
Générations : 3,79 %
PCF : 3,55 %

5e arrondissement (24128 inscrits, 2 votes = 0,02 %)
RN/FN : 20,2 %
EELV : 19,66 %
LREM/MoDem : 17,72 %
LFI : 9,74 %
PS/PlacePublique : 6,62 %
LR : 6,43 %
PCF : 4,61 %
Générations : 4,28 %

6e arrondissement (24229 inscrits, 1 vote = 0,01 %)
LREM/MoDem : 25,07 %
EELV : 19,24 %
RN/FN : 14,81 %
LR : 10,18 %
LFI : 7,37 %
PS/PlacePublique : 6,79 %
Générations : 3,7 %
PCF : 3,4 %

7e arrondissement (24019 inscrits, 1 vote = 0,01 %)
LREM/MoDem : 27,21 %
RN/FN : 20,32 %
EELV : 17,34 %
LR : 9,82 %
PS/PP : 5,74 %
LFI : 5,04 %
PCF : 3,28 %
Générations : 2,68 %

8e arrondissement
(53976 inscrits, 1 vote = 0%, 2 votes = 0,01 %)
LREM/MoDem : 29,66 %
RN/FN : 20,15 %
EELV 13,71 %
LR : 13,15 %
PS/PP : 4,95 %
LFI : 4,03 %
PCF : 2,42 %
Générations : 2,06 %

9e arrondissement
(48320 inscrits, 1 vote = 0%, 3 votes = 0,01%)
RN/FN : 26,26 %
LREM/MoDem : 23,86 %
EELV : 13,41 %
LR : 10,27 %
LFI : 5,51 %
PS/PP : 4,67 %
PCF : 2,37 %
Générations : 2,32 %

10e arrondissement (33274 inscrits, 1 vote = 0,01 %)
RN/FN : 33,63 %
LREM/MoDem : 17,76 %
EELV : 10,54 %
LFI : 7,38 %
LR : 7,09 %
PS/PP : 4,49 %
PCF : 3,16 %
Générations : 2,59 %

11e arrondissement (38014 inscrits, 1 vote = 0,01%)
RN/FN : 33,82 %
LREM/MoDem : 17,38 %
EELV : 11,51 %
LFI : 7,69 %
LR : 7,55 %
PS/PP : 4,43 %
PCF : 2,98 %
Générations : 2,35 %

12e arrondissement
(42178 inscrits, 1 vote = 0%, 2 votes = 0,01%)
RN/FN : 27,57 %
LREM/MoDem : 22,32 %
EELV : 12,86 %
LR : 11,27 %
LFI : 4,85 %
PS/PP : 4,66 %
PCF : 2,67 %
Générations : 2,12 %

13e arrondissement (52763 inscrits, 2 votes = 0,01%)
RN/FN : 35,28 %
LREM/MoDem : 17,36 %
EELV : 10,67 %
LFI : 8,76 %
LR : 6,05 %
PS/PP : 4,36 %
PCF : 3 %
Générations : 2,82 %

14e arrondissement (31353 inscrits, 1 vote = 0,01 %)
RN/FN : 35,32 %
LFI : 14,01 %
LREM/MoDem : 13,22 %
EELV : 8,37 %
PCF : 4,45 %
PS/PP : 4,36 %
LR : 4,07 %
Générations : 3,59 %

15e arrondissement (31147 inscrits, 1 vote = 0,01%)
RN/FN : 35,4 %
LFI : 15,68 %
LREM/MoDem : 12,35 %
EELV : 7,54 %
PCF : 4,72 %
PS/PP : 4,57 %
Générations : 3,47 %
LR : 3,4 %

16e arrondissement (10187 inscrits, 1 vote = 0,02 %)
RN/FN : 30,79 %
LFI : 13,42 %
EELV : 12,84 %
LREM/MoDem : 11,97 %
PCF : 7,81 %
PS/PP : 5,08 %
Générations : 3,51 %
LR : 2,93 %

Si un bureau municipal se construit dans la diversité, en coalition, la plus large possible, on obtient ce nombre de personne minimum des autres formations politiques nécessaires à l’élaboration d’une majorité municipale – ce qui n’induit pas forcément l’idée d’une majoritéprésidentielle, surtout quand on est dans l’opposition -, avec une simple règle égalitaire de base d’une unité en-dessous de 5% et de deux unités au-dessus de 5%, pour constituer une « délégation permanente » aux conseils municipaux et « rendre le pouvoir »… Mais on peut aussi mettre la barre à 3%…
Et… En route pour le second tour des Municipales éco-citoyennes, solidaires et républicaines, démocratiques et fraternelles !… « Faire vivre la démocratie » !

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Mulhouse !

Les forces politiques en lice, Municipales2020, selon le potentiel électoral établit par les EE2019 à Mulhouse :

EELV : 13,71% = le Maire.
LFI : 7,35% = un adjoint + son secrétaire.
PlacePublique : 6,03% = un deuxième adjoint + secrétaire.
Générations : 2,66% = un porte-parole.
UrgenceEcologie : 2,07% = un délégué.
PCF 1,63% = un porte-parole.
Parti Révolutionnaire Communistes : 0,15% = un délégué.
LutteOuvrière : 0,67% = un porte-parole.
PartiPirate : 0,35% = un délégué…

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L’ambiguïté parisienne !

BenjaminGriveaux en campagne pour les Municipales2020 c’est du lourd pour le Climat !
Il envisage des pluies diluviennes sur Paris et utilise les voixsurberge pour les fermer à la circulation, effaçant ainsi, ou s’appropriant la politique d’EELV et d’AnneHidalgo sur la capitale !

Dans le 16ème arr. démocratique de la capitale, la candidature écocitoyenne ParisVilleVerte devra se serrer les coudes avec les autres pour espérer passer le 1er tour, arrivée que 3e aux élections européennes avec seulement 8%, bien en-dessous de sa moyenne nationale (13,47%)

Sur le 16ème arr. démocratique, on a des potentiels étonnants au sortir de la proportionnelle des EE2019 où la majoritéprésidentielle LREM caracolait en tête avec 46,1%. C’est bien ce qui prédispose à la candidature « cumulée » de Villani et Griveaux !
lesRépublicains arrivé seconds dans le 16ème arr. démocratique avec 24,22% à la proportionnelle européenne, rivalisent pour le 2e tour. Reste à déterminer l’option que prendront
EELV 8,4%
PS PlacePublique 3,15%
Générations 1,25%
LFI 1,15%
pour se tourner vers l’éventualité d’une coalition avec Villani ou LR pour faire de l’écologie ou rester écologiste !

Il y a déjà une liste citoyenne, éco-responsable et républicaine, solidaire et démocratique, compatible avec ParisVilleVerte Groupe écologiste de Paris EELV PlacePublique PCF UrgenceEcologie PartiPirate LFI (…) bien plus attrayante que le conservatisme souverainiste d’un BenjaminGriveaux ou celle du libreéchange d’un Villani, voire celle d’un PS 1969 qui n’a appris à ses électeurs qu’à voter Macron de la majoritéprésidentielle !

Sondage intéressant dans le 16ème arrondissement pour se demander mais où sont passés les 46% de potentiel électoral obtenu par la majorité présidentielle aux dernières élections européennes ?… La candidature dissidente de Cédric Villani serait-elle passée par là ?… En tous cas, elle nous ramène à du 17% ou 15% selon qu’on considère Benjamin Griveaux ou Villani… Anne Hidalgo avec ses 24% d’intention tient compte d’écologistes qui voteraient éventuellement pour elle alors que David Belliard reste sur une poussée de la Vague Verte des européennes, grimpant de quelques % et qui, avec une bonne coalition, pourrait créer la surprise dans cet arrondissement parisien en franchissant la marche du premier tour !… Pourquoi pas avec Danièle Simonet, accrédité de 5% pour maire-adjoint permettrait d’aller vers les mêmes coalitions pour l’Outre-Mer.
https://www.linternaute.com/actualite/politique/2225593-municipales-a-paris-villani-stoppe-par-macron-actus-sondages-tout-savoir

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À Strasbourg

AlainFontanel est le candidat du ruissellement de la majoritéprésidentielle avec ou sans étiquette sur l’écométropole de Strasbourg aux Municipales2020, au centre-ville, où il a de fortes chances d’affronter l’écocitoyenne JeanneBarseghian du directoire d’EELV arrivée 2e aux EE2019, l’extrêmedroite du RN/FN étant désormais distancée de presque une dizaine de % d’écart !

RN/FN : 12,8 %
EELV : 20,69 %
LREM : 27,75 %
PlacePublique : 7,7 %
LFI : 6,9 %
Générations 4 %
Urgenceécologie : 2,01 %
PCF : 1,52 %
PartiPirate : 0,64 %
Lutte Ouvrière : 0,51 %
Parti fédéraliste européen : 0,17 %
Décroissance : 0,05 %

https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/bas-rhin/strasbourg-0/strasbourg-alain-fontanel-annonce-sa-candidature-aux-municipales-2020-1736669.html

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À Marckolsheim

Frédéric PFLIEGERSDOERFFER avance à Marckolsheim avec une étiquette de MajoritéRégionale, sommes toutes assez vague, selon qu’on se positionne sur une majoritéprésidentielle, celle de la VagueVerte des EE2019, ou d’une région qui n’a toujours jurée que par l’extrêmedroite du FN de Le Pen 1972, du partisocialiste 1969 d’Armand Jung, du RPR de Marcel Rudloff 1976 ou par l’UDF 1978 de Fabienne Keller, la suivante de Giscard 1974… On aura certainement le RN/FN au second tour des Municipales2020 mais pour l’adversaire qu’il rencontrera, l’énigme est encore totale entre
LREM : 19,01%

EELV : 12,4%
LFI : 5,48%
PlacePublique : 3,31%
Urgenceécologie : 2,18%
Générations : 1,88%
PCF : 0,9%
Lutte Ouvrière : 0,68%
Parti Fédéraliste Européen : 0,45%

https://www.lalsace.fr/actualite/2019/09/24/frederic-pfliegersdoerffer-candidat-a-la-candidature

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À Barr

Il manque 3 à 4% aux #EELV des #EE2019 pour griller la politesse de la présence au 2e tour au RN/FN d’extrême-droite pour pouvoir affronter loyalement la #majoritéprésidentielle aux porchaines #Municipales2020 !
Pour une coalition #écocitoyenne #arcenciel, du petit village à l’#écométropole, la feuille de route, c’est la répartition des potentiels électoraux de chaque parti, pas les sondages !
Pour faire des adjoints aux maires et des suppléants, nos partis sont là !
#Barr c’est 4 785 inscrits aux #électionseuropéennes et avec un bulletin de vote on fait 0,04% dans les résultats et nous disposons de
EELV : 17% – RN/FN : 20% – LREM 25%
#LFI : 3,93%
#PlacePublique : 3,89%
#Génératins : 2,6%
#UrgenceÉcologie : 2,18%
#PCF : 1,13%
Lutte Ouvrière : 0,84%
Parti Fédéraliste Européen : 0,21%
#PartiPirate : 0,17%
Décroissance : 0,13%

https://www.dna.fr/edition-de-obernai-barr-rosheim/2019/10/17/municipales-deux-candidats-declares-et-deux-points-d-interrogation

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1972 : le basculement…

1972 : le basculement vers l’hyper-capitalisation étatique giscardienne des structures d’unités productives collectives ou individuelles de gestion municipale d’exploitations territoriales.

À partir de 1972 – du moins sur le vignoble d’Andlau et l’ensemble des crus alsaciens -, ainsi que dans d’autres secteurs d’activités, liés aux différents « corps de métiers » sur tous les départements où existaient aussi des « unités productives individuelles ou collectives municipales » d’exploitation égalitaire ; on vit des responsables municipaux disparaître ou réduits au simple smic social. La place de la coalition municipale politique interne, locale, composée de plusieurs petites formations politiques de départ, elles-mêmes constituées de « comités d’ouvriers et de directions », est alors prête à se transformer par enchantement en étendard politique idéologique unique hégémonique, voué au capitalisme grandiloquent pour transformer les petits patrons qui n’en étaient pas, en « grand patron » qu’ils prétendaient être – ou devenir – avec leur petit drapeau politique, à la place du précédent système de gestion collective municipale de coalition utilisé par les mairies – jusqu’ici – pour gérer les équipements collectifs, à partir de ces « Comités d’Ouvriers et de Directions », loin du capitalisme outrancier et débridé qu’allait utiliser Giscard – non pas pour augmenter les richesses individuelles et collectives des municipalités – mais pour faire disparaître un mode de gestion égalitaire et collectif, estimé « anticapitaliste », improductif ou peu rentable et saisir de force des fonds de capitaux préexistants qui ne dormaient pas puisqu’ils garantissaient une participation financière à la gestion des collectivités territoriales redistributives… Elles existaient pourtant avant 1972, ces structures municipales collectives de production économique qui avaient de bons résultats commerciaux et sociaux devant eux, égalant les exploitations de patrons bancaires capitalistes « isolés » qui eux, ne passaient par la mairie que pour payer leurs impôts fonciers et territoriaux, une fois l’an mais pas mensuellement, ce qui leur permettait de pratiquer d’autres formes de mécénats. Pourquoi les petits drapeaux politiques qui se sont plantés par la force sur ces surfaces d’exploitations collectives qui en avaient pourtant déjà collectivement un, de drapeau, à ce moment-là, rattaché aux mairies face au patronage bancaire totalitaire, allaient remplacer plus tard ces collectifs de « comité d’ouvrier et de direction » par des partis politiques post soixante-huitards qui allaient vite oublier la coalition originale et l’insulter en les traitant de « comités ouvriers bourgeois et collabos » alors qu’elle était anticapitaliste ?… Pour mieux s’emparer de ces exploitations collectives municipales – souvent agricoles, manufacturières, artisanales – et la plupart du temps, profiter d’un portefeuille de remplacement individuel personnel à capitaliser soi-même, dans un compte secret où pouvait par la suite se poser toutes sortes de plates-formes à blanchiment sous un fanion politique spécifique, finalement éloigné de la gestion collective municipale initiale ?… Pour financer la FNSEA et jeter sur les cultures agraires et les espaces verts, des tonnes de pesticides, saboter les prochaines élections présidentielles où Giscard, Le Pen ou Mitterrand devaient s’imposer ; mais surtout pas la coalition écologiste de René Dumont avec ses communistes et ses socialistes ?… Le patronage syndical capitaliste avait de beaux jours devant lui et Giscard, une base politique, suffisamment solide et large pour fabriquer ses millionnaires et imposer sa « dictature économique », quand même constituée illégalement par rapport au mode de gestion, collectif et local, établi sur des structures d’unités productives collectives municipales qui avaient toujours apportées de bons résultats économiques de gestion et sur lesquelles, on allait puiser des fonds de capitaux inestimables : l’américanisation des terres avec du steak chewing-gum par système bancaire intermédiaire, présentée comme « meilleure rentabilité » possible, voyait naître le syndicalisme industriel qui pouvait désormais supplanter les petites unités productives individuelles ou collectives d’exploitation agricole, manufacturière ou artisanale, mais de gestion « municipale », en unités politiques ; le capitalisme d’État allait s’approprier ces unités productives de gestion municipales indirectes et en faire à peu près tout ce qu’il voulait. Financer des hôtels de charme, graisser des milliardaires – et un peu moins les hôpitaux civils -, étoiler l’hôtellerie de luxe sur le dos des piscines et campings municipaux ; tout ça devenait possible puisque la part municipale ainsi glanée, acquise plus ou moins dans la malhonnêteté, permettait d’augmenter les comptes des patrons au profit de la gestion municipale des équipements collectifs qui se résignaient ainsi à devenir les supplétifs du grand capitalisme productif, abandonnant le plus souvent possible, ces unités productives municipales de base dont les Comités d’Ouvriers et de Direction garantissaient l’équilibre économique par la gestion collective, jusqu’à avant Giscard 1974 – UDF 1978 de Fabienne Keller, le FN Le Pen 1972, RPR de Marcel Rudloff et le PS 1969 d’Armand Jung… Où en sommes-nous alors aujourd’hui politiquement, alors que nous disposions jusqu’en 1972 de Comités d’Ouvriers et de Directions, implantés sur des structures d’unités productives collectives ou individuelles qui étaient la base d’une gestion égalitaire municipale et non pas la multiplication des crises économiques où l’on re-capitalise de la dette à n’en plus finir ?… Certaines formations politiques en auraient-elles profité pour s’introduire dans des coalitions existantes, en imposant une bannière politique sur les autres déjà préexistantes et briser ainsi la coalition de départ ou la supplanter par une casquette unique qui mépriserait la coalition en se croyant supérieure ?… Autour de cette année charnière de 1972, le basculement vers l’hyper-capitalisation giscardienne et la police politique Le Pen FN ou PS 1969, allait pourrir la vie de quantité de gens, faire aboyer de travers de nombreux économistes, s’étaler la propagande à faire fuir les militants, éclore les tribuns et les prédicateurs, détruire la vie politique, sociale et culturelle de la coalition originelle d’avant, pendant et après la guerre ; voire disparaître toute une société productive politique sociale culturelle et économique, soudée et unie, que même pas Pompidou n’aurait osé humilier comme Giscard, dans un premier temps, a osé le faire, en les renvoyant, une fois qu’il fut élu, aux cagibis des vestiaires ; Le Pen par la suite, en nationalisant les ouvriers vers l’extrême-droite, oubliant tous les étrangers qui avaient combattus avec le général Leclerc et qui appartenaient à la Quatrième Internationale, le plus souvent, travaillant comme « agents municipaux » dans ces unités productives collectives municipales (!)

Après vient la terrible épreuve de la comparution des deux systèmes de modèle de gestion, la prétention de leurs résultats à l’épreuve des faits, entre un système hyper-capitalisé bancaire national et une unité productive collective locale municipale qui se valaient, non pas sous la forme de comptes bancaires sur-gonflés ; mais en tant qu’investissement collectif dans les collectivités territoriales, direct, horizontal avec les services publics, mis sous actions boursières par la suite, isolées dans des portefeuilles que nous estimerions aujourd’hui inactifs puisqu’ils ne profitent qu’à une poignée de millionnaires dont on pourrait très bien en insuffler quelques uns dans les municipalités moins productives. Le pays du capitalisme qu’on veut nous faire croire génial, constitue en fait la pire arnaque jamais envisagée avant Giscard qui réquisitionne par la force un bon nombre d’avoirs municipaux, marquant ainsi la perte de l’autonomie municipale pour ces unités productives collectives où les cadres – responsables – employés étaient bien payés puis se sont retrouvés smicards, réduits à simple ouvrier. Les richesses naturelles fournies par la production ne suffisant plus à leur cupidité mais satisfaisant largement la gestion collective, la spéculation sur le produit devenait possible : le moindre brin de textile, morceau de cuir ou grain de raisin devenait le lieu de toutes les élucubrations propices aux délires mythologiques où tout se transforme en or mais pas pour le tanneur, le tisserand ou le vigneron ; seulement pour les milliardaires et les millionnaires qui s’occupent de faire tourner les affaires, les structures, nous disent-ils, alors qu’elles fonctionnaient d’elles-mêmes avec une gestion municipale pour certaines d’entre-elles qui se définissaient comme « unité productive municipale ». Qu’on ne s’imagine pas que ce système capitaliste est si remarquable que ça car n’oublions pas que, ajouté au basculement des unités productives collectives municipales de l’ensemble du territoire vers la capitalisation d’État, mises sous étiquette du grand patronat, le service « 3615 Ulla » de Giscard qui représente une certaine quantité de capitaux à répartir ; vous n’obtenez pas beaucoup d’intérêt supplémentaire sur le produit mais vous pouvez répartir l’ensemble du blanchiment aux actionnaires qui pourront voir grimper leur % d’intérêt et leur rémunération en dividendes augmenter, tandis que les ouvriers restent pauvres. Avec un tel système, voulu par Giscard et ses actionnaires où s’installe un certain « secret des affaires », qu’on ait la même Caisse Municipale ou différentes banques de marques qui se livrent une concurrence acharnée, on retrouve tous les représentants aux étiquettes de l’investissement, apporter leurs fonds de capitaux sur la même table étatique pour enfin constater que dans la sphère militaroïde, on peut faire la guerre au Liban, en France à fric, qu’on pourra toujours transposer au moche et pauvre Orient avec un État Islamique pour religion armée d’extrême-droite à coups d’État, à la botte d’Erdogan, de Le Pen, de Trump et de Poutine.

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Les écologistes européens gouverneront l’Union européenne !

Alors oui, l’Écologie européenne peut et doit transformer les pratiques, les process et le progress en Écologie humaine, constitutionnelle, sociale et productive qui respecte l’environnement, ne détériore pas la biodiversité ; où les matières transportées et transformées ne contribuent pas à l’augmentation des émissions de CFC et de CO2 qui pénalisent la qualité de l’air et de l’eau potable. Heureusement, à temps, est encore à portée de l’activité humaine, la possibilité de modifier notre mode d’exploitation productiviste de prédation et de destruction des écosystèmes, de changer l’organisation du transport des marchandises pour évoluer vers un bilan carbone plus acceptable, du stockage des produits jusqu’à leur distribution favorisant l’économie circulaire et les circuits courts.

L’Écologie Européenne, humaine, constitutionnelle, sociale et productive est la politique commune qui permet, sur le long terme, de ne pas accepter qu’un groupe comme Auchan par exemple, puisse licencier quelques centaines de salariés pour préparer une structure commerciale comme Europacity qui met en péril tout un environnement naturel par la déforestation et la bétonisation qu’elle implique. 

Un simple « traité constitutionnel européen » ne suffit pas. Et on le voit bien avec tout ce que pose comme problèmes, depuis 2005, le « libéralisme économique capitaliste à rentabilité maximale ». Matières premières qui viendraient à manquer, énergies fossiles trop polluantes que la photosynthèse ne pourra plus absorber, préférant laisser les gaz à effet de serre s’accumuler dans l’atmosphère pour poursuivre la destruction de la couche d’ozone protectrice de notre oxygène ; tant d’indicateurs qui nous montrent que le prétendu bilan positif du capitalisme financier de l’évasion fiscale via des paradis fiscaux, contribue en réalité aux pires menaces négatives que la planète ait jamais rencontrées… Ce traité constitutionnel européen ne peut suffire s’il n’est pas accompagné, dorénavant dans l’Union européenne, d’un Traité Environnemental adéquat, suffisamment étoffé et solide pour résorber les menaces réelles du dérèglement climatique qui pèsent sur les civilisations des « sociétés de marché ».L’urgence climatique ne se résout pas à un simple classement individuel où on fait bonne figure, en limitant la catastrophe, au lieu de la résoudre : prétendre améliorer le bilan carbone quand les émissions de CO2 repartent à la hausse, laisse songeuse la bonne volonté des prétendants au « conseil de défense écologique » !… CDDÉ, lui-même qui ne semble pas être la réponse attendue par toutes celles et ceux qui portent plainte contre le gouvernement de Macron pour inaction écologique… Mais si son « Conseil de défense écologique » est réellement écologiste, qu’il construise alors des auvents avec des drones et de la toile pour protéger les glaciers et les névés d’altitude, en été comme en hiver, avant qu’il n’y ait plus d’eau dans les rivières !

Ce Traité Environnemental est la force d’un développement intelligent.

Faut-il multiplier les « couloirs à camions » ou être du côté d’une écologie humaine qui alerte et fait respecter les normes anti-pollution aux concessionnaires automobiles impliqués dans le dieselgate ?… Les chiffres sont effrayants lorsqu’on parle du nombre de décès causés par les émissions de CO2 et de particules fines, en plus grande partie, à cause du diesel et du kérosèneEurope Écologie est l’affirmation de la volonté de changer à la fois la politique de la ville et l’aménagement du territoire en fonction du maintient d’une qualité de l’air acceptable, du choix des « mobilités courtes » (vélo, transports en commun)… L’écologie quémande l’arrêt du diesel, gare aux Gouvernements nationaux qui en reculeront l’échéance en se déresponsabilisant !

L’adoption du Traté Environnemental européen garantit aussi les droits humains, les libertés individuelles, la paix, la préservation de la biodiversité, la protection de l’environnement jusqu’à la mise en valeur d’une agriculture paysanne sans pesticides, une agriculture de qualité qui permette aux petits producteurs de défendre le Droit Animal… Mais la plus grande capacité que porte l’écologie sur l’économie du 21e siècle, aujourd’hui, demain et pour toujours ; c’est qu’avec des solutions politiques et des projets techniques concrets, elle est la charnière en capacité réelle de transformer le mode d’exploitation productiviste du capitalisme des gros pollueurs qui, par leur prédation, multiplient l’écocide, favorisent la déforestation et la bétonisation… en un mot comme en cent, développent les salaires minables de la misère humaine

Ce Traité environnemental est aussi une garantie locale pour que gardes champêtres et gardes forestiers soient aussi les lanceurs d’alerte du 21e siècle et participent à la protection des rivières qui passent dans les forêts, contre les gros pollueurs qui dégazent inopinément !

Le Traté Environnemental relancera donc toute l’Union Européenne qui pourra définir de nouveaux cadres au développement industriel, aux implantations d’activité, à l’exploitation des sols, selon des lois de protection de l’environnement et des mesures pour préserver la biodiversité ; tous les pays qui ont des European Greens risquent de le signer ipso facto et de l’appliquer immédiatement car il est urgent de faire repartir à la baisse les émissions de CO2, tout comme il est urgent d’élaborer une marine marchande à voile pour améliorer le bilan carbone de la planète.

Traité environnemental associé à une « banque européenne du climat », ordonneront et légifèreront sur les infractions commises par les pollueurs sur l’environnement qui mettent en péril sa biodiversité, sa qualité de l’air et de son eau potable ; veilleront à la non-commercialisation des produits chimiques dangereux pour la santé humaine et nuisibles aux variétés des semences issues de l’agriculture paysanne traditionnelle locale sans pesticides… Le plus important avec ce système est que, non seulement ils assureront aux agriculteurs que leur aide européenne ne reste pas bloquée dans leur pays par un compte gouvernemental pendant deux ou trois ans, mais amortira aussi vers les plus démunis, par des financements spécifiques, l’amortissement du coût de la Transition Écologique =
Transition Énergétique + #Transition Alimentaire + Transition Économique !

Une véritable Transition Économique commence par l’arrêt des saisies de l’aide agricole européenne destinée aux petits producteurs et à l’agriculture paysanne traditionnelle sans pesticides !… Saisine effectuée par le gouvernement qui tarde depuis 2 ou 3 ans, selon les cas, à arriver ; ce qui n’est pas dans l’intérêt des agriculteurs (bio-dynamique)… L’Europe n’est pas une tirelire où les lobbies gonflent les actionnaires pendant que l’agriculture voit beaucoup de paysans baisser l’âme pendant que leur aide retardée sert de taux d’intérêt annuel bancaire au grand capital qui pratique le monopole des subventions, avant acheminement !… L’Évasion Fiscale, les Paradis Fiscaux commencent toujours avec les questions agraires et/ou industrielles !

L’écologie d’Europe Écologie est une science pragmatique de terrain, en milieu naturel et urbain (Déforestation / bétonisation) qui réagit aux constats du dérèglement climatique pour hisser la meilleure réponse possible à l’effondrement des espèces et de la biodiversité I   

L’écologie humaine c’est la politique qui ne se plante pas là où les autres plantent leurs échecs, leur libéralisme ou le nationalisme d’extrême-droite !

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« ni Loiseau ni Glucksmann ni Le Pen » !

C’est un pas en avant socialiste le soutien de Gaspard Gantzer qui appelle à voter pour la liste de Yannick Jadot aux Européennes2019, à l’heure du réchauffementclimatique, ce n’est pas négligeable, un signe pour ToutChangerEnsemble, de la PAC au littoral !

Vous allez nous faire croire qu’Harlem Désir et Édouard Martin ce n’est pas Glucksmann, ou que comme Macron, ils participeront à l’Europe forteresse, mais le partisocialiste 1969 qui se refonde aujourd’hui, reste le même et votera le même libéralisme de ses quelques députés qu’ils obtiendront que leurs prédécesseurs européens ont voté jusqu’à présent !

L’impératif écologique n’avance que par les European Greens qui se différencient de ce PS 1969 par le démantèlementnucléaire effectif et pas suspensif, un aménagementduterritoire qui soit moins dépendant des actionnaires boursiers et plus en adéquation avec les nécessités de la qualitédelair qui se dégrade par la pollution qui augmente ; des GreensERqui privilégient le fretferroviaire au « tout camion », multiplicateur d’émanation de dieselémissionsCO2gazàeffetdeserre : sur terre comme sur les océans, l’écologie veut révolutionner les modes de transport et envisage même l’émergence d’une marine marchande à voile !

La « gauche bouclier » ?… Ce n’est pas un flanc politique plutôt qu’un autre qui pourra venir à bout de l’extrêmedroite, de ses menaces culturelles et sociales, militaristes et intellectuelles, de harcèlement et d’oppression puisque tous les versants politiques se font élire par le jeu de son écrasement, mais pas en la faisant disparaître par les lois de Nuremberg 1946 qui les y autorisent : c’est le municipalisme, identique à celui qui la combattait déjà, avant, pendant et après la guerre, sous ses formes d’étatisme, imposées ou forcées, dans les Départements, les Régions, les Préfectures, les Provinces, les communes, les gouvernorats où elles pouvaient s’installer par la force, avant de passer par les urnes, qui les refouleront… Qui se rappelle que les Conclusions du Tribunal de Nuremberg nous prémunissent depuis toujours du fascisme, de l’extrême-droite et du nationalisme ; des Franco, Mussolini, Hitler, Staline, réveillés par des Orban, Salvini, Abascal, Le Pen et Poutine ?… pourquoi en irait-il autrement et différemment aujourd’hui, maintenant ou demain ?

Le problème, ianbrossat c’est que dans ces Européennes2019, il faille à la fois voter contre les extrêmedroite nationaliste et pour SauverLeClimat du dérèglementclimatique… Ces électionseuropéennes ne sont pas qu’une simple sanction aux gouvernements nationaux, elles dépassent la simple politique nationale… Avec ou sans frontières, le réchauffementclimatique n’attend pas, tout comme n’attendent pas le démantèlementnucléaire, les réponses à la crisealimentaire que nécessite l’agricultureindustrielle de l’agrochimie… Allez, le 26mai, nous pouvons ToutChangerEnsemble !

La minedor en Guyane, les gazàeffetdeserre, la chasseàlaglue et les plasticintheocean, les salairesminables, le droitdesfemmes, ce n’est ni le choix européen, ni l’orientation mondiale de l’écologie des European Greens !

Par rapport au libéralisme qu’ils n’hésitent pas à décliner en ultra ou en néo, l’UnionEuropéenne n’a pas grand chose à espérer des gouvernements nationaux qui reproduisent à Bruxelles et au Parlement Européen, les mêmes politiques qu’ils s’acharnent à développer dans leur nation avec toute la contestation et les critiques qu’on leur connaît !… DépasserlEuropeDesÉtats propose de ne pas se contenter de la simple politique nationale majoritaire qui construit l’Europe dans sa frontière libérale alors qu’il s’agit de bâtir – ailleurs que dans les limites du libéralisme – une politique suffisamment efficace pour s’opposer au dérèglementclimatique et enclencher le démantèlementnucléaire, tout en faisant en même temps, obstacle à l’extrêmedroite !

Loiseau écologique !

Venant de la jeunesse étudiante militante d’extrêmedroite de Loiseau, le raisonnement de ces libéraux, de droites composites mais essentiellement dures, se limite surtout au PIB, un peu moins en émissionsCO2 CFC HFC ou en niveau d’assèchement des sols par la bétonisation !

Du zéro diesel, on passe au zéro essence !… Quel miracle à la mesure de Loiseau chargée de sauver le gouvernement national aux électionseuropéennes ou cela provient-il d’un tuyau de Daniel Cohn-Bendit qui fera aller au travail, toute la population, à pied, en vélo ou en transports en commun ?… LaREM aux eurpéennes2019 devrait commencer par « zéro SDF » (programme présidentiel Macron 2017), « zéro pesticides« , « zéro évasionfiscale« , zéro « vinciautoroutes« , zéro « LyonTurin« , « zéro déforestation« , zéro minedor« , « zéro schiste de pétrole », « zéro CETA, zéro TAFTA« …

Nous aussi on nous avait prévenu qu’il fallait s’attendre au pire avec la candidature appartenant à la majorité présidentielle de Macron aux Européennes !… On est servi : du « jour j » à du Blitzkrieg, en passant par le « D-Day », NathalieLoiseau doit confondre les commémorations du débarquement avec un second tour des élections européennes, ou se tromper d’époque d’où resurgiront toujours les racines de ses amitiés étudiantes fondatrices pour l’extrêmedroite et le nationalisme politique !

Non mais quel opportunisme !… S’agit-il d’une 1/2 mesure ou d’un simple 1/10 budgétaire pour plafonner l’ambition écologiste ? 

C’est de l’écologie compensatrice ! 

Loiseau fait de l’économie et retient 1/10ème de l’écologie réelle (100 milliards), multiplie par 10 pour se rendre visible et indispensables dans l’inversion du réchauffementclimatique / dérèglementclimatique, en propose donc 1000 mais en fera-t-elle plus d’écologie ou ira-t-elle vers l’écoblanchiment ?… Écoutez #Macron et Loiseau, les GreensEP ne sont pas un pot de confiture où vous pourriez tartiner vos programmes pour l’UnionEuropéenne ! 

Attention, si vous vous en servez, il faudra aussi appliquer mais ce serait plus simple de VotezPourLeClimatVoteGreen le 26mai, tant votre gouvernement national a déjà de problèmes en France qu’il vaudrait mieux ne pas trop en contaminer l’Europe avec… L’Europe ce n’est pas NathalieLoiseau du « tout Macron » !

Et on s’étonne l’extrêmedroite au Parlement Européen – Strasbourg… Elle confond les commémorations du débarquement du 6 juin 1944 avec le second tour des Européennes2019 !… Elle commence avec un « D-Day, le jour j » pour finir en Blitzkrieg, on dirait Le Pen il y a 30 ans… C’est ça, mais bien sûre, Loiseau chargée de sauver le gouvernement national d’EmmanuelMacron à l’UnionEuropéenne où il n’a pas encore de véritable existence réelle comme groupe parlementaire européen : au second tour NathalieLoiseau !

LaREM aux eurpéennes2019 devrait commencer par « zéro SDF » (programme présidentiel Macron 2017), « zéro pesticides« , zéro chasseàlaglu, « zéro évasionfiscale« , zéro « vinciautoroutes« , zéro « LyonTurin« , « zéro déforestation« , zéro minedor« , « zéro schiste de pétrole », « zéro CETA, zéro TAFTA« …

derugy pour Macron et Loiseau affichent carton de promesses au G7Environnement pour briller aux Européennes2019 alors qu’au niveau de la politique nationale, c’est tout l’inverse : éloignement du cnpn des décisions, non-fermeture des vieilles centrales nucléaires, LyonTurin

derugy il est quand même spécial… il confond l’efficacité des @europeangreens EurpeÉcologie à l’@Europarl_FR depuis les CFC  émissionsCO2 gazàeffetdeserre pesticides  nucléaire pêcheélectrique   lanceursdalerte avec Loiseau chargée de sauver son gouvernement national à l’ue.

Pendant que se dévoilait le scandale du dieselgate et se révélaient les dangers pour la  santéhumainederugy était bien trop occupé à faire passer en force le projet écocide des vinciautoroutes GCO LyonTurin.

@FdeRugy c’est le greenwashing de l’écoblanchiment permanent !

Un Tribunal international pour terminer les tentatives de califat en Irak et Syrie et briser les ambitions territoriales d’Erdogan sur des parties syriennes.

La nécessité de vouloir absolument établir un tribunal international au sortir des massacres, des viols et assassinats – attentats, coups d’État – s’impose, non pas seulement aux Kurdes du Kurdistan d’Irak, d’Iran ou de Syrie, où s’est principalement manifesté l’État Islamique d’invasion terroriste, enfanté, en partie, par les camps d’entrainement de Ben Laden et l’ISIS américain ; puis complété par un puissant réseau logistique européen : affilié par l’extrême-droite liée aux armées en Belgique, appuyé à Strasbourg par le petit empereur « imam auto-proclamé » Farid Benyettou, ventant déjà au lycée, autour d’une cour lepéniste du FN avec son soldat Jean-Marc Vallat, la prédiction d’un État Islamique pour « mettre le monde à feu et à sang », Benyettou qu’on retrouve comme brancardier dans un hôpital parisien, accueillant les premières victimes des attentats des terrasses parisiennes avec (déjà ?) dans les bras deux Kouachi pour le prix d’un de chez Charlie Hebdo, un an avant…

Un puissant réseau qui aura probablement, pendant 30 ans, envoyé de nombreux jeunes, adolescent ou à peine majeurs, s’implanter progressivement dans les quartiers des métropoles irakiennes et syriennes, puis infiltrer par une autre brèche, les services des armées d’Irak et de Syrie, jusqu’à déserter leur Corps de défense pour aller violer, massacrer et assassiner des populations désarmées avec ISIS et Daesh qu’ils ont rejoints.   

Un tribunal international pour mettre l’État Islamique hors d’état de nuire devant une cour de Justice. Cette Cour de justice, centrée autour des Kurdes, concerne aussi les Nations qui partagent ce point commun qui est d’avoir vu s’implanter ou simplement passer Daesh / ISIS sur la période d’invasion dans leur territoire. D’avoir combattu sans relâche l’EI, jusqu’à son éradication d’Irak, du Kurdistan, des Monts du Sinjar, au Koweit, devant le Liban, près de la Jordanie et de la Palestine, en Syrie ; des liens solides peuvent se nouer entre ces 8 Nations qui ont affronté l’EI… Des liens bien plus en adéquation avec les Kurdes et l’expression des démocraties arabes et des multi-confessionnalités religieuses que ne le serait le cercle plus restreint de la « coalition internationale » dont l’aide était certaine… De Kobanê à l’auto-proclamé califat de Mossoul, des massacres dans le Sinjar à l’incursion frontalière du Koweit, rapidement éteinte, jusqu’à l’épisode du Liban de courte durée, en Jordanie et en Palestine ; que ce soient des incursions frontalières plus ou moins profondes ou du simple camping près de l’armée turque de l’AKP d’Erdogan, de ces villes et ces villages de 8 Nations – sur des zones inhabitées, moins -, l’État Islamique d’invasion n’a laissé que ruines, cadavres au nom d’une religion dont il sera dorénavant, difficile de justifier une quelconque quête spirituelle, là où les Kurdes d’Öcalan ont toujours été une force émergente de paix, ce que n’a jamais voulu comprendre l’Europe, en sa capitale des Droits de l’Homme qui a, dès le départ, préférée Farid Benyettou et Jean-Marc Vallat, bien plus intéressants aux yeux des mercenaires, que l’existence profonde liée à l’histoire de l’humanité et des civilisations dite par le « peuple sans armes » Êzîdîs.

Les Forces Démocratiques Syriennes Kurdes ne sont pas qu’une simple armée de mobilisation collective, réagissant instantanément aux invasions d’autres armées sur son territoire, en capacité de réunir rapidement les femmes et les hommes valides pour combattre les assaillants ; elles sont aussi redevenues la puissance émergente de paix qu’elles ont toujours été en Syrie depuis 1986 où elles protègent les Gouvernorats et en Turquie depuis 1984 où les demandes de cessez-le-feu et de reconnaissance politique pacifique par le % électoral Kurde échouent, n’aboutissent jamais ou sont rejetées, alors que les arrestations augmentent, leurs élus – enseignants – avocats – journalistes, poursuivis, censurés, évincés, les peines de prison atteignent des chiffres à plusieurs vies… Une mairie ou des quartiers, remplacés par des casernes militaires…

« Le retour des Jihadistes »

« Retour des jihadistes français : Nicole Belloubet évoque une majorité d’enfants »

http://www.rfi.fr/france/20190131-france-retour-jihadistes-francais-enfants-syrie-nicole-belloubet

Une fois différencier les enfants des femmes qui n’ont jamais combattus, des jihadistes, avec le risque que les convictions idéologiques les pousseraient ensuite à commettre des attentats par vengeance ; tout le monde n’éprouve pas la même nécessité à poursuivre avec cet État Islamique Français et Américain (Daesh/ISIS), à tentatives de coups d’État en Irak et en Syrie, les mêmes dessins terroristes de mercenaires de manipulation et d’endoctrinement pour faire comme toutes les religions armées finalement, encore que nulle part n’est écrit que Jésus ou Mahomet devaient se transformer un jour en mercenaire ou en terroriste pour édifier des religions armées ; au plus grand reniement du « peuple sans armes » de l’Ancien Testament… Alors les laisser là-bas, les rapatrier – puisqu’une grande part serait « Française » – mais pour les juger de quoi ?… D’avoir essayé de faire comme la religion armée du vatican qui doit sans doute les respecter pour leur engagement aux extrêmes ?


Que faut-il évaluer par procès ?


– Le point de départ de la prolongation des camps d’entraînement de Ben Laden où se rendent des Français qui devaient sûrement confondre la cour de leur lycéen avec une mosquée de Brooklyn pour y dissimuler un « imam auto-proclamé », voire une caserne de Jean-Marie Le Pen où germaient ses militantEs et ses soldats ; peut-être même la prolongation du syndicat patronal d’extrême-droite locale à loups noirs qui pendant 35 ans auront contribué, à leur manière, au développement, au conditionnement et au recrutement, ainsi qu’à l’acheminement des jihadistes ?


– Les autorités officielles des pays d’où ils proviennent qui sauront dissimuler leur pouvoir d’influence, de persuasion et de manipulation structurelles et organisationnelles, suffisamment évoluées « administrativement » ou numériquement pour façonner un tel carnage, au nom d’une prétendue « liberté religieuse » d’expression militaire, terroriste, révolutionnaire aux valeurs nationalistes familiales d’extrême-droite ?


– La structure gestionnaire de l’État jusqu’au niveau local et départemental qui oblige le proviseur d’un petit lycée de province à Strasbourg neudorf à accueillir Farid Benyettou en tant qu’élève sur-doué (à part en 2 Kouachi pour le prix d’un, il a fait preuve d’aucun résultat scolaire) et Jean-Marc Vallat (il venait de subir un échec à son concours d’entrée au lycée militaire d’État où il avait été candidat et vient se réfugier au Jean Monnet) pour qu’ils s’y rencontrent et aillent au Bar CIntra avec des escortes développer « la même religion des deux parties d’un même cerveau » l’EI Daesh/ISIS et leur Chef Le Pen à l’Élysée en utilisant le terrorisme rien qu’en s’inventant des « gauchistes » pour leur faire la semaine du « t’as serré la main d’Öcalan, t’es un terroriste » aux récréations ou en salle avant le cours ?… peut-être par invention bolchevique ou vers l’aveuglement révolutionnaire peut conduire puisque Öcalan n’a jamais enseigné les coups d’État, le terroriste et les attentats ; la défense c’est autre chose, certainement pas une secte de mercenaires d’extrêmes-droites qui se prend pour l’état-major national au fond de la cour d’un lycée !


– Le commissariat de neudorf qui n’a pas répondu à l’appel du proviseur pour intervenir et demander à Benyettou d’aller ailleurs faire ses prêches de mise à feu et à sang du monde, si il n’obtenait pas son « État Islamique » ou si les Kurdes obtenaient un État avant le sien, conseillé par un « état-major » un peu jeune ?


– Les clubs de rencontre « mariages » qui sollicitent sur Internet, Facebook ou Meetic, spécialisés dans l’Islam ou l’union traditionnelle strictement religieuse catholique qui ne cessent de lancer des appels vers de jeunes recrues pour se rendre en Syrie ou en Irak y rencontrer leur partenaire idéal dans le jihadisme, l’islamisme radical et le terrorisme ?

« La République en marche » est responsable !

Il faut bien avoir à l’esprit et prendre conscience que cela fait maintenant une bonne vingtaine d’années que les écologistes européens alertent les gouvernements nationaux sur les risques liés à l’utilisation des produits chimiques qui dégradent l’environnement, menacent la physiologie humaine et l’équilibre de notre santé. Si, il y a vingt ans, lorsqu’était déposé devant l’Union européenne le pack « CFC, CO2, Pesticides, Herbicides, Fongicides », il n’était pas surprenant de voir l’accélérateur décisionnel se pencher sur l’interdiction des CFC, alors la principale cause de la perforation de la couche d’ozone ; plus inquiétante était la décision de remettre la lutte contre les CO2 et les pesticides à plus tard, bien que les mêmes menaces scientifiques pesaient déjà dans l’utilisation de ces produits. Quel retard accumulé, depuis le refus des autorités politiques, à prendre ces menaces plus au sérieux par rapport à la gravité des lésions possibles sur les organismes fragiles, non plus seulement chez l’adulte en bonne santé mais aussi chez les nourrissons et les enfants en bas-âge, dont nous pouvons dorénavant vérifier la véracité scientifique médicale à chaque attaque de particules fines et lourdes qui mettent bronchiolites, bronchites, asthmes et autres lésions pulmonaires ou allergiques, au menu principal des cabinets médicaux… Aujourd’hui, aux États-Unis, des plaignants bien seuls et démunis devant leur vie écourtée, portent devant la Justice les preuves irréfutables que le glyphosate est nuisible pour la santé humaine puisqu’étant la cause de cancers violents ; la France, quant à elle, pourrait-elle se permettre de remettre en doute le verdict des résultats scientifiques par l’argumentation fallacieuse d’un scientisme déviationniste, dont on se demande si les résultats eux-mêmes ne sont pas décidés et financés par les lobbies de Monsanto, du Roundup, du glyphosate et de Bayer ?… Mais la science n’est pas au service de l’économie !… La science de la terre et l’écologie ont vocation de veiller à ce que l’économie ne détruise pas plus qu’elle ne l’a fait jusqu’à présent l’environnement, les nappes phréatiques, les sols agraires et forestiers… C’est donc bien d’une irresponsabilité absolue dont a fait preuve la majorité présidentielle sur les bancs de l’Assemblée nationale où les apprentis stagiaires en période d’essai gouvernementale perpétuelle de cette « République en marche » ont décidé de ne pas inscrire dans la Loi – ni maintenant, ni dans trois ans – l’interdiction du glyphosate et autres détergents, phytosanitaires ou désherbants dangereux pour notre santé et celle de nos enfants… Ils seront volontairement responsables des lésions déjà détectées qui pourraient être en lien avec l’utilisation trop rapprochée de produits « pesticides – herbicides – fongicides » reconnus scientifiquement comme pouvant créer des lésions irréversibles sur les organismes humains. Trop nocifs et donc extrêmement dangereux, rien que pour les sols, ils font également disparaître des espèces animales de type oiseaux et insectes (abeilles, coccinelles), nécessaires à l’équilibre de l’écosystème, aux pollinisations et indispensables pour le maintient d’une biodiversité saine et stable ; d’où l’urgence qu’il y aurait – et qu’il y avait pourtant – à statuer différemment en faveur de la protection des sols et des cultures, au lieu de favoriser la poursuite de la destruction de notre écosystème par l’utilisation prolongée de produits chimiques dans l’agriculture industrielle et le jardinage des particuliers, l’entretien des espaces verts ou des voies ferrées de la SNCF.

Et si ce n’était pas pour rien que toutes ces communes , municipalités et espaces urbains, aient décidé de ne plus utiliser de pesticides dans la gestion de leurs « espaces verts » ?… Et ce n’est donc pas que dans l’agriculture qu’ils sont utilisés, les Roundup Monsanto glyphosate… comme par hasard, on retombe sur la SNCF pour qui l’Écologie n’a pas plus de signification que sa propre restructuration, quitte à effriter et laisser partir en lambeaux les sites naturels qu’elle traverse de ses voies ; sans parler de ses plans de licenciements et de sa politique libérale qui la met réellement en cause lorsqu’on tombe sur ce genre de constat de catastrophe pour l’environnement… Pourquoi les services d’entretien des voies ferrées du parc ferroviaire n’ont-ils pas suivi l’exemple des employés municipaux des espaces verts qui ont choisi, avant tout pour leur santé, de ne plus utiliser de produits toxiques pour désherber, quitte à embaucher… Comme eux, la décision à la SNCF peut venir des salariés qui parviendront à faire prendre conscience aux directions, de la dangerosité à persister de poursuivre avec une telle pratique écocide !

Si on parle souvent de réchauffement climatique c’est avant tout d’un dérèglement dont il s’agit… Dérèglement des « régulateurs climatiques naturels » entamé, lorsqu’il y a 30 ans, les scientifiques constataient avec inquiétude que la couche d’ozone, protectrice de la haute atmosphère, se faisait ronger par les CFC… Depuis, sur terre, ce n’est plus seulement dans la haute atmosphère que se complique les dégradations : destruction des zones humides, assèchement des zones inondables, construction d’autoroutes superflues, déforestation supérieure à l’aménagement d’espaces verts, épandages industriels de pesticides chimiques détruisent faune et flore ; tous ces composants, liés à de mauvaises pratiques qui abusent des polluants, sont autant de facteurs humains écocides qui continuent de menacer aujourd’hui la Biodiversité et contribuent à l’affaiblissement du fonctionnement « naturel » de l’écosystème !

La Loi tout de suite !… Il s’agit d’études scientifiques qui démontrent la possibilité cancérigène de l’exposition au glyphosate !
L’Écologie n’est pas une religion ou une secte, c’est une politique issue des résultats scientifiques irrévocables…


ecosystem ecosystems biodiversité biodiversite biodiversity

FR Glyphosate

Nicolas Hulot a démissionné !

Ce n’est pas parce que NicolasHulot né le 30 avril 1955 vient de démissionner que Mélenchon deviendrait automatiquement le « 1er écologiste » aujourd’hui ( BFMTV – Bourdin Direct – Benoît Hamon : https://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/benoit-hamon-face-a-jean-jacques-bourdin-en-direct-903551.html )… Sinon que penser de ces 30 années de victoires, de résultats et d’avancées à l’Union européenne et dans le monde sous la bannière écologiste européenne qui ne sont pas si infimes ou minimes comme beaucoup essayent encore de le prétendre actuellement… Il y a 52 députés dont 6 Français que Yannick Jadot veut prolonger aux Europeennes2019 ; et pourquoi pas, ne pas l’agrandir ? !… Ce sont eux les 1ers écologistes !… Qui poursuivent les travaux d’Eva Joly, commencés par ses équipes qui déposèrent le 1er grand dossier – en dehors de ceux du nucléaire et de l’agriculture qui ont toujours été des dossiers « permanents » – sur la Table de l’EuropeanUnion lorsqu’ils demandèrent d’adopter et d’appliquer le pack CFC CO2 Pesticides ; à ce moment-là, ce n’est sûrement pas leur faible pourcentage électoral qui aurait refusé leur requête, sinon, nous ne serions pas aujourd’hui proche du « zéro CFC » !… Par contre, si ils avaient obtenu une majorité absolue dans les urnes, les CO2 et les pesticides auraient fait parti de la prise en compte et non pas seulement la question des CFC… De toutes façons, tant au niveau expérience que pratique, ça ne peut pas être Mélenchon le 1er écologiste !… Ce n’est pas parce que Nicolas Hulot quitte le gouvernement qu’il ne resterait pas le 1er écologiste politique de France ; c’est peut-être pour le rester – « 1er écologiste » – qu’il démissionne de chez Macron ! ?… José Bové aussi pourrait le mériter ce titre !… Mais on n’est pas là pour distribuer des titres Monsieur Bourdin Direct ; on est là pour constituer et défendre une force politique écologiste européenne qui est, quasiment, pourrait-on dire, la seule qui obtienne des résultats…

Nicolas Hulot triple l’impact des consciences sur les trois forces politiques que sont Les eurodéputés Europe écologie qui existent déjà dans l’Union européenne et qui obtiennent des résultats depuis 30 ans de pack CFC CO2 Pesticides ; ce qui les différencie des deux autres – les Insoumis et Génération.s !

N’empêche que stratégiquement, si NicolasHulot démissionne aujourd’hui, il fait de Macron un président ego-recyclable, compostable et jetable… La brosse à dents en canne à sucre contre des conserves de raviolis ; poids-chiche contre Monsanto, lièvre contre gaz de schiste ?

Nicolas Hulot démissionne du gouvernement Edouard Philippe pour garder liberté et propriété intellectuelle en poursuivant ses engagements pour qu’avance l’écologie réelle du Climat, des énergies renouvelables, la santé au travail, la sortie du nucléaire, du glyphosate !… Le renouvellement permanent du pack CFC CO2 Pesticides proposé il y a trente ans par les écologistes à l’EuropeanUnion reste d’actualité !

C’est du négationnisme scientifique, intellectuel, économique, pédagogique et social que d’oser prétendre que l’écologie ne sert à rien, qu’elle est bien loin de nos soucis quotidiens, inutile EELV ?
@LCI passe du Tweet pour manipuler l’Opinion opinionlive

On reproche trop rapidement à Nicolas Hulot de ne pas avoir prévenu Macron ou Philippe !… En retour EmmanuelMacron et Édouard Philippe – au demeurant toujours ravis de travailler avec lui – avaient-ils signalé sa nomination pour qu’il ne puisse ni avancer, ni évoluer, ni bouger… pour le bloquer ?

De nombreux ministres de la 1ère à 5ème République ont su se faire respecter en démissionnant – « claquer la porte » c’est pour Mélenchon qui n’a jamais démissionné, il « appelle » à démissionner ; mais lui, n’a jamais démissionné – ; ça doit permettre de prendre conscience de l’#urgence d’aller vers l’écologie pour les Europeennes2019 de l’EuropeanUnion green Europe

On ne mets pas aux poubelles 30 années de travaux menés dans les commissions européennes pour arracher des résultats et des victoires dans l’EuropeanUnion sur la TransitionEcologique et la TransitionEnergetique sinon que serait ce pack CFC CO2 Pesticides où beaucoup a été fait et dont il reste encore beaucoup à faire… Les eurodéputés Europe écologie existent déjà à l’UE et ils sont efficaces, Macron et Philippe aurait dû respecter Nicolas Hulot pour ses 30 années au service de l’écologie dans l’Union européenne avec Eva Joly, Yannick Jadot et José Bové mais aussi de nombreux autres qui constituent leurs équipes alors que LaREM / EnMarche n’y ont même pas un pied ou une porte ouverte !

écologie sociale, politique, économique, institutionnelle et constitutionnelle mais surtout aux Europeennes2019 en #France et dans l’EuropeanUnion !… Moins chez Macron ou Juncker, Salvini et Orban ; mais plus avec les écologistes européens là où LaREM n’existe pas encore.

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On apprend ce matin que Nicolas Hulot quitte le gouvernement très certainement pour aborder les Europeennes2019 avec l’ancrage de l’écologie dans l’ EuropeanUnion ; la verte Europe est difficile à vivre chez Macron qui en fait du « vernis écolo » ou un enjeu nationaliste pour les lobbies !

Hulot démissionne comme Montebourg et Sapin avant lui et #Macron se fait progressiste contre le nationalisme pour les élections européennes mais oublie de mentionner la 3ème force : l’écologie internationaliste de Yannick Jadot qui existe déjà en green Europe !

Nicolas Hulot pensait débloquer des dossiers, continuer d’en développer et d’en faire avancer d’autres face aux urgences climatiques et environnementales, aux polluants Diesel glyphosate pesticides CFC CO2, devant le désastre de la politique migratoire et de l’immobilisme économique : l’écologie part construire ailleurs ce qu’elle ne peut réaliser avec Macron…

On saisit à quel point la politique européenne de #Macron ne peut dépasser son petit parti national qui pense pouvoir transposer sa victoire aux présidentielles sur les Européennes2019 sans écologie alors que ces politiques européennes écologistes existent bel et bien dans l’UE.

Nicolas Hulot vient à peine de démissionner qu’on parle déjà immédiatement derrière de macrontientuntruc mais la place qu’il va devoir remplacer ne va pas être simple…il n’y a personne qui soit de son niveau pour Macron et ses engagements politiques ne vont pas disparaître de l’écologie !

EmmanuelMacron en prend pour son envergure et aux prétentions, dépassé qu’il doit être face à l’urgence de développer des politiques liées à l’écologie qui ne dépendent pas uniquement de l’Economie de la lobbycratie qui domine l’Europe.

Les Européennes2019 seront donc forcément Politique !

 

« Ce n’est pas une affaire d’État » ! ?

« Ce n’est pas une AffairedEtat » !

La Constitution n’est pas un support que les ambitieux peuvent adapter jusqu’à leur convenance… La Constitution n’est pas au service d’élus qui pourraient en abuser mais définit les contours qui évitent les abus de pouvoir dès lors que la Constitution est respectée… Vouloir s’y soustraire, s’imaginer au-dessus serait la dépasser, « oser » ?… non !… c’est la mettre en péril, la fragiliser, risquer gros et le Parlement n’a pas à être aux ordres de l’Élysée – Présidence de la République française, n’en déplaise à ceux qui auraient choisi cette nouvelle formule (LaREM) qui n’a d’existence politique qu’une fois élue, le temps d’une élection…

 

D’après GerardCollomb, auditionné le premier, exposant quasiment discrètement un résumé sommaire sur les récentes attaques terroristes et appuyant son argumentaire tout autour de la crise sécuritaire, il n’est pas loin le chemin où AlexandreBenalla passera pour être devenu comme ça à cause du Terrorisme : CollombDemission !

Et voilà pourquoi, comme plus personne ne sait qui, du Préfet de police, du Président ou du centre de formation « Parti Socialiste 1969 » devrait agir pour signaler ce genre de cas d’usurpation de rôle et de fonction, n’explique pourtant pas, quelle reste la raison principale pour laquelle ce genre d’AffaireMacronBenalla devient possible ?… Y a-t-il des écoles et des formations, voire des grosses écuries politiques pour façonner ainsi le non respect des règles et des responsabilités ?… Alexandre Benalla : faire le policier aux abords du restaurant « la mama » à La Mongie, là où ski d’habitude et par tradition EmmanuelMacron, ce n’est ni les boulevards parisiens pris par une manifestation, ni les marches de l’Elysée qu’il faudrait faire briller pour auréoler un Président, sans qui, Benalla ne serait évidemment rien devenu…

EnMemeTemps rejeter la faute sur l’Élysée ou le Ministère de la justice pendant que GerardCollomb la rejette sur la Préfecture dans l’AffaireBenalla permet donc à tous de repousser la poursuite du débat sur la ReformeConstitutionnelle : qu’on ne s’y retrouve surtout qu’à 1/2 entre l’autorité de la @Place_Beauvau, le Préfet de police, l’Élysée et les observateurs invités, initiés ; relève d’un étrange subterfuge traduisant un dysfonctionnement institutionnel pour le moins incertain dans lequel la Justice pourra autant faire confiance que mettre en doute plus sérieusement les auditions avec documents administratifs à l’appui, pouvant révéler les tromperies, le mensonge des déclarations et réfuter des positions, des postures qui découleraient de l’abus de pouvoir.

Mais la Constitution est si bien faite en ses Lois oubliées ou effacées que le Préfet de police en charge de l’invitation gracieuse d’Alexandre Benalla, n’a daigné prévenir personne pour qu’on retrouve Benalla Place de la Contrescarpe pour ce qui allait désormais devenir l’AffaireDu1erMai. Que ce même Préfet parvient à rejeter la faute sur l’Élysée ou le gouvernement via le ministère de la Justice, serait de l’habileté de tous ; mais qu’il réussisse finalement à reporter la poursuite des débats sur la ReformeConstitutionnelle et ainsi satisfaire tout le monde, suggère un degré de complicité assez élevé !

Pas plus EmmanuelMacron que GerardCollomb ou des Préfets nommés par la présidence de la république ne détiennent la réponse d’à qui incombe la faute, si faute il y a puisque nous découvrons, au fur et à mesure que les auditions avancent dans l’affaire Benalla, à quoi peut servir la Politique en sa substantielle moelle. Dans cette AffaireMacronBenalla AffaireBenallaMacron, on est loin des « frais de bouche », des petits trafics de fausses factures destinés à rehausser le niveau de vie des pauvres élus ou engraisser le financement occulte des campagnes électorales ; on nage en plein délire, depuis le coiffeur de François Hollande à 6 000 €, la com’ de Solférino à 7 000 € et maintenant les 10 000 € d’un adjoint-conseil ou conseiller-adjoint du président de la République… Benalla éprouve bien des difficultés à effectuer des heures pour justifier d’un travail légal pour lequel l’Elysee le paierait, alors il fait des heures supp’, Place de la Contrescarpe. Et VincentCrase qui se ballade en sa compagnie autour de la manifestation avec un flingue alors qu’il n’a peut-être même pas de permis du port d’arme, mis à part une autorisation suggestive plus ou moins officielle… Les « observateurs » armés, invités, initiés ou de leur propre chef, ne peuvent plus être considérés pour « invités » comme pourraient par exemple l’être des sociologues conviés à observer les phénomènes de foule ou des jeunes policiers volontaires, là pour renforcer les rangs des forces de l’ordre ou simplement observer, sujets à recrutement ou désireux de changer d’orientation dans les rangs de la police ?

Le grand rendez-vous d’EdouardPhilippe devant l’Assemblée…
Bon, je ne dis pas que les agents de sécurité ne puissent pas avoir d’ascenseur social mais de là à se retrouver marchant devant le Président de la république, surveiller son planning, lui préparer le quatre-heures. La position qu’occupait AlexandreBenalla jusqu’ici, à côté d’EmmanuelMacron, envierait bon nombre de gendarmes, de policiers ou d’officiers militaires ; y serait-il parvenu en grillant les étapes, trop rapidement, comme si il aurait sauté, en l’évitant, la vie des casernes ?… Un Président de la république peut s’entourer de qui il veut, de choisir ses bras droits et gauches mais là, ce n’est même plus du favoritisme ou du piston ; c’est doubler volontairement la hiérarchie parce que Macron en a besoin pour son NouveauMonde de mise à l’essai d’un an et il semblerait que le locataire de l’Élysée aura du mal à se passer ou à se séparer de Benalla, tant il doit en avoir besoin puisqu’il trouve son boulot intéressant. Il ne suffit pas de trouver le passage à tabac inadmissible ou inacceptable lorsqu’on s’aperçoit que la période d’essai « BenallaMacron » était depuis longtemps terminée.

Observateur privilégié du Président Emmanuel Macron, – il était à la manif’ du 1er mai Macron ? ! – initié par le service d’ordre rapproché spécialisé du « parti socialiste1969 » – peut-on dire qu’il était réellement à bonne école ? -, Alexandre Benalla et tant d’autres, ne sont que le reflet d’un arbitraire décisionnel lié à la fonction suprême qui outrepasse les procédures réglementaires pour ouvrir la porte au NouveauMonde de Macron : le temps des « généraux » !… Après une année d’essai, « demandée » si aimablement par Emmanuel Macron, on voit le résultat mais il faut dire que De Gaulle – qui n’a ni rendu l’Élysée au CNR, ni daigné retourner dans sa caserne – y a beaucoup contribué…

DONC une affaire d’État parce qu’on ne se substitue pas à l’autorité policière quand on est pas en capacité de le faire… qu’un agent de sécurité comme BenallaTF1 participe comme « observateur » à une manifestation ne l’autorise probablement pas à prendre des initiatives lorsque l’orage est passé et que les manifestants sont neutralisés… La mission de l’État pour laquelle AlexandreBenalla était dépêché s’est-elle transformée en initiative individuelle, pas forcément crédible puisque provenant d’un proche de l’Élysée d’EmmanuelMacron, marque de sa politique « arbitraire, autoritaire et de plus en plus opaque » ?

Macronarchie !… Et il ne peut en être autrement étant donné qu’EnMarche n’a pas d’existence politique légale avant qu’EmmanuelMacron n’ose se présenter aux élections Présidentielles de 2017… Par conséquent sa candidature ne peut même pas être reconnue par la Constitution puisqu’on demande à une formation politique nouvelle de d’abord avoir été présentée à une élection locale (Législatives – Européennes, Municipales ou Régionales) au préalable, avant que de se présenter pour l’Élysée !… Pour éviter ce genre de surprise malvenue, je suppose ! ?

Ainsi mettre fin à une CommissionEnqueteBenalla truffée de contradictions et de transferts des responsabilités entre la Préfecture de police et l’Élysée, sans doute dépassée par l’initiative ou l’interprétation personnelle d’un agent de sécurité-collaborateur-organisateur de la vie du Président Emmanuel Macron ; n’empêche pas le dépôt à l’Assemblée d’une MotionDeCensure produite par les 3 groupes de la Gauche :
Communists Communist
Parti Socialiste (Nouvelle Gauche)
FranceInsoumise

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#AffaireDEtat
#macronmonarque #MacronMonarc

CollombLaBrute&amp;LeTruand

A. Benalla : « voltigeur » à pied ?

AlexandreBenalla n’a pas trompé l’État tout seul, de son propre chef pour en tirer un intérêt personnel supplémentaire qui l’auréolerait de gloire, grâce à sa position proche de l’Elysee… Il a bénéficié d’une aide, d’un enseignement et d’encouragements extérieurs qui débouchent sur une affaire de Politiqueintérieure générale qui mettait en valeur la période d’essai d’un an du gouvernement fraichement installé.

Usurper l’État délibérément de son propre chef comme l’ont fait Benalla et Macron, sombre inévitablement dans la bavure vite blanchie sous des « Benalla aimait son métier », imbu de responsabilités, sa jeunesse l’a écroulée sous le poids du sens du devoir.

Si Emmanuel Macron promet qu’il n’y aura « pas d’impunité » pour Alexandre Benalla, cela implique que pour lui aussi il n’y en aura pas. Tout comme ne suffira pas le trop évasif « nous nous sommes trompés, il faut assumer cette erreur »,  mal-venu et hors d’estime d’une Députée LaREM, Sonia Krimi, au bord du précipice de l’excuse… On veut bien croire Emmanuel Macron qui trouve ces faits inacceptables mais il faudra qu’il veille à ce que les services d’enquête, aussi bien liés aux gendarmeries qu’à la Commission d’enquête de l’Assemblée, parviennent à établir les influences, autant individuelles d’Alexandre Benalla que collectives par lesquelles il est rattaché par les motivations dites d’apprentissage et de formation qui lui ont enseignées de pratiquer de telles actes, sans oublier toutes celles et ceux, agressés dans les mêmes conditions déplorables de violence gratuite – hors manifestation comme aux abords et dedans -, n’ayant malheureusement pas pu filmer ou identifier leur agresseur (casqué ou à cagoule, à pistolet ou à matraque) ; et on nous parlerez encore de sous-effectifs dans la police, alors qu’elle met chaque fois le paquet lors des grands rassemblements, s’en prenant parfois avec acharnement aux individus sans défense qu’ils parviennent à isoler ou sortir du groupe de manifestants et dont ils ne se contentent pas seulement d’une simple « neutralisation » pour interpellation légale, ailleurs dans un commissariat ou sur la voie publique ; que non, ils en profitent pour s’en servir à se défouler, toujours à l’unité, un par un, à l’écart en créant une zone protégée à plusieurs, en « agents très spéciaux » qui passent à tabac manu-militari et qui n’ont fait que répondre à une gracieuse invitation préfectorale, rapidement transformée en excès de zèle…

Alexandre Benalla se fait aujourd’hui traiter de tous les noms d’oiseau : « voyou, racaille, canaille, p’tite frappe, nervi, barbouze vous choisirez » lance la Députée @menard2017 mais quand précisera-t-on qu’il s’agit d’une école de sécurité et de combat étatique ?

– « Alexandre Benalla n’est au fond qu’un d’entre vous », répond la Députée Emmanuelle Ménard pour conclure son intervention, fort à propos, et taper dans le mille, la marque de toute la désapprobation d’un pays pour une telle dérive montée en système !

Benalla s’est mis en danger, a mis sa propre vie en danger parce que si ça avait vraiment chauffé comme il le prétend, il aurait été en coquilles et en bouclier !… c’est du niveau des CRS qui se réfugient derrière un kiosque parce que des manifestants jettent des cocktails Molotov… forcément, le kiosque à journaux en bois brûle !
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Alexandre Benalla Usurpateur d’une RepubliqueExemplaire ?… voltigeur à pied ?… École sécuritaire ultra-libérale du parti socialiste 1969 et/ou du FN 1972 ?

Toute l’école d’État (réseau) liée à ces formations spécialisées dans la sécurité rapprochée aux personnes (gardes du corps), plus ou moins privée, policière militaire, religieuse ; toutes celles qui pratiquent ces violences et les enseignent doivent disparaître et être rayées de l’État !… Qui donnent ces ordres qu’ils ne peuvent pas donner mais qu’ils aimeraient bien pouvoir exécuter, ce pour quoi ils engagent des types qui ne sont pas habiliter pour le faire à infiltrer le pouvoir au plus haut sommet ou dans des gargouilles pour qu’ils puissent quand même le faire : passage à tabac manu militari n’a rien à voir avec la « neutralisation légale d’un individu ». Frauder l’État délibérément de son propre chef comme ont fait BenallaMacron & CollombDemission, sombre inévitablement dans la bavure vite blanchie sous des « Benalla aimait son métier, imbu de responsabilités il en exalte la possibilité de violence, sa jeunesse l’a écroulée sous le poids du sens du devoir ». Théoriquement, selon l’éthique vantée et la qualité des prestations avancées, le passage à tabac et les violences policières filmées ne sont pourtant pas enseignées, mais bel et bien enregistrées par vidéos… L’enseignement de la violence policière et de toutes ses exactions prouvées depuis Clément Méric, Rémi Fraisse ou Malik Oussekine, les Arabes dans la Seine, la hantise « du canon pointé sur le Parlement », un triple assassinat des « loups noirs » à Andlau à la fin de l’année 1972 permet à tout un village d’organiser un mensonge énorme sur des ventes de domaines viniques et à un flic de rosser un instituteur qui demandait à Strasbourg d’ouvrir une enquête pour « disparition »… Les os qui remontent à la surface 45 ans après, ça doit bien se passer quelque part pour que lorsque j’appelle la gendarmerie de Barr un samedi après-midi pour qu’on me réponde et me parle d’os de chiens c’est suffisamment signe d’une marque de complicité avérée dans ce triple assassinat d’Andlau à la fin de l’année 1972, une ou deux semaines après la toussaint ; c’est tout un enseignement échappatoire, en toute clandestinité politique… mais entourée de protection rapprochée !

Avant tout, VincentCrase & Alexandre Benalla sortent d’une école spécialisée plus ou moins privée, militarisée, religieuse, chargée de la protection rapprochée des chefs d’État. Gardes du corps, collaborateurs, milice de l’Hémicycle, police spéciale, pourquoi pas agents secrets capables de tout ? Quand l’OAS et le KGB s’affrontent (!)

On parle le plus souvent de « neutralisation des individus » que de « coups à donner » dans les services. Pourtant un certain nombre d’agents les pratiquent – des réservistes ici en l’occurrence -, au nom de quel droit d’abuser le pouvoir en usurpant la fonction de départ attribuée ?… Agissent-ils par ordre politique, sous les injonctions de volontés extérieures, chargées de former des « militants-miliciens-privés » qu’ils destinent à renforcer l’aspect inébranlable des formations politiques pour lesquelles ils travaillent ensuite ?

AlexandreBenalla Usurpateur a été jugé directement, très rapidement, presqu’en cachette par les services de l’Élysée, dès le lendemain de ses violences avérées et gratuites sur manifestant(-e), pourtant neutralisé(-e)s au préalable, avant qu’il n’intervienne pour mettre en valeur son sens du devoir ; mais la Justice ne l’a pas encore fait comparaître devant un tribunal ou une cour martiale pour l’utilisation frauduleuse qu’il a fait de sa position occupée dans le pouvoir, probablement enseignée dans les écoles de formations qui conduisent à ce genre de poste avec responsabilité quand même d’une certaine importance (!)

On hurle à l’inquisition pour l’interruption des débats de la ReformeConstitutionnelle basculés en forum sur l’affaire BenallaMacron CollombDemission ; séance publique, lieu de débat, ramené à une plus stimulante « Commission d’Enquête » qui cherchera à déterminer si on est dans le cas d’une « affaire Benalla » ou d’une « affaire Macron », autrement dit dans une affaire d’Etat ou dans l’AffaireDu1erMai2018 1erMai2018 !

« Majorité » ou « oppositions » n’est même pas la question :

Ça commence dès 1981 avec Mitterrand du « Parti Socialiste 1969 » – ces services d’État de sécurité rapprochée pour chefs d’État (gardes du corps) – qui souhaitait qu’ils n’outrepassent pas leur fonction, surtout si ils étaient liés au « FN 1972 » des extrême-droites, pressés de mettre Le Pen à sa place… le problème c’est qu’ils ne se contentent pas seulement des heures correspondant à leur travail officiel au sommet de l’État, mais ils travaillent toujours à côté, le bénévolat politique transformé en heures supplémentaires !

La Ministre @justice_gouv @NBelloubet reproche à l’opposition une volonté de prendre en otage la Constitution !… Subtile pirouette de Nicole Belloubet pour trancher l’AffaireBenallaMacron et couper la poire en deux : tout ça pour dissocier le cas Benalla qualifié d’individuel, d’une question collective comme la ReformeConstitutionnelle, ce qui lui laisse espérer qu’elle arrivera à nous éloigner de la situation réelle d’une Affaire d’État et de barbouze !… Mais ce n’est même plus un otage le texte de la ReformeConstitutionnelle c’est devenu un cadavre de réédition en réédition, de cumulards en cumulards, doubles dossards ou triples casquettes, de petits arrangements entre amis en abus de pouvoir, de règles d’éligibilité bafouées en droites réunies en une seule par sa même extrême…

La simple boutade « dégagez » ou CollombDemission, plus sérieuse jusqu’à MacronDestitution, n’aidera pas à comprendre que ce service de l’État, concernant la sécurité de l’Élysée de garde rapprochée des chefs d’État, forme et encourage régulièrement ce genre de fleuron de la nation et d’exemplarité de l’ordre publique, toujours à prétendre que c’est comme cela qu’on travaille !… De manière forte et irréfléchie, comme des boeufs, en frappant la tête par derrière ou en tirant dans le dos ou la tête de face… Dans le résultat de la prestation de l’agent AlexandreBenalla, on ne peut craindre que cela ressemble de beaucoup aux enseignements divulgués dans les commandos, milices, groupes d’action d’extrêmes-droites de leurs ancêtres, au point de se demander si cette place, finalement militaire puisqu’il s’agit de la sécurité du chef de l’État, à côté de l’État, elle n’aurait pas été volée grâce au triple assassinat d’Andlau de la fin de l’année 1972 puisqu’un bureau politique, lié à l’Amicale des Vignerons du vignoble d’Andlau, y a été détruit avec… ironie du sort, il était directement lié à l’État Français de part la protection de la signature du général Leclerc qui leur avait été attribuée pour garder les Trois Domaines du vin d’Andlau aux trois vignerons – ouvriers-patrons qui devaient succéder au père adoptif qui les avait accueillis ; ce qui permettait ainsi de maintenir des liens de politique et d’amitié très forts entre des Espagnols qui étaient venus s’y réfugier pour fuir le régime de Franco, Andlau et le reste de l’Europe, pendant et après la guerre, toujours aux côtés de Leclerc, celui de De Gaulle un peu moins !… Ils y habitaient depuis la guerre, ont serré les coudes avec tout le village d’Andlau entre 1948 et 1972, jusqu’à cette triple disparition par assassinat prémédité, présentée comme une vente légale des trois domaines, motivée par un départ pour un retour vers un pays imaginaire, se faire élire ailleurs, dans une autre bourgade – les trois cadavres -, moqué l’ainé légataire devenu instituteur à Strasbourg, jusqu’au passage à tabac au commissariat central de l’époque (fin 1972) où il venait demander des vérifications et l’ouverture d’une enquête régulièrement avec son gamin de six ans 1/2… Un flic de 22 ans – probablement fidèle aux loups noirs, également de l’époque – contre un instituteur de 41 ans, on croit rêver !… Mais à l’époque, on ne rêvait pas, on comprenait déjà trop le mensonge fabriqué sur trois cadavres, tout comme le vol politique qu’il permit de réaliser sur la municipalité, ainsi que les équilibres égalitaires qui en furent modifiés… Ça faisait trop longtemps que l’extrême-droite cherchait à s’incruster dans les Préfectures et les Municipalités, se prenant pour des gens importants, maintenant que leurs enfants étaient devenus grands… Ses milices cognent, frappent, molestent, humilient et assassinent : en triple, en double ou en simple, de fin 1972 à aujourd’hui… Et il faudrait les supporter encore longtemps, Monsieur le président EmmanuelMacron après 45 ans de fable ?

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RÉPONDRE

« Ouvriers – Patrons »

« Ouvriers – Vendangeurs – Patrons – Propriétaires – exploitants – gestionnaires – municipaux »

Pour reprendre une question d’actualité qui nous hante toutes et tous, à voir se préfigurer l’éternelle CriseÉconomique dont nous ne savons nous prémunir lorsque les actionnaires et investisseurs ponctionneront leurs bénéfices et leurs dividendes sur leur offre financière avec EmmanuelMacron qui n’en aura alors plus fini d’arrêter de bidouiller tous les indices économiques comme jamais il l’aura fait jusque là… Mais que faire alors ?… Depuis quand commence l’endettement irréversible ?… 45 ans signalent les GiletsJaunes qui en savent quelque chose, de leurs parents ou de leur enfance avant, pendant et après Giscard qui préparait bien sa montée au pouvoir dès 1972 avec son second le FN de Le Pen et le 1er né de tous qui allaient « faire la peau » à Pompidou, le PartiSocialiste de 1969 d’Armand Jung… Mais ce que ne nous ont jamais dit les différents gouvernements, Mairies, Députés ou majorités présidentielles qui se sont succédés après Giscard, autant pour le PS 1969, le RPR 1976 de Marcel Rudloff ou l’UDF de Fabienne Keller, c’est qu’on entendit plus jamais parler des unités productives de gestion collective municipales dans chaque département et dans chaque corps de métiers… Vignerons, céréaliers, houblonniers, textile, tisserands, scieries, tanneurs, orfèvres, ferronniers, maréchal-ferrant, etc… ; tous participaient collectivement au financement des hôpitaux civils, des chemins de fer, des écoles – piscines – installations sportives, garages, casernes de pompiers et toutes infrastructures collectives en cours de projet ; parce qu’ils le pouvaient, étant donné que ces unités productives se différenciaient du capitalisme de l’hyper-gestion giscardienne, qu’elles étaient contrôlées par les municipalités qui étaient le seul patron avec un comité d’ouvrier et de direction comme observateur et contrôleur qui renvoyaient automatiquement les bénéfices en retour vers les infrastructures communales. Donc point besoin de capitalisme !… d’autant plus que ces infrastructures d’unités productives collectives à gestion municipale disparues, faisaient à peu près le même chiffre d’affaire que des patrons capitalistes hyper bancaires, de même corps de métier, à même superficie d’exploitation. Entre le gestionnaire des « Trois domaines » d’Andlau avant 1972 (et une triple disparition) qui fait baisser l’impôt sur la surface exploitée à son voisin qui est « patron bancaire » (pas municipal) parce qu’il exploite plus de surface agricole mais que son cru est moins coté, à celle qui fait croire mauvaise récolte pour payer moins ses ouvriers, il y a toute la différence entre la gestion humaine d’une économie saine et collective et la rapine d’une patronne dont la frugalité, l’avarice, la cupidité et le dont d’abus d’exploitation n’avaient plus de limite. Bien entendu, l’année là, il n’y avait qu’elle qui avait de mauvaises récoltes, les autres vignerons n’avaient pas le même constat après les vendanges. C’est bien là que la gestion municipale dépasse – ou tout au moins égale de loin le capitalisme financier et prédateur – celle du patronage bancaire qui exploitera toujours les ouvriers au maximum pour gonfler le capital, bien en-dessous au niveau des performances communes et humaines du système collectif communal, de celui des structures productives à gestion collective qui participent directement par la municipalité à l’organisation territoriale du département, sans les préfectures !… Du département à l’État, dans le contexte des Comités et des Directions d’unités productives à gestion collective municipale, on offre la spéculation boursière disponible pour la gestion spéculative bancaire financière à hauteur de pas plus de la 1/2 ; tandis que les structures patronales individuelles placent 90% pour finalement pas gagner beaucoup plus ou moins que la municipalité gestionnaire collective paye ses employéEs. Inversement, de l’État vers les municipalités et les patrons-patronat-bancaire-individuel, aux gestions collectives d’unités productives, on demande ce qui est disponible pour la spéculation, on ne force pas la main en réquisitionnant plus de la 1/2 des avoirs de réserve pour des grands projets comme les autoroutes, le nucléaire ou le train à grande vitesse…

Ensuite sur l’ensemble du territoire, ces unités productives se font remplacer immédiatement par du patronage politique qui permet aux formations politiques d’y mettre un dossard à étiquette et auto-financer ses campagnes électorales, en lieu et place des écoles, des piscines, des théâtres, des casinos. Giscard est élu mais les municipalités ne sont déjà plus gérées de la même manière et en 1980, les poches sont vides !… et aujourd’hui, les hôpitaux, les écoles, les gendarmeries vont mal… Qui avait raison ?… Les « unités productives collectives à gestion municipale » ou le capitalisme bancaire patronal à tête unique vendue à l’hyper-gestion financière et boursière généralement orientée, plus vers l’évasionfiscale des paradisfiscaux que vers l’émancipation des infrastructures collectives ?

Bon ça c’était pour la petite popote commerciale villageoise et pour les grandes villes lorsqu’il s’agissait de petites unités productives collectives municipales d’exploitation, de production et de gestion, en concurrence avec les petits patrons individuels, forcément au même niveau économique par rapport aux salaires ; les deux configurations de gestion ne s’affrontant plus sur leur propre organisation du travail et de redistribution des bénéfices mais s’obligeant par l’État dans le financement du grand capital de structures plus volumineuses et internationales. Reste alors la question des grandes entreprises aux gros chiffres d’affaire, auxquelles participent par taxes les petites et moyennes entreprises d’où elles pompent leurs fonds de capitaux et d’investissements pour leurs grands trusts financiers, dont il faudrait savoir si elles donnent en retour aux municipalités, une partie de leurs stocks de milliardaires et de millionnaires en ristourne, autrement que sous la forme d’un impôt sur les locaux ou les terres, mais en tant que fond de fonctionnement des collectivités territoriales et des structures communales collectives ?… La réciproque des gros sur les petits ne serait-elle plus de mise pour que participation collective aux servicespublics, implique, autant les petites structures individuelles ou collectives qui subventionnent le grand capital, ne soient pas rendue, réciproquement, par le grand capital qui reverse de moins en moins aux municipalités en retour pour les collectivités… La part du « capital collectif pour les structures communes » ne s’évapore-t-elle pas et n’est-elle pas détenue aux mains uniques du grand capital boursier qui jette des miettes de leurs bénéfices au plus petit des participants budgétaires ; là où le petit épargnant n’a même plus 1% d’intérêts annuels ?… Car, voyez-vous, entre ce qu’ils laissent aux piscines, aux écoles ou aux hôpitaux et ce qu’ils évaporent fiscalement avec des « grands crus » qui étaient avant 1972 municipaux, on passe du cru collectif nominal au « grand cru bancaire » !… De même que des céréaliers et houblonniers qui finançaient la SNCF, on arrive à sauter vers le nucléaire si on ajoute l’effondrement du textile et de la filière bois pour graisser les fonds de capitaux nécessaires qui transforment la gestion municipale collective en capitalisation individuelle où se perd la notion de gestion collective municipale d’unités productives devenues amnésiques, par la réquisition des avoirs des fonds de gestion municipaux pour la « haute finance » (Bercy aujourd’hui), annonçant la perte de l’autonomie budgétaire. Des petits villages aux grandes et moyennes villes, un surplus budgétaire afflue par la suppression des structures de gestion collectives municipales sur l’ensemble du territoire, dans tous les départements, remplacées par du « patronage politique » qui plante son petit drapeau dessus à la place des comités d’ouvriers et des directions concernées ; ne laissant à la gestion des gains, la gestion des piscines, des écoles et des casernes aux Municipalités ; le nucléaire, le TGV et la recherche aux gros boursiers. Autrement dit, une nouvelle manière de devenir pauvre puisque le maximum de bénéfices reste dans la finance et les communes ne récupèrent que les miettes.

Aux Municipales2020, reprenons et recréons des unités productives collectives, tant au niveau de la « gestion des politiques » que de celui d’outils productifs créateurs d’emplois dans la technique d’ateliers, de manufactures, d’exploitations et de négociants fonctionnant en gestion municipale par la suite si on les remporte pour aller ensuite à Bercy, discuter avec Macron et l’aider à tourner la page plus vite que lui et enclencher une révolution économique dont la TransitionÉconomique aura absolument besoin pour démarrer toutes les autres (alimentaire, énergétique, agricole, industrielle), sans quoi cette TransitionÉcologique qu’on nous promet, n’arrivera sans doute jamais !

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Le coup devait être rondement mené pour insister par la suite autant sur une « vente légale », sans chercher à vérifier quoi que ce soit ; et bien des complicités graviter autour pour marquer avec lourdeur, à chaque occasion de visites administratives ou privées, la perte d’Andlau dans le coeur de mes parents, le manque de confiance là où il n’aurait jamais dû y en avoir, oubliant avec méthode que Mario et Jean, accompagnés de deux autres vignerons au retour de Nuremberg en 1946 ou venus plus tard, ont toujours fait les vendanges pendant une bonne vingtaine d’années et qu’ils connaissaient bien le milieu vinicole de pendant la guerre essentiellement mais certainement un peu mieux celui de l’après-guerre qui visait à restituer des municipalités politiques de la collaboration active et du pétainisme dans un climat exécrable de poursuite de la « révolution nationale ». De là à penser que trois personnes finiraient au fond d’un sous-bois d’Andlau au début des années 1970, non seulement pour voler leur territoire mais aussi avec la ferme volonté d’organiser une falsification mémorielle sur leur dépouille ; loin d’eux, toujours à l’esprit, de se douter que cet assassinat les séparerait un jour et que leurs écrits, joints des papiers militaires signés de la protection du général Leclerc, saisis et coffrés comme si une guerre des polices et des armées était déclarée dans la foulée, à partir des trois domaines d’Andlau où 45 ans plus tard émergent trois cadavres dont personne n’aurait souvenir ?

Les ossements de trois personnes différentes ont été retrouvés à Andlau après des pluies diluviennes, il y a deux ou trois ans (quatre tout au plus)… À partir de combien de cadavres peut-on parler de charnier ?… Il se trouve que mon père Jean Chrétien, originaire d’un père adoptif d’Andlau, viticulteur en activité, arrivé à Andlau en 1938, a perdu les trois ouvriers viticulteurs, qu’il avait recrutés avec les soins de son père adoptif, en 1973 ou 1972, le jour où il devait se rendre chez le notaire d’Andlau qui devait léguer aux trois ouvriers/patrons/vendangeurs, la propriété de son enfance, puisqu’en 1973, Jean Chrétien était marié, avait trois enfants et ne pouvait plus s’occuper de la vigne avec eux… La commune d’Andlau lui a fait croire, en le menaçant directement de mort, lui et sa famille, que ses trois ouvriers viticoles avaient vendu « derrière son dos » cette propriété pour 10 000 francs et partir en vacances… Mais il n’en est rien puisque leur trois cadavres sont remontés à la surface, sur lesquels il faudrait mettre un nom… Lorsque Jean Chrétien a tenté et essayé de lancer une enquête à partir de la police de Strasbourg, le commissariat n’a même pas daigné prendre et enregistrer sa déposition concernant cette étrange disparition, certainement motivée et muée en triple assassinat par l’équipe de Schwarze Wölfe qui venait chaque fois les menacer de mort aux fêtes des vendanges (1970-1971-1972) et emmerdait une bonne partie du village toute l’année durant. Le plus jeune avait une vingtaine d’années, cheveux mi-longs, lunettes, sourire sadique et très arrogant mais ce jeune homme, très violent verbalement, ne s’attendait sûrement pas que 45 ans après, les cadavres de ceux qu’il a sans doute assassiné en 1973 ou en 1972, referaient un jour surface (!)… Ce ne sont sûrement pas 3 vignerons, toujours joyeux, rigolard mais jamais revanchards, à qui peuvent appartenir ces ossements mais les cadavres remontent toujours à la surface, même quarante cinq ans après… Belle cuvée, beau millésime !… Il y a peut-être un Maire et un notaire parmi les trois mais ce qui est sûr, c’est que l’ouvrier – patron – vigneron « Mario » qui est resté après la guerre et la libération est certainement dedans, dans ce petit ossuaire qui ne peut qu’appartenir à l’extrême-droite et au jeune policier blondinet aux lunettes appartenant aux « loups noirs », on est en 72/73… En tous cas, après la « dernière » fête des vendanges de l’amicale des Vignerons d’Andlau, personne n’osait pouvoir imaginer un tel meurtre, où au passage, l’extrême-droite d’Andlau et de Mittelbergheim, ravit aux communistes le Siège du haut commandement de l’état-major de l’Armée française qui était acquis à ces « communistes » par signature certifiée du Général Leclerc et l’accord des contributions du Tribunal de Nuremberg ; non pas pour broder et fignoler de la propagande autour de ce titre mais pour que la Municipalité d’Andlau puisse garantir la paix civile en acceptant autour de la table des Vignerons de l’amicale, le maximum, voire l’intégralité souhaitée sur l’ensemble du territoire, des formations politiques qui se présenteront désormais aux élections de la République… Il se trouve que cette extrême-droite à « loups noir(-e)s », tantôt y venait ou envoyait des espions qui rendaient compte dans le village voisin des ordres du jour des réunions, tantôt se contentait de venir haranguer sa fierté en uniformes noirs fluorescents, devant le maire de l’amicale des vignerons bien habillés, les étrangers communistes de la 4ème Internationale du général Leclerc, aux fêtes des vendanges annuelles… Non seulement la paix civile était garantie et les 3/4 des villageois voulaient désormais « garder » cette nouvelle majorité municipale, présentant ses efforts du collectif municipal à l’ensemble des citoyens et aux loups noirs, venus écouter en civil, l’après-midi, le choix de maintenir un équilibre entre le patronat et les ouvriers/patrons/vignerons, seuls gestionnaires, tout en garantissant et précisant que les banques et les églises devaient rester en-dehors des influences de la trésorerie du vignoble des trois domaines, au lieu de chercher à les contrôler avec l’extrême-droite et la droite, tout au bout de la droite, du bout de la table de l’Amicale des réunions… Populiste ou populaire, peu importe !… Toujours est-il qu’un des vignerons de l’Assemblée avait définitivement décidé l’année passée, suite à une prise de conscience longue de plusieurs années, de mettre son tonneau chez-nous, là où il y en avait le moins pour ne plus aller chez le nazi qui lui demandait à chaque récolte une cinquantaine de bouteilles parce qu’il estimait en droit de le taxer pour « utilisation de la cuve communale »… Le « communalisme municipal » était en marche ; le « communisme libertaire » en cavale !… Un des trois vignerons qui restaient sur le domaine, depuis que le père adoptif, commun aux trois, était décédé, s’apprêtait à partir pendant un an faire un tour dans le monde, faire les prochaines vendanges ailleurs parce que chez-lui, à Andlau sur le « domaine commun », il trainait au lit jusqu’à 10h30 et ne foutait plus rien dans les vignes des trois ouvriers viticulteurs patrons dont il faisait pourtant partie… La mauvaise herbe poussait, pendant que Mario et son collègue désherbaient à la main les vignes pour ne pas jeter de cochonneries chimiques dessus comme ils le faisaient déjà dans toutes les petites communes où ils ont déniché par la suite des loups noirs identiques… Mais il est parti, promettant un retour différent après les prochaines vendanges, grand et fier, comme quand il partait en vélo au village à côté, presque chaque soir, répandre sa Pervitine que lui offraient les loups noirs de l’extrême-droite alsacienne, ce qui l’empêchait terriblement d’aider ses camarades dans le vignoble… Il a même demandé que les vendangeurs n’avaient qu’à désherber pendant les vendanges pour rester au lit et se faire des piqures, après tout, il était l’égal patron mais l’ouvrier avait disparu… Il est peut-être effectivement revenu puisque mon père (propriétaire avec Mario et bientôt « moi ») s’est fait menacer de mort par l’employé municipal censé entretenir et nettoyer le cimetière de l’église ou la chapelle saint-André, certainement pas avec une carabine en main, promettant de le tuer avec sa femme et ses enfants si il revenait un jour à Andlau… Il était tellement fou, d’extrême-droite et des loups noirs qu’il a même précisé que même si un jour il revenait avec un chien, il tuerait aussi son chien (!)… Les autres ont fait croire à mon père, toujours propriétaire du domaine avec les trois patrons de manière officielle à ce moment là, avant d’être notariée, que tous les 3 ouvriers-patrons-viticulteurs avaient vendu le site à la municipalité et aux églises pour partir en vacances, prendre de la pervitine avec des filles faciles qui aimaient ces produits ou se saouler la gueule, ne se doutant certainement pas qu’un jour, 45 ans après, le cadavre de trois personnes différentes referaient surface… Ce jour là, entre la dernière fête des vendanges, la toussaint et noël – c’était un jeudi -, mon père avait rendez-vous avec le notaire qui a peut-être aussi été enterré avec Mario, puisqu’il avait disparu ou ne répondait pas aux coups de sonnettes répétés à la grosse porte cochère de son cabinet d’officine au plein centre d’Andlau… « En vacances aussi », c’est ce que tout le village s’est mis à penser par la suite… Un notaire sur rendez-vous vaut bien un propriétaire ruiné psychiquement devant un tel mensonge ? !… Mon père avait perdu l’ami qui devait m’enseigner la vigne plus tard sur ce domaine du père adoptif commun… Il m’avait déjà demandé à six ans, de me dépêcher de grandir pour venir travailler avec lui, reconnaître les pieds de vigne sauvages en bordure des forêts pour que la milice municipale ne vienne pas les faucher, les baliser et les laisser un an ou deux, avant de les transplanter ensuite dans l’alignement classique des vignes… Distinguer le tir bouchon qui descend vers le sol, du lisier qui envahit les pieds de vigne et qui montent vers les grappes… Des boutures ou les plus petits pieds sauvages qui naissaient dans les allées, il essayait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine, dans la petite maisonnée au-dessus de l’église, lorsqu’il ne pouvait plus hisser de piquets pour prolonger la rangée… Il fallait commencer à déboiser pour créer de nouvelles parcelles et planter après avoir travaillé la terre, retirer les souches. Les vignes sauvages commençaient à ré-apparaître, les exploitations s’agrandir, « Laurent » travailler avec Mario… Ma mère Georgette était toute contente d’offrir des pots de confiture bien propres pour les boutures de Mario !… Parfois ça prenait racine, c’était le « petit miracle » de la vigne !… Mario pensait que ma mère avait fini par enfin le respecter mais il était loin de se douter que ses frangines, ou leurs maris – ça dépendait de qui prenait la parole là où de toutes façons, il n’y avait plus rien à dire quand on les voyait encore -, tous dans les banques ou à l’Urssaf, revenaient toujours à la charge, questionnant sans cesse sur d’éventuelles « nouvelles » d’Andlau, se moquant de mon père Jean à propos de ses origines qui l’auraient trompées en politique. Mais il avait pourtant essayé de demander aux gendarmes et aux policiers, ainsi qu’aux inspecteurs de Strasbourg, d’envoyer au moins un chien de la cynophile faire le tour de SA propriété des trois domaines d’Andlau, soupçonnant un meurtre, l’assassinat organisé… Ils refusaient chaque fois de prendre la déposition de mon père, prétextant après mille explications, qu’on ne pouvait pas risquer ce service sur une affaire présentée comme une « vente légale », dont on ne pouvait plus rien vérifier que l’inexactitude d’une considération de l’arbitraire policier qui n’allait qu’aider à développer 45 ans de mensonges, étant donné que le chien de la Brigade canine des chasseurs alpins Français aurait trouvé les trois corps des cadavres en dix minutes (?)… Qu’ils finissent par dire à mon père qu’il ferait mieux d’arrêter de lire des romans ou d’en lire moins et de mieux s’occuper de ses enfants est une évidence de complicité affirmée avec les loups noirs mais qu’ils se rappellent qu’avant de devenir des gradés, ils ont tous commencé comme ouvriers, signifie peut-être déjà leur appartenance au cercle étroit de l’extrême-droite d’une police complice d’assassinats qui refuse d’enquêter ou d’au moins s’assurer qu’il n’y a pas de risque qu’on tombe sur une situation aussi sordide, 45 ans après étant donné qu’ils protégeaient déjà comme ça le marché de la pervitine de l’État en dirigeant essentiellement l’héroïne de l’armée bénie par la cocaïne du vatican, des banques pour blanchir, le temple de l’abbatiale d’en face et l’église pour fournir d’inutiles milices de surveillance… Que la « patronne » de sa terre l’invite pour mes 18 ans à venir déguster la dernière cuvée de leur papauté dans sa cave, est déjà frauder une invitation qui venait de mon père, désireux d’aller boire un coup à Andlau pour l’occasion ; mais qu’elle rougisse jusqu’à par-terre lorsqu’il a refusé, en lui disant qu’il n’est pas bon son vin, qu’il sent le mort et le souffre est déjà un aveu de complicité d’assassinat… à 18 ans, je n’en avais toujours que 7 ou 8… et le fourrage de gueule se poursuivait sur notre dos… Papa était juste allé vérifier quelque chose dont il se doutait dès la première seconde, lorsque la petite maison était vide, le jour du rendez-vous chez le notaire du maire de l’époque et de la « majorité municipale composite » de cette période qui convenait à l’ensemble du village d’Andlau… Comment peut se dérouler l’enquête aujourd’hui sur ces trois ossements appartenant à trois personnes différentes ?… Quel mensonge vont-ils poursuivre pour protéger un vol de propriété organisée, maintenant que l’extrême-droite de ces loups noirs a envahi tous les uniformes où le képi est plein de schnouffe d’une french rachetée par Giscard avec les soins d’un « esprit militaire » mal placé ?… Quelle fantaisie militaire développeront-ils maintenant qu’ils ont aussi volé le carton de carnets militaires que Mario écrivait sur la vie du village, celle de l’amicale et le développement du vignoble qui respectait sans doute mieux les ouvriers, les patrons, les vendangeurs – tous viticulteurs – contre les ordres de la bande d’assassins qui n’a pas que volé les écrits de Mario, mais aussi sa vie et celle de toute une famille de vignerons. Le chef de cette « milice Schwartze Wölfe » insultant, menaçant de mort et promettant l’assassinat du bureau politique du village, alors âgé de 22, 23 ans à l’époque avec son uniforme noir d’une police dite « spéciale » avait osé demander à ma mère si elle comptait lui faire beaucoup d’enfants à cette « grande famille de vigneron », si son fils ainé, mon « grand frère est aussi là », au début de la soirée, lorsqu’il nous attendait pour nous cracher dessus et nous insulter, avant que nous n’entrions dans le bistrot de l’Amicale. Ce « soldat – policier – gendarme – militaire » – il prétendait tout faire et tout être – disait que ses parents étaient déjà la famille unique du vignoble, que son territoire n’avait pas besoin d’une deuxième famille. Mais ce qu’il ne racontait pas, c’est que ses parents à lui, pendant la guerre de la résistance, avait déjà essayé de s’approprier tout le village d’Andlau au niveau des parcelles viticoles avec l’armée allemande du reich de la pervitine, ce pour quoi il se réjouissait de voir le « grand-père », père adoptif de Jean et de Mario, puis des deux autres propriétaires venus l’aider après la guerre, convoqué par la Gestapo chez le notaire avec le Maire de la guerre pour vérifier les titres de propriété des trois domaines et quand ils lui ont expliqué que cette famille de collabos voulait utiliser l’armée allemande pour voler toutes les vignes d’Andlau, parce que le village en était menacé ainsi, il comprenait puisqu’il est parti rosser cette famille de collabos et offert quelques caisses de ce si bon vin à ses soldats allemands. Si on insiste trop, ma soeur et moi sur les trois familles de la même propriété, assassineront-ils encore ?… Anti-dateront-ils la datation de la médico-légale des légistes de la Gendarmerie ?… Trouveront-ils des datations différentes entre les trois corps ?… Prendront-ils la précaution et le soin de tout faire vérifier par un autre institut médico-légal pour évaluer la véracité des données au lieu de chercher à se contenter de toujours laisser trois cadavres sous la fontaine à mon père d’Andlau.

Néanmoins – c’est important et très grave – pour la suite de nos histoires et des esclandres que soulèvent forcément la découverte de trois ossements humains sur un même territoire divisé en trois parcelle différentes (6000, 11000 et 10000 hectares), inégales au niveau superficie mais se valant par les différents cépages que leur rentabilité commerciale rapportera toujours… Donc à égalité de valeur monétaire et sociale pour que les trois vignerons qui devait succéder au père adoptif, ne s’imaginent pas pouvoir devenir plus riche que ses deux collègues, ce qu’exigeait encore devant notaire, de son vivant, le père adoptif de Jean Chrétien et de « Mario » pendant la guerre. À la mort de celui que les trois recrues des trois domaines appelaient le grand père, le vieux, le père adoptif des trois, le domaine restait au nom des premiers fils adoptif (Jean Chrétien et Mario.), suivit des deux autres venus s’installer avec eux après la guerre… En rajouter un quatrième aurait appauvri les trois autres et Jean (mon père) ne voulait pas leur alourdir la tâche, alors il a décidé qu’il le lèguerait à Mario et à ses collègues comme il fallait qu’ils restent trois sur ces trois domaines ; sauf si l’un d’eux, partait vendanger ailleurs, laissant aux prochaines récoltes des vendanges, ses collègues avec un « ouvrier patron » en moins, ce qui risquait de pénaliser sa propre récolte, à moins que des fantômes d’un village voisin ne fassent le travail à la place des deux qui restaient, d’autant plus, qu’inversement au loup noir qui se pavanait, l’un des trois vignerons portait l’uniforme de l’armée italienne de Moussolini pour faire « double face » ou écho et prétendait même être capable de démolir Franco en Espagne avec son uniforme multi-fonctionnel à l’étanchéité douteuse, alors que le bureau venait d’apprendre qu’il était malade assez sérieusement depuis deux ans et que ce n’était certainement pas le moment de déclencher une guerre civile, un coup d’État ou des attentats. Avec le temps, le régime de Franco n’en avait plus pour très longtemps et il valait mieux rester au pays faire les vendanges avec ses collègues… Ce qu’il restait du bureau politique de l’unité du Général Leclerc, recrutait déjà les combattants ; remplacer ce bureau local par De Gaulle comme seule et unique référence, systématiquement, c’était déjà avoir vendu le fauteuil de l’État-major qui appartenait aux communistes républicains pour le transférer à l’extrême-droite qui ne devait surtout plus jamais en avoir ou en avait déjà un qui présentera sa propre liste militaire aux prochaines élections de 1974 contre son opposant et pourtant allié militaire, le centriste Giscard : un bras ou une jambe mais certainement pas la tête, était l’exigence élémentaire et essentielle de tout l’équilibre des municipalités en France puisqu’il reposait sur la sincérité des Républicains espagnols qui avaient rejoins le camp de Leclerc en France, tout comme l’avait fait ce Maghreb et l’Afrique noire du Sahel Unifié avant Giscard, ceux du Maroc, de l’Algérie, de Tunisie, de Libye, d’Egypte, de Palestine, d’Israël, du Liban, de Syrie, d’Irak et du Kurdistan (Turquie) qui scandaient « Franco assassin » dans une grande manifestation à Strasbourg parce qu’ils étaient « républicains » et pas nationalistes ou à État Islamique et des extrêmes d’aujourd’hui. D’ailleurs Leclerc aurait toujours aimé, souhaité et préféré que le Général rende l’Élysée au CNR et retourne dans sa caserne au lieu de se laisser manipuler aussi aisément par les barons et les extrêmes-droites, ce qui ultérieurement ferait sans doute « national-socialisme » ou « socialistes du pouvoir »… Dans le vignoble c’était un drôle d’artisanat poujadiste, collaborationniste et fasciste durant toute la guerre, des bordelais aux crus alsaciens vers les reliques et drapeaux nazis, déclarés comme « souvenirs », un peut partout dans les préfectures, gendarmeries ou commissariats de police où ils purent être enregistrés, découverts ultérieurement sur toute la collerette vinicole où furent saisis, au début des années 1970, les loups noirs nazis d’Alsace entre Obernai, Molsheim, Barr, Ottrott, Rosheim, Mittelbergheim, Epfig, Mutzig – fallait bien qu’ils prennent la bière aussi quelque part, à l’idée de ne rien partager – jusqu’à Thannenkirch, Dambach, Villé, Albé, Breitenau… Tous les uniformes ont été envahis par cette couleur unique présentée par le policier du village voisin comme le digne héritage militaire de sa « famille pervitine »… Du noir foncé fluorescent phosphorescent ?… Si c’est pour leur gala de mythomanes nazis et se présenter comme pompier la nuit tombée et policier le jour, le père de Jean Cavaillès avait beau lui expliquer qu’en France, la couleur de l’uniforme de la police est bleue et pas noire, il répondait « chez-nous en France d’Alsace, on a une nouvelle police, j’ai un tailleur spécial qui nous les fait », qu’il n’était pas nazi et ses parents non plus, qu’il s’était fait rosser, passer à tabac pour « haute trahison » par le reich allemand… Que du vent mauvais provocateur qui annonçait que la république régurgiterait maintenant ses droites réunies en une seule par sa même extrême dans ce vignoble, menaçant déjà de mort ses opposants idéologiques des autres camps politiques, pactisant avec une, deux ou trois des étiquettes politiques présentes à l’Amicale des vignerons d’Andlau… Une « police spéciale » sur le modèle milicien de la collaboration pour protéger notre vignoble et notre sécurité, ça avait de quoi irriter tout de même en 1972. Son bien fondé se calcule au nombre d’ossements qui refont surface depuis cette période, leur sincérité au nombre de contaminés du pouvoir, des élus, des soldats, des policiers qui se rapprocherait le plus de celui qu’avait atteint le peuple allemand depuis 1935 par rapport aux quantités de Pervitine vendues légalement en pharmacie et importées directement de la Turquie, très intéressée par le régime des casernes nazies et le projet de développement militariste… Un loup noir échappé et voilà une champignonnière à Députés, Maires, Conseillers régionaux et municipaux, désormais accessibles et disponibles, puisque débarrassés des « communistes républicains de Leclerc » qu’il fallait pourtant protéger et ne surtout pas s’en débarrasser dans l’espoir d’obtenir des voix électorales supplémentaires quand ils n’existeraient plus politiquement, civilement et activement… À preuve du contraire, lorsqu’on lit les résultats électoraux d’Andlau, atteignants seulement 33% de participation, je me dis que même mort, Mario est encore avec nous et s’exprime par 73% d’abstention, de non-participation ou de votes blanc et nuls : trois listes à au moins 1% étaient envisagées et se présenteraient aux Présidentielles de 1974 selon le bureau politique. Suite à toute cette trahison qu’on ne découvre que 45 ans plus tard est un triple assassinat ; un assassin criminel dangereux et « ancien militaire » d’extrême-droite était sûrement parmi eux mais n’a fait que 0,74% au premier tour, contrairement à ceux qui franchirent cette barre des 1%. Même Mario disparu et faussement interprété par les mauvais acteurs qui lui ont succédés ensuite, le maire de l’inauguration de la nouvelle majorité municipale, entouré de l’amicale des vignerons d’Andlau de 1972 n’a certainement pas été muté ailleurs pour se faire élire à Biarritz ou en Savoie chez une cousine, déjà plus ou moins haute dans le projet de cette infamie de police politique d’extrême-droite, socialisée et policée mais au bout de combien de triples, doubles ou simples assassinats ?… Pour dérober, prélever et blanchir combien de millions à partir des municipalités ?

Le problème avec cette micro société d’Andlau semblerait qu’elle n’ait jamais compris qu’un camp politique ne pouvait s’approprier la totalité des institutions à lui seul. Être maire n’implique pas qu’on doive aussitôt aussi être en même temps « chef de la police », manager des banques et bien vu des ligues du Vatican, des Mosquées ou des Synagogues, tout au bout de la droite, dans l’extrême militaro-tarée-religieuse, sans risquer rapidement de se retrouver chez Le Pen et Erdogan, Poutine et Assad. La laïcité ne se résout pas à ça puisqu’elle en supprimerait trop facilement la séparation des pouvoirs. Alors l’équilibre démocratique acquis à Andlau par l’Amicale vigneronne à l’automne 1972 autour de la majorité municipale en cours ne voulait pas dire que ceux qui n’étaient pas de manière officielle aux réunions puissent envier de la remplacer un jour, sans même y siéger, tout en prétendant faire une autre amicale mais à partir du village de naissance du nouveau policier du royaume venu se pavaner exprès pour nous présenter sa version de la démocratie autoritaire léguée par son lointain paternalisme ; ni qu’une des formations présentes occasionnellement ou de façon permanente autour de la table de réunion, ne rêve de se faire élire autrement que par les urnes, au cas où des petites formations seraient prises d’une fièvre révolutionnaire trop risquée pour les villageois, les étrangers sous la protection de la signature du Général Leclerc, les prisons de Franco et l’approbation des Conclusions du Tribunal de Nuremberg, deux clauses essentielles à respecter et à maintenir en vigueur même après la trop rapide disparition du maréchal Philippe Leclerc de Hautecloque. Ce que garantissait la majorité de l’Amicale d’alors a viré court et la suite c’est 1974 : l’inversement du sens des aiguilles d’une montre pour Andlau (Départements 67 et 68) qui ne parviendra plus qu’à rassembler uniquement des droites jusqu’aux pires extrêmes, comme dans tous les villages voisins d’Andlau, peuplés et sans doute déjà régentés par cette « haute autorité policière », codée loups noirs, où personne n’osait résister comme Andlau résistait entre 1970 et 1972, où il n’y avait pas que des droites dans le pinard mais où ce « policier » prétendait qu’il ne fallait que des droites, d’après l’enseignement de ses parents qui gouvernaient déjà tant de village, avant, pendant la guerre et malheureusement pour toujours, après. Quel effort de conservatisme foudroyant mais d’une turpitude intellectuelle figée et stérile, sans équivalent… Un triple assassinat n’attire pas que des financiers, une entreprise de pompes funèbres, quelques pleureuses ou des abandonnés de la vie. C’est toute une construction imaginaire de la réalité de la « vie municipale » qui se trouve coincée et saisie entre un accaparement qui frise le totalitaire par la totalité des pouvoirs pour une seule droite, le religieux de rigueur avec la spécificité que toute contestation de leurs « idées » ou formation d’une opposition, ne peut conduire qu’à de sévères répressions, voire l’ouverture à de possibles assassinats prémédités, l’éventualité d’utiliser une fausse science de psychanalyse pour pousser les gens à avaler l’impossible et ne plus jamais leur donner la parole qu’ils avaient construite pour tous mais pas pour que d’autres s’en emparent et se mettent à parler comme eux mais avec des dossards différentes, appartenant tous aux droites pour éloigner au maximum les gauches. Aucun électeur ne devait se douter qu’à Andlau aux élections de 1974, le vote s’effectuerait sur trois cadavres reposant au fond des urnes, mis à part l’élite qui allait naître à partir d’une organisation policière criminelle organisée définitivement transférée sur les urnes dans leur camp… Peu importait le résultat, l’État policier pouvait renaître et la fable du Franco qui allait reconquérir toute l’Europe poursuivre son chemin parce qu’il n’avait jamais arrêté la guerre ; pas plus qu’en dehors de cette secte militaire et policière civile, il n’oserait y avoir de citoyens qui puissent lire le carton plein de « carnets de Mario » écrits au rythme de un par an, depuis son arrivée à Andlau, disparus des radars avec lui sous la vente frauduleuse et falsifiée des « trois domaines ouvriers »… Et maintenant que trois ossements de trois personnes différentes font surface, cette même organisation criminelle organisée pour soi-disant protéger l’État, risque de réagir comme ils l’ont fait depuis 1973, 1974 et 1975. 1974 et 1975, ce n’est plus que pour Mario, l’ami qui devait devenir mon futur patron et personne d’autre, que mon père va voire la hiérarchie policière – complètement cadenassée également – à propos de la lettre de mon docteur au Conseil juridique de l’Ordre des médecins, censée aussi être protégée par l’autorité de la signature du Général Leclerc, comme devait la rester celles de Mario et de mon père, sans parler de l’autorité politique qui risquait d’être renversée dans les résultats… Merci pour les crises de nerfs qu’orchestre une telle milice, même pas certaine d’émerger du scrutin en vainqueur, régnant par la terreur et l’éloignement du camp politique qu’ils estimaient avoir définitivement battu, ou du moins enterré, espérant qu’on n’en entendrait plus jamais parler à l’avenir… Si quelqu’un dorénavant oserait reconnaître ce « nouveau policier », de tous les uniformes, certainement celui qu’il fallait éviter dès 1969 ; le dit milicien politique, à l’uniforme noir foncé, pourrait toujours essayer de se teindre les cheveux et d’essayer de prétendre que des fous ou des illuminés pourraient le confondre avec Gilbert Gress. Sans justice possible, il pouvait régner en maître. Un peu comme la préfecture du chef-lieu bloquait des plaintes, des transmissions furent toutes bloquées pour ne pas éveiller les soupçons de ce pouvoir inversé qu’une police spéciale imposait sans urnes, en dehors des urnes, au nez et à la barbe de notre Constitution, version complétée et augmentée de l’édition 1969 (1ère réédition) ainsi que de l’approbation des Conclusions du Tribunal de Nuremberg de 1946. Quelque chose de légal qui conduisait à l’égalité des villageois / vignerons en économie, en politique et sur le social disparaissait de chez-nous pour aller se reproduire et poursuivre le développement dans les pattes d’autres « rois », la propagande se modifier en rognant sur un côté qui ne devait pourtant pas « disparaître ».

Seulement aujourd’hui, 45 ans après la sinistre macabre découverte, il semblerait que ces énigmatiques « loups noir(-e)s » officient toujours mais ce n’est plus un tailleur qui leur confectionne d’horribles costumes mais un teinturier, fort utile, pour s’emparer de tous les uniformes, statuts directionnels, postes à responsabilité, gouvernance qui échappaient à leur contrôle ou auxquels, jusque là, ils ne comprenaient rien… Là où cette opposition vitupérante et odieuse prenait les gardiens du village pour des communistes, avant la découverte d’un triple assassinat ; ils ne se doutaient sans doute pas qu’ils étaient déjà « communalisés » et non pas « communistes de propagande ». C’est à penser que la propagande, ces assassins, estimaient qu’ils étaient les seuls en droit de la faire, que la propagande c’était pour eux. Ce n’est qu’eux qui la feraient, pas l’amicale !

Mais à partir du moment où on me répond que « c’est peut-être ou sans doute des os de chiens » ou que « tout le monde n’a pas forcément en mémoire des faits divers de la presse locale, relatifs à des ossements humains qui remontent à la surface », je redoute que sous le képi, il ne traine pas quelques « cagoules noires à pistolets » qui commettent les mêmes exactions, dans l’espoir de ravir des majorités électorales pour pratiquer l’hyper-capitalisé, là où « communalisé » peut empêcher ce terrorisme acté, proche des gangs de la French et du grand banditisme de l’extrême-droite, directement liée au pouvoir, depuis qu’ils pouvaient s’inspirer des « carnets des trois vignerons de Mario » et se les partager pour n’en reproduire qu’une pâle et sinistre copie dans la réalité… À mon avis, si ils s’étaient contentés de faire des photo-copies – même si en 1972 c’était un peu compliqué – et laisser ces trois personnes en vie, au lieu de les présenter ensuite comme des « voyageurs » alors qu’ils venaient de se faire buter, bien des majorités communalisées, déjà existantes auraient été maintenues plus facilement. Outre que ces pratiques d’assassinats laissent l’angoisse qu’elles puissent se multiplier sous les pluies diluviennes, restera quand même à l’esprit, la machinerie enclenchée pour faire disparaître les « communalisés municipaux » pour faire émerger des chefs, des maîtres à la place… Le retour aux seigneuries amorcé, l’esclavagisme salarial aménagé pouvait aisément se développer sur le dos de trois cadavres à Andlau. Après, comment sont traités les ossements et sous quel contrôle, effrayeraient si ils finissaient dans la poubelle d’une morgue pour arranger « tout le monde », histoire de leur donner une fausse image et changer la conception de la majorité à partir d’un triple assassinat et poursuivre leur fable politique sous la forme de différents millésimes qu’ils écrieraient eux-mêmes, à la place de Mario qui du millésime, en faisait un carnet par an avec son équipe qui rendait compte de l’évolution politique et de l’aménagement du travail liés aux vignerons, à chaque réunion d’une Amicale de villageois viticulteurs politisés depuis 1940.

Alors il y a une énorme différence entre les « trois de Nuremberg » qui ont accompagné le Général – Maréchal Leclerc, Mario, mon père et sans doute le père de Jean Cavaillès, effectivement sur le terrain, depuis Andlau – Ottrott jusqu’aux Conclusion de 1946 pour ramener deux autres vignerons avec eux, dans l’espoir de poursuivre le fonctionnement municipal, communalisé autour d’une amicale de trois vignerons qui donnerait à tous, à partir de la municipalité, l’accréditation aux partis reconnus par cette amicale qui composeront les élections, après 1947 jusqu’en 1972 et égaliseront, entre autant – qu’elles ne présenteront de listes -, la parité financière des aides budgétaires allouées par la nation aux régions, à toutes les élections ; de ceux qui joueraient avec, après 1972, d’un triple assassinat, avec la conviction que le monde aurait changé et que les étiquettes politiques nouvelles, créées de toutes pièces après mai 1968 (« Lutte Ouvrière, LCR 1972 », FN 1974 et PS 1969 ; OCL 1976 et AL 1978) en taisent un triple crime dans leur bagages intellectuel et politique, à travers tout le vignoble alsacien, en se référant uniquement à De Gaulle pour mieux oublier l’autre général, Philippe Leclerc, devenu Maréchal Hautecloque 1947 ou Nuremberg 1946… Donc tout ce qui vient après 1947 en tant que nouvelles politiques, ne peut qu’être problématique et dangereux… Quant aux plaisantins qui citeront le Maréchal d’avant la guerre sur cet esprit, le Pétain qui n’a jamais disparu des requins d’Andlau à provocations, pour échapper aux règles de l’état-major, où la présence de cette « amicale 4ème internationale des vignerons d’Andlau-Leclerc », ne devait pas disparaître ni dans les corps de l’armée, ni dans les vies municipales des bureaux politiques qui poursuivraient l’accréditation des 3 vignerons d’Andlau par transmission notariale… Même quand De Gaulle sera mort, ce système est le bon, si on tient pour base le général Leclerc, il met les individus à égalité stricte, sans domination de titres, lorsque les gens se parlent. Mais il y a une différence, toute énorme qui puisse aussi développer parralèlement le mensonge politique, social et militaire, lorsque systématiquement, il ne reste même plus un bras ou une jambe dans le haut état-major militaire et policier ; il ne peut que s’en suivre du Vietnam, de l’Algérie, du Maroc, de l’Irak, de la Syrie – après 45 ans de mensonges – de l’état islamique et des droites extrêmes autant que les gauches ainsi qu’un vol, pur et simple des « carnet des 3 vignerons » pour prendre frauduleusement le pouvoir à la place de trois personnes assassinées à Andlau, à l’automne 1972, après la Toussaint et avant Noël, lâchement, en mafieux policiers… Pire est l’excuse-mensongère qui dira plus tard, « on est désolé mais il n’y a plus de communistes qui s’y présentent aux postes de policiers, gendarmes et militaires » ou qu’ils n’obtiennent pas les « résultats souhaités aux examens », alors que des papiers militaires de répartition de titres dans le corps de l’armée furent volés et saisis par des mafias politiques où il n’y avait plus aucun espoir de trouver la moindre confiance. Tout serait-il dans les coffres des Le Pen et des loups noir(-e)s ?…

Ces trois ambassadeurs de la paix de Nuremberg n’avaient rien d’une politique des partis nés après mai 1968 mais ils étaient sous la protection de la signature du général Leclerc, rassemblant des soldats de la 4ème Internationale et des Républicains espagnols qui combattaient sous la bannière française pour renverser l’ordre fasciste nazi ; non pas pour ensuite propager le terrorisme, mais pour s’en prémunir… Lorsque leur titre militaire disparu avec l’accident d’avion où le général Leclerc perdit la vie avec leur protection militaire, pouvait se déclencher une élimination organisée des gradés encore en fonction dont se chargerait bien l’extrême-droite dès lors que pouvait être remplacée la haute fonction occupée par Leclerc par un général plus conservateur. Au risque de rompre l’équilibre politique dans les états-majors et aboutir à ce candidat aux Présidentielles de 1974, directement issu des rangs de l’armée, créant une rupture avec les règles de bienséance en ce qui concerne les conditions élémentaires et essentielles préalables aux candidatures pour les élections, prescrivant l’interdiction de se présenter à tous mandats électoraux, les personnes ayant occupé un poste important dans les Gendarmeries, les Polices ou les Armées ; ce qu’était bel et bien Le Pen Jean-Marie !… Et quoi de plus logique dans l’armée française que d’avoir des gradés communistes en nos rangs, même Leclerc disparu, lorsqu’il s’agira d’affronter Moscou et Pékin pour protéger le Vietnam ?… La non-reconnaissance de leur place dans l’état-major français de l’armée par la suite, ne pouvait que semer la zizanie entre les camps politiques nouveaux qui émergeaient dans la vie civile en les éloignant des bureaux politiques de certaines municipalités où ils se maintenaient dans des alliances, des unions entre les gauches et les droites. À partir d’une telle rupture et cassure, ils ne pouvaient forcément que favoriser nettement les droites de manière quantitative sur les gauches, quasiment avant même que les résultats n’étaient publiés… Un camp politique avançait, l’autre reculait ; tout dépendait d’à quelle date on faisait remonter cette gauche de 1947 qui descendait des ambassadeurs de Nuremberg en 1946, d’avant ou d’après 1972 en ce qui concerne le petit village de patrons-ouvriers vignerons d’Andlau, avant qu’une disparition maquillée en vente légale des trois domaines en 1973 ne finissent par signaler l’existence de trois cadavres sur l’une des propriétés, 45 ans après, révélant en même temps presque 1/2 siècle de mensonges concernant ce vigneron assassiné et non pas déserteur, certainement accusé à tort. Ne restait plus qu’une municipalité en deuil, un État trompé et un instituteur dans le désarroi, persuadé que ses vignerons ne  pouvaient être partis mais dont l’autorité policière refusa une bonne dizaine de fois d’engager pour lui des recherches autour de la maisonnée. Les autorités policières, persuadée qu’on ne pouvait envisager l’assassinat prétextant qu’il faut du sang et des cadavres pour cela, marquèrent presque leur complicité d’assassinat en molestant violemment cet instituteur qui était mon père, le menaçant d’enfermement psychiatrique comme son fils ainé et comme sa femme l’avait été, si il continuait d’insister… Sentant intuitivement qu’on commençait sérieusement à lui nier l’évidence, ne sachant à quelle autorité supérieure hiérarchique s’adresser pour trouver un peu de compréhension pour qu’un chien de la brigade canine fasse au moins le tour de la propriété d’Andlau qui devait être léguée aux trois vignerons ouvriers-patrons, le père des vignerons et le flic aux idées noires en vinrent aux mains.

Cette armée, d’étrangers qui avaient la protection de la signature du général Leclerc, était composée d’agriculteurs, d’ouvriers, de municipaux et de notables qui n’étaient ni militaire, ni policiers, ni gendarmes de métier pour pouvoir le montrer et s’en vanter à la moindre occasion dans la vie civile, aux élections, aux fêtes des villages mais ça n’empêchait pas qu’il y en ait, sans qu’il cherchent absolument à le faire savoir… Ces trois vignerons transformés en « aides de camp » de la garde rapprochée du général Leclerc, appartenant aux « étrangers » sous la protection de l’armée française, n’étaient pas que venus à Nuremberg en 1945 pour déposer les armes et faire la paix, leur présence devait nourrir aussi le débat sur la résolution du volet économique à partir du réseau des vignerons en Europe qui étaient dans la possibilité d’ouvrir la vie politique sur des amicales municipales communales pour permettre à la politique de vivre dans les villages par des réunions communes à toutes les formations politiques pour éviter qu’il n’y en ait qui complotent à l’extérieur du cercle communal dans des greniers, des caves ou des sectes d’extrême-droite… Le fascisme devait arrêter de se cacher sous des réunions isolées où finalement on ne les voyait que pour mieux nous attaquer, dans des joutes oratoires, nous et les participants de l’Amicale. À chaque fête annuelle des vendanges où ces loups noirs – non contents de se combler de ridicule en insultant publiquement une partie du village – s’exhibaient, ils  voyaient là, aussi croître la certitude de la garantie de ne plus pouvoir espérer quelque retour en politique que ce soit par les urnes en direction de leur propagande. Ils devenaient l’assurance d’être le plus petit pourcentage des élections, bien qu’ils pensaient détenir l’ensemble des domaines et des territoires par les préfectures, les gendarmeries et certains commissariats de province. D’où la nécessaire présence de nos trois vignerons, une année durant à Nuremberg, aux Conclusions du Tribunal qui tombèrent malheureusement, dès 1946, sur l’incompréhensible irrésolution du pan économique lié aux demandes d’une « monnaie commune » qui serait la même sur l’ensemble de la planète, ce qui aurait permis d’éviter les fraudes de devises, les paradis fiscaux trop frauduleux, l’évaporation fiscale, les vols de domaines et les taux de change exorbitants…

La spécificité des rencontres de Nuremberg dans l’immédiate après-guerre, outre les délibérés du Tribunal militaire dont les plaidoiries dureront une année pleine, de l’automne 1945 à octobre 1946, est le regroupement des différents corps de métiers sur place, décidés à sortir du conflit mondial avec des bases solides qui garantiraient à l’avenir une meilleure sécurité économique pour éviter les guerres, à partir d’une réflexion intellectuelle, technique et fonctionnelle qui aurait dû déboucher sur une monnaie unique mondiale. Cette hypothèse de départ n’était pas que motivée par les corps de métiers présents dans les armées victorieuses avec les alliés auxquelles les Brigades Internationales faisaient partie intégrale ; mais concernait également l’organisation municipale de localités, sévèrement perturbées par la collaboration et les extrêmes-droites actives dans de nombreux pays européens, dont les plus significatives se traduiront par la dictature fasciste italienne de Musollini, le régime autoritaire de Franco, la France de Pétain et de Laval de la collaboration active acquise au régime nazi… Ce modèle économique naît d’une réflexion internationale liée à l’organisation du travail, devait bien passer par les corps de métiers présents dans les armées : du maréchal ferrant à la sidérurgie et à la métallurgie, en passant par le carburant et le marché du pétrole ; le monde ne s’attendait pas que les Conclusions débouchent sur l’irrésolution de ce volet économique qui n’a pas su comprendre que le statut d’« ouvrier – patron » était parfaitement vivable et pas seulement par des vignerons mais l’était déjà également aussi avant la guerre par de nombreuses structures artisanales et la plupart des entreprises manufacturières… Ce raté permis alors de développer le grand capital par nationalisations pour passer au-dessus d’une gestion municipale communalisée. Les corps de métiers se transformèrent en corporations ou y retournèrent pour ceux qui étaient  avant la guerre déjà dans cet esprit de corporation où on est, soit ouvrier, soit patron ; mais pas les deux, on n’en peut pas être les deux !… Le « grand patronat », horriblement coûteux, pouvait ensuite prendre ou reprendre, sans scrupules, le pas en matière gestionnaire sur les localités et les régions pour s’élever au rang national, au-dessus des municipalités qui détenaient jusque là, une partie insécable de leur capital qui ne devait normalement pas pouvoir leur être retirée.

Durant toute cette année à Nuremberg, de fin 1945 à fin 1946, le monde était loin de se douter que s’érigeait, là, sans doute, le premier village altermondialiste, à partir de rencontres organisées avec différents corps de métier, venus exposer leurs problèmes par rapport à l’organisation économique de l’armement qui avait conduit à la guerre, la folie de conquête des chefs d’État. À la stupeur générale, quelle ne fut pas la surprise des occidentaux de découvrir les ouvriers-patrons soviétiques, attelés à signaler que l’URSS n’avait que fait perdre à de nombreuses municipalités une forme d’autonomie communale, loin de se douter que les mines et les carrières d’exploitation des roches, les entreprises manufacturières et industrielles, l’artisanat, se feraient un jour diriger par des soldats armés, prêts à déporter au nom d’un hypothétique non-respect des règles du soviet suprême, mais sous la sacralisation d’un centralisme étatique totalitaire. Inversement à cette situation de collectivisme outrancier que les soviétiques auraient bien aimer quitter, après la guerre et la paix une fois signée ; les occidentaux redoutèrent au contraire, quant à eux, que le monde se contente tout simplement de reproduire le modèle de l’économie nazie du reich allemand, à quelques variantes près, qui synthétisait à lui tout seul, la rupture des termes de l’échange par la substitution d’une junte militaire à l’économie naturelle, ne se contentant pas seulement de piller les richesses des pays envahis mais allant même jusqu’à décider de la mort d’ethnies entières. Le nationalisme d’extrême-droite militarisée venait d’écrire sa sale page de l’histoire qu’il était urgent de tourner puisque tous les corps de métier en avaient fait les frais, des deux côtés de l’axe, durant une bonne dizaine d’années. Dès 1935, en Allemagne, une fois les « lois raciales » promulguées pour de nombreux citoyens qui ne répondaient pas aux critères strictes d’aryanité, il devenait déjà difficile de trouver du travail et la ghettoïsation pouvait dès lors s’enclencher et prendre le pas sur la libre circulation des personnes ; en Union Soviétique, l’autonomie individuelle laissait depuis encore plus longtemps, aussi la place au dirigisme étatique, tout autant militarisé mais pas sous le même argumentaire de propagande, d’où l’élaboration diabolique d’un pacte germano-soviétique du démon, scellant ainsi l’alliance mondialisée de dictatures qui pensait pouvoir renverser le monde et mieux le maîtriser à l’avenir. Quelle illusion directionnelle !

Toutes les salles de réunion, les brasseries, les gymnases, les places publiques, les centres de presse, accueillirent à Nuremberg dès novembre 1945, non pas seulement les armées mais aussi le maximum de corps de métier qui les composait. Ainsi purent échanger et statuer de nombreuses professions issues de toutes les nations. Aussi bien des cordonniers que des métallurgistes, des tisserands des filatures, des tanneurs, les briqueteries et les tailleurs de pierre, des agriculteurs aux vignerons ; tous venaient déposer leur cahier des charges et leurs réflexions sur l’après-guerre en reconstruction pour ce qui allait constituer l’un des pans le plus important des différents volets du Tribunal de Nuremberg qui ne devait pas seulement faire audience sur l’aspect militaire mais aussi définir les contours d’une société plus humaine et plus juste, liée à une organisation économique plus évoluée qui permettrait d’être moins militarisée… Et cela ne pouvait passer sans aborder dès mars 1946 le « volet économique » qui malheureusement s’est rapidement transformé en « irrésolution du volet économique », préférant laisser le monde, déchiré en deux derrière un Rideau de Fer, au lieu d’envisager, une bonne fois pour toutes, une économie durable qu’aurait permis de solidifier la création d’une monnaie unique. À l’ouest, le grand patronat allait pouvoir s’en donner à coeur joie, se prenant certainement pour le plus grand syndicat de la planète ou le soviet suprême du capitalisme ; tandis que l’Est allait éprouver, derrière son Mur de Berlin, la plus grande difficulté à arracher la moindre once d’autonomie municipale communale, locale et régionale au régime soviétique, également vainqueur. Cette possibilité avait pourtant été évoquée, demandée et revendiquée par le tribunal économique des plaidoiries de Nuremberg. La solidarité ouvrière et les patrons-ouvriers qui réunissaient jusqu’ici les villages autour d’amicales, de cercles, d’associations de professions, ne pouvaient qu’en pâtir et la politique se dégrader jusqu’à voir poindre, au loin, l’effrayante possibilité cauchemardesque d’élaborer une cinquième Internationale encore plus vouée au grand patronat que ne l’était la quatrième Internationale effectivement présente à Nuremberg, derrière le général Leclerc avec les étrangers « engagés militaires », notamment originaires des Brigades Internationales.

Après Nuremberg, l’année 1947 allait marquer pour les deux blocs – le bloc soviétique et le bloc capitaliste – la crainte et la peur d’une perte générale de l’autonomie municipale des gestions communales qu’une gestion économique hyper-centralisé de l’État remplacerait rapidement par le grand patronat qui allait supprimer progressivement les petites expériences individuelles, en rachetant les petits groupes pour en faire des trusts internationaux… Le nationalisme bancaire, spéculatif et financier, développé aux États-Unis, en plein essor pendant l’effort de guerre, pouvait déferler sur l’Europe, l’Afrique, l’Asie et réduire les petites autonomies d’ouvriers-patrons à une simple main d’oeuvre ouvrière qui n’aurait ainsi, par conséquent, plus aucun mot à dire sur le décisionnel de l’organisationnel… Dans ces conditions, une cinquième Internationale ne risquait-elle pas sérieusement de discrètement se ranger du côté du grand patronat, des « présidents-directeurs-général », des notables, des cadres supérieurs, des ONG, sensés maintenir la classe ouvrière à l’organisation de ses volontés et à l’assujettissement de la rentabilité patronale, là où avant, l’ouvrier-patron travaillait à titre égalitaire à côté de ses ouvrier(-e)s ?… Contrairement aux espoirs que devait permettre ce qui aurait dû se traduire par la résolution du volet économique des Conclusions du Tribunal de Nuremberg, à partir des corps de métier et non pas des rivalités nationalistes ; l’irrésolution, renvoyait inversement, directement au développement du corporatisme patronal et non plus seulement à l’esprit – plus performant parce que plus égalitaire – des ouvriers-patrons liés par leur proximité avec les corps de métiers. Après 1972, s’enclenche une vitesse différente où le patronat à visage humain (ouvrier-patron) se transforme en menace de licenciements et en perte de l’autonomie ouvrière comme dans l’entreprise horlogère LIP de Besançon où la justice se rend toute autant ridicule que le patronat en portant une décision judiciaire contraire à l’auto-gestion qui, une année durant, constituait pourtant un modèle de développement économique exemplaire, sans le patronat mais avec une augmentation des salaires, des perspectives d’embauche assurées et l’écoulement sur le marché de tous les produits garanti !

Ce triple assassinat d’Andlau qui a probablement eu lieu une semaine ou deux après la toussaint de 1972, ne laissait pas qu’une falsification mémorielle de l’histoire collective du village – désormais possible – entre 1940 et 1948 jusqu’en 1972, mais offrait également la possibilité de modifier les propriétés et les domaines, en ne les faisant pas dépendre seulement des parcelles de culture, comme ça l’était précédemment. Au contraire, le basculement est judicieux et saugrenu, dorénavant toutes les vignes dépendraient uniquement des cuves de traitement alors qu’ils ne pouvaient jamais en être les « propriétaires » puisqu’ils ne cultivaient pas le raisin… Ils ne faisaient que le stocker en le laissant macérer et fermenter jusqu’à ce qu’il devienne du bon vin… Dans les vignes, ils organisaient déjà des visites touristiques pour vanter un produit qu’ils n’avaient pas fabriqué mais que les vignerons faisaient pousser pour eux ; c’est pour ça qu’on ne les voyait que trop rarement sur le terrain, encore moins souvent au travail avec un sécateur à la main ou une brouette de renfort pour chaque pied de vigne, avec un intelligent mélange de terreau – terre glaise – cailloux rocheux d’un certain calibrage, dans les allées, après les vendanges, préparer le terrain pour l’hiver qui nourrissait aussi les sols… Ils s’imaginaient sans doute devenir l’étiquette des crus et des cépages avec leur cuve à bouillon, à la place de leurs patrons (ouvriers) ?… Rien que de vulgaires sous-traitants, finalement devenus « grands patrons » des Domaines par les Cuves, à la place des « ouvriers – patrons – vignerons » qui cultivaient la vigne et le raisin pour toute la municipalité commune… Au début, immédiatement après la guerre, les cuves redevenaient la propriété communale et n’avaient pas vocation à devenir des « grands patrons » à la place des patrons – ouvriers, tous les jours sur le terrain, eux, dans leurs vignes et à l’Amicale des vignerons du village où s’élaborait « publiquement » la politique, autrement que sur le modèle des convoitises, des insultes ou des menaces de mort dont les traces restent vivaces à nos mémoires, tant elles correspondent, encore aujourd’hui, à ce maudit réseau nazi de loups noir(-e)s d’extrême-droite et d’ultra-droite, contenu jusqu’en 1972, jusqu’à ce sordide assassinat de trois personnes différentes qui refont surface 45 ans après dans un sinistre ossuaire.

Trois ossements humains, correspondant à trois cadavres, découverts à Andlau en Alsace, quarante cinq années plus tard parce que maquillés en retour au pays ou en décision d’aller exercer une fonction administrative ailleurs à cette époque ; ne pouvaient que développer le traumatisme mémoriel, non pas seulement pour le père d’une famille et son ami d’enfance – tant il était impossible par rapport au vécu de ce père de famille, qu’un notaire et un vigneron puissent disparaître au même moment, accompagnés d’une troisième personne, le même jour quasiment – mais aussi pour tout un village dont la répartition entre l’équilibre créé sur les trois parcelles par l’égalité « patron – ouvrier » sur les trois domaines où vivait au moins un des « trois disparus », n’a pu qu’en être modifiée, partagée ou vendue illégalement à l’aide d’une fable imaginaire, étonnante mais irréelle. Qu’un simple instituteur, ayant pourtant fait ses armées, se fasse littéralement refuser le droit d’ouvrir une enquête sur « son ou ses disparu(-s) d’Andlau », à Strasbourg où il exerçait son métier, dès la fin de l’année 1972 parce que le notaire avec qui il avait rendez-vous avec ses vignerons était subitement prétendu « en vacances » ou parti sur une autre commune ; constitue déjà amplement l’aveu d’une complicité avec ce réseau politique infréquentable qui venait les insulter et les menacer de mort, à chaque fête des vendanges, devant le restaurant de l’amicale des vignerons du village qui profitait de l’occasion pour faire le bilan annuel avec les forces politiques partenaires et coopératrices de cette Amicale. Qu’il s’en fasse rosser parce que devenu trop insistant dans les commissariats, les gendarmeries et le bureau des armées de sa ville, quant à la nécessité d’au moins envisager de faire le tour du domaine à Andlau, au-dessus de la chapelle avec un chien spécialisé pour retrouver des cadavres, forcément disparus ; prouve suffisamment qu’il fallait un jour attendre que l’ossuaire remonte à la surface pour interpeller directement tout un vignoble qui aura vécu pendant ce temps avec une conscience et une connaissance plus ou moins développées du niveau de complicité probable ou impossible des uns et des autres avec ces « loups noirs »… Organiser par le mensonge une telle trahison, qui ne pouvait même pas être considérée comme une hypothèse, en est quand même devenue une, loin de la réalité des liens de l’enfance du vécu d’un plaignant qui demande la justice et pour son vigneron, annoncé comme étant « rentré dans son pays » et non pas simplement disparu, dans le genre « on ne sait pas où il est »… Que leur vinasse sente le cadavre et l’extrême-droite aujourd’hui, n’étonnera sans doute personne !… On ne modifie pas l’organisation du travail à partir d’un vol ; on ne bâtit pas un vignoble sur un triple assassinat !

« Ni droite, ni gauche » ou bien « plus que la droite et la gauche » ne signifie pas forcément avoir « un pied derrière et un pied devant » qui puisse ne pas simplement relever de la marche mais en arrive aussi à pouvoir remonter à une situation historique située entre l’après 1948 où l’extrême-droite recommence à menacer, jusqu’au terrorisme de l’OAS des années 1960 ou lorsqu’elle resurgit férocement en « loups noirs », en Alsace au début des années 1970 – précisément à Andlau, à la fin de l’année 1972, une semaine ou deux après la toussaint, simulant une disparition d’un notaire, d’un vigneron – allant jusqu’à réveiller, 45 ans plus tard, la démonstration d’un triple assassinat sur un ossuaire fabriqué pour faire reposer, durant tout ce temps, trois disparus, partis en voyage ou en vacances, transformés en cadavres ; ne m’inspire pas plus de confiance en l’après 1972 au niveau de la politique pratiquée dans les Armes, tant en Gendarmeries, qu’en Armées et en Polices mais me donne surtout l’impression de me réveiller à 52 ans en mort-vivant – 45 ans plus tard puisque j’en avais 7 lorsque mon père s’est fait jeter dehors du commissariat parce qu’il demandait simplement l’ouverture d’une enquête, flairant un assassinat -, oubliés de la société et ignorés, lui comme moi, maintenus aux écarts par le vol de la propriété de son enfance, aux Trois Domaines d’Andlau chez son père adoptif, aujourd’hui mort comme lui depuis longtemps…

Il y a donc l’avant 1972 et l’après 1972 où passe, au travers d’un triple assassinat, la casse d’un bureau politique d’une amicale de vignerons, parfaitement équilibrée, égalitaire et gestionnaire de la municipalité communale, sans doute capable de faire basculer ensuite les propriétaires, patrons, ouvriers, vendangeurs dans le grand patronat vinique qui transforme la richesse d’une municipalité en capital bancaire, essorant les plus petits employés, les définissant comme retournant « au bas de l’échelle », faisant désherber les vendangeurs, transformant les patrons en investisseurs de la SNCF, du nucléaire et des milices d’extrêmes-droites puisqu’ils n’ont plus à être « ouvrier et patron », faisant de l’église l’unique propriétaire des Trois Domaines… Comble de l’ignorance restera sans doute le début du creusement du trou de la « sécurité sociale » qui, du point de vue des décisions municipales d’avant 1972 qui furent remises en question par ce triple assassinat désormais mis à jour, est la possibilité de délester cette sécurité sociale lorsque la mentalité d’une municipalité permet de le faire elle-même en finançant le matériel médical au ouvriers, patrons, vendangeurs… Ce matériel élémentaire, composé de lunettes, de gants, de prothèses ou des binocles, pouvait aisément s’acquérir avec l’aide municipale allouée à tous et minorée d’après le niveau de richesse des personnes concernées ; ce qui ne signifiait pas qu’automatiquement elles payent plus ou moins d’impôts mais dépendait souvent de la qualité du vin produit et de la surface d’exploitation. Les plus pauvres ne payaient pas beaucoup et la municipalité n’avait aucune honte à en payer l’intégralité du moment que l’employé-e pouvait poursuivre son bon travail dans les vignes mais pas autour, en s’inventant des règles juridiques et financières différentes. Ainsi, le notaire quand je l’ai connu dans mon enfance, à cinq ans, était ami avec mon père et son père adoptif du domaine, portait un monocle pour la dernière fois. Impatient d’attendre l’arrivée de son binocle : pourtant la municipalité a aussi participé aux frais de l’outil visuel, pas tous frais payés, mais le geste ; en retour, ce notaire ou l’instituteur garantissaient les frais de bouche à l’auberge de l’amicale, lors des réunions du village où la politique n’était pas la seule bienvenue. Il faut dire que bien manger et bien boire la nourrissaient mieux !… Ce n’est pas pour autant qu’il en méritait l’assassinat, au prétexte de défendre le statut des trois domaines aux trois ouvriers-patrons du château d’Andlau…

Y aurait-il une différence entre le vignoble municipal, local et communal et la viticulture patronale du vieux CNPF étatique des années 1970 qui rallongeait les cuves avec du sucre jusqu’au début des années 1980 ?…

Il semblerait que oui, puisqu’à Andlau (Bas-Rhin / Alsace / 67140), on peut aujourd’hui, 45 ans après, retrouver les cadavres de trois personnes de ce village, mentionnées comme ayant tout vendu pour faire leur vie aux États-Unis ou se faire élire en Savoie alors qu’elle furent assassinées et enterrées au milieu de trois domaines… À la dernière fête des vendanges de 1972, peut avant leur disparition, un genre de « loup noir », flic d’extrême-droite, était particulièrement virulent à leur égard, les insultant et leur promettant de les envoyer dans les prisons de Franco en Espagne parce qu’il estimait que c’était là qu’était leur place… Devant une telle incohérence existentielle relative à l’Amicale des Vignerons d’Andlau, mon père, alors devenu instituteur après son parcours d’apprenti-ouvrier-patron-vendangeur sur ce vignoble, se rendait régulièrement au commissariat de ce même loup noir devenu plus tard député pour qu’il ouvre une enquête mais se faisait rosser, molester et humilier : le problème c’est qu’alors, à l’époque, en 45mn, ils auraient retrouvé ces trois dépouilles et n’auraient pas été obligés d’attendre 45 ans que les os remontent à la surface… Pire encore, il y a quelques mois, cet entretien téléphonique avec un gendarme de Barr qui ose me parler d’os de chiens (?)… Après vient Giscard qui modifie certaines règles constitutionnelles relatives au droit local, communal et municipal auquel toutes et tous participaient activement par l’Amicale, avant ce triple assassinat maquillé en mensonge de « vente légale » effectuée sur trois cadavres qui leur permirent de faire couler de l’or pendant 45 ans – et sans doute, estiment-ils, pour toujours – après leur meurtre lourdement dissimulé derrière l’évocation de vies falsifiées et modifiées à la convenance d’un patronat devenu assassin.

Jcavailles